GameInformer 9,5/10
Returnal is a relentless nightmare that’s a dream to play. The journey is full of horror and terrible discoveries, but also unbridled curiosity and wonder. If you have the taste for it, this is an adventure that begs to be experienced.
Returnal est un cauchemar implacable qui est un rêve à jouer. Le voyage est plein d'horreur et de terribles découvertes, mais aussi de curiosité et d'émerveillement débridés. Si vous en avez le goût, c'est une aventure qui ne demande qu'à être vécue.
Gameblog 9/10
Returnal est la première "vraie" grosse exclusivité à destination de la PS5. Et une fantastique aventure. Quel plaisir d'incarner Sélène, exploratrice spatiale échouée sur une planète inconnue et coincée dans une boucle temporelle qui la ramène sur les lieux du crash à chaque mort, au tout début du jeu et avec la perte de quasiment tout son matériel et ce même si vous étiez deux niveaux plus loin ! Cet aspect Rogue-like, de tout recommencer, surtout quand on s'est préparé pour un boss pour mourir une salle avant, est rageant, assurément, la clef étant votre connaissance du jeu et votre concentration, mais il sert à merveille un scénario solide qui nous a tenu en haleine jusqu'au bout, avec des moments incroyables. Intense, vous demandant un investissement minimum de 15-20 heures (si vous êtes un PGM), procurant d'excellentes sensations et extrêmement gratifiant, le jeu d'action SF de Housemarque rend également une bonne copie technique avec un design travaillé, des couleurs chatoyantes et une fluidité (60 fps) quasi-constante. Première oeuvre originale de grande qualité "for the players" sur la dernière console de Sony, et Rogue-like AAA stellaire, Returnal est un must have, pour peu que vous ayez un minimum de courage et de volonté. Et une PS5, bien entendu.
Gamespot 9/10
Returnal is constantly unsettling and consistently challenging. Its mysterious story and demanding action feel intense, urgent, and fresh. The fast-moving combat manages to appear incredibly daunting, bordering on overwhelming, without ever actually becoming insurmountable. Every moment is a rush, either because you just barely evaded a giant purple laser or because you have no idea why there's an Apollo-era astronaut following your every move. Do you need to be a little brave to play Returnal? Yeah. Do you need to be glutton for punishment? It helps. They say that anything worth doing should scare you at least a little bit. I'm not sure if that's always true, but Returnal makes a strong case.
JVLive 17/20
Après avoir été rattrapés par la réalité économique de leur genre de prédilection, l'arcade, Housemarque a eu la chance de pouvoir rebondir et tenter le tout pour le tout avec Returnal. Un AAA non conventionnel (tant mieux), hybride entre un rogue-lite et une production extrêmement fidèle à ce que le studio sait faire depuis plus de 20 ans, qui mise sur le gameplay et ne materne pas H24 le joueur, mais au contraire, le sollicite. Une chose beaucoup trop rare de nos jours pour que l'on puisse bouder ou trouver à redire. Il a aussi réussi le pari d'allier ses mécaniques et ses thèmes, avec une histoire cryptique qui nous a tenu en haleine, et tout simplement celui de prendre des risques dans un secteur trop sage. À plusieurs égards, il rejoint Death Stranding et Control sortis tous les deux en 2019. Exigeant, diablement grisant de par son gameplay dynamique, d'une beauté artistique indiscutable, Returnal est une bien belle vitrine pour la PS5 qui a plus que jamais besoin de maintenir un catalogue diversifié - avec des expériences petites comme grandes, plus difficiles comme accessibles - et le meilleur titre Housemarque. Un «Instant buy !
JVC 16/20
Returnal est une incontestable réussite, non sans défaut, mais qui parvient habilement à fusionner Shooter et Roguelite. Ce thriller empreint de mystères rend un vibrant hommage à la science-fiction, malgré une narration diluée qui est la victime consentante de son postulat de départ… les mulitples morts de l'héroïne. Toutefois, cette aventure qui prend pour cadre la planète Atropos, magnifiée par une direction artistique soignée inspirée des différents courants de la S.-F, est une véritable ode à la découverte. Le système de combat lui-même assure une expérience mémorable faite de challenges constants dont les boss sont le point d’orgue. La difficulté inhérente au genre n’est que très rarement une source de frustration, et le sentiment grisant d'accomplissement ô combien présent. Malheureusement, la génération procédurale peine parfois à trouver un certain équilibre, ce qui pénalise le temps d'une boucle temporelle les joueurs.
