Gros connards...

"Je préfère la mettre dehors à jouer avec des escargots."

"[Twitch], c'est juste la tristesse de rien faire."

"Vous êtes un phénomène très important."
Misogynie ?

"On peut avoir un enfant débile et diplômé."

"On va faire un jeu vidéo Balzac vs. Zola."

"Mais c'est quoi, le but, ils font du sport, ils se battent, ils font la guerre ?"

"Il vous faudrait un peu de media training."
Misogynie ?

"Il peut y avoir une sécrétion, quand on joue".
Graveleux, misogyne ?

"Accro aux jeux..."

"On idôlatre les sportifs, parce qu'ils ont de beaux corps. Mais un geek, c'est pas beau. On n'a pas envie de mettre un poster..."
Graveleux.

"S'abrutir devant un ordinateur."

"J'en termine. -Non. -Si, j'en termine."
Misogynie.

Ce que je remarque, c'est que des gens qui se réclament des lettres sont en fait de gros porcs graveleux qui ne laissent pas parler la seule personne sensée présente, qui d'autre part fait son métier de journaliste et préparé sa chronique, elle. Ils arrivent quand même à tourner en dérision son aptitude à la tâche, alors que cette dame présente le journal d'Arte...

Voici une photo de Leïla Kaddour. Vous la reconnaîtrez.



Quant à Chlore Manaudou, elle était pas trop chiante, sa vie, entre les escargots et son activité de truite koï dans son bassin ? Qu'est ce qui est plus con, passer son temps à bosser et à s'émerveiller sur une oeuvre créative ou faire des longueurs de bassin. Moi, je sais ce qui est le plus "monotone"...

Que pensez-vous de l'iPhone 6 ? Lequel avez-vous choisi ? Quelles sont les qualités qui vous attirent le plus dans ces portables ?



C'est assez bizarre qu'on en parle si peu sur Gamekyo, je trouve.

Voici une comparaison vidéo des jeux avec la nouvelle suite logicielle (je n'y connais rien) "Metal" comparé à OpenGL. Le changement a été fait entre iOS 7 et iOS 8. Franchment, les jeux sont plus impressionnants que jamais (si seulement l'iPhone avait une manette officielle...).

Ha ha ha. Ha ha ha ha. Merde, heureusement que j'ai pas acheté la Vita pour cette bouze. Pardon, ce jeu. Petite intro vulgaire pour coller au ton de cette pâle copie de l'original par Bend Studio.

Oui, c'est beau (encore que...). C'est surtout brouillon, bordélique, surchargé, avec des environnements peu lisibles, inutilement complexes du fait de la débilité des ennemis et de la profusion des armes. En vrac, les dialogues sont mal écrits, lourdingues, et je parle de la VO. Nolan North fait la voix d'un vieux dans les menus et on le reconnaît direct (c'est le même acteur que Drake). Le sentiment général du jeu, c'est que c'est de la série B, avec des lignes de dialogues contextuelles réutilisées ad nauseam, un scénario inintéressant, un ton général adolescent, comprenez pré-pubère turgescent et immature. Les sauts de l'ange de Drake sont encore plus chelous que ceux de Gravity Rush, il bondit de 5 mètres sans élan et le temps ralentit pendant le saut, l'inverse de ce qu'il faut faire pour rendre la chose crédible. Les abris ne protègent pas toujours des trajectoires de balles ennemies, ennemis qui sont débilissimes.

La visée est catastrophique quel que soit le calibrage, les photos du décor à prendre qui sont refusées parce qu'on n'est qu'à 95% de l'image souhaitée, gnééééé. C'est tellement intéressant de prendre une photo d'un baril...

Aussi, une séquence où tout flashe et il faut en gros ramasser tous les éléments du décor pendant que Drake parle à Coconne. Et vu que tous les codes de la série contredisent cette action, j'ai laissé passer la séquence sans tenter de les ramasser... Je pensais qu'il fallait attendre la fin. Je passe à côté de trophées à cause de ça. Quelle exemplarité dans le game design !

Les courses poursuites où il faut mourir pour aller chercher des trésors... débile.

Les transferts au fusain... chiants.

Le numéro d'équilibriste sur une poutre... Si Naugty Dog l'a enlevé dans Uncharted 2, c'est parce que ça puait du cul. BEND l'a réintroduit et EN MASSE.

