Cross-média : Jeu d'action à la troisième personne et cinématique Live Action
Date de sortie : 2014-2015
Lien du forum de Remedy : http://community.remedygames.com/forumdisplay.php?f=36
Remarque : Ces informations ne sont pas confirmées à 100% et seront donc actualisées jusqu’à la sortie du jeu.
Synopsis :
Tout débute dans les sous-sol d'une université des sciences et des technologies américaine, lorsque lors d'une expérience basée sur les théories quantiques, une des machines se détraque et explose, contaminant dès lors deux personnes qui étaient alors sur place, Jack et Paul, deux amis d'enfance.
Suite à ces événements, les deux hommes constatèrent qu'ils n'étaient plus les même. Paul pouvant créer ce qu'il appel des "Fragments", des déchirures temporelles, capables de modifier l'espace temps (passé / présent / futur), alors que Jack se rend compte qu'il est capable de manipuler les créations de Paul, les "Fragments". Ainsi les deux hommes se complétèrent. Paul créé le "Fragment", tandis que "Jack" les transforment selon la volonté des deux hommes. Alors que tout semble pourtant bien se passer, Paul disparait et de nombreux "Fragments" s'ouvrirent partout dans le monde, créant des déséquilibres pouvant provoquer la fin du monde tel que nous le connaissions/connaissons.
Afin de pouvoir fermer et contrôler ces "Fragments", Jack est amené à travailler avec Beth, afin de retrouver Paul et empêcher la fin du monde d'arriver à cause de la multiplication fréquente des "Fragments". En parallèle à cette enquête/recherche, une mystérieuse organisation nommée "Monarch Security" apparait et semble s’intéresser de près aux "Fragments". Dans quel but ? C'est aux joueurs de le découvrir...
Mécanisme de jeu :
"Quantum Break" est un jeu d'action à la troisième personne dans lequel il existe trois protagonistes principaux : Jack, Beth et Paul.
Chacun de ces personnages, en plus de pouvoir être contrôlés dans les phases de tir à la troisième personne, possède une caractéristique de gameplay qui lui est propre :
- Jack : Jack est capable de contrôler les "Fragments" ouvert par Paul, en pouvant par exemple, stopper le temps ou en pouvant envoyer des vagues d’énergie destructrice pour pouvoir se sortir de situation difficile.
- Beth : Pouvoir et rôle inconnus pour le moment. ON ignore si ce personnage sera jouable, ou s'il s'agit du personnage principal des "Live Action".
- Paul : Paul est capable d'ouvrir des "Fragments", des distorsions temporels pouvant modifier le passé, le présent ou le futur. Le joueur aura ainsi l'occasion de modifier les actions qu'il aura accomplit durant un chapitre, modification qu'il sera possible de constater en regardant des Live Action à la fin de chaque chapitre.
Live Action
Entre chaque chapitre du jeu, il sera possible pour le joueur de consulter une aventure supplémentaire de "Quantum Break", prenant la forme de Live Action. Ces "Live Action" sont donc des cinématiques en prise de vue réelle, avec de vrais acteurs (il se murmure que l'acteur incarnant Alan Wake, Ilkka Villi, soit présent dans "Quantum Break"), qui approfondissent l'univers du jeu en proposant aux joueurs de voir des minisodes (mini-épisode) mettant en scène les actions que le joueur aura réalisé durant le chapitre menant au Minisode.
Bien que l'on sache que ces Minisodes seront disponibles à la fin de chaque chapitre, le concept autour de ces derniers reste encore vague. D'après une interview de Sam Lake par Gameinformer ( http://www.gameinformer.com/b/news/arch ... roach.aspx ), Paul ouvre différents "Fragments" durant un chapitre et c'est aux joueurs de décider quels "Fragments" consistera la suite de l'histoire, ainsi que les choix qui amèneront la diffusion d'un Minisode à la fin du chapitre.
En gros, nos choix durant un chapitre du jeu auront des conséquences, qui donneront naissance à un Minisode qui récapitulera nos choix à travers une cinématique en prise de vue réelle.
Journal des développeurs :
Trailer live action:
Trailer cinématique
Rappelle de l'impression Gamekult
Drôle d'oiseau que ce Quantum Break. Déjà flou après son annonce à la conférence Xbox One, le prochain titre de Remedy (Max Payne, Alan Wake) ne s'est pas beaucoup précisé lors de la conférence Microsoft de lundi dernier, en ouverture de l'E3.
