Parmi les offres intéressantes selon moi sur PS3 :
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- WipEout HD/Fury à 5 euros
- LBP 3 à 8 euros
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Zelda BotW n'a-t-il pas d'âme ? Je serais tenté de le dire, oui.
Pourtant, des âmes défuntes qui hantent Hyrule, il y en a ! Le problème vient du fait que personne ne semble vouloir crever de mort naturelle dans le monde de Zelda. Les Zoras expliquent qu'ils vivent plus longtemps. D'accord. Jusque-là tout va bien. Mais les Gerudo ? Toute logique est balancée par dessus-bord très tôt. La petite Gerudo est seulement la FILLE du prodige ? Mais elle a pas 100 piges tout de même ? Personne ne vieillit jamais en fait ? Bref, on n'est pas à ça près côté logique. Sans doute des problèmes de traduction.
Bien sûr, j'ai trouvé le monde agréable, les énigmes bien pensées, les graphismes sympa. Mais un souffle d'air frais, mon cul ! Prout.
D'abord, j'ai eu la fâcheuse impression que ce jeu était destiné aux amateurs de Majora's Mask 3D, de ses ses 4 donjons et son journal de quêtes, de la volonté de casser les conventions de progression autour de quatre points cardinaux à explorer dans l'ordre de son choix.
J'ai vu énormément de similitudes avec Xenoblade, ce qui n'est pas surprenant et qui n'a pas besoin d'être argumenté, vu que Monolith s'est profondément impliqué dans le développement.
Toutefois, et j'espère que personne ne trouvera à y redire, je comparerais plutôt le jeu à Final Fantasy XIII LR, pour deux raisons. D'abord parce qu'objectivement, ils sont très proches. Ensuite, parce qu'ayant joué par hasard très récemment à Lightning Returns, mes deux playthroughs sont assez rapprochées dans le temps pour que je me souvienne de tas de détailsdd.
Je ne veux pas chercher à prouver quoique ce soit, comme un plagiat ou je ne sais quoi. Après tout, BotW ressemble BEAUCOUP à Majora's Mask, lui-même souvent qualifié (à raison) de modèle pour FF13-3.
Je dirai juste que comme pour FF13-3, l'histoire de BotW est messianique et apocalyptique. Link se réveille après une stase de XXX années pendant lesquelles personne ne semble avoir beaucoup vieilli au final. Il découvre que son jeu s'est transformé en openworld qu'il peut aborder dans n'importe quel sens, qu'il va falloir passer son temps à changer de fringues et à chercher à sauver les âmes de ses amis défunts et aussi que les ennemis ont reçu un mega buff. Accessoirement, il se réveille juste à temps avant que Ganon ne se libère. "Dépêche-toi" ! Oui sauf que non bobonne, je vais prendre touuuut mon temps et le jeu ne m'encouragera pas à aller plus vite que ça.
Bon, contrairement à FF13, on n'a pas une voix qui vous saoule à longueur de temps comme Hope Estheim... où Fei/Navi/Midna côté Zelda.
Je reviens donc à Majora's Mask. Tout comme ce dernier, BotW offre une liberté d'action totale entre quatre poins cardinaux de sa map gigantesque. Mais contrairement à Majora's Mask et Final Fantasy XIII-3, jamais les quêtes que Link rencontre ne permettent réellement de justifier une progression "libre" de l'histoire. Je veux dire que dans ces deux autres jeux, le gameplay sert l'histoire et inversement. Dans BotW, c'est le divorce complet.
Exemple. Dans Majora's, on peut remonter le temps et utiliser directement un mot de passe au lieu de faire la quête du mot de passe qui prend une journée entière. Ca permet d'avancer le schmilblick, même si ça n'est pas à proprement parler une histoire. On accède plus facilement aux sections plus riches en narration.
Dans LR FF13, trouver le fameux code qui plagie à mort MM dans la première quête du jeu permet de revenir plus tard pour faire avancer le scénario.
Dans Botw, il n'y a pas la contrainte de temps. C'est-à-dire que l'ouverture du monde ne justifie pas la dislocation voir l'abandon de la narration. Le cycle jour/nuit n'a aucun intérêt par exemple. Tout au plus peut-on rebrousser chemin quand on s'ennuie. Et ça arrive souvent.
C'est assez révélateur, voire HUMILIANT qu'un jeu tiers de 2013 ait mieux réussi à être le digne héritier de Zelda Majora's Mask que BotW lui-même, alors que ce dernier s'appuie sur la structure de ce jeu remasterisé récemment pour la 3DS.
