[Test évidemment garanti sans spoiler]
Qu’est-ce que
Death Stranding, déjà ? Une question qui a trotté dans la tête des intéressés pendant une bonne partie de la communication, Hideo Kojima ayant plus que jamais l’art et la manière d’attiser autant la curiosité que l’impatience, mais aussi le flou autour d’un projet pas comme les autres. 2015 fut une année marquante dans l’histoire du jeu vidéo japonais, celle où l’on a en l’espace de quelques semaines appris l’annulation malheureuse de
Silent Hills, l’embrouille grimpante entre le producteur et le PDG de
Konami, sans se rendre compte sur le coup que tout n’était que prémices à un divorce au préalable surprenant, mais quelque part attendu. Entre une firme qui plaçait l’essentiel de ses billes sur la rentabilité facile (le marché du mobile donc) et Hideo Kojima qui souhaitait toujours plus d’ambition dans ses projets à longueur, jusqu’à s’offrir un tout nouveau moteur, la mésentente ne pouvait être que palpable et tant pis si les enfants sont les premiers à payer le prix d’une séparation.
Metal Gear est resté chez
Konami, sans droit de visite, et Kojima est parti se reconstruire une famille.
Et c’est là que se trouve peut-être la première surprise autour de
Death Stranding. Bien entendu, on peut penser que ce titre a commencé à prendre forme dans l’esprit de son créateur bien avant le début de la reconstruction fin 2015. Bien entendu, on sait que le nouveau «
Kojima Productions » a bien été aidé pour reprendre le train en marche, particulièrement par
Sony et
Guerilla qui a apporté son moteur frais et un soutien logistique. Mais tout de même. Comment ne pas être surpris que l’homme qui a accumulé des retards dans tous ses
Metal Gear au long de sa carrière a pu pondre une licence neuve et suffisamment ambitieuse moins de quatre ans après la création de son nouveau studio ? Une meilleure gestion de chantier et des effectifs ? L’envie de ne pas énerver son nouveau mécène ? Entre autres… Mais pas que.
Bon on va de suite entrer dans le vif du sujet et répondre à la grande interrogation de chacun concernant le gameplay ou plus exactement le système de progression. Histoire de bien comprendre où vous mettez le pied. Une base vous propose de ramener un colis à x endroit, vous prenez le colis, allez à l’endroit prévu, ce qui va créer un lien avec le réseau si c’est la première fois que vous rencontrez le représentant sur place. Si la base atteinte est secondaire, la personne ne vous proposera que des commandes annexes. Si elle est d’importance, elle vous offrira à coup sûr une commande qui déverrouillera l’accès à une autre base. Et ainsi de suite pour progresser de plus en plus loin sur la carte (vers l’ouest). Et entre les bases, trois types d’obstacle : la topographique des lieux, des mecs chiants qui veulent vous piquer vos colis, et des créatures qui veulent vous happer dans la poix. Voilà, en quelques lignes, je viens de vous expliquer ce qu’était
Death Stranding en terme de « jeu », ou du moins les bases.
Alors j’en vois balancer « Attends ? Tout ça pour ça ? ». Oui, d’une certaine façon. Mais on ne peut en vouloir à Kojima d’avoir entretenu tout le mystère sur le concept et ce pour deux raisons. La première, c’est une question de marketing. Aller dans un salon et dire que ton nouveau projet repose sur l’apologie du Fedex, c’est quand même assez compliqué, pour n’importe quel développeur, et peut-être plus encore pour l’homme derrière MGS. Pourtant, comment ne pas dire qu’il y a une certaine forme d’audace derrière tout cela ? Cela fait maintenant des années que le principe du Fedex est considéré comme un des défauts majeurs du jeu en monde ouvert, au point que chacun essaye de changer la tendance ou au moins la maquiller, surtout depuis que
The Witcher 3 est venu poser quelques leçons à ce sujet, et voilà qu’un des plus grands créateurs japonais débarque avec un jeu qui ne va pas seulement appliquer ce système, mais carrément tout faire tourner autour de lui. Osons le dire : c’est couillu.
La deuxième raison, et c’est peut-être techniquement tout autant valable pour la communication, c’est que
Death Stranding est une expérience qui doit se vivre en profondeur pour être apprécié, et qu’il était difficile de décrire le ressenti sur une simple démo en plein milieu d’un salon. Le concept semble odieusement banal dites-vous. Et pourtant, il est capable de vous retenir plusieurs dizaines d’heures. Le secret va donc venir non pas du fond mais de la forme, et l’on peut parler de plusieurs aspects, ceux qui vont véritablement constituer l’expérience du jeu. Le premier notamment, c’est que même si les bases décrites vont globalement rester les mêmes, c’est la manière de les gérer qui va évoluer sur la longueur.
Bien entendu, il y a la simple découverte préalable, le face à face avec les premières menaces, et tout simplement comme on l’a dit la topographique. Dans
Death Stranding, un simple petit fleuve ne s’arpente pas de la même manière que dans les autres jeux, de même qu’une pente. Plus vous portez de matos, plus il est difficile de vous déplacer et il faut à la fois gérer l’essoufflement, réclamant quelques petites pauses (ou de boire du Monsters #petitepub), voir en cas de véritable fatigue penser à vous reposer. Mais il y a aussi votre équipement. Les bottes s’usent, chaque équipement standard pour vous aider à vous déplacer (dont les fondamentaux échelle et corde) pèsent du poids sur votre épaule en plus que ce que vous devez livrer. Et vous pouvez ajouter à cela que non seulement une chute abîme le matériel, mais la pluie (constamment acide dans ce jeu) également. Donc sur les longues distances, vous pouvez prévoir des sprays spéciaux pour rétablir au moins les contenants, mais c’est encore du poids ajouté. Bref, à un moment, vous avez la sensation que le jeu a véritablement envie de vous pourrir la vie. Mais ça, c’est au début.
Car la grande force de
Death Stranding vient de sa capacité à se renouveler à de nombreuses reprises. En fait, au moment où l’on voit arriver une pointe d’ennui, c’est là que nous est offert une potentielle facilité, comme un nouveau type d’équipement, du genre le fameux « gun lasso » pour emprisonner les voleurs de colis. Une fois ce truc entre nos mais, on n’appréhende plus un camp ennemi de la même façon. Donc on continue de progresser, potentiel ennui qui revient, et hop, voilà encore autre chose entre nos mains. Un exosquelette pour se déplacer plus vite ou porter davantage ? La possibilité de construire un pont ? Un abri de fortune qui répare automatiquement nos contenants en passant dessous ? Un véhicule ? Oui, car plus encore que la fameuse moto déjà vu dans les trailers, le simple fait de voler un camion ennemi procure une incroyable joie, où l’on appuie sur le champignon pour débarquer à la première base du coin, hurlant au représentant « Donne tout ce que t’as ! » afin de charger le cametare au maximum. On est heureux, du moins jusqu’à ce qu’on fasse preuve d’un peu trop d’optimisme et qu’on se retrouve en rade sans possibilité de recharger le véhicule, au milieu de nulle part avec 2000 kilos de matos. Là normalement, on pleure un peu.

Et tout cela n’est qu’une partie des choses à débloquer. Car en plus des choses offertes obligatoirement au fur et à mesure de l’avancée, il y a également tout ce qui tient du bonus mais qui est le nerf des livraisons facultatives. Comme on a dit plus haut, chaque base a ses livraisons que l’on pourrait qualifier de « principales » (donc les choses qui ont généralement de l’importance sur l’histoire et la progression), et les secondaires, cela incluant ce qu’on trouve parfois par terre sur le chemin. Accomplir les tâches principales d’une base vous offrira au moins deux étoiles sur cinq (c’est le rang global), le reste demandant donc des services annexes pour gratter des « likes » (oui, c’est comme ça que se nomme l’expérience, même si c’est justifié) et obtenir de nouvelles choses à chaque palier, donc généralement des versions améliorées de l’équipement disponible (et c’est hautement utile), des skins bien plus accessoires, mais aussi le droit de se reposer dans la dite base. Chose assez importante durant un temps avant que vous puissiez vous même construire vos propres abris.
