Jeux Video
Après avoir ouvert une pétition défendant je ne sais plus quel con de rappeur qui avait été condamné pour le titre "Nique la France", ce torchon chapeauté par la conne à lunettes hors de prix met en avant la "chute" de Depardieu avec un mauvais goût qui en a fait hurler plus d'un dans le milieu.
Définitivement un journal de Gauche, celui qui vante la fermeture des frontières en passant un coup de polish sur le sexe de Hollande mais qui n'hésitent pas à cracher sur un riche qui se barre. Logique.
"Particulièrement de mauvais goût la Une des Inrocks sur #Depardieu. Le journalisme est mort, place au sensationnel." (Bruce Toussaint)
JulienC doit applaudir des deux mains.
Miss lunettes s'est tout de mêle fendu d'un édito sous forme de damage control où elle ne parvient à faire rien d'autres que s’enliser, comme en comparant la chute de Depardieu avec celle de Michael Jackson pour les accusations de pédophilie. Pédophilie (même si innocenté) et fuite d'un pays qui joue sur le racket fiscal, que de rapports. Demandons son avis sur les frasques de DSK, pour savoir si la Pulvar a bien reçu sa cartouche en sa qualité de chroniqueuse de talent.
Et bien entendu, comme tous bons journalistes français de Gauche, Pulvar aime utiliser aveuglément la "technique du pointage de doigt mais gueule fermée" :
On se posait encore la question en fin de semaine dernière, tandis que Gérard Depardieu continuait d’enfiler les perles comme on déballe des poupées russes, dévoilant à chaque saillie une petitesse qu’on ne lui soupçonnait pas – last (but not least) en date, son analyse de l’action des Pussy Riot : “les Français sont très bien pour critiquer… quand ils parlent des Pussy Riot, bof… imaginez si des Pussy Riot allaient dans une mosquée ? Mais… on les r’voit jamais, elles seraient brûlées vives !”
Oui Pulvar, tu sais quoter comme une reine.
Mais a t-il tord ? Pourquoi tu ne donnes pas ton avis sur le sujet ?
Parce que faire l'autruche le cul en l'air est plus utile ? Évidemment, tu es de GAUCHE.
posted the 01/16/2013 at 10:37 AM by
shanks
Le rien
Afin de récolter des fonds afin d’aider une association de sauvetage des animaux, la galerie d’art Nucleus, en Californie, organise le 9 février une exposition caritative. Les œuvres proposées à la vente doivent toutes rassembler ces deux thèmes : les animaux de compagnie et les jeux vidéo.
Cette initiative prouve que le jeu vidéo peut s’inviter dans la création artistique comme une inspiration, une culture, une somme de références communes. Et dépasser son statut de divertissement en s’associant à une cause utile.
L’exposition Press Paws (un jeu de mot avec « press pause », le terme « paws » qui se prononce de la même façon signifiant « pattes ») met en scène des toutous et des matous dans des jeux vidéo connus. Les fonds récoltés par la vente des œuvres ira à l’association What’s Up Dog! LA qui recueille des animaux et leur trouve des maîtres.
Les premières soumissions sont particulièrement drôles, jugez plutôt.
posted the 01/15/2013 at 01:29 PM by
shanks
Jeux Video
Des bidouilleurs de génie ont utilisé leurs connaissances de l’électronique et de la mécanique pour truquer une course de Kart… Bienvenue dans Mario Kart !
Attention, cette vidéo pourrait sembler absconse pour qui ne s’y connait pas en électronique. Pourtant, les vrais nerds de Waterloo Labs ont réalisé une sacrée prouesse en décidant de jouer à Mario Kart « pour de vrai« . Ils expliquent dans cette vidéo de quelle façon ils ont modifié des karts, afin que ceux-ci reçoivent les signaux émis par des items et se dérèglent en fonction de ces informations. De vrais karts, de vrais item, et une course qui fonctionne… C’est certes moins nerveux que dans l’original, mais tout de même impressionnant.
Je veux tester

posted the 01/15/2013 at 10:17 AM by
shanks
Jeux Video
Malheureusement ce n'est qu'un mod pour GTA IV...
posted the 01/14/2013 at 01:36 PM by
shanks
Infos en vrac
Quatre familles de Boulogne-Billancourt, près de Paris, dont les enfants ont été condamnés pour trafic de drogue, doivent quitter leur logement HLM pour avoir troublé la vie du quartier, une décision rare qui fait débat.
