Resident Evil Remake :

- Les temps de chargement sont beaucoup plus longs et après chaque ouverture de porte vous aurez droit à un écran noir qui dure entre 5 à 10 secondes .
- En mode salon : 1920x1080p.
- En mode portable : Souvent du 1280x720p.
- Du framepacing comme sur PS4 en plus de quelques baisses de framerate sur quelques scènes.

Resident Evil Zero :

- Les temps de chargement sont encore plus longs lors des ouvertures des portes et contrairement à Resident Evil Remake les animations s'arrêtent à mi-chemin.

Resident Evil 4 :

- C'est un portage des versions PS4/XB1 et non NGC/PS2/Wii.
- En mode salon : 1600x900p.
- En mode portable : 1066x600p.
- Pas de commandes gyroscopiques.
- Absence du filtre anisotropique contrairement aux autres versions.
- La version Switch utilise des mip-maps (pas dans les autres versions consoles et PC).
- En mode docké c'est du 60fps assez souvent, mais parfois ça baisse en dessous des 50fps dans les scènes chargées comme les combats contre les boss par exemple.
- En mode portable le jeu souffre aussi de quelques ralentissements, mais la performance reste meilleure que le mode docké.
- Digital Foundry estime qu'il aurait été préférable d'avoir du 30fps verrouillé au lieu du 60fps non constant.

S'adressant à un rassemblement d'entrepreneurs technologiques et d'entreprises en démarrage lors de la conférence Collision qui s'est tenue hier à Toronto, Shawn Layden, président de Sony Interactive Entertainment, a partagé son expérience sur la gestion des 13 studios de développement des jeux first party de la société et certaines des philosophies derrière les stratégies créatives PlayStation, notamment l'accent sur l'importance de la diversité en studio.



Layden a expliqué que Sony gérait ses 13 studios de développement de jeux sur les trois continents, soulignant que la société misait sur la créativité et la qualité de ses produits.





Il a ensuite exprimé sa conviction que la qualité et la créativité sont intrinsèquement liées et que l'accent mis par l'entreprise sur ce point a été la clé de ses récents succès. Selon lui Sucker Punch en est le parfait exemple, l'équipe derrière la série Sly Cooper et Infamous, lorsque Sony a lancé la PS4 Pro, il s'attendait à ce qu'ils développent un autre jeu Infamous pour tirer parti des capacités de la console mais le studio a plutôt opté pour le développement d'une nouvelle ip "Ghost Of Tsushima".

"Nous sommes très fiers du fait qu'il s'agissait d'une équipe de développement 100 % américaine qui faisait de la recherche et honorait une autre culture, pour son histoire et sa beauté", a-t-il dit.

Plus que la prise de risques, Layden a expliqué que la démographie des studios est un facteur important pour encourager la créativité des studios. En termes de diversité culturelle et de genre, il se dit persuadé qu'un studio qui réussit est un studio composé de développeurs de différents horizons :



En évoquant un autre studio maison, Il a poursuivi en soulignant que bien que l'équipe de Media Molecule soit maintenant composée d'environ un tiers de femmes, cette dynamique au sein du studio n'a été atteinte que grâce à un effort conscient et une plus grande sensibilisation. Il conclut en rappelant l'importance d'établir une culture d'entreprise qui encourage la discussion et la critique au nom de la créativité.

Après la présentation de Jim Ryan, PDG de Sony, sur l'avenir de l'activité PlayStation lors de la "Journée des relations investisseurs 2019", une session de questions et réponses a été organisée, et le directeur général a livré des informations plus intéressantes sur une variété de sujets. Les vice-présidents John Kodera et Kenichiro Yoshida ont également participé.


Sur le partenariat avec Microsoft, Jim Ryan a mentionné qu'il s'agit d'un "large protocole d'accord entre Sony Corporation et Microsoft" qui touche à un certain nombre et le streaming de jeux en est un.


Sony a passé en revue l'ensemble des partenariats potentiels et considère la possibilité de travailler avec Microsoft comme un avantage entre les deux sociétés. Cela étant dit, Ryan a précisé que pour l'instant, il n'y a pas de partenariat entre les deux car ils ont simplement signé un protocole d'accord les engageant à explorer des partenariats potentiels. Après ces discussions exploratoires, si un accord est conclu sur des principes de haut niveau, ce n'est qu'à ce moment-là que les deux parties commenceront à examiner des modèles commerciaux.
Pour eux un partenariat potentiel avec Microsoft offrirait la possibilité de passer à quelque chose qui est moins capitalistique que la forme actuelle du PlayStation Now. Pourtant, cela reste encore à étudier.

Kenichiro Yoshida a déclaré que l'entreprise a l'intention de continuer à améliorer l'expérience utilisateur sur PlayStation en tirant parti des dernières technologies de streaming, de cloud et de la 5G.

Yoshida-san a décrit l'orientation future de la PlayStation avec deux mots-clés, "immersive" et "seamless", indiquant la capacité de jouer à tout moment et partout sans interruption en toute transparence. Offrir une expérience de jeu immersive est l'un des aspects clés que Sony s'est efforcé d'assurer au fil des générations, et ils sont tout aussi déterminés à offrir cette expérience immersive sur la console next gen actuellement en développement. Il a mentionné que la puissance de calcul brute en TFlops sera encore améliorée et que la vitesse de rendu graphique sera considérablement augmentée grâce à l'utilisation de SSD custom haut débit ultra rapide.