Si vous voulez mon avis, ce jeu a été fait par des baltringues. Le scénario est spoilé d'avance dans les menus où on vous parle d'éléments clés de l'intrigue et des phases de gameplay. "Ah ? Il y a une phase de canyoning où il faut incliner la console pour pas se manger des rochers ? Au chapitre 7 ? Donc juste avant qu'on soit dans le bureau de tel personnage dont on a pas encore entendu parler ? OK merci pour le spoil."

Ces menus sont moches et ressemblent plus à des catalogues d'autocollants Panini criards qu'à des menus de la saga. Surtout, c'est hyper, mais hyper fouillis.

Rien que la présentation, avec des grosses paluches ridées aux ongles pas super nets tenant la console sur les clichés explicatifs... Jusqu'aux mains qui tiennent la console dans le manuel, ça ne va pas. C'est dire le sens du détail chez ces gens.

A noter aussi le mélange saoulant entre tactile et boutons, le tactile étant obligatoire dans les menus, mais ceux-ci ne s'ouvrant que grâce à un bouton... bref. Les combats aussi qui se finissent en tactile obligatoire... La liste des moments wtf, des platitudes, des ennemis qui ne vous voient pas alors que vous êtes devant eux, des morts subites alors qu'on vous rate depuis 3 plombes, cette liste n'en finit pas...

Mais ce jeu se laisse jouer, si on oublie que c'est Uncharted, si on y joue pour la blague, pour le feu façon pixel digne de la NES en plein milieu d'un titre qui ressemble par endroits à de la PS3... Ce jeu est une blague.

Vulgaire, c'est le mot qu'on pourrait donner pour ce titre qui fait du mal à la Vita et à ses fonctionnalités en proposant des puzzles à la con comme sur des titres PC sans saveur des années 90. Par puzzle, j'entends bien puzzle, comme chez mémé. Pas des énigmes, de vrais puzzles.

Quand je voudrai faire un puzzle, j'irai chez ToysR'us, au lieu d'acheter une console à 200 balles... Putain.

La dernière fois que j'ai joué à un jeu avec des phases aussi gadget et aussi inutiles, aussi lourdes, intrusives et gonflantes, avec un ton aussi immature, c'était sur Another Code sur DS en 2005, et j'avais déjà trouvé ça insipide, paresseux et anachronique. Mais je sais qu'il y a un public pour ce genre de productions fadasses et qu'on en verra comparer Uncharted 1 à cet ersatz... lol.

Uncharted : Golden Abyss est de cettre trempe.

5/10.

Je ne pense pas que la Vita soit glorifiée par ce jeu, loin de là...

Voilà, je voudrais parler de ma région d'origine, que dis-je de ma région. 5 ans d'absence dans toute ma vie, et même pas d'affilée, j'ai la Bretagne dans la peau.

C'est mon pays, comme on peut avoir un endroit qui nous est cher tout simplement parce qu'on y a grandi.

Quand je suis sorti de Bretagne la première fois pour aller en France, (ailleurs qu'en Bretagne et pas à l'étranger, je veux dire), déjà OH LALA, les Français ont sauté au plafond.

Je parle de la France comme si c'était un pays étranger. Ben, oui, un autre pays, pas forcément homogène, sauf dans le fait que ce n'est pas la Bretagne, quoi.

Je me disais que d'autres Français avait cette expression, les Alsaciens, les Basques, les Corses se différencient eux aussi "des Français"... Ben oui, mais seulement ces peuples-là (je sais pas pour les Antillais ?)

La Bretagne n'est qu'une région de France parmi d'autres, pourquoi devrait-on se sentir plus particulier que d'autres, en tant que Breton ?

Ben justement, on est particuliers de par le regard des autres, l'agressivité passive latente et les automatismes agaçants, auquels on doit vite se faire, dès que le mot "Bretagne" est lancé. "Il pleut" "les algues" "les rochers" "alcooliques" "paumé". Heureusement, tout le monde n'est pas comme ça, au quart de tour. Mais les idées reçues ont de beaux jours devant elles.

Les Chtis comprendront de quoi on parle ("Hein, BILOUTE? HIN! HAIN!"), ceux-ci doivent en avoir ras le cul qu'on leur parle de ce putain de film, qui n'a servi qu'à les faire passer pour des bouffons (quand c'est pas incestueux et pédophiles, des insultes sorties d'un délire collectif basé sur l'ignorance).