A la question "comment peut-on créer une structure de progression pertinente et intéressante pour un monde ouvert de la taille de BotW", la réponse a été à la fois quelque chose de très similaire, structuellement, à MM, mais aussi à des années lumière du génie d'Aonuma lui-même à l'époque.
On hérite de "pouvoirs" qui ne remplacent évidemment pas les masques. Pourtant, il s'agit toujours de s'approprier l'âme des défunts à son compte. Le déguisement est toujours de mise dans la ville Gerudo... Bref, la même chose, sans le génie du voyage dans le temps ou des différentes formes.
C'est pour ça que j'ai attendu le tournant dans le scénario qui aurait permis de remonter le temps. Comme dans tous les Zelda, quoi, pour rendre l'histoire au moins intéressante.
Zelda n'arrive pas à déclencher son pouvoir... Ohhh pourquoi ? Mais elle utilise son pouvoir dans le présent. Elle est télépathe et tout... Donc on sait déjà qu'elle va réussir.
Moi, ce que je m'étais dit, c'était infiniment meilleur : Zelda n'entend pas la déesse lui parler, ni la Master Sword. Link, lui, par contre, entend la déesse à chaque prière. Je pensais que Zelda était tout simplement la détentrice de la triforce du courage et Link celui de la triforce de la sagesse, et que c'était ça, le "gender twist" tellement teasé pendant des années autour de ce jeu. Qu'il y aurait eu une erreur de casting entre les deux. Que la princesse était malheureuse tout simplement parce qu'elle n'était pas faite pour être la crucruche de service et que Link s'était fait bousiller la gueule parce qu'il n'était pas à la hauteur face à Ganon. Je m'attendais à ce que Zelda, avec qui on interagirait dans le passé, puisse découvrir grâce à nous le pourquoi du comment.
Au lieu de ça, on a droit à la Zelda la plus CONNE et la plus inutile, ainsi que la plus gourdasse de toute la série. Link, lui, est le mec qui fait son boulot sans chier une pendule parce qu'il est dans son rôle masculin de prédilection. Zelda se plaint tout le temps pour au final se rendre compte, après que tout le monde soit mort, que finalement quand elle se bouge le cul elle y arrive. Et en plus, elle est foutrement moche.
Clairement, Aonuma ne veut plus se casser le cul à créer des niveaux inventifs et intriqués, ou à faire des scénarios sympa. Jusqu'au caractère des personnages qui deviennent des clichés d'anime de bas étage.
Je suis déçu car j'attendais mieux. J'attendais un scénario. J'attendais même mieux au niveau sonore (musique absente). J'attendais mieux qu'un jeu qui passe son temps à faire des références aux anciens épisodes sans jamais vouloir se donner la peine de les égaler.
Ah, ça, niveau gameplay, c'est intéressant, la physique cohérente et les interactions des monstres avec des objets. La map est facinante, les graphismes jolis, les personnages bien dessinés. Mais... Il manque quelque chose. Tant qu'on découvre, on s'émerveille. Mais quand on se retourne sur ce qu'on a fait ou accompli, on se rend compte de la vacuité du truc. Un peu comme si on avait perdu son temps.
Quel est le problème ?
Ben, tout simplement, le plateau suit TOUS les mouvements de la mablette. Si vous tenez la mablette comme ça...
La boule tombe juste en face du trou à la fin du parcours. Vous n'avez donc pas à vous farcir le gameplay de merde complètement imprécis.
Je ne sais pas encore si le jeu mérite 9/10 parce qu'on est obligé de contourner les règles pour pas s'arracher les cheveux, ou si justement la possibilité de cheater la physique en fait un jeu exceptionnel...
Je joue depuis avant-hier à Zelda BotW et une chose se dégage clairement, une chose qu'on n'avait pas vu venir dans les trailers et les preview...
Ce jeu est développé par Monolith Software. Ca ne fait aucun doute. Les gars de Monolith n'ont pas "aidé", ils ont DIRIGÉ le développement de ce jeu. Tout, la topographie, le sentiment d'être dans un univers intriqué et infiniment étendu, tout rappelle Monolith.
Ce Zelda n'est rien de moins qu'un troisième XENOBLADE, en format action-RPG.