Heureusement, le salon californien permet généralement aux titres un peu obscurs de sortir de leur coquille, à la faveur de présentations en petit comité effectuées au fond des stands. Grâce aux explications du fantasque Sam Lake, directeur créatif du studio finlandais, nous avons ainsi pu en apprendre - et en comprendre - un peu plus sur cet ovni, l'une des exclusivités Xbox One les plus prometteuses à n'en pas douter.
Le temps, c'est de l'argent
Les expériences scientifiques ont ceci de fascinant qu'elles foirent souvent. Tels des apprentis Gordon Freeman, les deux héros de Quantum Break commencent ainsi leur aventure en tant que scientifiques, en première ligne lors d'une catastrophe dans le laboratoire d'une université américaine. Au centre des expérimentations, le temps, cette quatrième dimension insaisissable qui va alors se mettre à partir en vrille. Dans leur malheur, nos deux amis vont cependant acquérir des super-pouvoirs, dont celui de manipuler le temps de diverses façons. Ce ne seront évidemment pas les seuls dans ce cas, et tous les autres cobayes ainsi irradiés n'auront pas toujours une grande candeur dans l'utilisation de leur pouvoir.
Confiant dans son scénario et en ses capacités à le mettre en scène, Remedy a choisi de mettre beaucoup d'ambition et de moyens dans son jeu, en poussant un peu plus loin encore le storytelling mis en place dans Alan Wake. Découpé lui aussi en épisodes, Quantum Break alternera ainsi les séquences jeux vidéo avec des longues portions de cinématiques mises en scène comme une série télé : des acteurs concentrés, une mise en scène et une image léchée, et évidemment quelques cliffhangers bien sentis. Les éléments vus et entendus dans ces séquences pourront bien sûr servir dans les passages jeux vidéo, et il sera possible d'influencer le déroulement de la "série" par nos choix dans les portions interactives. En bref, de mettre sur pied sa version Director's Cut au fil de notre partie.
On s'en doute, les inventeurs du bullet time vont profiter de cette thématique temporelle pour creuser encore un peu plus le sujet. C'était le propos de la courte démo du jeu à laquelle nous avons pu assister. On y voyait une scientifique prise dans l'explosion d'un hélicoptère, dont elle avait bien sûr peu de chances de réchapper. Le héros, capable de manipuler le temps, pouvait cependant arrêter les événements, puis "isoler" la jeune femme de la scène pour la mettre en sécurité. Une séquence vite expédiée, riche en plans non jouables, et pourtant terriblement impressionnante.
Car la réputation technique de Remedy n'est plus à faire et Quantum Break va sans doute nous le montrer une nouvelle fois. Visages extrêmement détaillés, animations faciales incroyables de fluidité, synchronisation labiale parfaite donnaient aux conversations entre les personnages un réalisme peu commun - tout comme les animations contextuelles, du héros déplaçant les objets autour de lui du revers de la main, ou s'appuyant nonchalamment sur un pan de mur. Un rendu temps réel bluffant, aussi bien dans le court passage jouable que dans les cinématiques avant et après. Hélas, si Remedy promet un jeu d'action (avec combat et système de couverture), le studio n'a pas jugé bon de montrer de véritable gameplay de son titre pour l'instant. Quoi qu'il arrive, on peut en tout cas s'attendre avec Quantum Break à une expérience très scénarisée, originale et a priori aussi linéaire que techniquement impressionnante. Cela ne plaira sans doute pas à tout le monde, mais on ne peut nier à Remedy et Microsoft une certaine audace.
Même si le studio américain réfléchit à des idées de scenario, cela ne veut pour autant pas dire qu’une suite verra forcément le jour.
Le site anglais Eurogamer a récemment eu l’occasion de parler avec Neil Druckmann, le scénariste de The Last of Us. Au cours de cette interview, le site a demandé à l’auteur ce qu’il prépare pour l’avenir. Et même s’il a logiquement envie de prendre un peu de vacances, il pense déjà à la suite des événements :
« Nous (c’est-à-dire Neil Druckmann et Bruce Straley, le réalisateur du jeu, ndlr) avons déjà commencé à réfléchir à des trucs. Pour être honnête, certains correspondent à des idées de suite, d’autres pourraient être liés à une toute nouvelle licence. Au cours des dernières semaines, nous avons réfléchi à une nouvelle licence. Nous devons donc continuer d’avancer là-dessus et voir ce que cela donne… C’est un peu de cette manière que nous avons envisagé Left Behind (le DLC scénarisé de The Last of Us, ndlr).
