Une bonne video ne fait pas un bon jeu. Une mauvaise video ne fait pas non plus un mauvais jeu mais, à défaut, peut permettre de passer un bon moment en se poilant bien comme il faut. Morceaux choisis!
L'intro française de Legend of foresia (Blaze and Blade).
Si le dessin animé en lui même n'est pas mauvais, loin de là, le doublage est ridicule, pas calé, et surtout les étonnements au milieu ressemblent fortement à un orgasme collectif lors d'une partouze!
Culte, tout simplement (un doublage au niveau du jeu, remarque...)!
Legend of foresia (Blaze and Blade)
Etonnant de voir que ce souvent les mauvais jeux qui ont souvent les mauvaises intros...
La victime est cette fois-ci Virtual hydlide, le daubique action-rpg de sega sorti dans les premières heures de la saturn.
Un savoureux mélange de synthèse de qualité ridicule et de video servie par des acteurs dignes des pires films pornos italiens.
A consommer sans modération!
Sega Saturn - Virtual Hydlide Opening Ending
Quand Adol décide de pointer son nez sur super famicom, il voit les choses en grand.
Un zoom fantastique pour débuter, une mise en scène et des dialogues savoureux. Un design choc en quelques occasions, que du bon!
Le clou du spectacle restant l'attaque du loup sur la fin.
Savoureux...
Ys III: Wanderers from Ys - Opening
Romance of the three kingdom, c'est le genre de jeu qu'on aime si on est fan des ambiances TRES japonaises.
Ce quatrième volet ne déroge pas à la règle, et son intro fait sentir le gros budget derrière tout ça.
Si vous aimez les chevaliers qui coupent le vent à l'épée, ne manquez pas ce superbe passage vers la fin.
Sublime.
Romance of the Three Kingdoms IV [Intro] (Sony Playstation)
Konami s'est essayé au phylosophic-rpg.
Un résultat hélas peu concluant, heureusement sauvé par un doublage d'une qualité supérieure. Si vous avez une dissertation à écrire sur les hommes et la religion, cette vidéo est faite pour vous.
"What is a man?".
Epique!
Castlevania: Symphony Of The Night
Quand la série Shining décide de passer sur saturn, il y a un petit couac.
D'après de sombres rumeurs, le fondateur des legos auraient lui même supervisé la technique, tandis que le staff des films Freddy aurait travaillé à créer une ambiance qui fait peur. La scène finale sur le lit vaut son pesant de cacahuètes.
Déconseillé au moins de 10 ans... et aux autres.
Sega Saturn - Shining Wisdom Intro (HD)
Square, ce sont les dieux incontestés des scènes cinématiques.
Pourtant, sur leur impressionnant CV, on oublie souvent leur chef d'oeuvre: l'intro de final fantasy 4 sur playstation. Une animation d'une souplesse rare, des explosions s'intégrant parfaitement aux décors, et une modélisation de Palom et Porom venue du futur.
On n'oubliera pas aussi la séquence finale pleine de poésie.
Tout ce qu'il manquait à la version super famicom pour devenir un mythe, en somme.
Final Fantasy 4 CG Opening
Certains n'aiment pas Phantasy Star 3. Ils ont le droit.
Mais force est de constater que Sega avait mis le paquet pour son lancement, en nous gratifiant d'une pub qui ne laissera personne indifférent.
A se demander pourquoi le jeu n'est pas aussi célèbre que FF7 de nos jours.
Cet article sera composé exclusivement de propos tirés de sites spécialisés qui maîtrisent largement mieux le sujet que moi. J'ai juste adoré le film et la nouvelle direction prise par DC en général.
Petit rappel si besoin est, le nouveau film animé de DC Comics reprendra la trame de Justice League : Origin (ou Justice League : Aux origines dans l'hexagone et disponible chez Urban Comics), écrit par Geoff Johns et dessiné par Jim Lee et Scott Williams, premier arc de l'équipe dans l'univers des New 52. Il s'agit donc de la première apparition à l'écran de la nouvelle génération des héros DC.
La grande équipe au complet!
