Jeux Video
Suite à mon précédent article :
Nintendo a pris contact avec Foxconn et enquête actuellement sur ce problème. En tant qu’entreprise mondiale, nous prenons nos responsabilités très au sérieux et nous plions à une politique éthique concernant l’approvisionnement, la fabrication et le travail. Afin de garantir la continuité de notre responsabilité sociale tout au long de notre chaîne d’approvisionnement, nous avons mis en place les Nintendo CSR Procurement Guidelines (des instructions relatives à l’approvisionnement, à destination des entreprises de production) en juillet 2008. Nous exigeons de tous nos partenaires, Foxconn inclus, qu’ils respectent ces instructions qui se basent sur les lois concernées, les critères et recommandations internationaux. Si nous venions à apprendre qu’un de nos partenaires de production n’appliquait pas nos directives, nous exigerions de lui qu’il modifie ses pratiques en accord avec la politique de Nintendo. Pour plus d’informations sur la Responsabilité Sociale d’Entreprise de Nintendo, merci de visiter http://www.nintendo.co.jp/csr/en/index.html.
Dans le même temps, Foxconn a reconnu son erreur et a assuré que les ados (14-16 ans), qui avaient été contraint de travailler chez eux sous la menace de ne pas recevoir leur diplômes, ont été renvoyé dans le domaine scolaire.
Le buzz d'internet a sauvé une dizaine d'ados. Plus que quelques millions de gamins sous l’esclavage moderne à sauver pour rendre Octobot heureux. Courage.
posted the 10/18/2012 at 03:13 PM by
shanks
Jeux Video
(avec ça, je fais un million de visites, obligé

)
Kotaku balance que les usines chinoises de l’entreprise Foxconn ont "employé" (gratuitement quoi) des mineurs de 14-16 ans durant 3 semaines.
Un stage pourrait-on dire ? Messieurs, nous parlons de la Chine quand même. Et l'affaire fait grand bruit jusqu'au journal US Reuters puisque les gamins auraient dû aller travailler sous la contrainte, sous peine de se voir refuser leurs diplômes.
Esclavage moderne, Octobot en larmes, tout ça...
Un des témoignages d'une élève de 14 ans :
"J’ai fait de la manutention, je les ai aidé à transporter de la marchandise. Ici, l’équipe de nuit débute à 19h40 [et travaille] jusqu’au matin… sans qu’on sache avec certitude de quelle heure il s’agit, vous voyez. Ce n’est que lorsque le travail est achevé que vous pouvez quitter votre poste. Si vous ne terminez pas le travail, il (le contremaître de la chaîne de production) ne vous laissera pas quitter votre poste. La plupart du temps, vous pouvez quitter vers 7 heures du matin. Mes bras sont douloureux à cause du travail."
Et là où ça peut faire davantage de bruit (et me rapporter 1 million de visites

), c'est lorsque les sites chinois Sina et GameQQ affirme que les gamins en question travaillaient sur l'assemblage de Wii U.
Nintendo cay le mal !
(RAF, je l'achèterais quand même)
Là, on lance la production de GamePad
posted the 10/17/2012 at 02:32 PM by
shanks
Jeux Video
Eurogamer – 9/10
Gamespot – 8.5/10
Pocket-Lint – 4/5
Polygon – 6/10
VentureBeat – 83/100
Gaming Examiner – 9.5/10
IGN – 9/10
Destructoid – 9/10
ShopTo : Excellent
Plus qu'à attendre le 5/10 de Gamekult.
posted the 10/12/2012 at 09:01 AM by
shanks
Jeux Video
Mais tout ça, surtout sur Vita, c'est le full Day One quoi

