Gameblog 10/10
Final Fantasy 7 Rebirth signe le nouvel âge d’or de la licence. C’est un jeu gargantuesque et démesuré, en plus d’être d’une extrême générosité. À côté de lui, FF7 Remake n’est qu’un long prologue en huis clos. Le monde s’ouvre avec Rebirth, l’univers de Final Fantasy 7 avec lui. Tout est sublime, fantastique même, et invite au voyage. La narration volontairement hachurée et mystérieuse remplit parfaitement son rôle et fera couler beaucoup d’encre, à n’en pas douter. C’est un uppercut quasi instantané qui ne nous laisse jamais vraiment le temps de nous déboîter la mâchoire. Pourtant, tout n’est pas rose, on a quelques lourdeurs ici et là, des mécaniques un peu vieillottes qui côtoient d'autres systèmes bien plus modernes, mais on lui excusera volontiers tant tout le reste est impressionnant. C’est beau, sublime, pour les yeux et les oreilles, quand bien même la technique pêche parfois quand on approche le regard. La bande originale, mélange de thèmes remaniés et de nouveautés, est certainement l’une des meilleures de la série. Mais c’est un tout et pris dans son ensemble, Final Fantasy 7 Rebirth est une véritable pépite.
BetaTesteur 9,8/10
Soyons honnêtes, ce jeu aura toujours des critiques virulentes de la part des fans de l’original qui ne peuvent se résigner à l’idée que le jeu soit scindé en trois parties. En revanche, je dois l’admettre et c’est une vérité indéniable : Final Fantasy VII Rebirth est un jeu immense qui est une énorme lettre d’amour et de dévotion de la part de Square Enix pour ses fans, soient-ils anciens ou nouveaux.
C’est le genre de jeu que, personnellement, je me permet de compléter à 100% et, avec toutes les quêtes disponibles, toutes les zones à explorer, tous les défis à surmonter et cette superbe histoire qui saura vous mettre la boule à la gorge par moment, je peux vous dire que j’en suis présentement à 63 heures de jeu et je ne l’ai toujours pas terminé et, vous savez quoi? Je n’ai même pas hâte de l’avoir terminé car cela va signifier que je vais devoir attendre encore quelques années pour pouvoir voir la suite.
Gamergen 19/20
Encore une fois, Square Enix a su nous mettre une belle claque en pleine tête. Bien que nous ayons rencontré des petits soucis visuels, Final Fantasy VII Rebirth a su nous émerveiller et nous envoûter. Pour être franc, il a été difficile pour nous de lâcher la manette juste pour aller dormir. Nous y pensions le soir, lorsque nous prenions une douche, pendant que nous mangions... L’histoire hante notre esprit chaque seconde. Et même avec le générique final sous les yeux, il nous est pénible de passer outre, l’envie d’y retourner et bel et bien présente. Pour le coup, nous n’avons qu’une hâte, découvrir le chapitre final de toute cette aventure captivante. Un pur chef-d’œuvre vidéoludique qui contente les vieux de la vieille et les nouveaux venus dans cet univers troublant et fascinant.
JV 19/20
Au printemps 2020, il y avait l’espoir : celui de voir un rêve fou se réaliser grâce à Final Fantasy VII Remake. Ce même espoir, Final Fantasy VII Rebirth le transforme en une consécration. Un gameplay d’une efficacité redoutable ici sublimé, un rythme mieux géré malgré quelques maladresses, une mise en scène qui réveille en nous toute une palette d’émotions et, surtout, une aventure qui, même si elle déborde d’amour pour la version originale, brille pour ce qu’elle est et nous emporte autant qu’en 1997, si ce n’est plus encore. Avec Rebirth, Final Fantasy a peut-être trouvé la formule idéale pour nous raconter une histoire, tout en nous laissant libre de la vivre à notre rythme. Comme dans toute renaissance, il y a un avant et un après, et cet avenir qui se dessine s’annonce d’ores et déjà grisant tant Final Fantasy VII Rebirth a déjà toutes les qualités pour être considéré comme le jeu ultime de la saga.
Numerama 9/10
La nostalgie peut-elle rendre aveugle, à l’instar de l’amour ? Il ne faut certainement pas négliger sa puissance, cette ardente quête aux souvenirs d’antan qui savent mettre du baume au cœur. Suite de Final Fantasy VII Remake, Final Fantasy VII Rebirth joue explicitement sur ce levier pour convaincre. Sa fidélité immense au RPG original, fruit d’une réappropriation soignée, repose sur des séquences inoubliables qui trouvent ici un écrin à la hauteur de leur stature.