Bref, je vis à Paris en ce moment, et je suis vacciné contre les remarques sur les Bretons. Je suis d'abord passé par Strasbourg, où les saillies désobligeantes fusaient de toutes parts. Parfois, le sujet de conversation tournait systématiquement sur mon origine, pas seulement parce que je suis toujours ou presque resté en Bretagne et que c'est mon univers, mais aussi parce que les FRANCAIS ont une fascination perverse pour notre région, un mépris sans doute jaloux de nous et de notre terre, de notre identité, de notre culture et cette richesse qui ne s'achète pas, celle d'être bien chez soi et dans sa peau et d'emmerder ceux qui sont pas contents.

Et oui, quand on s'exile, on a le mal du pays. Il manque la mer, l'odeur, l'odeur de la mer, qui est partout la même dans le monde, l'air non pollué, le vent, la lumière et la vue inoccultée sur le lointain... Ce que des citadins ne peuvent pas imaginer.

Un gros con que j'ai cotoyé quelques temps à Paris avant de le jarter proprement m'a dit "Oui, finalement, la Bretagne reste une région inexplorée." et "Mais qu'est-ce que j'irais foutre à Brest ?"

Inexplorée ? Ils savent ce que ça veut dire ? Ce mot était porteur d'un mépris nauséabond, comme si la Bretagne ne pouvait valoir que l'estime que pouvait lui donner ce sale parigot. Inexplorée, un mot à sens unique, condescendant, forcément dominant, pourquoi pas dire machiste et phallocrate. La Bretagne vierge et le Parisien conquérant.

Quand à savoir ce que le parigot pourrait y foutre, à part tout ce qu'il peut faire chez lui, sans la foule, les transports, l'air vicié (et les têtes de cons), il y a tout simplement la possibilité de ne pas être dans Paris, cette ville puante qui lui sert de trou.

Sinon, il y a le festival électro Astropolis, les Vieilles Charrues, le Festival du Bout du monde, les festivités à Rennes, des concerts, des évènements culturels internationaux ouverts sur le monde et qui ont comme point de départ la culture bretonne (le festival interceltique de Lorient). Je comprends que les fest-noz fassent chier les étrangers. C'est pas trop un milieu qui se prêtent aux touristes. Les cercles et les municipalités n'organisent pas ça pour les touristes mais pour les locaux. Bienvenue, mais si vous vous faites chier, sachez que c'est pas la peine d'en parler comme si on vous avait floué.

En Bretagne, on est meilleur à l'école qu'ailleurs. On travaille mieux, on respecte encore à peu près les profs. On est cultivé, et on a des racines chrétiennes qui font qu'on comprend des références de cet héritage plus facilement que les autres, et avec ça, finalement, la civilisation française qui en a hérité. Eh ouais, ca compte. Même si les générations après la mienne n'ont plus ces connaissances.

Mais n'allez pas croire qu'on a le même discours que le FN, les Bretons détestent ce parti qui ne perce pas chez nous. Parce qu'il y a moins d'étrangers? Mais à Paris, il y a plein de noirs! Et la masse ne vote pas FN à Paris. Bah oui, les noirs votent pas FN, c'est pour ça que les scores sont bas à Paris...

Faux, on a découvert que plus les gens sont "préservés" de l'immigration, plus les scores du FN sont élevés chez eux. De plus, là où le FN est le moins en vogue en Bretagne (et dans toute la France), c'est à Rennes, où les noirs et les arabes sont les plus nombreux en Bretagne (heu, c'est mon impression, en tant que gars du bout du monde). C'est dire si les "bouseux" de Bretagne sont tolérants et bien dans leurs baskets. C'est aussi peut-être parce que chez nous, tout le monde s'intègre mieux, parce qu'on a pas un niveau de vie énormément différent du voisin.

Et surtout, contrairement à des mentalités d'ailleurs en France (Paris). On n'a pas un système de ghettos sociaux ancrés dans la tête selon la zone d'habitation, la provenance ethnique ou le niveau de salaire (quoi, seulement 2000 mensuel ? mais, t'es pauvre ?).

