D'abord veuillez lancer l'OST ci-dessous avant de découvrir dans quoi vous mettrez les pieds:
Tout d'abord, j'en suis qu'à l'épisode 6/12, mais mon avis ne concerne ni le scénario ni l'ensemble de l'oeuvre (oubliez blood+, ça n'a rien à voir).
Je veux juste vous donner envie de choper l'anime de suite et de vous immerger dans cette ambiance rarement véhiculée par une oeuvre jap. Voici 5 points uniques qui devront soit attiser votre curiosité, soit vous repousser:
- Un village à l'ambiance Shiki(l'anime) le jour et Siren(le jeu) la nuit. C'est bien simple, on a l'impression de mort ambiante qui nous colle à la peau constamment. Il n'y a personne, sauf quand il faut des morts. On dirait presque un purgatoire ésotérique.
- Des ennemis toujours plus fort, toujours plus violents, toujours plus gros et résistant à la Gantz (même dans le design). Entendez par là qu'ils n'ont vraiment, mais vraiment rien à commun entre eux à part le fait d'avoir des hectolitres de sang dans la bidoche.
- Des combats et des scènes de massacres dans la lignée d'un Berserk (Saya se fait démolir dans tous les combats de la même façon que Guts). C'est à dire sans concession aucune (gore à l'extrême du niveau d'un Terraformars) pour l'importance du personnage visé, qu'il soit proche ou non de Saya(l'héroïne). D'ailleurs au début le schéma et l'arrivée des combats est le même que celui d'Evangelion avec les attaques d'anges (c'est un compliment).
- Une OST et une narration ultra mystérieuse. Elles sont complètement pesantes même dans les combats. Mon dieu qu'est ce que je surkiffe quand "..." commence ses petits monologues avec comme fond musical l'OST ci-dessus sous fond de fioles bizarre remplis de sang...Mon coeur bat à 100 à l'heure tellement ça tue!!!
-Saya, belle et extrêmement dangereuse. En combat, elle ne flanche jamais, même quand les victimes tombent les unes après les autres devant ses yeux, elle ne perd jamais sa concentration(on dirait une machine). Hors combat elle est une source de bienvaillance infinie. Cette dualité entre chaleur et froideur extrême de la personnalité, je ne l'ai vu que dans Dexter... De la série Dexter bien évidemment.
Pour finir, voici l'opening... Ne vous y tromper pas, plus les épisodes avanceront, et plus vous tiendrez vos tripes devant l'horreur des situations.
ps: si vous avez vu le film blood et que vous avez été déçu par la série blood+, sa saya pleurnicheuse et sa qualité en dent de scie, sautez à pied joint dans blood-C (et ensuite le film Blood-C the last ark)!
Un article du blog "huffingtonpost". Après, qui l'a édité à la base? Ça personne ne le sait... C'est comme ça avec les news dites "people".
PHOTOSHOP - Vous vous souvenez peut-être de l'expérience de la journaliste américaine Esther Konig. “ Rendez-moi belle” avait-elle demandé à des experts de la retouche photographique à travers le monde. Les résultats de son projet Avant/Après étaient étonnants. Une vingtaine d'images, et autant ,de visions différentes de la beauté au féminin. Structure du visage, coiffure, maquillage, vêtements, autant de critères qui varient drastiquement d'un pays à l'autre Mais que se passe-t-il quand la même expérience est menée par une femme métisse ?
Priscilla Yuki Wilson est également américaine, mais avec une mère japonaise et un père noir, elle a passé sa vie à se demander “qui suis-je?”. “J'étais tiraillée entre deux cultures, entre ma mère qui me disait de mettre de l'écran solaire pour ne pas brunir, et mon père qui me disait que je ne serai jamais blanche” raconte-t-elle sur son blog. Après avoir vu l'expérience d'Ester Honig, Priscilla décide elle aussi d'entrer en contact avec des professionnels de la retouche photo à travers le monde, pour voir comment ils percevaient la beauté des femmes métisses.
(La photo que Priscilla Yuki Wilson a envoyé à 18 professionnels de la retouche photo.)
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Vietnam
India
Mexico
USA
USA 2
USA 3( Oh mon dieu )
United Kingdom
The Netherlands
Switzerland
Sri Lanka
Slovenia
Singapore
Algeria
Macedonia
Macedonia 2
Portugal
Montenegro
Israel
European Union
Brazil
Albania
“Un défi même pour Photoshop”
Sa réponse est sans appel : il n'existe pas vraiment de standards de beauté pour les femmes qui possèdent des origines mixtes. Une plus grande liberté ? “Non, simplement ils ne savaient pas quoi faire de moi” constate-t-elle. “Je vis dans une société qui ne s'est toujours pas adapté à mon type de visage. On me renvoie toujours le message selon lequel avoir la peau claire c'est mieux, et que les cheveux lisses sont plus attirants. Comme si on niait totalement que les filles comme moi existent.”
De fait, les retoucheurs photos semblent avoir hésité devant son cliché. “En comparaison avec les photos d'Esther Honig, où son visage est devenu une toile permettant de projeter près d'une douzaine de standards beauté différents, je me suis rendue compte que mon apparence représentait un défi même pour Photoshop. En tant que femme avec des origines mixtes, je ne correspond tout simplement à aucun des standards de la beauté”. Un mal pour un bien?