description : C'est un groupe avec des vidéos d'analyse (exemple : Exitium Film, Game Next Door, La chaîne de P.A.U.L, Bolchegeek, Meeea, Calmos, NostalGeek, Very Own Sun ect) sur les jeux vidéo et le cinéma, principalement, mais aussi d'autres sujets qui pourrait nourrir des réflexions qui entourent "les jeux vidéo" avec une approche "fun".
AUCUNE vidéo (la partie texte en italique inclus) n'est faite par les membres de ce groupe.
Et si Spider-Man était un film d'auteur ?
Redécouvrez le blockbuster de Sam Raimi à travers le prisme de son incroyable mise en scène :
symbolique des couleurs et du reflet, travail de la crise d'identité, questionnement de l'amérique triomphante, il y en a pour tous les goûts !
C'est le premier épisode d'une série de trois, qui vont chacun se centrer sur un opus de la trilogie.
Chez Arkane, on fait de l’immersive sim. Mais à part Dishonored premier du nom, les performances commerciales de leurs titres ont toujours été très mitigées.
Avec Deathloop et Weird West, les développeurs ont tenté une approche beaucoup orientée vers l’action. Mais ça coince toujours. Est-ce que les flingues sont l’unique option pour renouer avec la popularité ?
Tentative de réponse à travers une analyse de ces deux derniers titres.
On connaît tous The Legend of Zelda : Ocarina of Time par ce qu’il est réputé pour être l’un des meilleurs jeux de tous les temps et qu’il a été un véritable raz-de-marée dans le monde du jeu vidéo. Mais pourtant Ocarina of Time est un jeu incomplet qui aurait dû révéler tout son potentiel lors de sa connexion avec le 64DD et dévoiler un tout nouveau jeu qui s’appelait alors Ura Zelda, disponible après avoir battu Ganon. Et pourtant Ura Zelda n’a jamais vu le jour alors que Nintendo a annoncé que son développement était terminé, alors pourquoi n’est-il jamais sorti, qu’est ce qu’il reste de ce projet un peu fou, pourquoi Nintendo a menti plusieurs fois sur son existence et qu’est ce que c’était concrètement qu’Ura Zelda ? Et pourquoi beaucoup de gens le confondent avec Zelda Gaiden un autre Zelda annoncé à l’époque ? Aujourd’hui on retrace l’histoire pleine de mystère autour de cet autre Ocarina of Time comme on l’appelait à l’époque, on retrace l’histoire d’Ura Zelda.
De nos jours, le nom de Canal+ ne fait plus particulièrement rêver.
Et oui, durant les années 90, Canal+ était LA chaîne du cinéma. Pour les heureux possesseurs d'un décodeur, la chaîne cryptée proposait la diffusion de films inédits sur toutes les autres chaînes du paysage audiovisuel français dans leur format d'origine et en version originale (comme, au hasard, Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir de George Lucas qui a quand même attendu 8 ans pour arriver sur nos écrans de télévision...).
Il y avait aussi les émissions de télévisions qui faisaient la part belle au cinéma,que ce soit Nulle part ailleurs qui multipliait les invités prestigieux, les Guignols de l'info qui s'inspiraient très souvent du grand écran pour le segment central en forme de mini-court-métrage, ou tout simplement les émissions Le journal du Cinéma d'Isabelle Giordano, ou Cinéma de quartier de Jean-Pierre Dionnet.
Mais les ambitions du groupe Canal+ ne se limitaient pas au petit écran. Sous la houlette de Pierre Lescure et d'Alain De Greef, la chaîne va soutenir des réalisateurs et des projets atypiques (souvent retoqué par le CNC) comme La Haine de Matthieu Kassovitz, Bernie d'Albert Dupontel,
La cité de la peur des Nuls, Dobermann de Jan Kounen ou Seul contre tous de Gaspar Noé. Cette volonté de bousculer le monde de la production hexagonale trouvera son apogée avec Le Pacte des Loups de Christophe Gans et Astérix & Obélix : mission Cléopâtre d'Alain Chabat, deux prototypes de blockbusters à la française qui feront un énorme carton au box office, deux films qui auraient dû augurer un avenir radieux pour la chaîne mais qui, au contraire, marquaient la fin de la récréation. Car après une telle ascension, l'important n'est pas la chute, mais l'atterrissage.
... Cette série désormais mythique développée par le talentueux studio anglais Rocksteady est devenue culte, et pour de très bonnes raisons, comme on pourra le voir à travers ces podcasts.
Batman a eu une influence incroyable sur le jeu vidéo en démarrant avec cet Arkham Asylum. Alors laissez-nous vous mener à travers Gotham City, ses ruelles sombres, son crime organisé et son chevalier noir....
Connaissez-vous Ellsworth « Bumpy » Johnson ?
Il y a des chances que non, et pourtant c’était l’un des plus illustres gangsters américains. New York, et en particulier Harlem, se souviendront de lui longtemps.
-En 1979, dans L'Évadé d'Alcatraz, Paul Benjamin interprète English, inspiré par « Bumpy » Johnson
-En 1984, dans Cotton Club, Laurence Fishburne joue Bumpy Rhodes, inspiré par « Bumpy » Johnson
-En 1997, dans Les Seigneurs de Harlem, Laurence Fishburne interprète « Bumpy » Johnson
-En 2007, dans American Gangster il est le mentor de Frank Lucas et est interprété par Clarence Williams III.
-En 2019, dans (la série) Godfather of Harlem, Forest Whitaker interprète « Bumpy » Johnson