Ah te revoilà, Cruelle Instigatrice!
Barbie l’Épouvante, Daemonium Horribilis !
Nos derniers émois m'avaient brisé le cœur;
et soudain te revoilà, j'en frémis et j'en pleure !
Jamais mes yeux n'avaient connu pareil néant;
face à l'horreur du rendu, un syllogisme, et un tourment.
Mais pourquoi donc errer, dans ce chemin de torpeur ?
On ne peut donc que sauter, lancer une boule, Ô Grand Malheur.
La brume du chemin a brisé tout de mon âme ;
l'Ecume des Titans, de mes yeux s'écoulent, de pleines larmes.
Que ton récit est vide, ta pensée, inanité.
Tu n'es vraiment qu'aldéhyde, et bien mal décomposée.
Que dire de nos esgourdes, souillées de ton vacarme ;
Cette mélopée, cette lambourde, me fait saigner et prendre mon arme.
Barbie, Cruel Désamour, cette fois, c'est un Adieu.
Le Poète est blême, le cœur lourd et s'en va vers d'Autres Cieux.