Voila j'ai un windows 8 et j'aimerai me rattraper sur une série et un jeu que je voulais faire depuis temps d'année qui est Runaway et The Next Big Thing, La compile Pendulo est-il compatible avec Windows 8?
J’ai pris mes fonctions à la tête de jeuxvideo.com armé d’une conviction forte : L’intérêt de nos lecteurs doit primer dans toutes nos réflexions.
Certes, d’autres intérêts influent dans la gestion quotidienne du site. Il y a les intérêts des quelques 50 passionnés de jeux vidéo qui vivent directement ou indirectement du site, et qui attendent que les meilleures décisions soient prises pour l’avenir de l’entreprise. Il y a les intérêts de nos partenaires commerciaux, qui attendent un traitement équitable et professionnel des titres qu’ils proposent.
Parfois (pas souvent, heureusement pour ma santé!), ces intérêts divergent. Je résous ces dilemmes en répondant à une seule question : Qu’est-ce qui est le plus dans l’intérêt de nos lecteurs ? Parce que je suis convaincu que tant que nos lecteurs sont avec nous, nous aurons des solutions pour continuer à développer jeuxvideo.com.
Et parmi les attentes de nos lecteurs, il y en a une qui prime sur les autres : l’indépendance…
Indépendance versus objectivité
Les joueurs qui visitent le site souhaitent avoir une vision libre de toute pression, en particulier commerciale, sur les jeux qu’ils envisagent d’acheter. C’est normal, et j’entends défendre ce principe de toutes mes forces.
L’idéal serait bien sûr de pouvoir garantir l’objectivité de l’information que nous proposons. Mais c’est une quête que je pense vaine. D’abord parce que le jeu est une expérience personnelle, comme toute expérience culturelle. Mais aussi parce qu’il est parfois difficile de placer la frontière entre ce qui relève de l’expérience de jeu et ce qui ne l’est pas.
Par exemple, il arrive régulièrement que les joueurs sanctionnent la politique éditoriale d’un éditeur, en rejetant un titre qui a pourtant des qualités. Devons-nous nous contenter d’évaluer le contenu de la boite, comme nous essayons de le faire, ou devons-nous évaluer tout l’environnement qui entoure le jeu ? La question mérite d’être posée, mais ce n’est pas l’objet de ce billet.
Foin de l’objectivité donc, la garantie que nous devons à nos lecteurs, c’est celle de lui retranscrire les informations qui nous paraissent importantes, en nous appuyant sur notre connaissance du marché et des joueurs, sans tenir compte des budgets marketing ou des enjeux commerciaux. Cette fameuse indépendance.
Le plus indépendant n’est pas toujours celui qu’on croit
Très attaché à cette indépendance, j’ai démarré dans mes fonctions avec les postulats suivants :
- La séparation entre la rédaction en chef et la direction générale de l’entreprise doit permettre à la rédaction de rester à l’écart des problématiques commerciales, pour se concentrer sur son métier : apporter de l’information de qualité.
- Le meilleur moyen de garantir l’indépendance est d’ouvrir nos colonnes les plus largement possible à toutes les opinions, et ce en toute liberté, qu’elles émanent de nos rédacteurs, de nos chroniqueurs ou bien sûr de nos lecteurs.
C’était d’autant plus facile pour moi que cela correspondait déjà à l’organisation en place au sein de jeuxvideo.com, et que les premières pierres de l’ouverture que je souhaitais avaient également été posées avant mon arrivée. Je n’ai donc eu qu’à suivre le sillon déjà tracé, en augmentant la pression sur la charrue pour qu’il soit plus profond.
Avec quelques mois de recul, je me rends compte que cela est encore largement insuffisant pour garantir une totale indépendance aux contenus que nous proposons. Je me rends compte qu’il ne suffit pas de tenir quelqu’un à l’écart des pressions commerciales pour s’assurer qu’il prend la parole sans influence.
