Sony frappe un très gros coup en comparaison avec les autres appareils VR, 399€ et sortie pour octobre !!
*Une technologie qui réduit le poids ressentit sur la tête du joueur.
*Playroom VR compatible et offert avec le PSVR.
*230 studios qui développent sur l'appareil.
*Les studios peuvent travailler à fond sur l'optimisation pour une expérience optimal pour les joueurs PS4.
*Star War Battlefront VR exclu PSVR.
*Playstation Worlds par London studio d'annoncer.
*La présence d'un mode cinéma pour jouer aux jeux non-VR et regarder des films.
*Reconfirmation de THE LAST GUARDIAN et HORIZON ZERO DAWN pour 2016 sur PS4.
*Les parts de marché de la PS4 était de 53.3% au 06 février dernier, maintenant elles atteignent les 53.9%.
*La PS4 passe de 37.2 millions (au 6 février) à 38.8 millions (au 5 mars). Soit 1.6 millions de consoles vendues en moins de 4 semaines.
*La Xbox One dépasse les 20 millions durant le mois de février.
*La Wii U se rapproche doucement des 13 millions, il est temps de dévoiler ce qu'est la NX et quand elle sortira.
Shawn Layden est à la tête de Sony Computer Entertainment America depuis deux ans, et il a pris un certain temps pour se remémorer ces deux ans et en parle sur le dernier PlayStation blogcast.
* Il nous informe qu'il prépare l'E3 en grande pompe depuis maintenant un peu plus de 3 mois.
*Lorsque Layden a commencé à bosser chez Playstation, c'était au japon et du temps de la toute première playstation. C'était une époque folle selon lui.
*Auparavant, les gens disent que Sony était fou d'entrer dans un business dominée par Sega et Nintendo.
*Le premier travail de Layden chez Sony Computer Entertainment était aussi Localization Producer avec la "tâche impossible" d'amener les jeux occidentaux au Japon et à trouver un public pour eux là-bas. Le premier grand succès était probablement "Formula 1".
*Beaucoup de peaufinage ont été fait pour rendre ces jeux plus attrayants pour le public japonais, y compris le facteur de difficulté et certains des personnages.
*Layden mentionné (éventuellement plaisanter), qu'il lui est maintenant interdit de mentionner les deux mots du titre du genre plateforme populaire de cette époque (ce qui est bien évidemment Crash Bandicoot).
*Il y avait deux points de vue dans la société à ce moment-là, le premier qu'entrer dans le marché du jeu vidéo était fou et que c'était similaire à des jouets, et l'autre qui consistait à croire en Ken Kutaragi et a estimé que Sony pourrait tirer parti de la puissance du CD.
*Innovation et le business model ont été les plus gros contributeurs au succès de la PlayStation.
*Sony aura "beaucoup de choses à dire" sur PlayStation VR à la GDC la semaine prochaine.
*Layden pense que c'est le moment propice pour introduire la VR sur PS4 et par la suite en faire peut-être une console à part entière (d'ici 5 ans).
Cette année l'E3 2016 aura lieu du 14 au 16 juin. Les conférences commenceront jusqu'à 1 jour avant le salon.
La GDC elle aura lieu la semaine prochaine du 14 au 18 mars.
D'après pas mal de premiers retours, le jeu a l'air plus corsés que les précédents opus.
Dans "A Crack in time" par exemple, la rapidité de Ratchet et son agilité étaient très élevées (vitesse grâce aux hoverbottes, plus grande agilité de mouvement et caméra plus éloigné du personnage également) rendant le jeu pas bien compliqué.
Fast and Satisfying
Ici nous avons un parfait mélange entre le Ratchet agile des épisodes futurs et la lourdeur du Ratchet des épisodes PS2 pour que le jeu ai la difficulté qu'il faut. Ni trop ni pas assez. Les monstres ont l'air aussi plus résistants qu'avant et moins stupide (ils bougent, viennent vers vous en groupe ou un par un en fonction de la situation, esquivent et sont très nombreux, sa explose de partout).
Les munitions et les nanotechs ne se trouvent également pas à tout les coins de rue maintenant.
Rappel : Prix de 40€ - Sortie le 15 avril
Planet Rilgar - Blackwater city :
(Dernière vidéo/article de moi sur Ratchet & Clank)
Gran Turismo Sports, le prochain épisode de la franchise la plus vendeuse de sony n'a pas fait parler de lui depuis la Paris Games Week, fin octobre dernier.
Et pourtant une beta ouverte est censé arriver au printemps, qui arrive à grand pas.
La semaine prochaine ce tient la GDC et Sony mettra très certainement en avant son PS VR et donc en dévoilera surement d'avantage sur GT Sports (le titre étant annoncé comme compatible PS VR).
Rappel :
* En plus de tout ce que vous pouvez attendre d'un Gran Turismo , l'équipe de Polyphony et la FIA ont introduit une série de courses en ligne qui sera reconnue aux côtés du vrai sport automobile par la FIA.
* Des championnats en ligne fonctionnant simultanément tout au long de l'année.
