Pour partagé de ce fait divers pas comme les autres car pour vous dire ma mère habite juste à côté de l'endroit ou l'agression violente a eu lieu, Donc un petit article que jeanouillz ma filé :
Samedi à Miami, un homme d’une trentaine d’années a été abattu par les forces de l’ordre alors qu’il était en train de dévorer le visage d’un SDF. Immédiatement, le fait divers est relayé un peu partout sur la toile. En effet, l’agresseur présentait tous les symptômes de la zombification, mutation très en vogue dans une certaine culture populaire.
« L’homme était en train de le déchirer en morceaux avec sa bouche », rapporte un témoin. « Je lui ai dit de descendre, mais il continuait de bouffer l’autre, de lacérer sa peau. Un officier de police est arrivé et lui a dit de descendre plusieurs fois, puis a fini par grimper sur la cloison et, une fois en face de lui, a répété : « Descendez ! » Mais l’homme s’est juste retourné, avec un morceau de chair dans la bouche, et a grogné. »
Cette scène bien réelle, au-delà de son aspect proprement choquant, est typique des histoires mettant en scène des zombies, ces morts qui dévorent les vivants et les transforment à leur tour en anthropophages errant sans autre but que celui de se nourrir. Par exemple, la scène du jeu vidéo Resident Evil, où l’on rencontre le premier zombie dans le manoir qui sert de cadre à l’histoire correspond tout à fait à cette description.
Le témoin choisit une autre référence populaire pour illustrer la similitude : « L’homme, il ressemblait à un zombie, il gouttait du sang. La chose que j’ai vu qui s’en rapprochait le plus ? » The Walking Dead (ndlr : célèbre série mettant en scène des rescapés suite à une invasion de zombies).
L’homme sera finalement abattu alors qu’il continuait à mastiquer le visage de sa victime, ignorant les injonctions des policiers et passants. Plusieurs balles seront d’ailleurs nécessaire pour le tuer, l’agresseur ignorant la première, tout occupé à son macabre festin.
Très vite, il apparaît qu'Eugène Rudy, le cannibale, était en proie à une nouvelle drogue dérivée du LSD : « bath salts », littéralement « sels de bain ». Cette drogue, vendue légalement dans certains états américains, a pour symptômes connus l’augmentation de la chaleur corporelle (Eugène et sa victime ont tous deux été retrouvés nus), l’augmentation de la force physique, de l’agitation, une agressivité décuplée et des hallucinations.
Les « sels de bain » contiennent des substances chimiques telles la méphédrone et la methylenedioxypyrovalerone, ou MDPV, liées au khat, un stimulant naturel que l’on peut trouver en Afrique et dans la péninsule arabique.
Il est donc évident que ce fait divers n’est pas le premier cas d’une invasion massive de morts-vivants anthropophages, bien que sa sur-médiatisation soit directement liée à ce fantasme. Pour autant, une invasion de zombies tient-elle invariablement du mythe, ou la menace est-elle scientifiquement plausible ?
Le zombie, c'est quoi ?
A l'origne du mythe du zombie se trouve une pratique vaudou bien réelle. Le zombi est une personne victime d'un houngan (prêtre vaudou), plongé dans un état cataleptique et privé de son âme par administration d'une puissante drogue. Cette drogue a pour propriété de suspendre complètement des sensations et des mouvements volontaires, mais le « futur zombi » reste conscient et continue d'entendre ce qui se passe autour de lui. Un état mental et physique qui est donc proche de celui du fait divers, avec à la base les propriétés d'une drogue qui agissent sur une personne.
L'appropriation du mythe par la culture de masse est bien différente. Lorsque Gearges A. Romero réalise en 1968 « La nuit des morts-vivants », il pose sans le savoir les bases d’un monstre mythique qui trouvera une résonnance plébéienne telle qu’il rivalisera avec les vampires, golems et autres Frankenstein en terme de popularité, tout en étant, a contrario de ces derniers, le produit de notre environnement contemporain.
Car le zombie n’est pas seulement un « flesh eater » (mangeur de chair), c’est également une critique acerbe de notre société actuelle. Romero, dans la suite de son film intitulée « Zombie », s’attaque à la société de consommation en situant le cadre de l’action dans un centre commercial et en présentant des zombies qui errent dans cette galerie, les corps reproduisant les même gestes automatisés que lors de leur existence vivante. L’absence de « happy end » nous renvoie quant à elle à notre propre finitude, notre extinction programmée en tant qu’espèce.