Tout le concept va tourner autour de cette évolution et ce qui paraissait difficile au départ va se transformer parfois en promenade de santé. C’est notamment le cas lorsque vous pourrez vous attarder à la construction de route, puis plus tard les tyroliennes qui semblent au départ assez osef mais qui vont en fait totalement vous changer la vie quand vous saurez les utiliser. Mais au milieu de tout cela va intervenir la « deuxième notion » qui fait de
Death Stranding ce qu’il est : le online. Car d’ailleurs autant le dire de suite pour briser un tabou : même s’il s’agit d’une expérience purement solo dans le sens premier du terme, vous allez perdre énormément d’intérêt (et je pèse mes mots) à y jouer off-line, en plus d’augmenter artificiellement la difficulté.
Death Stranding est totalement conçu pour être une expérience ultra-connectée, c’était le souhait de Kojima, et on va vous expliquer pourquoi.
Vous connaissez le principe de
Dark Souls et quelques associés avec les messages laissés par un joueur et visibles par d’autres ? Eh bien là c’est le même concept, mais puissance 1000. Car on a les panneaux rigolos mais pas que. Dans
Death Stranding, vous êtes constamment connectés à d’autres joueurs, et chacune des choses qu’ils vont faire peut être visibles dans votre monde. Untel a posé une échelle à x endroit ou construit un abri ? Il peut être susceptible d’apparaître dans votre monde et à jamais (notez que vous pouvez en supprimer certains si vous le souhaitez). Un colis non livré par un autre ? Vous pourrez le trouver au sol s’il a laissé à cet endroit, ou dans un « casier », autant ceux de chaque base et que ceux que l’on peut créer sur le chemin, et terminer ensuite la mission vous-même. Casier qui peuvent même proposer armes, équipement et véhicules laissés par la communauté. Et bien entendu, l’inverse est valable lorsque vous disposerez de l’équipement à droite à gauche le long de l’aventure. Pour chaque chose à l’écran, il sera disponible de poser un like pour le concerné, voire même plusieurs (vous pouvez en placer autant que souhaité pendant quelques secondes). Et à quoi ça sert ? A rien du tout, et c’est en fait ça qui est génial.
On sent que c’est voulu par Hideo Kojima qui a une certaine habitude à briser le quatrième mur : comme dans notre monde, les likes et la reconnaissance globale sont omniprésents sur les réseaux sociaux, alors que l’utilité de votre compteur de pouces bleus est très relatif. Dans Death Stranding, c’est pareil. Multiplier les likes reçus (quasiment 600.000 au moment où j’ai éteint la dernière fois le jeu) n’a aucune utilité en soi hormis… la simple sensation d’avoir rendu service. Et l’expérience fonctionne parfaitement bien sur ce point. Débarquer de loin chargé de matos sur les épaules et voir une échelle laissée par un joueur pour éviter de faire un dangereux et énorme détour, ça donne envie de bourriner le bouton de likes comme si vous étiez dans un Mario Party. Et inversement, créé un petit pont de fortune (avec une pauvre échelle) pour traverser plus rapidement un fleuve, c’est utile pour vous. Mais revenir le lendemain dans la partie et voir que votre petite construction a reçu un paquet de likes, c’est savoir que vous avez rendu service à des gens que vous ne verrez pourtant jamais. Et… il faut avouer qu’il y a quelque chose de satisfaisant qui ressort de tout cela.

Et tout cela s’articule parfaitement avec le thème du jeu et le scénario. Vous êtes seul sans l’être vraiment, et vos actes permettent de créer des liens avec la communauté, encore plus quand vous répondez à des demandes directement faites par d’autres joueurs, où l’on sent qu’untel s’est déconnecté de sa partie car coincé dans sa progression à un recoin de la carte, attendant une livraison d’armes ou de matériel pour lui faciliter les choses lorsqu’il reprendra. Bonheur également de voir à la reprise de partie que le nombre de matériaux requis pour construire un morceau de route à tel endroit est soudainement moindre car quelqu’un avec qui vous êtes liés (vous pouvez le faire avec quelques dizaines de personnes) a bien bosser dans son monde, et ça a une répercussion dans le votre. On n’a jamais autant eu l’impression d’être aidé alors qu’on est seul au monde, et c’est sur cela que
Death Stranding va réussir son pari d’être une expérience différente de ce que l’on a vu jusqu’à présent.
Mais est-ce que ça va plaire à la masse ? Nop. Aux fans ? Pas forcément, ou en tout cas pas à tous. Car déjà on va balayer le principe du « J’attends le jeu car je suis fan de Kojima » car 95 % de ceux qui affirment cela n’ont jamais touché à
Snatcher et
Policenauts, en rappelant également qu’il n’était que producteur sur
Boktai et
Zone of the Enders. Donc pour la plupart, vous n’êtes pas réellement fans de Kojima mais de
MGS. Et
Death Stranding n’est pas
MGS. On en retrouve certains aspects, particulièrement dans la narration sur laquelle on va revenir plus bas, on a certes ce coté gameplay émergent de
The Phantom Pain vu les nombreux gadgets, mais c’est limite si ça s’arrête là. L’infiltration ? Réduite à sa plus simple expression : vous ne pouvez pas vous plaquer contre un mur, faire du bruit, siffler, porter des corps… Vous pouvez vous cacher, vous pouvez tenter d’assommer dans le dos (inutile une fois l’arme lasso) et vous aurez bien quelques gadgets pour détourner l’attention mais on sent que tout cela est secondaire au regard du cœur du jeu. Et pour ceux qui se posent encore la question : oui, les armes à feu sont majoritairement prohibées (contre les humains), ce qui peut-être frustrant mais parfaitement justifié dans le scénario, il faut le reconnaître.

Après, que Kojima souhaite s’adresser à une catégorie précise de joueurs, ceux qui veulent de l’originalité et une expérience différente, personne ne lui en voudra. Ce n’est pas parce que c’est un AAA qu’il faut impérativement toucher 10 millions d’intéressés. Mais pour autant, même lorsqu’on apprécie l’aventure, et ce fut mon cas, ce qui ressemblait à un édifice pendant plus de 30 heures a fini par prendre des allures de château de cartes. On le sentait face à quelques pointes de lassitude, qu’on répète sont constamment contrées par de nouveaux éléments de gameplay… sauf qu’à un moment, il n’y a plus de nouveaux éléments à fournir. En fait, une fois obtenu ce fameux système de tyrolienne qui permet en quelque sorte de concevoir des routes n’importe où sans passer par du bitume, on a atteint l’étape finale en terme de possibilités. Le reste n’est plus que du bonus et de l’amélioration et la motivation en prend un coup pour poursuivre les livraisons annexes, la faute à un manque de renouvellement des situations elles-même.
Donc à voir si certains souhaiteront relancer en post-game (via une astuce scénaristique) pour continuer leurs livraisons et pourquoi pas trouver des bases cachées (il y en a) et débloquer les fichiers restants du codex. Mais au moins, pour ce qui est de l’aventure principale, il y a évidemment le lien qui nous maintiendra jusqu’au bout : le scénario. Et là encore, si Kojima s’est montré très évasif pendant des mois, le synopsis se montre pourtant très simple à décrire. Nous sommes donc dans un futur très proche, quelques temps après que notre planète ait été frappé par un événement d’une ampleur aussi importante qu’inconnue dans son origine, détruisant en miettes aussi bien le numérique (le réseau, l’internet, tout ça…) que le physique : le simple fait de mourir peut enclencher l’équivalent d’une bombe ravageant tout aux alentours. Et il y en a eu des morts… laissant un monde en ruine et l’espèce humaine sur le point de disparaître.