Pouvons-nous raconter une histoire qui mérite d’être racontée et qui n’est pas une simple redite ? Et si nous ne pouvons pas le faire, où pouvons-nous puiser notre inspiration ? Qu’est-ce qui va à la fois constituer un défi pour nous et faire avancer la narration de ce média ? »
À choisir, sur quel projet aimeriez-vous que Naughty Dog travaille ? Aimeriez-vous découvrir la suite de The Last of Us ? Ou attendez-vous du studio américain qu’il vous surprenne une fois de plus ?
The Order: 1886 fait un peu plus parler de lui ces derniers temps et les joueurs attendent beaucoup de ce titre, puisqu'il s'agit d'une exclusivité pour la PS4 qui devrait, nous l'espérons, en mettre plein les mirettes.
Andrea Pessino, fondateur et Chief Technology Officer de Ready at Dawn (God of War sur PSP, Daxter sur PSP et bien sûr The Order: 1886) explique que la résolution finale du jeu n'a pas encore été décidée. En effet, il indique que le studio ne sait pas encore s'il affichera le jeu en 1080p (donc FullHD) sans anti-aliasing ou en 1920x800 avec l'anti-aliasing d'activé (4xMSAA pour les connaisseurs).
Visiblement, les deux sont possibles, mais l'anti-aliasing est gourmand en bande-passante. Généralement, les joueurs PC sont ceux qui sont le plus familiarisés avec ces termes, puisque le choix leur est souvent offert. D'ailleurs, si le terme "anti-aliasing" vous est inconnu, il s'agit de réduire au maximum les effets d'escalier visibles à l'écran.
Ce matin est décidément le jour d'arrivée des nouvelles en tout genre en ce qui concerne la Xbox One. Après avoir découvert une foule de rumeurs au sujet de la machine de Microsoft, voici que nous apprenons que les équipes de Platinum Games seraient à l'œuvre sur un projet qui verrait le jour en 2016.
Le titre répondrait actuellement au nom de Project Nagano et devrait voir le jour dans le courant du mois de mars 2016. Bien que cette annonce ne soit qu'une rumeur pour le moment, il convient malgré tout qu'elle a été signalée par deux sources différentes qui ont déjà fait leurs preuves par le passé sur les forums NeoGAF.
Microsoft n’a apparemment pas confié sa dernière acquisition à des bras cassés.
Tout le monde est désormais au courant, Black Tusk Studios développe actuellement le premier épisode de la série Gears of War à paraître sur Xbox One. Selon ntkrnl, le membre de NeoGAF qui a révélé de nombreuses informations au sujet des plans de Microsoft, ce premier GoW Xbox One devrait nécessiter deux ans et demi de développement.
Ahsan « Thuway » Rasheed, un autre membre de NeoGAF réputé pour ses sources au sein de l’industrie du jeu vidéo, y est lui aussi allé de son commentaire au sujet du nouveau studio canadien de Microsoft :
« N’ignorez pas Black Tusk, ils ont les compétences pour définir la next-gen (sic). Les initiés entendaient il y a longtemps que le studio disposait de la technologie la plus impressionnante sur Xbox One. »
Voilà donc qui laisse présager de bonnes choses pour l’arrivée de Marcus Fenix et compagnie sur Xbox One. À noter que selon ntkrnl, le jeu Xbox One sur lequel travaillait à l’origine Black Tusk s’appelait Shangheist. Ce dernier a été annulé afin que le studio se concentre sur Gears of War. Pour rappel, voici la démo technique réalisée par Black Tusk et diffusée par Microsoft lors de sa conférence de l’E3 2013.
Cet homme risque sa vie pour sauver sa Xbox des flammes de sa maison !
Il faut de tout pour faire un monde ! Voici la brève histoire de cet américain qui se réveille dans sa maison en feu ! Arrivant à sortir de cet enfer, cet homme décide de risquer sa vie et de retourner dans sa maison en feu pour sauver une seule chose : sa Xbox !
Cette histoire a tellement marqué les esprits américains que la chaîne ABC 15 en a fait un reportage et une vidéo !
D’autres auraient sauvé un minimum d’affaires pour survivre un certain temps, ou des souvenirs personnels ! Mais apparemment, cette personne ne peut vivre sans sa console, et doit contenir des souvenirs très importants !
À nos yeux, Nintendo est mort très rapidement. C'est devenu une entreprise de licences pour enfant et nous ne faisons pas des jeux pour enfants. C'était également vrai pour les autres labels. Même le jeu Mass Effect sur Wii U, qui était un bel effort, n'a pas rameuté les foules, et Electronic Arts, comme Activision, ne se focalise que sur les jeux pouvant devenir de grosses franchises.