Anecdote : la même personne que j'ai déjà citée me dit "On ne dit pas de son logement qu'il est près de Porte de... si on est pas du bon côté du périph'. Sinon, tu TROMPES LES GENS en leur faisant croire que tu vis dans intra-muros."
Notez, que si ce n'est pas faux, d'une, je n'avais pas l'impression d'être un fourbe, et de deux, je n'ai jamais dit que je vivais intra muros, mais près d'une station de métro "porte de..." ce qui est vrai. Mais c'est en banlieue, plus proche du Métro que certaines rues intra-muros. Mais quand même, trahison...


"Y'a rien à voir".

FAUX. La terre elle même est un spectacle majestueux. Les villes sont charmantes et chargées d'histoire, pour qui ose s'abaisser à en apprendre sur des gens qui n'étaient pas de riches bourgeois ou de la noblesse. C'est amusant de voir à quel point on peut valoriser l'ouverture sur le monde, quand on méprise son voisin.

Comprendre : le club Med n'a pas d'officine à Saint-Brieuc.

Une chose qui sépare le Bretons des Français, et encore, pas de tous, nous vivons sous un climat océanique. Le temps est changeant, et nous avons un long littoral morcelé en petites plages, falaises, goulets... L'exigence des touristes d'avoir 100% de soleil sur LEURS vacances est risible. C'est tout con, mais puisqu'il faut le rappeler... Les 4 saisons cloisonnées, c'est dans les livres d'enfants que ça se passe. Je ne dis pas que c'est le chaos sur les baromètres, seulement, il ARRIVE QU'IL PLEUVE EN ETE!!! Un comble.

Quand on parle de climat océanique, on sait ce que ça implique. C'est le climat. Ce n'est pas la Bretagne qui est maudite, il ne sert à rien de s'agacer que le temps est changeant. Changeant, ça veut aussi dire qu'il fait beau aussi souvent qu'il fait gris. Les nuages, ça arrive par l'océan, et on en a, en Bretagne.

La température de l'eau est raisonnable, et certainement pas aussi froide qu'elle peut l'être ailleurs. Et puis, il y a plein de fronts littoraux, chez nous. La Manche est plus froide que l'Atlantique. La température de l'eau dépend de la météo des derniers jours, de l'ensoleillement, mais aussi des horaires des marées et de l'amplitude entre température de l'air et température de l'eau : parfois, il fait tellement chaud que forcément, l'eau paraît d'autant plus fraîche. La marée, revenons-y. Une eau qui avance sur un sable brûlant, sur une plage en pente douce, en fin d'après midi sera plus chaude. L'air se rafraîchit le soir, l'eau est chaude, LE SOLEIL SE COUCHE TARD EN BRETAGNE, il y a un vrai-faux décalage horaire, ou plutôt d'ensoleillement. Ce qui permet de profiter plus longtemps de la journée (sauf si vous êtes du matin).

Personnellement, j'ai testé le lever du soleil à 5h du mat en Alsace, et je trouve que ça sert à rien.

Bref, toutes les conditions sont requises pour passer d'agréables moments qui n'ont rien à envier à ceux qu'on peut passer ailleurs.

Autre chose : l'absence de masses de cons sur les plages bretonnes, personne qui écoute la radio à fond, pas de méduses, de vendeurs qui gueulement, de déchêts. On est peinard, on est bien.

Alors oui, il faut des conditions spéciales pour avoir le top de l'expérience. Mais ça n'empêche pas qu'une marée haute à midi est tout aussi plaisante qu'à 18 heures. On peut aussi profiter à marée basse pour se baigner, mais il faut marcher parfois 500 mètres (sans métro). Trop dur. Les activités nautiques, ça existe aussi.

Les algues, de même, ne sont pas une plaie d'Egypte ou le signe que l'eau est polluée et donc "sale". Oui, la connerie va aussi loin que ça. La pollution est due aux nitrates, mais des nitrates contenus dans des engrais. En gros, les algues sont boostées, comme le géranium à votre fenêtre, chers Alsaciens. Ce sont des plantes normales mais qui prolifèrent.

Je n'ai jamais entendu le parigot qui passe son WD à Center Parks dire EWWWWW, cette forêt est dégueulasse, il y a trop d'arbres. Et ERRRRRK, il y a des feuilles jaunes partout par terre au mois d'octobre.