Et quand un peuple s’est habitué aux miracles de la technologie pour se construire une vie davantage dans le numérique que le réel, au point de ne plus avoir besoin de sortir de chez soi pour se faire livrer tout et n’importe quoi, revenir au point de départ est difficile, et c’est là qu’interviennent les « Uber » d’une nouvelle ère, des sortes d’entreprise conçus pour rendre service aux gens tous séparés les uns des autres, donc seul boulot qui a encore de l’intérêt désormais. Et dans le « lot » (seulement deux entreprises sont finalement évoquées ici), il y a Bridge, celle qui appartient au gouvernement américain et dont la dernière Présidente en date va, à défaut de savoir comment contrer la fatalité, donner deux missions à l’un des plus grands spécialistes de la livraison (donc Sam, joué par Norman Reedus) : rallier pas à pas les USA de la cote est à la cote ouest pour pousser chaque communauté à valider le nouveau réseau afin de reconnecter tout le monde, mais aussi en profiter pour sauver Amélie, fille de cette même présidente, enlevée par un groupuscule terroriste pour des raisons que l’on ignore encore.
Et s’il faut reconnaître un truc, c’est que le casting démonte. Et encore heureux vu le ballet des stars. Car plus encore que la satisfaction de voir tel ou tel, chacun a le mérite d’avoir un truc à raconter et ça fait un bien fou dans cette époque où trop de jeux tournent encore aux PNJ randoms de voir un vrai travail de fond. Chacun est une réussite et le plupart de leur passif saura marquer le joueur, que ce soit Fragile (Léa Seydoux), Die-Hardman (Tommy Earl Jenkins), Mama (Margaret Qualley), Higgs (Troy Baker), avec une évidente mention pour Cliff (Madds Mikkelsen) même s’il met du temps à vraiment apparaître, Heartman (Nicolas Winding Refn) qui possède probablement les cinématiques qui sont le plus dans « l’humour Kojima », et enfin Deadman (Guillermo Del Toro) qu’on n’aurait d’ailleurs pas pensé être aussi présent dans le scénario. Et puis il y a notre Sam, qui aura besoin de nombreuses heures avant de pleinement s’affirmer, justifié encore une fois par le scénario, et peut-être aussi parce que Kojima a trop vu
The Walking Dead tant on sent que la psychologie et le ton sont calqués sur un certain Daryl Dixon.

« Alors, digne de MGS ? » Eh bien… difficile à dire. Sur cet aspect et dans la façon de travailler le casting, on pourrait dire oui même si l’on ne peut décemment comparer le travail d’un épisode par rapport à une saga qui en compte au moins une demi-douzaine. Coté « charisme », c’est le même topo et c’est le thème du jeu qui nivelle cet aspect. Un ancien soldat clope au bec, une sorte de pistolero ou un vampire partiront direct avec un bonus de classe quand on compare avec un livreur de colis et un informaticien. C’est de la logique. Et ce n’est pas pour rien que coté charisme, ceux qui sortent le plus du lot sont les méchants qui ont de grosses armes et qui ont vu autre chose que des ordinateurs, donc Higgs et Cliff. Et oui, Sam n’a pas une goutte de la prestance d’un Solid Snake, ou même de n’importe quel Snake quand on regarde bien, mais il est en même temps plus réaliste, et tout simplement plus humain.
Et pour rester dans la comparo car il faut apporter d’autres réponses aux questions posées, et toujours sans spoils : quid du rythme entre temps de jeu et cinématiques ? Disons que c’est tout simplement aléatoire. Quand on débute le jeu et qu’on joue réellement 20 minutes sur les deux premières heures, on sait que ça ne va pas plaire à certains, même si le jeu a forcément des choses à raconter pour poser les bases de son univers. En revanche, pour ce qui est de la suite découpée en chapitres (sans que ce ne soit aussi brutal que dans
MGSV), on a davantage l’impression que Kojima a voulu pousser un équilibre pour plaire à la fois au fan du précité que ceux qui adorent zieuter des cinématiques pendant de longues minutes. Car quand il y en a, elles peuvent être très longues, et on peut parfois entrer dans un tunnel narratif d’une bonne heure (voir plus vers la fin). Mais quand on joue, on peut également passer six heures sans être réellement interrompu. Tout dépend si vous foncez « tout droit » (et c’est déconseillé) ou si vous voulez prendre votre temps.
Ce mélange entre les cinématiques à outrance et l’école du gameplay fonctionne, bien mieux que dans
MGSV où l’on regrettait que de nombreuses séquences se soient retrouvés dans des cassettes audio, et mieux que dans
MGS4 qui blablatait souvent un peu trop sans avoir toujours quelque chose à dire. Qui plus est et c’est finalement le plus important : le scénario vaut le coup, et est plaisant à suivre. Certes, quelques rebondissements sont un poil téléphonés (ou alors Kojima ne sait plus comment cacher certains mystères) et on n’est pas dans une soudaine révolution mais c’est des personnages et de leur destin que le jeu tire toute sa force. Plus encore que de lever totalement le mystère sur le
Death Stranding et de savoir comment y remédier, ce qui peut être considéré ici comme le premier épisode (oui car il reste des questions) montre le vécu des gens face à cette tragédie, et comment certains s’adaptent à cette nouvelle ère.
Mais tout aurait été encore mieux SI on voyait des gens. En tout cas en dehors du casting 5 étoiles. Car c’est l’autre point qui justifie ce laps de temps entre l’annonce et la sortie : Kojima a dû malheureusement grignoter sur la forme et vous ne verrez quasiment personne en dehors des stars. C’est dit. Il y a les fameux secondaires sous forme d’hologrammes dont quelques guests, il y a les ennemis randoms voleurs de colis… et c’est tout. Même si les USA ne sont évidemment pas à l’échelle (très loin de là d’ailleurs), on a quand même un peu souvent l’impression que ce pays n’a plus que quelques dizaines d’habitants encore en vie. Tout est l’objet d’astuces techniques pour ne jamais montrer personne même quand il est censé y avoir du monde, mais le pire reste que c’est la même chose durant les cinématiques où, sortis encore une fois des stars, on ne voit jamais « monsieur ou madame tout le monde ». Et ça peut gêner.

Toutes ces petites choses prises ensemble empêcheront à mon sens Death Stranding d’atteindre le statut culte que l’on attendait, et d’être aussi marquant pour l’industrie que ne le furent les premiers
MGS. Et encore, je pourrais citer un chapitre 13 immonde à vivre en terme de mise en scène et de gameplay (un véritable non-sens, à croire qu’il a été effectué à l’arrache en fin de chantier) et surtout des boss qui sont non seulement en faible nombre mais aussi… Enfin parlons-en tiens. Le gloubi-boulga sombre que vous avez pu voir lors du TGS, c’est le genre de boss que l’on rencontre si vous vous laissez malencontreusement happé par les « échoués » (que l’on doit esquiver dans certaines zones en restant silencieux). Certains sont obligatoires, d’autres non. Mais ils s’affrontent tous de la même manière et exception faite du dernier, ils sont d’une facilité déconcertante. Je vais être honnête : je ne suis « mort » (pour ce que ça veut dire) qu’une seule fois durant tout le jeu. Il y a ensuite les boss scénarisés, mais il n’y en a que deux (et potentiellement un troisième mais difficile de le considérer comme tel). Sauf que l’un est une ode au bourrinage, tandis que l’autre (chapitre 9 de mémoire) est d’une telle nullité que j’ai laissé tomber la méthode imposée pour foncer constamment en zig zag afin de faire parler mes poings. Et ça a fonctionné. C’était sans nul doute l’affrontement majeur du jeu en statut de boss, mais c’est peut-être le pire dans l’histoire de Kojima. L’homme qui on rappelle était considéré un temps comme un maître dans l’originalité des affrontements.