Je viens de voir la chronique d’Usul sur l’indépendance. Et je dois avouer qu’elle m’a personnellement beaucoup touché. Non pas parce qu’elle dénonce une quelconque réalité que j’aurais préféré cacher, je crois pouvoir affirmer n’avoir jamais eu un comportement approchant de celui que dénonce Usul dans sa chronique. Mais parce que cette chronique va encore contribuer à donner une image fausse de notre travail. Et aussi parce que je m’aperçois qu’en l’absence d’influence, ou même d’instructions, sur les sujets qu’il peut aborder ou sur la manière de les aborder, Usul s’abandonne lui aussi à d’autres pressions, ce qui me fait douter de la possibilité de proposer un jour un fonctionnement vraiment indépendant.
De quoi un média est-il dépendant ?
J’avais lu il y a quelques temps que le premier facteur nuisant à l’indépendance des journalistes n’était pas la pression des annonceurs ou de l’environnement, mais le conformisme intellectuel.
Etre prisonnier d’un schéma dans lequel il faut dénoncer pour être crédible, dans lequel il faut agresser pour démontrer son indépendance, quitte à forcer le trait ou à utiliser des raccourcis coupables, dans lequel il faut être impertinent pour proposer au lecteur ce qu’il attend, c’est une forme de conformisme intellectuel. C’est une pression qui ne découle d’aucune influence commerciale ou politique de l’organisation, mais du public lui-même, parce qu’on veut continuer à lui plaire.
Je pourrais passer outre cette chronique, en me disant que nos lecteurs sauront faire la part des choses. Mais je sais que dans la situation d’infobésité ambiante, nous avons tous de moins en moins de temps pour prendre du recul par rapport aux informations que nous recevons. La lecture rapide que nous pratiquons, combinée à une vision souvent partielle de l’information, conduit souvent à de mauvaises interprétations.
Les exemples sont nombreux. J’ai lu encore hier dans la news à propos de la sortie du livre de Sébastien sur l’histoire de jeuxvideo.com des commentaires sur l’argent qu’allait gagner jeuxvideo.com avec ce livre, alors qu’il est édité par les éditions Pix’n Love, petite société fort sympathique, et qui oeuvre avec talent pour une mission de mémoire collective de l’univers du jeu vidéo.
Au final, ceux qui sont persuadés d’avoir la vérité, et qui diffusent ainsi des jugements sans fondements, finissent par avoir raison, car il est impossible de leur répondre tous, de leur donner les éléments pour démontrer qu’ils ont tort. Et la chronique d’Usul, en jouant des mêmes leviers, va contribuer à les renforcer dans leurs croyances.
En voyant cette chronique, je sais pertinemment que beaucoup de nos lecteurs vont penser qu’Usul ne fait que dénoncer des faits relatifs au fonctionnement de jeuxvideo.com. Je sais que beaucoup de nos partenaires vont penser que nous les attaquons gratuitement, alors que nous faisons des efforts quotidiens pour traiter les jeux avec équité. Je sais que même nos confrères vont se sentir agressés par cette vidéo, alors que nous respectons tous ceux qui vont au bout de leurs convictions.
La liberté ne donne pas l’indépendance
Je ne suis pas fâché contre Usul. Je continue d’apprécier énormément le personnage, et je continue de penser que nous avons besoin de gens comme lui pour apporter de la valeur, de la richesse dans l’univers du jeu vidéo et des réflexions qui l’entourent. Et il est à sa place en faisant des satires.
Cette satire joue peut-être finalement son rôle en m’obligeant à me questionner sur ce qu’est réellement l’indépendance, et surtout sur les moyens de l’obtenir ou de la conserver. Le constat que je fais pour le moment est que l’indépendance est un concept très différent de la liberté, qu’elle soit d’action ou de pensée. Il est probable que si j’avais été plus attentif en cours de philo il y a quelques années, j’aurais su saisir cette nuance plus tôt (je crois bien que c’est la première fois de ma vie que je me dis que j’aurais dû être plus attentif en philo !). Mais pour le moment, je ne peux que constater que laisser une liberté totale à un individu peut le conduire à abandonner lui-même son indépendance, consciemment ou inconsciemment.
J’en viens à cette conclusion : L’indépendance ne s’acquiert pas en réunissant des individus indépendants ou incorruptibles. L’indépendance est le fruit d’une démarche collective, dans laquelle chacun doit se questionner sur la nature du message qu’il délivre, et son impact sur l’ensemble de l’écosystème. Si on veut installer une indépendance durable et profitable à tous, il faut que journalistes, chroniqueurs ET lecteurs participent à la construction de cette indépendance, y compris en évitant de se laisser influencer par les commentaires des autres quand ils ne sont pas justifiés ou argumentés, et y compris lorsque cela signifie d’aller à contre-courant de ses intérêts individuels.