Plutôt joli, Final Fantasy VII Rebirth mise par ailleurs sur un système de combat toujours aussi efficace, approfondissant un peu plus encore l’excellente réinvention de Final Fantasy VII Remake. Ses immenses qualités permettent de faire oublier ses quelques errements, dans le sillage de mini-jeux agaçants, de phases de gameplay rigides ou encore de tunnels de boss interminables. Il n’en demeure pas moins que Final Fantasy VII Rebirth est un grand jeu, sans doute parce que le Final Fantasy VII de 1997 était un grand jeu avant lui.
Millenium 90%
On aurait bien des choses à lui reprocher, de sa technique datée à ses donjons aux mécaniques usantes, mais Final Fantasy VII Rebirth parvient à taper dans le mille là où on l'attendait. Au-delà de ses combats fantastiques et de ses réinterprétations toujours aussi folles des scènes du jeu de 1997, c'est la sensation d'avoir accompli un grand et beau voyage en compagnie d'un groupe de personnages inoubliable qui prédomine une fois les crédits atteints.
IGNFrance 9/10
Donner une note à Final Fantasy VII Rebirth n’est pas une chose évidente tant votre appréciation dépendra de votre historique avec la licence, vos attentes de cet épisode d’un point de vue scénaristique, de gameplay, ou encore le regard que vous portez sur les mondes ouvert très (trop) classiques et leurs activités peu inspirées… Néanmoins, c’est par son histoire et sa mise en scène extraordinaire que ce deuxième épisode nous maintient en haleine, offrant un récit riche en surprise et qui distille la bonne dose de fan service pour transcender les plus anciens passionnés d’entre nous. S’inspirant des divers autres jeux pour proposer des quêtes annexes renouvelant l’expérience, FF7Rebirth se veut aussi fun à parcourir ; même si leur importance dans le level-up risque d'en frustrer plus d’un. Nous sommes au final (fantasy) face à une suite solide, respectueuse et prometteuse, mais qui aurait pu être parfaite si elle ne s’était pas égarée dans des facilités de construction d’un monde ouvert très peu inspiré et lassant.
ActuGaming 9/10
Final Fantasy VII Rebirth a peut-être voulu viser la surenchère, ce qui lui vaut quelques faux pas qui l’empêchent d’être la suite parfaite telle que l’on pouvait l’imaginer. Après tout, il est tellement plus riche que ne l’était Remake, qui semble tout petit à côté. Il n’en reste pas moins un projet qui a de quoi faire vibrer n’importe quel fan de Final Fantasy VII tout en séduisant celles et ceux qui ont pris le train en marche avec Final Fantasy VII Remake. Il trouve sans doute le meilleur équilibrage entre l’hommage au jeu d’origine et la « trahison », en ne cessant jamais de se montrer ambitieux tout en ayant bien conscience des attentes à son égard. Il a en tout cas la volonté de proposer une vraie grande aventure comme peu de JRPG peuvent le faire aujourd’hui et montre que cette trilogie est l’un des meilleurs projets de Square Enix de cette dernière décennie, haut la main.
JDG 9/10
Final Fantasy VII Rebirth prouve à lui tout seul l'intérêt de relancer ce grand classique des JRPG presque 30 ans après sa version originale. Grâce aux moyens modernes, cette aventure brille enfin à la hauteur de nos espérances les plus folles. Square Enix nous sert le Final Fantasy le plus magistral à ce jour sur un plateau de mithril. Accrochez-vous bien : ce périple vidéoludique ne manquera pas de vous surprendre.
Gamekult 7/10
D'aucuns diront que la note était dans le titre, et c'est finalement pour le mieux : après un Remake un peu breloque, Square Enix a retaffé sa copie pour le mieux. Qu'il s'agisse du rythme de son scénario (XXL) ou de son contenu annexe, cette suite fait honneur aux qualités intemporelles de Final Fantasy 7, avec en chef-lieu ses paysages dépaysants et son casting d'illustres protagonistes, jamais aussi vivants. Il en incombe désormais au futur dernier chapitre de continuer à nous surprendre, en libérant - qui sait - son système de combat des chaînes de son ATB - et de montrer une finition technique à la hauteur des attentes. On a le coeur un peu gros, mais c'était quand même beau.