* Le jeu sortira en 2016 (surement en décembre comme pour les autres jeux de la série).
Quelques membres du staff Ratchet Galaxy étaient invités Jeudi dernier à Paris, dans le superbe cinéma de Claude Lelouche, afin de participer à une journée presse exceptionnelle puisque intégralement consacrée à Ratchet & Clank.
Une journée bien remplie, au cours de laquelle ils ont pu assister à la projection en avant-première du film d'animation, s'essayer à plusieurs heures de jeu sur l'opus PS4 et interviewer quelques charmantes personnes, dont James Stevenson d'Insomniac Games.
Jeudi prochain, ils dévoileront un reportage exclusif : RDV le 10 Mars à 17h !
Néanmoins, ce qui nous intéresse aujourd'hui, c'est bel et bien le film Ratchet & Clank. Ils ont beaucoup de choses à dire, sans aucun spoiler.
[Une véritable lettre d'amour aux fans]
Voilà comment nous pourrions résumer en quelques mots ce long-métrage d'animation. Car c'est assurément un sacré beau cadeau qu'Insomniac et Rainmaker délivrent aux aficionados de la saga, transpirant de respect et d'hommage à cette dernière.
On perçoit clairement la patte du scénariste T.J Fixman, bourrée d'humour et donnant lieu à des gags tous plus inventifs les uns que les autres, tandis que certaines séquences, plus intimistes et calmes, retransmettent toute la tendresse dont cet auteur continue de faire preuve à l'égard du lombax et du petit robot soi-disant défectueux.
Ce qui fait toutefois la plus grande force du film, c'est sans nul doute son focus assumé sur ses personnages, bien plus que sur l'action à proprement parler. Et de l'action, il y en a, mais jamais dans l'excès, jamais au détriment de la trame conductrice et des personnages, tous superbement bien transposés au grand écran et fidèles à leurs alter-egos vidéoludiques.
Un bilan plus mitigé en ce qui concerne les Rangers Galactiques, bien présents mais peu développés. De Cora, femme d'action, à Brax, les muscles du groupe, en passant par Elaris, voix de la sagesse, nous retrouvons des archétypes de personnages bien connus et malheureusement peu intéressants, qui n'ont dans le fond que pour rôle commun de mettre en valeur les actions de nos deux héros de poils et de boulons. Une ficelle scénaristique usée, qui montre rapidement ses limites.
Par ailleurs, si le film mixe avec intelligence les différents aspects que l'on apprécie tant chez cet univers, il se montre à notre goût presque trop court... La narration est rythmée avec panache, mais le final survient tellement vite que l'on se prend à imaginer une intrigue qui nous aurait tenus 2h, au lieu d'1h30. L'histoire se suffit globalement à elle-même mais, sans trop en dire, nous a laissés furieusement envie de découvrir la suite. Un vrai gage de qualité en soit.
Techniquement, on ne peut que saluer le très bon travail des animateurs, les différentes expressions corporelles et faciales des personnages leur donnant vie comme nous n'avons jamais pu les voir auparavant. Il n'est d'ailleurs pas bien difficile de deviner que l'accent a été avant tout mis sur l'animation des personnages, plus que sur la représentation pourtant convaincante des différents environnements. Certes, le modeste budget de la production se fait parfois ressentir, mais jamais au point de choquer.
Continuez la lecture de cette partie sur le site Ratchet galaxy : http://www.ratchet-galaxy.com/news-960.php
Rappel > La production du film Sly Cooper a été grandement ralentie suite à des problèmes financiers et juridiques, mais est désormais de nouveau sur la bonne voie.
[Quant à la teneur de la Version Française...]
Navré de vous décevoir mais... non, Squeezie et ses compères ne ruinent en AUCUN cas le film ou l'esprit de la saga. Nous tenons d'ailleurs à saluer le travail des traducteurs et du directeur artistique du doublage français, qui ont su restituer le dynamisme et la ferveur du script original, tout en adaptant certaines vannes à la culture française et sans jamais trahir la moelle scénaristique de l’œuvre.
Pour être tout à fait sincères, nous n'avons pu nous empêcher de croiser nos regards avec appréhension lorsque James Stevenson annonça que Ratchet était doublé en français par "un Youtuber très célèbre, nommé Squeezie". Grands fans de la saga que nous sommes, nous ne pouvions alors nous empêcher de redouter le pire, non pas par mépris, mais par incompréhension. Pourquoi un Youtuber, pourquoi ce rôle ?
La réponse était pourtant déjà plus qu'évidente : les têtes d'affiche contribuent depuis plusieurs années au potentiel succès des films d'animation, et pour un jeune distributeur tel que La Belle Company, quoi de plus logique que recruter un Youtuber précédé par sa colossale popularité ? Surtout quand celui-ci va peut-être permettre au film d'élargir considérablement son audience. Pas plus tard qu'avant-hier, Ratchet était ainsi propulsé parmi les plus fortes tendances Twitter du moment.