On retrouve les antennes relais de Xenoblade X, sa mappemonde gigantesque, ses reliefs bizarroïdes et ses monstres mécaniques. Les objets complètent une encyclopédie, les NPC ont un message texte au-dessus de la tête quand on passe ainsi qu'une petite excamation vocale... On peut changer de fringues à l'envie, les armes sont ramassables à même les ennemis. On peut faire du crafting pour revendre les objets créés et c'est la principale source de revenu. Il y a un village à personnaliser... Les donjons sont en plein air. Il y a un appel de l'horizon permanent. La météo, les monstres géants, tout.
Pour qui a aimé Xenoblade... Foncez. Pour ceux qui aiment Zelda BotW et qui n'ont jamais été attiré par Xenoblade... Voilà un avant-goût. Sachez que les deux Xeno sont des Zelda BotW à la sauce JRPG.
Plus j'y joue, plus la ressemblance est frappante.
Qu'en dites-vous ?
Pour moi, ce que Monolith a fait à Zelda est un peu ce que Retro a fait à Metroid en son temps. Ils ont sublimé le concept en appliquant les codes d'un autre genre.
Pour moi, la transfiguration subie par Zelda entre les mains de Monolith et du reste de l'équipe de Nintendo est d'une ampleur comparable au passage en 3D de la licence avec OoT.
On a dit, par exemple, que Mario 3D World était ce que Mario World aurait peu être si Miyamoto n'avait pas donné une dimention aventuresque à la 3e personne à sa licence. Ou que Metroid Other M aurait pu être le triste résultat de l'inexistence de Metroid Prime dans un univers parallèle.
Là, pas de mauvaise route. Que ce soit OoT ou BotW, les deux chemins divergent mais les deux résultats sont SU-BLIMES.
Vous vous souvenez de Metal Gear Rising qui s'est fait mettre un coup de pied au cul par Platinum, sous condition que les mecs mettent leur logo sur le jeu ? A mon avis c'est ce qu'il s'est passé avec ce Zelda, le logo en moins.
Je viens de commencer Zelda (enfin, j'y ai joué 7 heures hier). Combien de temps vais-je pouvoir jouer à poil ? (le passage dans la neige obligatoire compte pas).
Et... C'est... Impressionnant.
Je découvre un monde vivant comme dans Wind Waker. C'est exhubérant, c'est cohérent, c'est amusant, il y a une quantité énorme de mécanismes qui justement ne passent pas pour des minigames car ils s'imbriquent les uns dans les autres. La physique à la GTA 5 est sympa aussi.
Il n'y a qu'une chose qui me dérange POUR L'INSTANT... Le manque de vrais donjons.
Et aussi évidemment la claque graphique. Zelda se doit d'émerveiller. Et ce n'est pas avec la "puissance" de la Wii U (ou même de la Switch) qu'il y parviendra en 2017. Dommage. Ca serait vraiment, VRAIMENT mieux passé en 2015.
De plus, sur Switch, le jeu ne dépasse pas souvent les 20 fps. C'est une ca-ta-strophe. Il y a des ralentissements PARTOUT. Quand il y a en plus des effets météo comme le vent, la Wii U dépose le bilan.
Quoiqu'il en soit, l'overworld me fait ressentir des choses comme je n'en avais pas ressenties depuis... Link's Awakening. Rien que ça.
Donc, on attend, on joue, on goûte bien avec les gencives... Et on verra si on crache ou pas dans une centaine d'heures de gameplay
Ding ding ! C'est l'heure de l'énième article du jour pour vous prévenir que Zelda arrive dans 2 jours et que je sens poindre une excitation palpable et humide chez les fans.
Zelda BotW c'est chiant à écrire. Zelda Botswana ça donne mieux et ça rime. En plus, les grandes plaines, la nature, les animaux, le curry à la poêle en pleine cambrousse...
Voilà. C'est Zelda Botswana ce Zelda-là. C'est déciday, je baptise mon fétiche. C'est comme un gris-gris pour qu'il soit bon et ne me déçoive pas !
Et comme chante Rafiki, "Asante Zelda Botswanana dibididida bididida... "
A 7 jours de la date fatidique où il arrivera dans nos boîtes aux lettres (accompagné d'un carton de curry accidentellement laissé dans mon panier Amazon depuis des mois me concernant), Eurogamer.net teste les 5 premières heures de Zelda Breath of the Wild sur Nintendo Switch, dont il est dit qu'il est à mi chemin entre un Zelda classique et des titres comme Monster Hunter ou Skyrim (gloups).
Qu'importe, un Zelda est un Zelda, on a hâte Même si l'EMBARGO sur le contenu au-delà des 5 premières heures de jeu imposé à TOUS LES TESTEURS et testeuses fera qu'on en apprendra peu par rapport à ce qu'on savait déjà.