De par son mode de « reproduction », une simple morsure transformant un vivant en zombie qui vient grossir les rangs de la cohorte d’anthropophages, le zombie est également le monstre qui traduit notre peur de la surpopulation. La plupart des histoires de zombies ont d’ailleurs un cadre urbain, car quel autre environnement que la ville peut prétendre à fournir un vivier de carcasses suffisamment important pour représenter une menace crédible ? De cette peur découle une autre problématique : la difficulté de se réadapter à un monde ou tout n’est plus assisté et automatisé.
C’est par ailleurs l’un des points fondamentaux qui fait que l’image du monde ravagé par une invasion de cannibales trouve un écho aussi fort auprès du public : la menace omniprésente qui ramène l’humain à la condition de survivant est également la promesse d’un mode de vie simplifié, où l’on reprend goût aux choses de la vie les plus simples et où les rencontres entre personnes sont de nouveau possibles. Une aspiration à laquelle de plus en plus de citadins sont sensibles.
Alors que certains sujets peinent à être abordés dans les médias, la culture populaire s’en est emparée depuis bien longtemps et pose, à travers le prisme de produits divertissants, des question de société sur des angoisses très communément partagées.
L’autre point fort du zombie est que, tel un virus, il a su muter pour s’adapter aux différentes époques. Du « mangeur de chair » des origines, déambulant avec une lenteur extrême, il ne subsiste aujourd’hui plus grand chose. Un film en particulier a symbolisé cette mutation : « 28 jours plus tard » de l’Anglais Danny Boyle (également connu pour avoir réalisé le multi-oscarisé Slumdog Millionaire ).
Sa vision du zombie est plus réaliste, cristallisée par un choix de mise en scène en DV (image « sale », basse résolution) qui instaure une proximité immédiate avec le monde réel. Le monstre devient un infecté, plus nerveux, plus rapide, en proie à un virus similaire à celui de la rage. On est cette fois-ci plus dans la peur de l’expérimentation bactériologique et de la contamination, des sujets pour le moins actuels.
Une invasion de zombies, c'est possible ?
Si l’on considère le zombie dans sa dimension monstrueuse, et non comme la population au regard vide qui prend le métro tous les matins, Ipod dans les oreilles et gestes mécaniques exécutés sans une étincelle de vie, une menace de ce type est… scientifiquement plausible.
C’est en tout cas ce que soutient Samita Andreansky, virologue à l’Université de Floride de Miami (tiens donc, mais ne serait-ce pas la ville d’origine de notre « patient zéro » ?) dans un documentaire de la chaîne National Geographic : « La vérité sur les Zombies ». Il affirme en effet combinaison du virus de la rage avec un virus de la grippe mutée pourrait jeter les bases d’une pandémie de zombies dans le monde entier, similaire à celle entrevue dans « 28 jours plus tard ».
Reste qu’une telle hybridation naturelle entre deux virus aux propriétés radicalement différentes est de l’ordre du jamais vu, scientifiquement parlant. Mais les amateurs de sensations fortes peuvent se rassurer, la piste de la création laborantine demeure : « Il est théoriquement possible mais extrêmement difficile de créer un virus hybride rage et grippe en utilisant des techniques modernes de génie génétique », a déclaré Andreansky à l'Université de Miami. Et puis, qui investirait dans de telles recherches, et dans quel but ?
En attendant d'être (ou non) touchés un jour, des cas de zombification ont été récemment découverts du côté des fourmis. Brrr.
Toi sa ta marqué cette histoire... Moi de min côté de ta faute j'en fait des cauchemar,cette nuit j'ai fait le remake de seule au monde avec moi dans le rôle de will Smith,poursuivi par plein de mec qui voulaient me bouffer la geule
Giusnake : oui car comme je dis au début de l'article, ma mère passe souvent par ici, et habite à côté du pont pratiquement, car l'agression c'est passé sur le pont entre miami beach et miami ou il y a les magasin etc.... et tout sa en plein jour :s
J'espère pour tout le monde surtout, car bon les média en parle peu, et peut être qu'on s'inquiète pour rien, mais bon cette drogue si elle circule etc... ai :s
Je pense et j’espère que c'est un cas isolé. En tout cas je me demande ce que je ferait si les zombies existerait vraiment (oui je me pose des question connes je sait), parceque dire que je prendrait les armes et que je me défendrait parait un peu gros, je croit que comme tout le monde je me flinguerait. On dit que tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir, mais si il n'y a plus de vies autour de nous, l'espoir ne sert plus a rien.
M'enfin je me verrait quand même bien partir avec une clope au bec...
Solid : chaud de s’imaginer que c'truc nous rend cannibale :s
Kurosama : j'avoue hardcore l'histoire
Sorow : bah oui car on ce dis toujours, sa n'arrivera jamais, mais quand tu vois que le mec avec un p'tit truc à la con il devient fou jusqu'à bouffer une personne , alors qu'il y a des cas de cannibalisme ou les personnes sont consciente, alors que lui je ne pense pas qu'il était conscient et sa fait peur :s
Ce n'est pas ce genre de drogue qui pourrait crée une epidémie de "zombie" étant donné que ce n'est pas contagieux, le seul truc serais une bactérie, un virus dans l'air...