Et pourtant j’ai adoré cette expérience qui m’a fait enchaîné des nuits blanches, il est vrai parce qu’il fallait rendre un papier dans les temps mais malgré tout, je pouvais tenir sans problème jusqu’à tôt le matin sans voir les heures passer. Le concept est cool, l’univers mis en place est cool, j’ai eu envie de lire chaque ligne du codex et des mails tant certaines choses étaient intéressantes (maintenant, je sais ce qu’est un Materpiscis, voyez ?), j’ai aimé dresser mes petits objectifs de livraison pour maximiser mes gains, j’ai aimé poser des routes pour me faciliter l’existence pour les prochains passages… Tout paraît banal à décrire, mais ce fut autre chose à vivre. Et même s’il y a des défauts, même si le jeu a failli totalement s’écrouler avec ce chapitre 13, le suivant a tout sauvé en terme de mise en scène et d’émotion, et on repart avec la sensation d’avoir vécu une belle expérience et, surtout, d’avoir joué à quelque chose de différent. Le pari est réussi, c’est l’essentiel.
"Le Père Fidalbion" a foutu 9.
Tu mettais ce jeu dans les mains de Gautoz ou Puyo, il avait 5 ou 6.
Super jeu donc.
Day One!!!
J'ai prévenu que ça allait diviser
jenicris
Pas de PS Plus nécessaire car ce n'est pas considéré comme du "vrai" multi.
Bordel 83 méta.
Soit un point de moins que Gears 5 et 3 de moins que Luigi's Mansion...
Ca divise pas mal d'un côté et d'un autre ça plaît. Mais une chose est sûr,le gameplay devient redondant...
ryoporterbridges Ils sont pas passé à côté le jeu divise et Tuni et Shanks si je me souvient bien l'avaient dit. Le tout reste subjectif,on aime ou pas. Moi perso MGS5 m'a plus frustré qu'autre chose,je verrais avec celui-ci.
Ce jeu va pas plaire à tout le monde quand je lis les tests
Ca baisse sur Metacritic on est à 81/100
Je pense pas que IGN soit passé à coté de quelque chose.
Le jeu a d'énormes qualité.
Et d'énormes défauts.
Chacun est légitime de voir le verre à moitié plein ou à moitié vide.
ryoporterbridges cte violence
C'est une blague ? t'as mis 10 ?
Punaise et moi qui pensait que c’était un pur jeu solo.
À tester quand même, mais c’est vraiment dommage.
Oui. Tu perds l'essence du jeu.
C'est une expérience basé narrativement sur la "connexion entre les gens", genre de chose qui se ressent directement dans la progression.
T'enlève ça... Bon je vais dire clairement que ma note aurait pas été la même.
edgar
C'est solo.
On verra manette en main.
Il est 8h30 un jour férié et t'es déjà à cran... Après je peux comprendre d'après Metac c'est actuellement son pire jeu et de loin
oenomaus sur Meta la série des MGV c'est :
MGSV : 93/100
MGSPW : 89/100
MGS4 : 94/100
MGS3 : 94/100
MGS2 : 96/100
MGS : 94/100
Donc non MGSV n'a pas vraiment divisé
PS+ obligatoire ?
C’est ça non ?
T'inquiète, j'ai direct fait le lien avec FFXV
shambala93
Nan
edgar
Elle n'est pas obligatoire.
Mais sans elle, ça peut devenir trèèèès frustrant.
Lis le test, je sais qu'il est long, mais j'explique pourquoi
L'expérience ne changera pas avec des millions de joueurs.
J'ai tenté d'étudier l’algorithme pas si simple à comprendre, et j'ai l'impression que t'es tout simplement instancié dans des mini-serveurs avec une centaine d'autres personnes au pif (mais qui semblent privilégier le pays où tu te trouves).
Ces personnes sont susceptibles d'être modifiées n'importe quand mais tu peux te "lier" à 20 d'entre eux (puis un peu plus ensuite) afin que leur création soit maintenu dans ton monde quoi qu'il arrive.
Je retiens que c'est pas parfait (normal), il y a quelques défauts très dérangeants (peu de gens croisés
shanks J'ai pas encore lu les coms sous le test donc ça peut être déjà été posé, tu l'as fait dans quel langue?
J'espère que ça se démocratisera avec le temps, et qu'on verra plus de jeux utiliser ce système. Ceci dit la redondance du gameplay m'inquiète malgré les améliorations qu'on recoit en cours de jeu.
Full FR.
Pour la bonne et simple raison que je savais à quoi m'attendre pour le doublage JP et US (vu les trailers), mais que la VF n'avait pas encore été diffusé (via le launch trailer) au moment où je jouais donc c'est elle que je souhaitais juger du coup.
Au final, on pourra dire que tous les doublages sont excellents
zabuza
La "facilité" est relative. Il y a quand même des modes de difficulté.
Mais c'est le thème qui compte.
Si ça ne serait pas plus facile en s'entraidant, ça briserait le message qui doit être passé.
Le jeu est conçu comme tel et c'est justement off-line que ce ne sera pas la "vraie" expérience.
Je le répète mais évitez de le faire en solo.
Niveau redondance, ça va en prendre un très sévère coup.
Et je le redis : le jeu comme le thème ne sont pas fait pour le off-line.
Shanks a répondu, c’est déjà ça.
Le concept peut être intéressant, mais c’est vrai que j’aime qu’on me fiche la paix dans un jeu solo ahah.
shambala93 D'après le test de Shanks ça risque d'être plutôt le contraire, tu te retrouves dans une grosse galère et... : "
Merci
81 méta.
Bah excuse moi 81 sur metacritic c'est une bonne note.
70 j'dis pas mais 81 c'est bon.
Ça part dans tous les sens.
Ce que j en voyais ne me disait rien mais des bosses peu nombreux et ratés, dans un jeu, c est un dealbreaker pour moi.
Il aura reussi à créer un jeu qui va meme des debats dans 10 ans
Moinje surkiffe les jeux qui ne laisse personne indifferent. Soit on le comprends et on adhere au jeu soit on le comprends pas et on le trouve nul.
Bref, kojima est un vrai genie, ça c'est certain.
Je n’ai pas bien saisi si c’était des « fantômes » d’autres joueurs ou s’il s’agit de véritables joueurs. Car si un joueurs compte y jouer dans 2/3 ans, c’est mort pour l’expérience finalement.
On ne voit pas les autres joueurs.
Ni en physique, ni en hologramme, ni en fantôme.
Juste leur pseudo sur une construction ou un colis.
(les fantômes/échoués n'ont aucun rapport avec tout cela)
Après comme j'ai dit, l'algorithme n'est pas simple à comprendre et j'ignore totalement comment cela se passera dans quelques années s'il n'y a plus personne sur le jeu.
Peut-être qu'on se connectera directement avec d'autres parties de joueurs donc des choses déjà faites, ce qui ne changera rien hormis le fait que tes propres créations n'auront jamais de like (concept inutile je rappelle).
En revanche, et là je souhaite rebondir sur un point évoqué par madd, même connecté, t'auras quand même la sensation d'être vraiment seul car comme j'ai dit dans le test, la progression se fait en "reliant" des bases. Hors, tant qu'une base n'est pas reliée, tout le réseau alentour ne l'est pas donc il n'y aura aucune construction d'autres joueurs à cet instant... jusqu'à ce que tu relies la base.