Mmmm... Avec du cheddar rappé, des carottes et du poulet. Pardon j'ai presque plus hâte de goûter au curry.
Vous avez de la chance, votre Leclerc ou autre supermarché a certainement ce mets des dieux dans ses rayons. Je sais par exemple qu'il y a des kouign amann au Carrefour d'Aubervilliers . Les Berrou sont très bien, ils viennent pour certains de Goulven, dans le nord Finistère, d'une petite fabrique au abords d'une baie sublime et pittoresque
Le kouign (gâteau) amann (au beurre) est une recette bretonne, une pâte faite de farine, de sucre et de beurre, ou plutôt de beurre, de sucre et de farine, qui est feuilletée, c'est-à-dire étalée et pliée sur elle-même plusieurs fois jusqu'à obtenir une texture caramélisée à l'extérieur, croustillante mais soyeuse à l'intérieur, comme si on croquait dans un paquet de mouchoirs en papier enrobés de caramel au beurre salé. Sauf que c'est pas du papier mais du gâteau. Vous savez un peu comme dans un croissant mais avec plus de sucre que... que... que... Je renonce à imaginer quelque chose de plus sucré que ce truc. Imaginez compromis entre un vieux croissant et un Werther's Original. Comparaison peu flatteuse mais pertinente. Le petit goût salé a de quoi surprendre. Enfin si vous êtes un "Français".
Oui, parce que le beurre, en Bretagne, c'est salé. Le kouign amann est idéal à partager, car même un huitième d'un petit gâteau format "45 tours" vous écœurera à coup sûr. Mais c'est bon ! Mais c'est écœurant... Mais c'est booooon. Encore un bout (beuuh je vais le regretter) nom nom nom....
!!!!! ATTENTION !!!!!
Je m'insurge contre un cliché ultra relou des Français qui te disent : "Aheu ouaieuh, un couine à mane, un gâteau breton quoi..." ou "Aheu ouaieuh, un gâteau breton, tu veux dire un QI-naman ?"
Ceci est un kouign amann
Ce que le kouign amann n'est pas : un gâteau breton. Enfin si. C'est un gâteau qui est breton. Mais LE GATEAU BRETON c'est autre chose. Le gâteau breton est un... Euh... Comme un quatre-quarts avec un quart en moins... ou en trop. Un quart de beurre, par Toutatis !
Ceci est un gâteau breton
Ou un biscuit raté, de par trop moelleux, très très friable, qui finit en semoule si vous ne le gobez pas d'un coup. Attention aux brûlures d'estomac. Comment réussir ce gâteau ? Tout tient dans les proportions. Et cette fois, il y a des oeufs. Garde-t-on les blancs ? Ou seulement les jaunes ? Je crois qu'on ne garde que les jaunes. C'est le secret. Mais vous pouvez essayer diverses recettes. Pour vous dire, ce gâteau ne gonfle pas. C'est une pâte compacte, presque sablée, qui, de par sa teneur en beurre, fait "frire" des petit poulouts (en Bretagne, on ne connaît pas le mot 'grumeau') pris dans la matrice beurrée en ébullition, d'où l'aspect friable du résultat. On décore le gâteau breton avec un jaune d'oeuf avant de le mettre au four. Il faut le déguster avec une boisson, sinon c'est un peu sec. En Bretagne, on met une fève dedans et on en mange autant que de galettes feuilletées à l’Épiphanie.
Parfois, le gâteau breton est agrémenté de confiture de pruneau pour faciliter la descente du caca. Les vieux adorent les gâteaux bretons fourrés à la confiotte de pruneaux.
Aheuh ouaieuh, mais en fait, c'est du phare ?
...
...
...
...
/grenade
...
*BOOM*
...
Le FAR, comme le "pudding" anglais, désigne une préparation qui est à la base une pâte liquide, pas loin de la pâte à crêpes (mais c'est pas pareil nom de Dieu !) - et bretonnes, les crêpes, rustiques. Le premier avec de la fleur d'oranger je le zigouille. Y a pas d'orangers en Bretagne ! Alors il y a le far avec des pruneaux, le blanc qui s'apparente à un flan pâtissier (mais c'est pas pareil !). Ca dépend qui le fait, je déteste ou bien ça passe, perso. C'est un peu comme si tu faisais des crêpes sucrées, et que tu décidais de foutre la pâte au four, comme ça. Gwenaëlle a dû avoir la flemme, un jour.