Les propos concernent bien évidemment la Wii U et, plus généralement, Nintendo et sa politique opérée depuis plusieurs années. Ils viennent de la bouche d'une source proche d'Electronic Arts ayant expliqué à nos confrères de CVG pourquoi le géant américain a très vite abandonné le constructeur nippon.
Pourtant, Electronic Arts a été l'un des premiers éditeurs à soutenir la Wii U, preuve en est avec le portage de Mass Effect 3, Need for Speed: Most Wanted et FIFA 13. Mais face aux ventes plus que basses de la machine et, par extension, à l'absence de vraies opportunités de débouchés financiers, la firme a complètement lâché prise, enfonçant encore plus la Wii U dans la difficulté (moins de jeux allant de pair avec moins d'attractivité).
Toutefois, si ne plus développer pour une console est une chose, attaquer Nintendo sur sa politique vis-à-vis des marques en est une autre. Sur ce point, Electronic Arts est difficilement défendable...
Les joueurs PC vont devoir sortir leurs petites économies…
La PS4 et la Xbox One auraient-elles déjà trouvé leur maître ? À en croire Marcin Iwinski, cofondateur de CD Projekt, la réponse est oui : il affirme en effet lors d'une interview accordée à MCV India que The Witcher 3: Wild Hunt poussera les deux nouvelles consoles à leurs limites, et ce alors que les consoles sont disponibles depuis seulement quelques mois.
Il s'exprime également sur la version PC, qui selon lui ne sera pas très différente de ses homologues, l'architecture des consoles next-gen étant très proche de celle d'un ordinateur. Il confirme toutefois qu'il sera possible d'avoir un meilleur rendu, mais qu'il faudra alors investir :
Ce que nous essayons de faire avec The Witcher 3, c'est de pousser chaque plateforme à ses limites. Pour le PC, qui est en théorie très évolutif, vous pourrez avoir quelque chose de mieux, mais il faudra investir. Sur les consoles, la différence ne sera pas énorme, car ce sont de nouveaux PC. Je pense que les joueurs de chaque plateforme profiteront d'une grande expérience et qu'ils seront très satisfaits de la qualité proposée.
Lors d'une entrevue accordée au site IGN, notre ami a précisé que la décision de développer le jeu sur next-gen avait été prise il y a deux ans et demi, et qu'ils avaient donc eu beaucoup de temps pour se familiariser avec les deux machines. Enfin, lorsqu'il lui est demandé quel type de PC pourrait faire tourner le jeu, il sourit en répondant :
Nous donnerons plus d'informations à ce sujet plus tard, mais vous pouvez déjà songer à économiser pour upgrader votre machine.
Le même moteur graphique pour Quantum Break mais amélioré.
Je vous présente une vidéo sur le moteur graphique du jeu Alan Wake, exclusivité Xbox 360, qui a sorti le 14 Mai 2010.
Tout ce que je pourrais vous dire pourrait paraitre superficiel, alors je vous laisse admirer la qualité du travail réalisé par les développeurs. Enjoy it...
Microsoft avait déjà annoncé que la Xbox One était la console la plus vendue aux États-Unis en décembre 2013, mais il manquait encore la publication des chiffres officiels pour appuyer ses propos.
Voilà qui vient d'être fait par le NPD, qui annonce plus de 900 000 Xbox One et plus de 600 000 Xbox 360 écoulées sur le dernier mois de l'année, soit 46 % des ventes de hardware.
Le NPD a aussi précisé que les ventes cumulées de consoles, jeux et accessoires de la marque Xbox ont culminé à 1,39 milliard de dollars, ce qui représente 50 % du marché aux USA en décembre.
NPD : les Xbox One et Xbox 360 ont été les consoles les plus vendues de leurs générations aux USA en décembre. 908 000 (Xbox One) et 643 000 (Xbox 360).
Enfin, la Xbox One a positionné 6 de ses titres dans le top 10 des ventes de jeux de la nouvelle génération, avec un ratio de 2,9 jeux vendus par console achetée.
Remedy détaille le gameplay de Quantum Break, la prochaine exclusivité Xbox One.
Quantum Break est un jeu d'action à la troisième personne qui fait le lien entre télévision et jeu vidéo. Pour cela, les développeurs ont imaginé un gameplay en duck and cover classique soutenu par des pouvoirs temporels.
Ainsi, le héros est capable de suspendre le cours du temps pour modifier les événements. Un pouvoir très pratique qui permet au joueur de surprendre ses ennemis, d'éviter une voiture lancée à toute allure ou encore de sauver une personne d'une explosion.