D'où le fait que pour aller à x endroit, t'en chies toujours plus à l'aller qu'au retour. C'est le concept.
Tuni Sebon j'ai retrouvé
Et inversement
Oui pour moi le dernier metal gear fut un jeu fini à la pisse sans queue ni tête avec des missions se répétant
Celui-ci on verra
Ceux qui dise 16 c'est pas terribles alors qui n'ont jamais eu cette note a l'école ...
Ils doivent être bien déçus ceux qui annonçaient pendant des mois que ce jeu serait un pétard mouillé ou encore, un jeu de simulation de randonnée.
Puis Gamekult qui fou un 9/10 tout comme JVC 19/20, ça arrive pas tous les jours. (choqué de la part de GK même
Il y a.
Pas toujours pour des raisons scénaristiques mais il y a.
Mais pas sans vice et je laisserais chacun découvrir pourquoi.
Ce jeu part de 0, pas Gears qui finalement, est l'épisode le moins bien noté de la saga, égalité avec le 4 du moins.
Mais oui, c'est une très bonne note hein.
arnaud73 8,4/10 c'est un pétard mouillé mais wtf le culot des fanboy, il n'y a plus de limites.
Jeuxvidéo.com : 19/20
Jeuxvidéo-live : 19/20
Gamergen : 19/20
Gamekult : 9/10
JVFrance 9/10
Jeuxactu : 18/20
Gamekyo : 8.5/10
Gameblog : 8/10
Gamersyde : "Certains y verront là un paradoxe avec le propos du jeu, nous préférons y voir le signe d'une qualité qui manque à de nombreux jeux actuels : une très forte personnalité."
J'ai l'impression qu'hormis chez la presse française, le jeu ne semble pas faire l'unanimité chez les ricains par exemple, maintenant chacun se fera son propre avis manette en main.
Pire que FF XV ?
pour finalement avoir que 84 meta....désoler mais pour moi c'est un pétard mouillé...un petit jeu sans plus
Pas le même style. Mais pire à vivre personnellement.
J’avais prédit une ffxv
Dire que les daubes épée et boucliers auront plus
leonr4 gameblog qui met un 8, c’est tres mauvais signe en effet
Pour Gamekult si c’était puyo, boulap ou gautoz au test il dépasserait pas le 7
arnaud73
voxen Vu le bashing qu'il a eu si il tape vraiment les 85 meta c'est loin d'être dégueulasse pour une nouvelle IP, Days Gone a eu nettement moins et pour autant les "joueurs" ont surkiffé le jeu...
Après on savait que ce jeu allait diviser mais finalement, pas tant que ça.
Jeu Actu 18
Gamer Gen 19
Gamekult 9
JV.com 19
Gameblog 8
Ça divise aussi en France... ou pas.
ryoporterbridges les site de JV que tu cite ne repressente pas le public francais a 100%
Bon 84% sur metacritic autant dire que C est du bon.
aller bonne marche les kikous
Après faut être honnête, ça dépend malgré tout des cas, pour une nouvelle licence cette note à d'autant plus d'impact, mais lorsqu'il s'agit de licence reconnues, tapant en général les 90+ et que du jour au lancement elle tape un 80 là c'est quand même différent.
Genre demain, Uncharted 5 à 80 metacritic, ce n'est pas au niveau de ce qu'on a eu précédemment donc forcément c'est perçu de façon plus négative pour la licence.
Mais oui, 8 reste une très bonne note.
Ravi de voir que DS qui à la même note en est une belle alors
Pas vraiment.
CeSt bien que le jeu ne trahisse pas sa vision pour faire plaisir à cette nation de dégénéré
Hideo Kojima a le don. De diviser. De susciter la curiosité et l’admiration autant que le rejet et l’agacement. Parce qu’il revendique, parfois jusqu’à l’extrême, ce statut d’auteur auquel le jeu vidéo est si peu habitué, parce qu’il refuse de déroger à sa vision très personnelle du média, qui n’est pas exempte de quelques écueils, le créateur de Metal Gear fait aujourd’hui partie de ces figures qui polarisent les joueurs, bien au-delà de la qualité de ses productions. C’est pourtant parce qu’il a choisi de ne pas se plier au petit manège de la communication traditionnelle (qu’il avait déjà cherché à éviter avec le personnage fictif de Joakim Mogren pour Metal Gear Solid V) que Death Stranding a réussi à garder ses secrets, pendant plus de trois ans. C’est aussi grâce à ce même refus du compromis que Kojima Productions proposera le 8 novembre prochain un titre qui se place à des années-lumière de ce qu’on peut attendre d’un triple-A aujourd’hui.
negan on attends toujours ton avis de "spécialiste" sur le jeu d’ailleurs, avec son Hitbox merdique, ses problème de Online et ses divers bugs.
Aller bye je tirerait pas plus sur le jeu nul de Kojima, nul selon votre théorème hein car le jeu en lui même à l'air sympa.
leonr4 My god
ryoporterbridges Arrête de lui faire du mal
Et 7 à Breakpoint.
sa se voie que les media n'ose pas bashé death strading.
carole quintaine...le jeu est vide, repetitif, pas parfait... mais elle mets 20/20..... mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
guiguif non Maia Shanks le dit que sans être co c’est pas ouf
Guiguif publié le 11/09/2019 à 22:03
Ouais mais 6/10 Gamekult et 85 Meta
C'est bizarre comme les notes meta change d un coup avec nos amis pro S
http://www.gamekyo.com/blog_article437951.html
A qui sera le plus "intelligent"?
À part ça, vu tout le cinéma que certains site font autour de Kojima je m'attendais à une note méta plus haute.
sound-design environnemental, essentiellement.
Logique vu le genre.
L'essentiel de l'OST, c'est de vraies musiques qui savent intervenir in-game quand il le faut.
Death stranding n à pas le statut d un métal gear. Mais Kojima dans l ensemble ne fais pas de mauvais jeu. 84/100 son dernier bébé est intriguant.
Bon après le jeu semble très bon malices défaut, beaucoup de monde aurais aimé avoir cette note à l école.
Il sera mien, et là je vais chercher Luigi's Mansion 3.
T’en as qui critiquent alors qu’ils ont déjà encensés des jeux traînants plus de casseroles que ce Death Stranding.
Le jeu est vide? Et alors? Le dernier Zelda l’est tout autant ça vous empêche pas de le foutre sur un piédestal... un peu de dignité merde!
En tout cas j’attendais pas spécialement ce jeu et ce test m’a donné envie d’y jouer juste pour découvrir l’expérience qu’il procure
Ta compréhension des mots est à l’image de ton orthographe.
Je t'aide un peu ... 19/20 c'est 9,5/10
De rien, bonne journée
Si livrer des colis te dérange pas
17/20 ? Non, désolé mon coco.
En attendant: https://image.noelshack.com/fichiers/2019/44/5/1572600447-ps4-switch-xbox-one.png
Bon jeu
Reste que Death Stranding est potentiellement le mieux placé parmi les jeux de l'année pour être l'heureux élu au titre de GOTY 2019, de par son unique authenticité.
Putain mais assume au moins une fois...ce seum
guiguif un jour tu nous fera visiter ta penderie, pour nous montrer tes belles vestes réversibles
Ouuuuh le jeu va etre tres tres bon ça
Puis je m'adresse à des troll surtout en sang sur Sony. :,)
"Stevivor est sur metacritic", oui mais effectivement tu n'as pas compris comment Metacritic fait sa moyenne. Lit ce passage :
"This overall score, or METASCORE, is a weighted average of the individual critic scores. Why a weighted average? When selecting our source publications, we noticed that some critics consistently write better (more detailed, more insightful, more articulate) reviews than others. In addition, some critics and/or publications typically have more prestige and respect in their industry than others. To reflect these factors, we have assigned weights to each publication (and, in the case of movies and television, to individual critics as well), thus making some publications count more in the METASCORE calculations than others."