Des rochers ? Quelle HORREUR. Un rocher qui bloque la vue. Il y en a un tous les 500 mètres. La brochure disait qu'il y avait le ciel, le soleil et la mer, POINT BARRE. Personne n'a parlé de rocher!

Qu'importe que ces rochers qui encadrent les plages les changent en havres à l'abri du vent et des courants dangereux, en parenthèses paisibles et intimistes au lieu de tapis de bronzage impersonnels. Et si vous voulez ça, on a. Un ou deux km SANS rochers, EN LIGNE DROITE. Ca existe.

Les galets? Mais ce sont les touristes qui en fument, des galets, moi je ne connais pas de plage avec des galets. Si, peut-être dans les côtes d'armor, et le long du lac Léman au pied du Mt Blanc. Mais chez moi, c'est sable blanc.

La marée! Le scandale! En plus de vouloir une météo qui s'adapte pile à leur semaine de vacances, les touristes voudraient que la mer ne soit pas mouvante. Bref, ça les fait chier d'attendre la bonne heure pour avoir la carte postale idéale, en plus ça change tous les jours ? Intolérable. Ah, ces Bretons.

Quand les Robins dans RRRRrrrrrr rangent la forêt, ça fait rire parce que c'est ridicule, mais quand les Français veulent deux bandes bleues et une jaune et surtout, ne pas savoir ce qui se passe à droit ou à gauche, ça ne choque pas.

Vous aurez compris que je voulais juste me défouler en répondant raisonnablement à toutes les objections à la Bretagne, comme si c'était une discussion en soi, que cette région.

Sans parler de la météo hallucinatoire qui ne dit jamais ce qu'il se passe réellement, tout simplement parce que chez nous le temps varie grandement, tant selon l'endroit que selon l'heure...

J'ai trouvé ce film raciste. Et insultant pour le genre humain. Ah oui, c'est peut être une fausse question, le film ne compare pas directement les singes à une tranche de la population humaine...

Sauf qu'en représentant les singes dans des situations "humaines", comme dans le cadre du zoo qui n'est en fait qu'une prison à l'américaine, on insulte ceux qui se trouvent dans ce genre de prison (surtout des noirs et des hispanos, mais c'est peut-être un cliché - qu'importe, c'est le cliché qui est transmis dans l'univers fictif américain).

Le malaise vient aussi de l'intelligence anormalement élevée de Caesar, qui vient d'une famille blanche, de père inconnue, de mère butée comme un animal par le "papa" humain qui a ensuite recueilli le bébé.

On a des relents de Notre Dame de Paris.

Son intelligence, le singe la doit à un homme. Et pas n'importe quel homme, son "papa" d'adoption, un blanc, qui est au dessus des relations de pouvoir parmi ses propres congénères. Au fait, le patron du papa blancos est... noir et ne comprend rien à ce qui se passe, il s'occupe juste de politique.

La politique, une affaire de distribution de baffes et de biscuits, comme le prouve le singe enrichi en vitamines anti-alzheimer qui a vite fait de dominer toute la 'zonz.

Ben oui, c'est un cliché Hollywoodien, un outsider (un blanc) arrive dans une zonz' avec des gros blackos, se fait ramoner le cul d'abord, puis grâce à son intelligence arrive à surmonter les obstacles et assujettir même son violeur des premiers jours. Une sorte de documentaire de ce que sont réellement les relations humaines. Une sorte de SPARTACUS des temps modernes.

TU AS PRIS MES COOKIES, gueule le gardien du zoo à son sous-fifre qui adopte un comportement de soumission... ça va ils sont blancs tous les deux. Les relations de pouvoir ne sont que des relations de domination et d'influence.

Il y a le vieux singe (le vieux sage) Orang-Outang, comme le vieux black de service, qui s'est fait une raison et admet par langue des signes (en petits nègre) que "singes stupides".

Puis c'est la révolution. Les esclaves s'échappent et partent vivre dans la forêt de l'autre côté du pont, et tout finit bien...

Sauf pour le noir de service qui connait une mort atroce. Parce que dans un film Hollywoodien, c'est toujours, TOUJOURS le blackos de service qui crève. A noter que le blackos qui n'a rien fait de mal se fait buter, tandis que le chercheur blanc qui impose des tests et des tortures aux singes ne se fait pas laminer quand il entre en territoire ennemi.

