Voici un supercut (sorte de mégamix) de TOUTES les apparition de l'observateur au cours des 4 premières saisons de Fringe. Vous l'aurez compris, je suis volontairement évasif concernant le pourquoi du comment et la mythologie de ce personnage et aussi ma façon aussi singulière de le décrire
Franchement, faire ce genre d'apparition sur la totalité des épisodes est vraiment hallucinant! On sent bien le besoin de donner une identité propre à chaque itération de cette série! Perso, j'adore!!!!!
ps: marre du love! Foutez moi ça dehors!!!J'en ai déjà bavé avec smallville(9 saisons d'affilé pour l'instant) alors arrêtez!!!!!!!!!!!!
"Affichant une première partie laborieuse nullement représentative du reste de l'aventure, Resident Evil 6 se montre étonnamment généreux tout en se payant le luxe de s'amuser au détriment des autres épisodes. Parsemé de clins d'oeil à la série et au cinéma fantastique des années 80, 90 et 2000, tout en étant cantonné dans la vision coopérative que Capcom se fait désormais de «l'actioner / horror», cet opus franchit néanmoins une étape significative dans l'évolution de son gameplay. De plus, entre son excellente durée de vie et quelques passages très inspirés, il peut se targuer d'avoir voulu parler à un plus large public en piochant dans les épisodes passés tout en dynamisant son récit via des éléments plus actuels. De fait, si les différents binômes ne sont pas aussi intéressants les uns que les autres et que la technique n'est pas toujours optimale, Resident Evil 6 a su voir plus loin que Resident Evil 5. Si on pourra déplorer qu'il ne mette pas dans le mille à chaque fois, il a au moins le mérite de ne pas verser dans un immobilisme gênant. En somme, si on attend encore le Resident qui mettra tout le monde d'accord, ce segment demeure incontestablement un morceau de choix."
"Resident Evil 6 a une chance inouïe, celle d'avoir un nom, un historique qui nous amènent à nous attacher à lui. Je ne me leurre pas : si j'ai apprécié, et c'est le cas, sincèrement, cela relève du "fanboyisme". Le plaisir de retrouver Chris, Leon, Ada, d'entendre à nouveau le nom d'Umbrella, de buter des zombies et des streums de toutes sortes, le contenu assez extraordinaire : voilà ce qui m'a permis de parcourir l'ensemble sans décrocher. Reste que, face à d'autres productions du genre, il n'y a pas photo. Ce Resident, bien que meilleur que le cinquième, apparaît daté, décevant à plus d'un titre. Mais peut-être que, comme moi, l'amour vous rendra aveugle. Après tout, on pardonne les pires ignominies à un Deadly Premonition. Peut-être qu'au contraire, le nom Resident Evil ne vous suffira pas et que ses défauts vous repousseront. Une chose est sûre : cet épisode va aussi diviser. Personnellement, je préférais quand la série faisait l'unanimité..."
Voici une petite vidéo dénichée par Bloody Seb sur gameblog(rendre à césar ce qui appartient à césar).
"Si vous vous baladez sur Tuxboard, vous avez déjà dû le voir sinon, je le poste ici.
C'est vraiment la pire scène de mort que j'ai vu, pire que Marion Cotillard (pourtant il y a du niveau). Pour info, c'est extrait de Radical Ending 2."
Voilà, j'suis tombé dessus par hasard et c'est une spéciale dédicace à tous ceux qui sont accros aux "hots wallpapers", "sexy avatar", "sensuals dreams", et "explicite scene" et qui marche avec 2 briques devant les yeux en guise de lunette de soleil Y'a pas que les bombasses dans la vie
Les mondes de Ralph. J'avais vu le teaser y'a pas si longtemps et là je me suis maté la première(1.5 plutôt) bande annonce et y'a pas à dire...C'est un film pour nous! Voici quelque détails wiki:
Le 25 juin 2012, Disney Interactive et Activision annoncent leur collaboration pour les jeux issus du film Les Mondes de Ralph
Sur la première bande annonce du film, on peut voir durant la thérapie du héros, des personnages très connus du monde du jeu vidéo comme Bowser le grand adversaire de Mario, Zangief et M. Bison de Street Fighter ou encore Eggman de la série Sonic The Hedgehog mais aussi le petit fantôme orange, Clyde du célèbre Pac-Man.
Les Mondes de Ralph narrent les aventures d'un personnage de jeu vidéo. Après 30 ans de bons et loyaux services dans sa borne d'arcade, Ralph a une baisse de moral. En tant que méchant du jeu, il n'est pas apprécié de ses collègues, de ses victimes et du héros, ni même des joueurs qui rivalisent d'adresse pour lui faire mordre la poussière. Après avoir tenté une thérapie de groupe, le gentil méchant décide de se trouver un nouveau coin de paradis virtuel pour mener la vie qu'il souhaite et passer du bon côté de la barrière.