Stevivor c'est pas IGN, Kotaku, Eurogame, jv.com, etc... Il est référencé car il doit l'être mais il n'a que très peu d'impact dans la moyenne.
Alors hein ? ça va lui faire tout drole de voir que le jeu est une tuerie !
Ouais mais quand j'entends qu'il y a des dizaines de livraisons c'est chaud. Moi j'ai peur d'un monde vide et répétitif, je peux me tromper mais c'est l'impression que ça donne. Cela dit je trouve les cinématiques pas mal. Je vais encore lire le test en entier car il est long avant de me décider car l'idée de reconnecter le monde est assez novateur dans l'idée.
Attention, la aussi c'est de l ironie. On attend le petit essayer de trouver des excuses
http://www.gamekyo.com/blog_article437666.html
Mais bon rien que pour le côté différent du jeu, je suis hype.
Puis tu sais les goûts et les couleurs...beaucoup critiquent The Outer Worlds et perso j'adore. Comme quoi seul notre avis compte.
Shanks, dis nous Puyo est dans le jeu?
Faut quand meme feliciter Kojima, qui malgré un gros budget a bien posé ses couilles en proposant une experience qui ne pourra que diviser de par son originalité et la prise de risque qu'il y a derrière.
Fait rarissime chez les AAA, qui se contentent de faire ce qu'on attend d'eux pour ne froisser personne.
Aller, ça sera un putain mega de day one sur PC j'ai trop hate
je pouvais tenir sans problème jusqu’à tôt le matin sans voir les heures passer. Le concept est cool, l’univers mis en place est cool, j’ai eu envie de lire chaque ligne du codex et des mails tant certaines choses étaient intéressantes (maintenant, je sais ce qu’est un Materpiscis, voyez ?), j’ai aimé dresser mes petits objectifs de livraison pour maximiser mes gains, j’ai aimé poser des routes pour me faciliter l’existence pour les prochains passages… Tout paraît banal à décrire, mais ce fut autre chose à vivre. ça c'est très bon signe
Par contre encore un chapitre 13 de l'enfer, je comprends pas ça
Bien sûr, il y a toujours des exceptions.
On a eu Minecraft hier, Fortnite aujourd'hui, demain ce sera autre chose.
Ici, avec Death Stranding, plutôt qu'une volonté un peu opportuniste et sécuritaire de lancer un énième jeu service ou un bac à sable 7-77 ans (ou d'exploiter encore bêtement une recette à la mode), on propose un truc nettement plus radical et hermétique (avec un gameplay hyper spécifique, un background mature et très écrit, une communication volontairement abstraite, qui semble faire la promotion d'un monde, en apparence, mort et vide...).
Il s'agit ici d'une production qui fait figure d'ovni dans un paysage vidéoludique ultra formaté (et souvent cantonné à l'exploitation de formules et de gimmicks qui rapportent). Produire au format AAA un trip aussi perché et difficilement intelligible à première vue, c'est couillu.
Death Stranding se pose là, et il éclate les codes du jeu d'action contemporain en remettant en question l'importance du rapport qu'on peut avoir aux armes dans les jeux (dont la plupart des succès actuels sont dépendants, comme si tirer sur tout ce qui bouge était l'alpha et l'oméga du fun), et est porteur d'une vision originale et hyper stylisée qui n'en fait absolument pas une œuvre qu'on pourrait recommander au premier venu. Rarement jeu aura autant fait couler d'encre avant et suscité autant d'interrogations avant même sa sortie, et rien que ça, déjà, ça en dit long sur la nature particulière d'un concept où pourtant, tout a été mûri et réfléchi, des musiques au système se jeu en passant par la communication, les héros, le but de l'aventure en lui-même.
Comme Metal Gear Solid en son temps qui brisait plus que jamais les frontières entre jeu vidéo et cinéma, ou P.T. plus récemment, qui démontrait, à sa manière, qu'un jeu d'horreur peut encore changer la donne après des années à voir des mastodontes du genre tourner en rond et s'épuiser gentiment, Death Stranding ne sera jamais un jeu comme les autres, il a été conçu pour nous surprendre, nous étonner, nous dépayser, faire autre chose que ce qu'on a déjà eu l'occasion de faire mille fois sur cette gen.
C'est une pure œuvre d'auteur qui espère devenir populaire mais qui exclue, en même temps, d'emblée, le grand public de ses priorités. Car dans les grandes lignes, on peut résumer l'affaire à ceci : livrer des colis d'un point A à un point B dans un monde plein de vide. Et c'est un AAA...
arnaud73
Non. Sans être méchant, c'est un peu comme si je disais en toute subjectivité que Arnaud est un prénom sexy et actuel en 2019... Ça pas diviser grand chose à mon avis. Mais merci pour ta saillie.
bennj Ah mais complètement, mais je réponds aux troll par le troll, mais on peut effectivement jouer à ça dans 3 mois quand Ori 2 sortira par exemple, c'est facile et oui, sans intérêt je te l'accorde.
Mais face à des troll pareils c'est efficace en tout cas et explique peut-être leur omniprésence ici.
Et oui, je me doute qu'il a moins d'impact, mais il en a un malgré tout
La il n y a aucun texte. L image parle d elle même donc on aura pas normalement le fameux "hors contexte"
À la prochaine (si je disparaît pas du site:lol
/> Bon test en tout cas
gay relationship ?
what ?
Mais bordel...! Franchement Shanks : Quel plaisir de te lire! Franchement, quand je vois la nouvelle génération de tests écrits sur les différents autres sites de JV (Jv.com, Gamekult)... Là, j'ai du plaisir à lire.
Ton test et sa narration, sa prise de temps pour développer le propos et mentionner non pas l'évidence, le visible, mais le ressenti et la transmission des choses "invisibles" mais présentes, que fournit le jeu. ça fait tellement plaisir.
Bien joué à Kojima également de prendre tout le monde à contre-pied. Prendre l'élément le plus décrié des joueurs actuels à propos des mondes ouverts (les quêtes et missions fedex) pour se baser dessus comme base de gameplay. C'est couillu.
Du coup, merci à Kojima pour la prise de risque, la sortie des sentiers battus, loin des AAA génériques que l'on trouve en abondance sur le marché du JV.
et Merci à Shanks pour ce vrai bon test. C'est franchement un plaisir à lire. Keep the good work :P
La claque arrive, patience les frères
Ah putain c'est le test d'Andromeda, je croyais que c'était DS et je voyais pas le rapport
Bravo à Shanks d'avoir fait son taff correctement, pour être honnête j'avais peur que ton côté pro Kojima soit trop complaisant
Digital Foundry, ah oui...ceux qui touchaient les cadeaux de Microsoft.
Je l'ai dit, le pro "Kojima" n'existe pas et j'assume faire partie de ceux qui n'ont jamais touché à Snatcher et Policenauts.
Je ne peut être pro-Kojima car j'estime que l'homme a fait n'importe quoi à la fin de la communication sur Death Stranding (le launch trailer était inutilement long et en montre trop, et c'est n'importe quoi d'avoir dévoilé certains secrets de persos cet été).
Je suis fanboy MGS en revanche. Je l'assume.
De toute façon, la saga est morte
jenicris
Parce que c'est un jeu où tu peux voir le verre à moitié plein ou à moitié vide.
Le JV est une forme d'art et Death Stranding en est un bon représentant.
Tu peux accrocher au concept et n'en voir que les qualités (et il y en a).
Ou tu peux détester et ne voir que les défauts (et il y en a).