Il se contente de sortir son discours bienpensant à son "bébé" qui est si intelligent (pour un singe).

"Je suis tellement sorry". Sorry de quoi, ce singe de merde vient de saccager la ville et de tuer des innocents, de lever une armée, mais le papa scientifique est désolé??

Hypocrisie absolue, comme sa moue niaiseuse lorsqu'il avoue sans l'avouer que c'est lui qui est à l'origine du meutre de la maman gueunon de Caesar. Je te donne la moitié des infos qui fait que je me présente pas comme le responsable, mais je suis tellement désolé.... hypocrite.

Un peu comme l'hypocrisie du post-racisme aux USA, pays qui est encore capable de sortir un film sur le racisme à notre époque. Attention aux bienpensants qui accuseront ceux qui voient clair dans ce discours d'être eux-même les racistes.

C'est un peut tard pour demander ça, mais je reviens de la dernière séance. Alors, des avis? Moi j'ai trouvé ça très bof, une sorte d'Indiana Jones avec un skin Tintin...

Rien qu'avec cette introduction, vous avez déjà vu les deux premiers épisodes.

La nouvelle série qui marque le retour de SMG sur le petit écran est donc une sorte de mix bizarre entre Santa Barbara, Mean Girl, Gossip Girl, The Lying Game et... plein d'autres. On se souviendra bien sûr de "Twin" avec le vilain méchant rebelle qui pourrit la vie du propre et gentil minet gominé.

Nous avons donc
1) Une série qui nécessite un vagin et un demi-cerveau pour ne pas se sentir mal-à-l'aise de regarder un truc pareil
2) Des personnages qui sont ballotés par une histoire qui les dépasse, ce qui permet aux scénariste d'en balancer des tonnes. De préférence toujours en rapport avec le sexe et l'argent facile (à mois que ça ne soit l'inverse?).
3) Des fringues, des fringues à ne plus savoir qu'en foutre

Mimi et Nana sont sur un bateau, Mimi tombe à l'eau... C'est d'un pompeux, on se retiendrait presque d'en rire.

Siobhan, ce nom à coucher dehors, est bien sûr fait pour plaire aux midinettes qui aimeraient avoir un nom assorti à leur sac à main ou je ne sais quoi.

Vous pensiez que L'Cie était le mot le plus gonflant en 2010? Eh bien pour 2011 et suivante, ça sera Siobhan. Remarquez l'usage du singulier, car je doute, j'espère, que la série ne sera pas reconduite. Désolé Siobahn, qui se prononce, au passage, entre "Je bande" et "De Chavane", avec un accent lusoaméricain, s'il vous plait.

Dans Ringer, tous les hommes sont aussi sexe que stupides et ignorent ce qui se passe. Ils se doutent de quelque chose, peut être à cause de la mare de pisse aux pieds de SMG dès qu'un nouveau personnage requiert une interaction verbale avec la blonde et qu'elle se fait dessus pendant que ses sourcils partent se cacher sous son scalp.

On apprend énormément de choses dans Ringer. Par exemple que les deux extrêmes du spectre social pour une nénette américaine sont la prostitution ou le mariage. Ce qui revient au même, tout compte fait. D'ailleurs côté business, la vampire pyromane de Dexter ne s'y trompe pas : tomber enceinte n'est qu'une façon de renforcer son emprise sur un mari distant (et millionnaire).
Qu'on soit trader ou femme au foyer dans Ringer, on est toujours une pute, mais au moins on porte de jolies robes. Ne croyez pas qu'elle doive assurer des veilles à l'hôpital ou être avocate ou chercheuse ou prof de grec, non, il suffit selon sa meilleure keupine ouais, de parler de tout sauf de politique ou de religion, ou de trucs chiants ou compliqués. Par contre la bourse on peut, sans doute dû à la comparaison de cette activité avec le plus vieux métier du monde... pas question de paniquer lors d'une soirée mondaine (pas question de ne pas niquer non plus!)

Les gamines vont adorer, c'est comme regarder un show avec une poupée Barbie.

La vilaine comploteuse Siobahn est toujours en vie, bien sûr, et on peut compter sur les scénaristes pour nous pondre le seul développement intelligent possible : qu'on ne sache plus vraiment qui est qui entre les deux pétasses. Encore que, c'est surestimer le QI du public pour qui cette série a été écrite.

