....Vaut-il le coup? oui je ne les jamais fait de ma vie, donc j'aimerai bien savoir si niveau scénario, gameplay etc.... vaut le coup même après tant d'année (super nes) bon sora91 me la conseillé, mais j'aimerai avoir plus d'avis =)
Le premier épisode sortie en 1991, plus de 20ans maintenant et le jeu garde toujours sont charme légendaire, un gameplay classique mais ultra efficace.
Parlons de la compile street of rage et surtout les options quel apporte comparé à sega collection :
Tout dépend la compile des 3 street of rage coûte 800points, et que la compile est bien présenté ainsi que toute les version des jeux sont au rendez vous, cette à dire version Jap, Us et Eu.
Ensuite on peut changer de filtre style arcade et un anti aliasing
Street of Rage :
Pour moi le meilleur épisode des 3, que sa soit niveau musique, décors, perso (axel, adam et blaze), et surtout avec l'appel des renfort
Street of Rage 2 :
Un bon épisode à découvrir, le gameplay un peu plus souple que le 1, donc plus facile à mon goût, et les musique sont un peu remixé du 1.
Street of Rage 3 :
Le plus pourris des épisodes, autant le gameplay est bien géré, mais le reste pas top.
Mais la particularité de cette épisode sont les différentes fin qu'on débloque, si on joue en facile le jeu ce fini juste après de battre MR X, alors que si on joue en normal on débloque 2 niveaux après ainsi de voir la véritable conclusion de street of rage.
Pour partagé de ce fait divers pas comme les autres car pour vous dire ma mère habite juste à côté de l'endroit ou l'agression violente a eu lieu, Donc un petit article que jeanouillz ma filé :
Samedi à Miami, un homme d’une trentaine d’années a été abattu par les forces de l’ordre alors qu’il était en train de dévorer le visage d’un SDF. Immédiatement, le fait divers est relayé un peu partout sur la toile. En effet, l’agresseur présentait tous les symptômes de la zombification, mutation très en vogue dans une certaine culture populaire.
« L’homme était en train de le déchirer en morceaux avec sa bouche », rapporte un témoin. « Je lui ai dit de descendre, mais il continuait de bouffer l’autre, de lacérer sa peau. Un officier de police est arrivé et lui a dit de descendre plusieurs fois, puis a fini par grimper sur la cloison et, une fois en face de lui, a répété : « Descendez ! » Mais l’homme s’est juste retourné, avec un morceau de chair dans la bouche, et a grogné. »
Cette scène bien réelle, au-delà de son aspect proprement choquant, est typique des histoires mettant en scène des zombies, ces morts qui dévorent les vivants et les transforment à leur tour en anthropophages errant sans autre but que celui de se nourrir. Par exemple, la scène du jeu vidéo Resident Evil, où l’on rencontre le premier zombie dans le manoir qui sert de cadre à l’histoire correspond tout à fait à cette description.
Le témoin choisit une autre référence populaire pour illustrer la similitude : « L’homme, il ressemblait à un zombie, il gouttait du sang. La chose que j’ai vu qui s’en rapprochait le plus ? » The Walking Dead (ndlr : célèbre série mettant en scène des rescapés suite à une invasion de zombies).
L’homme sera finalement abattu alors qu’il continuait à mastiquer le visage de sa victime, ignorant les injonctions des policiers et passants. Plusieurs balles seront d’ailleurs nécessaire pour le tuer, l’agresseur ignorant la première, tout occupé à son macabre festin.
Très vite, il apparaît qu'Eugène Rudy, le cannibale, était en proie à une nouvelle drogue dérivée du LSD : « bath salts », littéralement « sels de bain ». Cette drogue, vendue légalement dans certains états américains, a pour symptômes connus l’augmentation de la chaleur corporelle (Eugène et sa victime ont tous deux été retrouvés nus), l’augmentation de la force physique, de l’agitation, une agressivité décuplée et des hallucinations.
Les « sels de bain » contiennent des substances chimiques telles la méphédrone et la methylenedioxypyrovalerone, ou MDPV, liées au khat, un stimulant naturel que l’on peut trouver en Afrique et dans la péninsule arabique.
Il est donc évident que ce fait divers n’est pas le premier cas d’une invasion massive de morts-vivants anthropophages, bien que sa sur-médiatisation soit directement liée à ce fantasme. Pour autant, une invasion de zombies tient-elle invariablement du mythe, ou la menace est-elle scientifiquement plausible ?
Le zombie, c'est quoi ?