Si tu veux, c'est comme l'art moderne.
Certains en vantent les mérites.
D'autres se demandent en quoi un tas de boulon ou une chaise roulante avec un drapeau américain (ça existe) peut-être considéré comme une "oeuvre".
"quant un jeu est vide, repetitif, un jeu est mauvais.
sa se voie que les media n'ose pas bashé death strading."
....c'est plus que sans fond cette argumentation...
Est-ce que Journey est mauvais ?
On peut faire vide ou répétitif avec une bonne raison ou un bon propos, ça n'en fait pas forcément un mauvais jeu.
Désolé mais de la même façon, un jeu varié ou dans l'action permanente, ne sera pas forcément bon.
il faut qu'il y ait propos réfléchi du créateur pour légitimer l'un ou l'autre. Et si c'est bien amené, ça fera un bon jeu. Cela doit-être voulu, non subi par les créateurs, c'est d'ailleurs tout le talent de créateurs comme Kojima peut l'être ou bien d'autres. Il faut se jouer des codes.
Ces très mauvaises notes sont essentielles et donnent d'emblée la couleur d'appréciations peu habituelles pour un jeu Kojima, coutumier, jusqu'ici, des retours unanimes et des 90+. Mais ces notes assassines comptent autant que les avis positifs, peut-être même davantage ici. C'est important de les prendre au sérieux et de comprendre pourquoi tout le monde ne peut pas être réceptif à un jeu d'auteur, c'est ce qui donne un peu plus au médium jeu vidéo ses lettres de noblesse et sa maturité, car on ne va pas se mentir, les barèmes, la façon qu'a la presse d'accueillir et de noter les jeux est souvent complètement pétée. Il faut des trucs qui cassent les codes et qui éclatent autant qu'ils déçoivent. S'il n'avait pas divisé avec Death Stranding, Kojima aurait d'une certaine manière raté son but. Les mauvaises critiques sont souvent plus importantes que les meilleures lorsqu'il s'agit de rester un truc qui sort des sentiers battus.
J'ai envie de lui laisser sa chance car sinon mon prochain jeu sur ps4 sera FFVII c'est dans longtemps... après jsuis d'accord les notes ne font pas tout.
De toute façon je sais à quoi m'attendre avec ce jeu, ça m'étonnerait que je sois déçu.
En résumé oui.
Mais je serais plus précis en disant que c'est un jeu unique avec des défauts.
Tout simplement.
S'il n'avait pas de défauts (ceux que j'ai cité dans les moins du test par exemple), je pense que les notes auraient été beaucoup plus refermé vers la hauteur. Même pour IGN. Car avec l'objectivité, la plupart aurait tout simplement dit que c'est excellent, mais juste que ça ne s'adresse pas à tout le monde.
Dans le cas de DS, si tu n'accroches pas, tu peux dresser une liste des défauts et t'es en droit d'en impacter la note.
S'il divise, et s'il divisera indéniablement les joueurs, c'est bien parce qu'il est à la fois unique et imparfait.
Je vais le prendre, et je verrais bien ce que donne manette en main notamment avec ces défauts s'ils gâchent mon plaisir de jeux. De toute façon pour le concept du jeu je m'y suis fait depuis des lustres.
J'aime pas forcément quand un jeu divise autant, c'est ça le truc.
Car on sait jamais d'avance si les défauts seront supérieurs aux qualités.
Je suis très content que ce jeu reçoive des mauvaises notes. Ça pue le GOTY torturé à plein nez et ça, c'est du jamais vu.
Les demi-points, c'est la note du cœur.
Quand je met un "0,5" en bonus, c'est que je parle au-delà de la qualité du jeu mais d'un certain plus. Pour God of War, c'était parce que je souhaitais récompenser la prise de risque pour une licence bien établie. Pour Gears 5, c'était pour féliciter le début d'une mutation attendue depuis plusieurs années. Et dans le cas de DS, bah c'est tout simplement pour récompenser ce coté pas seulement original mais unique, au point que je vois difficilement comment "copier" ce qui a été fait sans n'en faire justement qu'une simple "copie".
Mais je n'ai pas mis cette décimale à un RDR2. Car même si j'ai adoré, étant fan de narration, ça n'apportait pas grand-chose de plus que ce que l'on attendait habituellement de Rockstar. Juste la continuité.
C'est écrit.
En fait, techniquement parlant, il y en a (en tête) 4 ou 5 "obligatoires".
Mais trois sont en fait à considérer comme des mid-boss, dans des formes que tu peux même potentiellement revoir si tu te fais "happer" par les échoués en faisant le con.
Ce n'est pas un jeu à boss.
Et ils ne sont pas vraiment réussis comme j'ai dit.
Sur ce point, Kojima n'est plus le maître qu'il était dans MG1/2/3.
(on sent que depuis même MGS4, il n'a plus d'idées sur le sujet)
On ne peut pas être pleinement objectif.
Et perso, m'en branle des notes.
Si y en a encore, c'est pour la "pa$$ion" comme dirait l'autre.
Et parce que les éditeurs eux mêmes y tiennent encore.
Mais honnêtement, ils sont juste là pour le fun et j'essaye autant que possible de m'adapter pour qu'elles aient un peu de valeur.
Après les pro Kojima comme tu dit c'est surtout dans la tête de ses haters comme tu dit il y a surtout des fans de mgs mais je serais pas contre des remaster de policenauts et Snatchers d'ailleurs vivement la PC engine mini.
Dommage sur le trailer on pouvais s attendre a plusieurs boss avec un bon charisme. ( celui avec le masque or squelette )
C est vrai que Kojima sur ce point à perdu le fil rouge. Le mec pose surtout ces bases pour en faire des suites
n'empeche pas mal cette alliance zabuza giusnake negan les triplettes de Belleville
Du coup, vu ton 8.5 au titre de The Coalition, j'appréhende un peu.
C'est ton pseudo PSN.
whookid
Nan, "Le Père".
Je ne connais pas encore suffisamment ses goûts puisque c'est le dernier arrivé.
Sinon c'est ce à quoi je m'attendais un jeu qui va diviser... J'ai vraiment peur de le prendre je sens que je vais détester mais d'un côté il m'intrigue beaucoup
Ryoporterbridges publié le 30/10/2019 à 23:43
Goldmen33
DS 94/100
Cette année le goty c'est RE2 Remake avec ces 91 métacritic sur PS4 et 93 sur one Capcom rafle tout hihi
Contrairement à toi je pleure pas comme une petite tapette et crie au complot
Il te reste que l'Homophobie pour débattre chaud
CHEH!!!
Ok le SJW.
Autre chose je ne sais pas si tu a déjà vu Postman (1998 ) avec Kevin Costner qui vient de me revenir a l'esprit mais sur le fond on dirait un mix de ce dernier et d'oblivion niveau inspirations.
shanks bon test en tout cas , j'ai hâte
Après je suis pas sûr d'aimer pour autant c'est "space", du Kojima quoi
"N'oublie pas que certains ont des gosses , c'est ça le plus effrayant"
C est clair que ça fait peur , et je le pense sérieusement
Comme prévu c’est un jeu qui divise, du Kojima quoi
Perso même si de base ça m'intéressait pas, quand j'ai découvert que ça serait une simu de livraison ça a attisé ma curiosité, mais 40h
Je hâte heureusement que j'ai de quoi faire pour patienter mdr ^^
Pour bosser dans le milieu, il est souvent dit qu'un AAA sans flingue, ça passerais pas bien pour le public américain.
Je me demande à quel point c'est vrai et ça expliquerais la différence de note...
shanks Est-ce que narrativement c'est plus satisfaisant que MGS V?