Il est fort probable qu'une partie de la jeune génération actuelle découvre l'univers Ratchet & Clank grâce à Squeezie, John Rachid et consors. Est-ce un mal ? Nous ne le pensons pas. Forcément, habitués et puristes que nous sommes, nous ne pouvons nier l'amertume et les regrets éprouvés face au dédain absolu du cast français original, celui des jeux...
... mais nous ne pouvons nier non plus la qualité obtenue par le nouveau cast, sélectionné spécifiquement pour le film, car le fait est qu'il est de qualité, de grande qualité même, si l'on daigne s'attarder sur les performances des comédiens professionnels que sont Patrick Poivey (Bruce Willis), Alain Dorval (Sylvester Stallone), Christophe Lemoine (Cartman de South Park), Bernard Alane (Shen de Kung-Fu Panda 2), ou encore Xavier Fanion (Daxter de Jak & Daxter).
Tous s'approprient leurs rôles respectifs avec fougue et talent, suivant une envie palpable de coller au plus près aux tonalités des voix américaines, et par extension, aux voix françaises originales.
P.Poivey convie à merveille le côté maladroit et simplet du capitaine Qwark. B.Alane s'en donne à cœur joie dans la peau du tyrannique et désopilant Drek, brillamment rejoint par C.Lemoine, qui incarne un Nefarious tout aussi machiavélique et expressif que ce que l'on pouvait souhaiter.
X.Fanion, de son côté, s'en sort avec les honneurs dans le rôle du petit Clank, bien qu'il ne puisse en toute franchise remplacer l'inimitable Martial Le Minoux.
Après tout, nous n'en attendions pas moins de la part de tels comédiens de renommée.
La plus belle surprise, n'en déplaise à ses détracteurs, vient au final de mister Squeezie, qui démontre une aisance surprenante en tant que jeune lombax rongé par la solitude et en quête d'aventure. Nous craignions la faute irréparable, mais il n'en n'est rien, bien au contraire. Nous l'affirmons haut et fort, il fait un très bon Ratchet.
Pourquoi ? Comment ? Tout d'abord parce qu'il s'agit ici de la performance de Lucas Hauchard, et non de Squeezie. Oui, la nuance est importante : pas de cris sur-excités, pas de fausse route dans les aiguës, non, un timbre de voix plus posé et profond, qui colle parfaitement à Ratchet. On retrouve bien un petit "Alleeez" ici et là, mais rien qui ne vienne dénaturer le personnage.
Lucas.H ne surjoue à aucun moment, et prouve dès les premières minutes qu'il a assimilé son rôle avec une justesse remarquable, toujours dans le ton.
On se doute que derrière cette prestation se cache une direction pertinente de la part d'AGM Factory, studio en charge du doublage, mais cela n'enlève en rien à son mérite.
Celui sur qui les gens aiment tant cracher aura finalement su convaincre et agréablement surprendre la majorité des personnes avec qui l'on aura pu discuter à la sortie de la séance. C'est pourquoi, nous vous encourageons à ne pas vous figer sur des à-prioris radicaux, et à laisser une chance à la version française du film à sa sortie.
Suite sur le site encore une fois : http://www.ratchet-galaxy.com/news-960.php
Les noms et rôles d'une partie du cast français
Rôles principaux :
- Lucas Hauchard (Squeezie) : Ratchet
- Xavier Fanion : Clank
- Patrick Poivey : Qwark
- Bernard Alane : Drek
- Christophe Lemoine : Nefarious
Rôles secondaires :
- Antoine Tomé : Grimroth
- Alain Dorval : Victor
- John Rachid : Brax
- Kevin Tran (Le Rire Jaune) : Z
- Nikos Aliagas : Nikas Aliagos (aka Dallas)
En Conclusion :
C'est bien simple, on tient enfin là une très bonne adaptation cinématographique d'un jeu vidéo, et rien que cela, c'est déjà un grand pas en avant pour ces deux industries que tout rassemble et oppose à la fois.
De par la supervision et le soin apportés au projet par Insomniac Games, et le respect profond de Rainmaker pour cet univers et les codes qui le définissent, couplés à une réelle envie de proposer une expérience Ratchet & Clank authentique, le premier long-métrage de nos deux héros intergalactiques remplit pleinement son pari.
Une réussite d'autant plus louable qu'elle est issue d'une production à faible budget, qui s'est malgré tout donnée les moyens d'accomplir son ultime objectif : démontrer que la transposition d'un jeu vidéo dans le monde impitoyable et ultra-concurrentiel du cinéma est bel et bien possible, sans sacrifier l'âme et l'essence même de l’œuvre originale, lorsque l'on accorde un certain contrôle aux créateurs initiaux et que les artistes et producteurs en charge du projet prennent la peine de comprendre avec intelligence ce qui caractérise les spécificités de la dite oeuvre et des deux médiums qu'elle souhaite investir en parallèle.
Le film Ratchet & Clank est non seulement une véritable lettre d'amour aux fans de la saga, mais également une formidable porte d'entrée pour un public non-initié qui, on l'espère, saura tomber sous le charme, celui-là même qui avait suscité il y a bientôt 15 ans de cela un émerveillement indescriptible en notre cœur d'enfant.