J’oublie volontairement les éditeurs de la liste des parties prenantes à cette quête de l’indépendance. Les éditeurs, les studios ont vocation à vendre leurs productions. Et qu’ils répartissent leurs budgets publicitaires sur des supports mettant leurs travaux en valeur est plus que normal. Bien sûr, cela leur donne un quasi-pouvoir de vie ou de mort sur les sites spécialisés, mais ce sont les risques du métier. Les lecteurs aussi ont un pouvoir de vie ou de mort sur les médias. On n’imaginerait pourtant pas obliger un lecteur à visiter un site ne lui donnant pas des informations pertinentes sur les jeux qui l’intéressent, simplement parce que sa visite est indispensable à la survie du site. Alors pourquoi exiger la même chose d’un éditeur ?
De mon point de vue, les arbitrages sur les budgets publicitaires sont naturels, et font partie intégrante de la mission de l’éditeur. Je ne vois aucune raison de s’en offusquer. Le seul vrai pilier de la survie d’un média, qu’il soit entreprise ou chroniqueur indépendant, ce sont les lecteurs et l’attachement qui est créé avec eux. Ce n’est pas sans risque non plus, parce qu’en face de la pression publicitaire, le diktat de l’audience peut également conduire à des sélections d’informations sur d’autres critères que leur intérêt intrinsèque.
Alors, l’indépendance, challenge ou utopie ? Je ne sais pas encore. Mais le combat vaut d’être mené. J’ai bien quelques idées à mettre en oeuvre pour tenter de s’en approcher. En commençant par rester ouvert à tous les points de vues, comme celui d’Usul ou ceux que vous ne manquerez pas d’exprimer en commentaires
Source de L'article : http://www.jevisdeshauts.com/2013/04/lindependance-est-collective-ou-elle-nest-pas/
Chaises musicales sur le marché de la presse ludique. Selon le dernier classement Médiamétrie Nielsen Netratings, le site JeuxVideo.fr (1,15 million de lecteurs) se classe désormais deuxième de son segment, derrière le leader historique jeuxVideo.com (2,04 millions de lecteurs) mais devant Gamekult.com (1,04 millions de lecteurs).
« Nous avons réussi en moins d'un an et demi, à fédérer des joueurs et des éditeurs de Jeux Vidéo sur un site presque inconnu, jusqu'à l'amener à la position de challenger incontesté, en prenant la place du n°2 historique : Gamekult. Ce développement très rapide s'explique par la mise en oeuvre de l'expérience du groupe, au profit de JeuxVideo.fr (réponse aux attentes des internautes, innovation sur les rubriques, viralité, ...). Notre prochain objectif vise clairement la place du n°1 depuis près de 10 ans : Jeuxvideo.com » affirme Jerry Nieuviarts, PDG de Cyréalis, un groupe de presse lyonnais également éditeur de JeuxVideo.fr, Clubic.com, Achetez-Facile.com et.. NetEco.com.
Reste désormais à savoir si le groupe américain C|net, nouveau propriétaire de Gamekult et par ailleurs éditeur de BusinessMobile, Zdnet ou News.fr, saura relancer cette marque sur le marché français.
Tout simplement énorme, une extension riche en contenu, que sa soit équipements, magie, donjon, bestiaires de folie, bref pour les fans de Dragon Dogma vous allez kiffer, et pour les gens qui ne l'on pas fait, franchement n'hésiter pas c'est une grosse grosse tuerie, une durée de fou furieux car le jeu d'origine est inclus, pleins de quêtes, un bestiaires de fou furieux, des musiques magnifique, bref l'édition ultime de Dragon Dogma vaut vraiment le coup, surtout pour le prix 30euro.
Avis sur L'extension Dark Arisen :
Les Plus :
- Bestiaires
- Boss ultime de l’extension
- Des nouveau équipements
- La bande son
- La faucheuse
- Une difficulté assez relevé
- Le donjon ultime...
Les Moins :
- .....Mais plus on descend et plus les salles se ressemble
- Mourir sur un boss bêtement après 30mn de bataille XD