Justice League : War est un film important pour DC Entertainment et cela pour plusieurs raisons. La première c’est qu’il fait entrer le département animation du géant dans une nouvelle ère, celle des New 52 en version qui bouge. C’est aussi et surtout le retour d’un univers partagé que l’on n’avait pas vu depuis longtemps puisque même si certaines histoires seront auto-suffisantes, il y aura un semblant de continuité entre la majorité d’entre eux. Est-ce là une façon pour DC de tester ce modèle avant de l’appliquer sur grand écran ? Peu importe en fait, le plus important étant que le film est enfin là (version digitale) et de savoir s’il tient toutes ses promesses.
Adieu les slips, et bienvenu aux muscles(y'en avait pas assez!)
Pour ceux qui ne le savent pas encore, Justice League : War est l’adaptation de l’arc Justice League : Les Origines écrit par Geoff Johns et dessiné par Jim Lee et raconte simplement comment les héros qui composent la Justice League sont venus à travailler ensemble et créer cette équipe hors norme. Comme toujours, il s’agit d’une adaptation et si d’une manière générale le film reste fidèle au matériel d’origine, celui-ci prend bien évidemment quelques libertés de-ci de-là. Ainsi, Aquaman est totalement absent du film puisqu’il est remplacé par Shazam en tant que membre fondateur de la Justice League. On pourra pester autant que l’on veut sur ce choix mais très honnêtement Shazam fait largement l’affaire et on ne perd pas forcément au change. Le personnage apporte une petite fraicheur juvénile plutôt bien sentie.
Ultra stylé, mais aussi ultra immature
D’ailleurs, l’ensemble des personnages sonne exactement comme leur contrepartie de papier puisque Superman est un beau prétentieux bien trop sûr de lui
Il est beau, il est fort, il est rapide, il est indestructible... Et il le sait...
Green Lantern a un problème niveau Q.I. et devient l’une des cautions humour du film
Green lantern, complétement fou et constamment en compétition avec les autres
Flash est sans aucun doute le plus mature et posé de tous tandis que Wonder Woman sonne comme une féministe un peu revêche qui parle comme un chevalier et devient de fait l’anachronique qui doit s’adapter. Cyborg est sans doute le plus sérieux de tous avec Batman mais n’arrive pas à gérer les problèmes qu’il rencontre avec son père, un peu pleurnicheur sur les bords, et enfin le Batman qui reste fidèle à lui-même.
Belle et naïve...
... Mais aussi violente et létale!
On passera sur les modifications de costume de Wonder Woman et Green Lantern qui en soi ne sont pas importantes, pour se concentrer sur le dynamisme et la puissance des affrontements. Ca explose dans tous les sens, les immeubles sont traversés par centaines comme une lame chaude dans du beurre, les effets spéciaux sont légions et les dommages collatéraux incalculables. Justice League : War est très cinématographique dans sa construction et pourrait être une très bonne base pour un film Justice League au cinéma.
DarkSeid n'est vraiment pas le genre d'adversaire à prendre à la légère. Il est le croisement entre hulk et une armure en adamantium.
Là où j’ai été agréablement surpris c’est au niveau des personnages. Flashpoint Paradox nous avait servi des espèces de bodybuilders gonflés au hormones aux têtes microscopiques et tous identiques. Ici, même si c’est toujours un peu abusé, les corps sont plus variés qu’à l’accoutumée. Ainsi Superman est largement plus large que tout le reste de la bande, plus large également même si Cyborg n’est pas loin. Batman reste plus réaliste tout comme Flash et Green Lantern. Wonder Woman reste naturelle elle aussi. C’est très agréable d’avoir des variations plus marqués à ce niveau là, apportant ainsi une vraie reconnaissance physique au delà du simple costume. Pareil pour les visages !
Les designs sont magnifiques! Surtout celui de superman!
Il ne faut pas chercher la subtilité, Justice League : War est un film d’animation de très bonne facture et très bourrin. Si vous voulez voir vos héros préférés casser du monstre vous allez indéniablement vous régaler. Les autres, prenez pour ce que c’est, un très bon divertissement qui trouvera sa place dans votre collection et qui sonne le début d’une nouvelle aventure pour DC et Warner. Combats dynamiques et puissants, personnages classes et un peu d’humour font de ce film une belle addition au catalogue de films animés et il serait dommage de passer à côté. Petit conseil, ne vous arrêtez pas dès que le générique (superbe soit dit en passant) de fin commence !