Qu'on se comprennent, les scènes cinématiques de MGSV étaient incroyablement filmé et la mise en scène vraiment bonne mais finalement très discontinue: Une grosse cinématique au début, au milieu et à la fin et toutes les autres sont chouettes mais n'apportaient pas grand chose.
On est sur le même type de répartition?
D apres toi, celui qui a été déçu de mgsV, le sera t il pour death stranding?
Ah mais oui, la note je m'en bas les couilles, je n'ai pas besoin qu'on me dise quoi aimer, je met juste ryo devant sa contradiction pour la prochaine fois où il viendra pourrir une news xbox en disant que tel ou tel jeu c'est de la merde sans y avoir joué.
ryoporterbridges
et comment tu sais qu'il ne vaut pas ses 85 vu que tu as dis ne pas vouloir y jouer? décidément comme fanboy extremiste tu te poses là
FF15 a lancé la mode, faudra s'y faire.
Je suis plus choqué par les notes de certains sur YT.
(enfait non fallait s'y attendre)
Il y a pas à dire, pour paraphraser certains Neutres, il y a beaucoup de sel.
je fais surtout allusion à la personne qui avait mis 22/20 à RDR2 (ou 21 je sais plus). Y a des défauts mais on met 20... aveuglement quand tu nous tiens.
Arrête toi la , car un jour tu dépassera les bornes et tu requittera le site. Ta provocation de gamin on peut faire aussi bien sans.
pourtant il me semble bien t'avoir lu comme quoi tu ferais le jeu que s'il avait une moyenne de 90+ et que tu serais même prêt à racheter une xbox one pour ça.
bref dans tous les cas, 2 poids 2 mesures sur les moyennes metacritic auxquels tu attribues une légitimité qu'en fonction du sens du vent.
Beaucoup mieux réparties.
Évidemment, les grandes révélations arrivent à la fin mais y a beaucoup de séquences au fil du jeu, qui permettent d'ailleurs de saisir les termes de l'univers mis en place (parce qu'au début, on est un peu largué mais c'est voulu).
Depuis ta nouvelle formule pour les tests, il t'est déjà arrivé de regretter une note avec le recul ?
Ouais.
Pokémon Let'sGo, j'aurais dû aller jusqu'au 8 pour emmerder encore plus Guiguif
8,6 #gueguerre
quelle répartie digne d'un collégien
Beaucoup.
Pas très originaux en revanche.
Platine jugé très longue à obtenir, ne serait-ce que devoir mettre toutes les bases au rang max.
n'empeche pas mal cette alliance zabuza giusnake negan les triplettes de Belleville
T'as été pris la main dans le sac, donc chut.
Je l'ai signalé dans les moins : "flashbacks sous-exploités" même si ça apporte au moins de la variété.
(par contre, je dis "flashback" mais c'est un peu plus profond que ça)
Tu verras bien
Si les tests en ont pas parlé, c'est aussi pour éviter les spoils ^^
Excellent ça.
Et plutôt que de me dire que je suis pris la main dans le sac, regardez tous les commentaires trollesques de l'article. C'est dingue ça, il y a plus de 300 commentaires sur l'article et ça préfère se focaliser sur un commentaire d'une personne au lieu de pointer du doigt ceux qui polluent toutes les news de Death Stranding depuis des mois.
Mais bon, je ne suis plus étonné à force.
Voila, moi aussi je peux te sortir une vieille excuse pour légitimer mon comportement.
Et le concernant, il y avait bien plus virulent que moi à son égard. Pour information, je ne l'ai ni menacé, ni humilié, ni conseillé de se suicider. Mais par exemple, je connais ceux qui l'ont fait.
Pour mon commentaire plus haut, oui c'est gratos et je ne vais pas dire l'inverse. Mais honnêtement, j'en ai tellement pris plein la gueule en face ou par derrière que je ne vais pas me gêner pour rendre la pareille (tu sais de quoi je parle). Et encore, j'ai été gentil. Mais pour donner une légère explication, je visais un tout petit groupe de personnes et non une communauté entière comme dit plus haut. Je précise au cas où.
Cliff fume des clopes.
Voilà
Après peut-être que certains analyseront des messages en sous-sous-couche mais je pense pas qu'il y ait de "lien".
C’est donc bien réel!
Pavé man nous fait souvent des gros pavés , ou parfois il voit juste mais est obtus dans ses argument et ne pisse que dans le sens du vent pour sa marque de caleçon.
pinaise c'est proportionnel aussi au nombre de fanboys sur tel ou tel site, tu as un camps qui est plus minoritaire que l'autre
Quand cela troll d'un côté, c'est un ou deux qui viennent poster à tout va mais ici, ils viennent à la queue leu-leu tel des légos qui s'enfilent
Je pense personnellement que ce jeu risque de ne pas performer comme un MGS, le concept reste sympathique si on a un esprit d'ouverture mais le côté du concept profond reste sur le fedex.
En lisant tous les tests celui de Gamekyo est le plus clair par contre je me demande maintenant qu'elle aurait été la perception si ce n'était pas un jeu estampillé "Hideo Kojima Games" peut-être que la mansuétude n'aurait pas la même car les défauts sont presque grossier.
Maintenant perso je vais le faire mais bizarrement avec moins de magie car les tests ont désamorcé l'attente. On sait qu'on aura d ela qualité mùais que derrière il n'y aura pas de wtf!
Death Stranding sera tout au plus une expérience de qualité mais j'ai l'impression que le jeu pourrait passer un pallier si il y avait une suite.
Je pense pas vu que Death Stranding avait même prit un petit peu de retard sur le plan initial. Le jeu devait sortir début septembre.
« Il n'est pas rare que les studios ne parviennent pas à respecter la date de sortie prévue et Death Stranding est très légèrement en retard sur nos plans initiaux, mais pas de beaucoup », a confié le développeur nippon.
https://fr.ign.com/death-stranding-ps4/45510/news/selon-kojima-le-developpement-de-death-stranding-a-pris-un-peu-de-retard
tolgafury Ils auraient peut être dû viser un peu plus grand et prendre plus de temps.
Prochaine étape, trailer de Kojima Productions dès l'E3 2020
Il a été annoncé que le jeu ne requière pas le PSN+... ce qui est logique vu que l'on peut jouer sans la partie "online". Mais du coup, si on ne dispose pas du PSN+, on ne verra aucune construction d'autres joueurs?
Pas de PS+ et tu pourras quand même bénéficier de toutes les features connectées sans restriction.
Finalement, c'est comme l'invasion des bases d'autres joueurs dans MGSV où là encore, tu n'avais pas besoin d'abonnement.
Car dans les deux cas, ce n'est pas du "multi" : tu ne vois pas d'autres joueurs directement.
Autre question, tu sais comment le système fonctionne? Les personnes qui peuvent influencer sur ton monde sont totalement choisies au hasard, ou le jeu sélectionne en priorité des personnes dans ta liste d'amis?
Si je n'ai que 1 ou 2 amis qui font le jeu en même temps que moi, est-ce que la probabilité que je croise des constructions de leur part est plus élevée?
Pour les amis, aucune idée.
Pour le reste, alors... Disons que le jeu t'instancie dans un serveur d'environ 100 joueurs pris au hasard (mais en apparence, ça semble être en priorité des gens de ton territoire, donc Europe). De ces gens, tu verras donc les créations (mais évidemment pas toutes car imagine le bordel).
Mais j'ai remarqué que le lendemain, la liste des 100 joueurs était modifié, et donc les créations visibles. Donc ça renouvelle.
Mais assez rapidement dans le jeu, tu peux cocher des joueurs. 20 au départ puis 30. Ceux que tu coches resteront toujours dans ta liste, et donc leurs créations visibles avec. Seul le reste sera renouvelé.
https://gematsu.com/2019/11/famitsu-review-scores-issue-1614