C'est "Je Suis Une Légende" avec Will Smith. "Seul Au Monde" c'est Tom Hanks paumé sur une île.
"28 Jours/Semaines Plus Tard" parlent énormément de l'évolution de l'homme au travers d'un comportement primitif, un retour aux "sources" que l'on doit à la science, un paradoxe. Un virus, une drogue comme ce bath salt... tout ça est créé via la chimie. L'intro avec les singes renvoie directement à la théorie de l'évolution de Darwin, approfondie avec l'intrigue de "28 Semaines...", toujours avec cette idée d'adaptation donc. En gros l'homme est fait pour évoluer malgré sa condition cyclique, évoluer pour régresser, que ce soit volontaire ou pas.
Après cela reste un film. Jamais on ne verra une population entière s’entre-dévorer.
C'est flippant cette histoire j'y est pas mal pensé aussi ...on parle de virus qui pourrait transformer les humains en zombies ,mais là c'est une "simple" drogue ! Bon faut relativiser en se disant que c'est un cas isolé , mais imaginez qu'on puisse rendre cet effet plus puissant ...non Solidfisher pas forcément: la méphédrone ou les drogues synthétiques type sels de bain sont diluables dans l'eau , sont inodores et n'ont pas de gout !
Le truc c'est que cette drogue provoque des effets secondaires différentes selon les personnes, pour le mec sa lui a donné l'envie de bouffé un pauvre homme, pour un autre sa lui donnera envie de violé ect... des tas de saloperies quoi.
Ce qui m’inquiète le plus, c'est que cette merde puisse ce propager et être vendu au premier Junkie venu, qui, étant en manque ne cherchera même pas a savoir ce qu'il prend.
En tout cas je comprend que tu t'en fasse vu que ta mère vie la bas, et j’espère que tout ce passera bien pour elle, il n'y a pas de raisons que le contraire arrive.
Sorow : bah pour l'instant elle est en france la, donc un peu rassuré , mais j'avoue que si elle aurai été la bas sur le coup, je serai en panique total XD
vous comprenez pas les mecs que toutes les drogues peuvent avoir des effets dévastateurs selon l'individu. par exemple il y avait un mec de ma cité pas de ma génération mais au dessus, le mec si le matin il avait pas fumer son joint de shit, fallait pas l'approcher au risque de ce faire cogner, et je l'ai déjà vue casser des bouche gratuitement parce qu'il avait pas fumer son joint, et ce mec croyait moi a l’époque il avait une putain de réputation de cogneur. tous ça pour vous dire que toute les drogues sont dangereuses pour l’être humain. une personne même en ayant consommer de la cocaïne peut faire un mauvais tripes et bouffer quelqu’un par la suite
Comme quoi, si on veut créé des zombies on peux...
Après même si ça fait un peu le mec parano, est-ce que la réponse officiel donné par l'autorité est la vraie..
http://fr.wikipedia.org/wiki/Issei_Sagawa
M'enfin je me verrait quand même bien partir avec une clope au bec...
Kurosama : j'avoue hardcore l'histoire
Sorow : bah oui car on ce dis toujours, sa n'arrivera jamais, mais quand tu vois que le mec avec un p'tit truc à la con il devient fou jusqu'à bouffer une personne
"28 Jours/Semaines Plus Tard" parlent énormément de l'évolution de l'homme au travers d'un comportement primitif, un retour aux "sources" que l'on doit à la science, un paradoxe. Un virus, une drogue comme ce bath salt... tout ça est créé via la chimie. L'intro avec les singes renvoie directement à la théorie de l'évolution de Darwin, approfondie avec l'intrigue de "28 Semaines...", toujours avec cette idée d'adaptation donc. En gros l'homme est fait pour évoluer malgré sa condition cyclique, évoluer pour régresser, que ce soit volontaire ou pas.
Après cela reste un film. Jamais on ne verra une population entière s’entre-dévorer.
En attendant, j'ai un petit creux.
Ce qui m’inquiète le plus, c'est que cette merde puisse ce propager et être vendu au premier Junkie venu, qui, étant en manque ne cherchera même pas a savoir ce qu'il prend.
En tout cas je comprend que tu t'en fasse vu que ta mère vie la bas, et j’espère que tout ce passera bien pour elle, il n'y a pas de raisons que le contraire arrive.
Ou en tous cas pas officiellement.
Après même si ça fait un peu le mec parano, est-ce que la réponse officiel donné par l'autorité est la vraie..