A une autre question, Ryan a mentionné que Sony est globalement satisfait du ratio de 20% du marché pris par les jeux first party et 80% par les jeux tiers. Il permet à la marque PlayStation d'avoir une masse critique et un retour sur investissement sur ses studios tiers.

De plus, le fait de permettre à des tiers de prendre une telle part de marché positionne PlayStation comme la plate-forme conviviale et numéro un pour tous les éditeurs. C'est une approche que Sony a adopté depuis le tout début. Selon lui, les éditeurs aiment travailler avec PlayStation et grâce à l'énorme base matérielle installée, il y a beaucoup d'opportunités de monétiser pour les partenaires. Le ratio de 20/80% a été à peu près le même dans les générations précédentes, et Sony le considère comme correct.



Au sujet de la rétrocompatibilité pour la prochaine console PlayStation de nouvelle génération, le point clé pour Ryan est qu'à l'ère du réseau, la rétrocompatibilité est quelque chose d'extrêmement puissant car la communauté du jeu est quelque peu tribale dans sa nature, et la rétrocompatibilité leur donne la possibilité de passer de la PS4 à la prochaine génération tout en pouvant jouer à leurs anciens jeux avec leurs amis existants.
Sony s'attend à ce que la rétrocompatibilité soit un facteur de succès vraiment critique pour ses prochaines consoles et pense que c'est important.

Kodera-san de son coté a ajouté que la rétrocompatibilité est positive non seulement parce que vous pouvez jouer à de vieux jeux sur la console de nouvelle génération, mais aussi parce que la communauté peut profiter des jeux ensemble via un gameplay intergénérationnel. Donc en profitant de la rétrocompatibilité entre les deux consoles de Sony, les joueurs évoluant sur différentes générations (PS4/PS5) pourront partager les joies du "Crossplay".


Jim Ryan a profité également pour parler du marché chinois, mentionnant qu'il s'agit d'un marché très important, et qu'il est clairement intéressant pour toute entreprise de jeux vidéo. Cela dit, la situation de la censure en Chine au cours de l'année écoulée a été très extrême. Il a passé une grande partie de son temps libre à visiter la Chine et à formuler des plans pour y développer le marché, mais ces plans ont dû être suspendus car aucun nouveau jeu n'y a été publié en raison de la suspension de l'approbation.

A long terme, Sony voit absolument la Chine comme une zone d'opportunité potentielle, mais pour l'instant, ils n'investissent pas agressivement dans le pays tant que la situation autour de la censure n'évolue et se clarifie pas.

https://www.sony.net/SonyInfo/IR/news/20190521_E.pdf
https://www.sony.net/SonyInfo/IR/library/presen/irday/pdf/2019/GNS_E.pdf

- Le jeu tourne sous l'Apex Engine d'Avalanche Studios et non l'id Tech 6 d'id Software.
- De l'éclairage volumétrique.
- Des Ombres dynamiques.
- Un rendu physique réaliste.
- Cycle jour/nuit.
- Rebondissement de la lumière secondaire.
- Motion Blur de haute qualité (qui peut être désactivé).
- Screen space refelections.
- Aberration chromatique (désactivable aussi).
- Un seul écran de temps de chargement sauf en cas de game over.
- Toutes les versions se ressemblent visuellement, un peu plus de lumières sur Pro/X.
- Un peu de pop in.
- Pas de prise de HDR pour le moment.
- La version XB1 est en 900p avec une image douce grâce au TAA et du 30fps très stable avec un peu
de tearing à l'écran.
- La version PS4 est en 1080p et 30fps verrouillé sans framepacing et aucune présence de tearing.
- La version Pro est en 1080p et 60fps, avec quelques baisses et du tearing dans les villes.
- La version X est aussi en 1080p et 60fps avec quelques baisses et du tearing.
- Performance globale : X > Pro > PS4 > XB1.

- La version PS4 tourne en 1920x1080 natif.
- La version Pro tourne en 2688x1512.
- Dans les deux cas aucun signe de résolution dynamique.
- La drifting rappelle le premier All-Stars.
- Le jeu tourne sur le même moteur de Sonic & All-Stars Racing Transformed.
- Le jeu cible le 60fps mais avec quelques baisses.
- La Pro tourne en 60fps la plupart du temps (60~54fps).
- Le framerate est beaucoup plus stable sur Pro en mode SuperSampling 1080p.
- La PS4 aussi mais les baisses sont un peu plus fréquentes (60~37fps).
- En mode écran partagé à 4 joueurs : 30fps mais avec des baisses jusqu'à 12fps par moment, beaucoup
moins sur Pro.
- En mode écran partagé à 2 joueurs : 60fps avec des baisses jusqu'à 40fps.
- DF considère le mode écran partagé très décevant en termes de performance.
- La prochaine vidéo sera consacrée à la version XB1/X et Switch.

Resident Evil : 91 millions
Monster Hunter : 54 millions
Street Fighter : 42 millions
Devil May Cry : 20 millions
Dead Rising : 13 millions
Dragon's Dogma : 4,4 millions

(Chiffres arrêtés au 31 mars 2019*)