A l'origne du mythe du zombie se trouve une pratique vaudou bien réelle. Le zombi est une personne victime d'un houngan (prêtre vaudou), plongé dans un état cataleptique et privé de son âme par administration d'une puissante drogue. Cette drogue a pour propriété de suspendre complètement des sensations et des mouvements volontaires, mais le « futur zombi » reste conscient et continue d'entendre ce qui se passe autour de lui. Un état mental et physique qui est donc proche de celui du fait divers, avec à la base les propriétés d'une drogue qui agissent sur une personne.
L'appropriation du mythe par la culture de masse est bien différente. Lorsque Gearges A. Romero réalise en 1968 « La nuit des morts-vivants », il pose sans le savoir les bases d’un monstre mythique qui trouvera une résonnance plébéienne telle qu’il rivalisera avec les vampires, golems et autres Frankenstein en terme de popularité, tout en étant, a contrario de ces derniers, le produit de notre environnement contemporain.
Car le zombie n’est pas seulement un « flesh eater » (mangeur de chair), c’est également une critique acerbe de notre société actuelle. Romero, dans la suite de son film intitulée « Zombie », s’attaque à la société de consommation en situant le cadre de l’action dans un centre commercial et en présentant des zombies qui errent dans cette galerie, les corps reproduisant les même gestes automatisés que lors de leur existence vivante. L’absence de « happy end » nous renvoie quant à elle à notre propre finitude, notre extinction programmée en tant qu’espèce.
De par son mode de « reproduction », une simple morsure transformant un vivant en zombie qui vient grossir les rangs de la cohorte d’anthropophages, le zombie est également le monstre qui traduit notre peur de la surpopulation. La plupart des histoires de zombies ont d’ailleurs un cadre urbain, car quel autre environnement que la ville peut prétendre à fournir un vivier de carcasses suffisamment important pour représenter une menace crédible ? De cette peur découle une autre problématique : la difficulté de se réadapter à un monde ou tout n’est plus assisté et automatisé.
C’est par ailleurs l’un des points fondamentaux qui fait que l’image du monde ravagé par une invasion de cannibales trouve un écho aussi fort auprès du public : la menace omniprésente qui ramène l’humain à la condition de survivant est également la promesse d’un mode de vie simplifié, où l’on reprend goût aux choses de la vie les plus simples et où les rencontres entre personnes sont de nouveau possibles. Une aspiration à laquelle de plus en plus de citadins sont sensibles.
Alors que certains sujets peinent à être abordés dans les médias, la culture populaire s’en est emparée depuis bien longtemps et pose, à travers le prisme de produits divertissants, des question de société sur des angoisses très communément partagées.
L’autre point fort du zombie est que, tel un virus, il a su muter pour s’adapter aux différentes époques. Du « mangeur de chair » des origines, déambulant avec une lenteur extrême, il ne subsiste aujourd’hui plus grand chose. Un film en particulier a symbolisé cette mutation : « 28 jours plus tard » de l’Anglais Danny Boyle (également connu pour avoir réalisé le multi-oscarisé Slumdog Millionaire ).
Sa vision du zombie est plus réaliste, cristallisée par un choix de mise en scène en DV (image « sale », basse résolution) qui instaure une proximité immédiate avec le monde réel. Le monstre devient un infecté, plus nerveux, plus rapide, en proie à un virus similaire à celui de la rage. On est cette fois-ci plus dans la peur de l’expérimentation bactériologique et de la contamination, des sujets pour le moins actuels.
Une invasion de zombies, c'est possible ?
Si l’on considère le zombie dans sa dimension monstrueuse, et non comme la population au regard vide qui prend le métro tous les matins, Ipod dans les oreilles et gestes mécaniques exécutés sans une étincelle de vie, une menace de ce type est… scientifiquement plausible.
C’est en tout cas ce que soutient Samita Andreansky, virologue à l’Université de Floride de Miami (tiens donc, mais ne serait-ce pas la ville d’origine de notre « patient zéro » ?) dans un documentaire de la chaîne National Geographic : « La vérité sur les Zombies ». Il affirme en effet combinaison du virus de la rage avec un virus de la grippe mutée pourrait jeter les bases d’une pandémie de zombies dans le monde entier, similaire à celle entrevue dans « 28 jours plus tard ».
Reste qu’une telle hybridation naturelle entre deux virus aux propriétés radicalement différentes est de l’ordre du jamais vu, scientifiquement parlant. Mais les amateurs de sensations fortes peuvent se rassurer, la piste de la création laborantine demeure : « Il est théoriquement possible mais extrêmement difficile de créer un virus hybride rage et grippe en utilisant des techniques modernes de génie génétique », a déclaré Andreansky à l'Université de Miami. Et puis, qui investirait dans de telles recherches, et dans quel but ?
En attendant d'être (ou non) touchés un jour, des cas de zombification ont été récemment découverts du côté des fourmis. Brrr.