Et il y a le far du kig ha farz... Mais ça va trop loin.
Nintendo, qui se met à la pratique du DLC avant la sortie du jeu et des Season Pass On appréciera moyennement, selon qu'on a précommandé le jeu ou pas.
Et un, et deux, et trois Mars avec ça ?
Nous apprenons donc la venue de 3 packs de DLC qui seront accessibles pour 19,99 €. (via JV.com)
Joyeuse Saint-Valentin à tous les amoureux. L'amour est beau, l'amour est cruel, l'amour est pathétique. Parfois on passe la Saint-Valentin tout seul avec un pack de bière et des Doritos. Parfois on partage les Doritos et une pizza avec un copain de.. jeux vidéo.
Et puis vient le jour où on trouve sa moitié, son BF, sa brasserie foot à Boulogne remplie de supporters enjoués, son application Tinder ou que sais-je.
Faites des mamours à votre chat, dites à votre grand-mère que vous pensez à elle, faites un bisou à la main avec laquelle vous mangez la soupe.
Saaaalut. Alors, aujourd'hui une petite photo. Je veux sauter le pas depuis un moment maintenant mais j'ai un peu les glandes de m'en séparer. D'un autre côté, j'y ai pas touché depuis au moins 5 ans. Je veux parler de ma "collection" Gamecube. (J'étais pauvre, ça va lol). Hélas SoulCalibur II et Metroid Prime (première édition) ont été prêtés et jamais rendus. Ne prêtez pas vos affaires.
J'espère en tirer au minimum 250 euros, sachant qu'il faut compter là dedans les frais de site (commission Ebay) et d'expédition.
Avez-vous un type d'enveloppe à me conseiller, comment préférez-vous recevoir vos jeux, vous?
J'ai aussi Donkey Konga 2 avec les Konga le carton nickel au fait lol (image trouvée sur Internet mais jeu identique)
Sérieux, quand je vois les critiques de ce chef-d’œuvre, je ne peux qu'écarquiller les yeux devant tant d'ignorance, de suivisme, de mauvaise foi.
C'est une perle, une pépite, une prouesse incroyable sur un hardware pourtant minable. Tout fonctionne à merveille. Le style de gameplay est inégalé. L'implémentation de la reconnaissance de mouvement est irréprochable, innovante, variée, fun et intuitive. Les combats demandent de vrais réflexes, l'exploration est dynamique grâce à la barre d'endurance et Link perd de son côté balai-dans-le cul.
Zelda est enfin clairement la petite copine. L'histoire à la Retour vers le futur devrait satisfaire les fans de OoT car elle est encore meilleure que la référence absolue.
Les graphismes impressionnistes sont à couper le souffle. Le crafting et les armes destructibles rendent les passages à Skyloft utiles. Les NPC sont attachants, les donjons sont marrant sans être prise de tête, d'accord, mais sur la fin ils sont tout de même assez retors et je me souviens d'avoir galéré par endroits.
Les perles d'âme à récupérer dans le mode survie avec les fantômes sont bien stressantes mais c'est FUN.
Le niveau du désert avec les BULLES TEMPORELLES qui font apparaître un fragment du passé autour d'un cristal, qui permettent de résoudre des puzzles.... Le passage en bateau où le sable laisse place sous vos yeux à un récif corallien sublime... Le naufrage du niveau-bateau... Su-blime.
Les Tanooki dans la fôret... Le "tu chauffes" en pointant l'épée au lieu de regarder une carte constamment... Beaucoup plus malin.
Le design des environnements aussi complexes que les "donjons" (niveaux en vrai français) eux-mêmes. La verticalité, qui soi-disant était l'apanage d'Uncharted 3... Bref c'était la mode et Zelda le faisait aussi.
Encore une fois, la CLAQUE technique...
Oui, Fey est CHIANTE. Mais c'est toujours comme ça. Les fées, Midna...
Ce titre est un pur chef-d’œuvre. Je crois que bon nombre de critique n'y ont tout simplement pas joué. C'est un PUR HIT. Je le mets largement au niveau d'un Mario Galaxy 2, d'un Wind Waker, d'un Soul Calibur, d'un FF7 ou d'un Xenoblade Chronicles. C'est un monument du jeu vidéo, un indispensable, un méconnu et un incompris.
A l'arrivée du nouveau Zelda BW, souvenons-nous que la communauté des joueurs Zelda ne méritait pas Skyward Sword, mais elle l'a eu quand même, et que c'est une putain de bénédiction de la déesse.