Matias Myllyrinne (PDG de Remedy) assure que les phases de shoot confèrent de bonnes doses d'adrénaline tant en appuyant sur la gâchette qu'en se couvrant des salves adverses. Il insiste d'ailleurs sur le fait que Quantum Break est le jeu ultime développé par son studio. On devrait donc avoir droit à un jeu immersif rappelant Alan Wake et un shooter dont les sensations sont proches d'un Max Payne.
Il s'attarde également sur le fait de pouvoir incarner le méchant de l'histoire à la fin de chaque épisode. Le jeu, découpé en épisodes, devient alors un studio de montage géant. Les pouvoirs du vilain sont encore plus puissants que ceux du héros et il peut ainsi choisir le futur qui lui convient. Le choix du moment voulu est laissé entièrement à l'appréciation du joueur. Ceci fait, on assiste alors à l'épisode terminé comme un bon épisode de série télé.
Il termine en assurant que les partis pris du héros auront un réel impact sur le déroulement des événements et le gameplay, le but de Remedy étant de permettre au joueur d'assister aux changements occasionnés par ses choix antérieurs.
Il n’est pas impossible que les possesseurs de Xbox One aient eux aussi le droit à leur version du jeu de Blizzard.
Jusqu’à présent, seules les versions PS4, PS3, et Xbox 360 de Diablo III ont été annoncées par Blizzard. Mais à en croire la branche canadienne du revendeur Best Buy, le jeu pourrait également être en développement sur Xbox One. En effet, le site de Best Buy Canada a mise en ligne une page de précommande liée à la version Xbox One de Diablo 3 (page dénichée par le site Xbox Achievements). Sur cette dernière se trouve par ailleurs une jaquette temporaire de la version Xbox One du jeu.
Bien entendu, il peut très bien s’agir d’une erreur de la part de la chaîne de magasins. Il serait cependant curieux que cette dernière ait pris la peine de créer une fausse jaquette sans avoir obtenu un minimum d’informations au préalable. Reste maintenant à attendre une clarification de la situation de la part de Blizzard.
Sans surprise, Yakuza Ishin devrait être plus agréable à l’œil sur PS4 que sur PS3.
Yakuza Ishin, le prochain spin-off de la série des Yakuza, sortira à la fois sur PS3 et sur PS4. Et même si les différences visuelles entre les deux versions ne sont pas incroyables, les joueurs devraient tout de même avoir intérêt à se tourner vers la version PS4 du jeu. D’après un blog japonais, cette dernière devrait tourner en 60 images par secondes sur la nouvelle console de Sony. Cette même version de Yakuza Ishin devrait par ailleurs bénéficier d’une résolution supérieure à celle de la version PS3 (encore heureux). Et même si cela n’a pas encore été confirmé, il semble probable que le jeu s’affiche en 1080p sur PS4.
Pour rappel, Ryû Ga Gotoku Ishin! (le titre original du jeu), est prévu pour le 22 février prochain, date de sortie de la PS4 au Japon. Aux dernières nouvelles, SEGA n’a toujours pas l’intention de sortir ce nouvel épisode de la série de Toshihiro Nagoshi en Europe. La PS4 n’étant pas zonée, les fans de Yakuza pourront toujours se tourner vers l’import.
Windows 9 sortira en avril 2014, c'est via le site videogamer que l'on apprend cette nouvelle aujourd'hui. Alors que certains tournent toujours sous Windows 7, la prochaine version du célèbre système d'exploitation devrait voir le jour en avril 2015. Cependant, nous devrions avoir un aperçu de la bête en avril prochain, lors de la conférence BUILD 2014 qui se tiendra à San Francisco. Cette dernière est consacrée aux projets de Microsoft. Pour le moment, ce futur Windows 9 est connu sous le nom de code de Threshold.
Si peu d'informations sont disponibles pour le moment, sachez tout de même que le classique menu démarrer devrait faire son grand retour sous Windows 9. C'est en effet ce qui avait provoqué le plus de changements chez les habitués lors que Windows 8 est sorti. Il était tout simplement inexistant. Surtout conçu pour les tablettes et appareils tactiles, le menu démarrer avait été remplacé par le menu "metro" qui n'avait pas convaincu tout le monde. S'il est agréable et pratique lorsque l'on balaye nos applications d'un coup de doigt, il l'est beaucoup moins pour les adeptes de la souris. Dans la prochaine version de Windows 9, ce style metro sera cependant toujours présent pour les amateurs, mais serait apparemment disposé le long du bureau, de manière moins intrusive. Pour en savoir plus, rendez-vous en avril prochain.