A voir pour s'assurer que les deux épisodes pilotes ne seront qu'un mauvais départ (on se souvient du désatre des débuts de Modern Family, et son jeu d'acteur tout juste limite.

Ringer envoie du lourd, mais dans un genre Gossip Girl détestable. Dommage pour SMG qui mérite des intrigues plus cérébrales.

Chrome est un concurrent récent sur le marché des navigateurs web. Développé par le géant Google, on s'attend donc à des performances et des innovations dignes de la grandeur de la plus grosse boîte du web.

Qu'en est-il? Je ne vais pas vous faire un test complet, juste vous faire part de quelques observations qui découlent de mon utilisation de Chrome. Je le comparerai à Firefox. Les deux navigateurs sont dans leurs versions stables les plus récentes, et non en béta.

--Chrome se lance plus vite, BEAUCOUP plus vite que Firefox, excellent point.

--Il consomme AUTANT ou presque autant de ressources que son concurrent le renard, une simple vérification au niveau du gestionnaire de tâches peut le vérifier. On gagne sensiblement à choisir Google, toutefois.

--Google Chrome est INFINIMENT PLUS STABLE que Firefox sur la durée. Firefox, malgré les "plugin container" et autres déclarations de bonnes volonté, a du mal à faire fonctionner Flash là où le browser de Google ne peine pas.

--La fonctionnalité de Firefox qui tue Chrome, c'est la petite barre en haut à droite qui permet d'effectuer des recherches sans charger une page d'accueil de moteur de recherche, de catalogue, de dictionnaire, de site de vente en ligne... et de changer à volonté directement depuis la barre d'outils. D'ailleurs, j'aurais pu commencer et m'arrêter là pour le comparatif, cette fonction indispensable étant introuvable sous Chrome.

--Côté mise en page, j'ai l'impression assez nette que Firefox s'en tire beaucoup mieux, notamment sur les petits écrans.

-- Vous pourrez avoir des surprises avec la fonction impression de Google Chrome si vous achetez des billets chez Ryanair. J'avoue n'avoir pas essayé sur Firefox après le désastre de l'impression sous Chrome. Il manque tout simplement la partie à découper et à remettre au personnel d'embarcation. Balaud.

-- Je ne sais pas pour vous, mais moi je n'aime pas que la page d'accueil d'un navigateur montre des clichés des sites que j'ai visités. Je n'ai pas envie que mes voisins de fac voient des pokémon sur mon écran quand je suis en cours.

--Le comportement de chrome est parfois... déroutant. Il arrive que vous réclamiez une page et que ça soit une autre qui arrive, ou alors, que la fameuse mosaïque de sites vous accueille, alors que vous avez configuré une page "home". Le navigateur décide selon l'humeur du plat qu'il vous sert.

-- J'ai également noté que Chrome échoue à charger des pages au moins deux fois par jour, il faut rafraichir pour qu'il se décide. Un comble. Les boutons avant, arrière, et l'entrée d'une nouvelle adresse alors qu'une autre était en train de charger, tout ça peut poser problème à Chrome qui plantera comme une merde. Solution: fermer l'onglet et relancer l'url dans un autre. On a le choix entre un chargement infini ou un message d'erreur sans même qu'il ait essayé.

-- Les plugin du type adblock bloqueront toutes les pubs, sauf celles de Google évidemment. La navigation Youtube devient vite un cauchemar... vous aurez deviné que je parle de Chrome, car sous Firefox, tout est nickel.

-- J'accuse Chrome d'installer un malware qui fait que les publicités pour le navigateur chrome vont BLOQUER la navigation sous Firefox pour que vous soyez obligé de regarder la pub pour la concurrence, et que faute de véracité, la pub crée la preuve de l'argument selon lequel Chrome est plus rapide que votre Navigateur actuel (qui plante, donc, par l'action de cette pub) J'ai eu ce problème sur le forum NeoGaf, et c'était clair et net, à la désinstallation de Chrome le problème a DISPARU.


Bref vous l'aurez compris, il ne sert à rien de se plaindre de Firefox, Mozilla restant la référence des navigateurs web. Chrome a encore beaucoup de chemin à faire. Rendez vous à la version 37?