En juin, la cour d'appel de Versailles a prononcé la résiliation des baux de ces familles et a ordonné la libération "sans délai" des logements ou "à défaut" a autorisé leur expulsion à l'issue de la trêve hivernale le 15 mars.
Usage d'un scooter à une vitesse excessive au sein de la résidence, trafic de cannabis, dégradations: ces "troubles de jouissance", selon le terme légal, ont valu de nombreux avertissements à ces locataires, selon une décision de la cour consultée par l'AFP.
"La persistance de ces troubles graves pendant plusieurs années justifie la résiliation du bail sans qu'il soit besoin de rechercher l'implication factuelle des locataires dans les faits", a tranché la juridiction.
Une décision vécue comme "une double peine (...) totalement injuste" par le frère de l'un des jeunes condamnés pour trafic de drogue interviewé par RMC.
"On n'a pas d'autre endroit où aller. Ils ne veulent pas nous reloger, qu'est-ce qu'on va faire? Mon frère était majeur à l'époque des faits. Il a fait une connerie, mais c'est pas la famille qui doit prendre pour lui", a réagi sur Europe 1 une autre personne concernée par l'expulsion.
Une pétition de soutien aux familles sommées de quitter leurs logements circule dans ce quartier d'immeubles de brique, proche de la Seine, qui regroupe un millier de logements.
"Il y a trois ans c'était plus chaud mais ça s'est calmé avec les arrestations", témoigne un habitant sous couvert d'anonymat.
300 demandes aboutissent chaque année
Le ministre délégué à la Ville François Lamy doit discuter la semaine prochaine d'un dispositif pour accompagner les familles de jeunes délinquants dans les HLM avec la ministre déléguée à la famille Dominique Bertinotti et le président de l'Union sociale pour l'habitat (USH) Jean-Louis Dumont, a indiqué à l'AFP son cabinet.
"Il faut, bien entendu, que l'on ne mette pas ces familles à la rue", a souligné le ministre sur Europe 1.
De telles expulsions sont "exceptionnelles", explique l'USH qui représente 760 organismes HLM: "c'est très difficile parce qu'il faut des preuves et que des voisins portent plainte".
Chaque année, 600 demandes d'expulsion pour des troubles de voisinage ou des troubles de jouissance (bruit, tapage nocturne pour l'essentiel) sont déposées en France et seules 300 aboutissent, à l'issue d'une procédure judiciaire.
L'article 7 de la loi du 6 juillet 1989 précise que le locataire doit "user paisiblement des locaux" et "répondre des dégradations et pertes qui surviennent".
Christian Dupuy, le président de l'office départemental d'HLM des Hauts-de-Seine (OPDHLM 92) qui a saisi la justice il y a plusieurs années pour rompre les baux des locataires, affirme que le cas des familles de Boulogne-Billancourt n'est pas inédit, "ni pour le département ni pour un autre bailleur en France".
Sébastien Pietrasanta, maire PS d'Asnières, autre commune des Hauts-de-Seine, explique avoir "déjà demandé à des bailleurs sociaux la résiliation d'un bail locatif pour trouble de jouissance sans l'obtenir", soulignant "la réticence de certaines bailleurs et la lenteur de la justice dans sa prise de décision".
L'édile salue une "décision courageuse" tout en craignant que le problème se déplace "dans un autre quartier".
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Je retiens la dernière phrase qui est évidente. Pousser le problème ailleurs ne le résoudra pas. D'un autre coté, il est vrai que pour l'avoir vu, beaucoup de parents sont très "jemenfoutise" sur le comportement de leurs gosses dans les quartiers. Que le gamin traîne dans le hall d'immeuble, bon... Mais les "une roue" jusqu'à trois heures du mat... Pour avoir tenté de faire le con dans ma jeunesse (10 ans quoi), je me faisais dérouiller à coups de ceintures, et ce dans la même cité.
Et vous, qu'en pensez vous ? :JulienC:
posted the 01/11/2013 at 05:47 PM by
shanks