posted the 10/12/2012 at 05:42 AM by
shanks
Jeux Video
Rappel des faits :
Affaire concernant Nina, fille ayant il y a quelques années (lorsque elle avait 16 ans) été violée en tournante par une vingtaine de mecs, à plusieurs reprises, dans des hall d'immeubles, un parc, etc. Elle a été tabassée en même temps, menacée de mort si elle parlait... Aurélie a également porté plainte sur les mêmes personnes pour des faits similaires.
--
LE VERDICT (après un mois de procés) :
Après trois semaines de débats à huis-clos mais sous haute tension, la cour d'assises a reconnu des viols sur une seule des plaignantes qui, selon une de leurs avocates, ont eu le sentiment d'avoir assisté à un "naufrage judiciaire".
Deux accusés ont été condamnés à cinq ans dont quatre avec sursis, un troisième a été condamné à cinq ans dont quatre ans et demi avec sursis et le dernier à trois ans avec sursis.
Les quatre condamnés l'ont été pour des viols commis sur Nina, 29 ans. Les quatre hommes poursuivis pour les mêmes faits sur Aurélie, 28 ans, ont été acquittés. Les plaignantes avaient entre 15 et 16 ans au moment des faits dénoncés.
Selon un avocat interrogé par l'AFP, les condamnés sont ceux qui ont reconnu avoir eu des relations sexuelles avec Nina en les présentant toutefois comme consenties. Parmi eux, le seul accusé à comparaître détenu. Il sera de nouveau jugé devant la cour d'assises du Val-de-Marne, du 2 au 6 novembre, pour l'assassinat de sa compagne et l'enlèvement et la séquestration de leur petit garçon en février 2010.
Pour Me Amar Bouaou, avocat d'un condamné et d'un acquitté, Aurélie "ne peut pas se poser en victime. Elle a menti".
Selon lui, "on évite un fiasco judiciaire, il fallait que des personnes soient condamnées".
"Treize ans après les faits, l'échec est là. Quelle peine aurait un sens, quand on entend que des coupables de viols en réunion sont condamnés à trois ans avec sursis, on s'interroge", a dit Me Laure Heinich-Luijer, avocate des deux jeunes femmes.
Pour Me Clotilde Lepetit, une autre avocate des plaignantes, en revanche, "la cour d'assises a dit à Nina: +on vous croit+".
Elle a cependant fustigé "les conséquences d'un dossier mal instruit" et les "failles judiciaires" dans le cas d'Aurélie.
Lundi, l'avocate générale avait requis des peines de cinq à sept ans de prison pour huit accusés. Pour les six autres, elle s'en était remise à la décision de la cour, évoquant le "doute" et relevant le manque d'éléments à charge les concernant pour réclamer une peine.
Au moment du verdict, quelques applaudissements ont accompagné les 10 acquittements prononcés par la cour.
Du côté des acquittés, le soulagement prédomine ainsi qu'un "sentiment de justice" selon l'un d'eux qui souhaite garder l'anonymat.
"C'est pas normal, il reste trois personnes condamnées", a-t-il nuancé.
"Un mois de procès, c'est dur. C'est un cauchemar. Je suis soulagé mais c'est un mic-mac. Les autres ne sont pas des violeurs", a affirmé un autre homme mis hors de cause par la cour.
Le procès s'est déroulé dans une ambiance tendue mais derrière les portes des assises, difficile de connaître le détail des débats qui ont toutefois semblé tourner à l'épreuve pour les deux plaignantes.
Les deux jeunes femmes, qui affirment avoir été violées à répétition dans des conditions particulièrement sordides, régulièrement absentes pour raisons médicales, n'étaient pas présentes à l'énoncé du jugement.
Les treize accusés --un quatorzième est en fuite, le dossier d'un quinzième a été disjoint--, désormais âgés de 29 à 33 ans, parfois mariés et travaillant, ont toujours nié avec véhémence ces accusations et ont comparu libres à une exception près.
Deux autres mis en cause, âgés de moins de 16 ans lors des faits, comparaîtront devant le tribunal pour enfants de Créteil. La date d'audience n'a pas été fixée.
--
Un an au mieux et un peu de sursis pour viols et violences à multiples répétitions, ça va, ça laisse une porte ouverte à celui qui est tenté finalement.
Mais après tout, Nina et Aurélie ne sont que françaises. La peine est limite trop lourde dans ce genre de conditions.
posted the 10/11/2012 at 05:36 AM by
shanks