Gamekult 8/10
Comme un certain Control avant lui, Returnal est un jeu atmosphérique, sauvage et magnétique. Un jeu d'action qui sait être tour à tour explosif et intimiste, étranger et familier, aride et luxuriant, enraciné dans la vieille école mais piochant allégrement dans les modes actuelles. Si on loue volontiers sa plastique, ses mécaniques et le plaisir qu'il procure manette en mains, il est peut-être plus important encore pour son studio. Avec de telles ambitions, il pourrait bien s'agir d'un deuxième acte de naissance pour Housemarque, qui gagnerait alors quelques places au panthéon des studios chouchous de Sony. En tout cas, c'est tout le mal qu'on leur souhaite.
IGNFrance 8/10
Porté par sa réalisation impressionnante et son gameplay virevoltant, Returnal offre un défi taillé pour les amateurs d’action exigeante et ciselée. S’il n’a pas forcément la carrure du system seller à 80 euros que Sony veut lui prêter, le jeu d’Housemarque reste un excellent shooter à systèmes, inscrit dans un univers suffisamment original et inventif pour investir les joueurs sur la durée. Les quelques ratés techniques et problèmes de lisibilité, tout comme les murs de difficultés régulièrement rencontrés, ne sauraient sérieusement freiner votre curiosité : le sentiment de puissance, l'âpreté des combats, la variété des situations et le maelstrom visuel permanent placent Returnal dans le haut du panier des jeux d’action. Un palier a été franchi avec brio par Housemarque, dont on a désormais hâte de découvrir les prochaines productions.
HardcoreGamer 8/10
Though the ending doesn’t fully deliver on the hours of build-up, it’s still a worthwhile tale to explore. The combination of roguelike design with third-person bullet-hell gameplay mechanics is a true treat, keeping players on their toes and continuously challenging them to get better. Returnal can get repetitive, particularly in the second half due to the repetition of layouts and long bouts between the biomes. Still, the addictive, fast-paced nature of the gameplay helps keep players engaged. Holding it all together is a beautiful presentation filled with next-gen flair and spectacular audio design. Housemarque has done a wonderful job with Returnal and it’s well worth living, dying and repeating to get to the final credits.
Millenium 80%
Returnal est un fascinant mélange des genres, entre science-fiction, horreur, et psychologie, qui donne une aventure bien plus immersive et angoissante que ce à quoi nous sommes habitués dans un Rogue-like. La réalisation est de qualité, et le jeu exploite pleinement les performances de la PS5 pour obtenir ce résultat. Le gameplay est solide et les combats sont intenses, en particulier lorsqu'il faut désespérément survivre au milieu d'un déluge de projectiles afin de progresser toujours plus loin. Il est néanmoins dommage qu'il devienne vite répétitif, même avec sa durée de vie un peu courte (environ 30 heures), avec en prime un game design qui casse le rythme en nous incitant à faire des allers-retours outre mesure.
Gamergen 15/20
Alors, Returnal, bien ou bof ? Le titre n'est pas parfait, il manque des éléments pour atteindre l'excellence. Par exemple, la simplicité des graphismes est cachée par les particules lumineuses et clinquantes à l'image pour essayer de satisfaire les pupilles. Les bugs de collision, eux, font pas mal tirer les cheveux, car quand ça nous arrive, nous cherchons une solution pour nous débloquer de la situation ; rappelons que relancer le titre = recommencer depuis le début.
Par ailleurs, le côté « je dois tout refaire après une mort » risque d'en déranger plus d'un. Les armes et objets importants ne sont pas conservés pour avancer plus rapidement, c'est assez frustrant finalement. En outre, l'histoire est tout de même sympathique, les zones générées aléatoirement divertissent sans grande difficulté. Le cerveau fume, les méninges tournent, les neurones cherchent une solution aux différents problèmes, en plus de l'action omniprésente. Mais pour faire simple, disons que Returnal est bon et qu'il amuse un temps. Mais une fois arrivé au générique final, il sera difficile de relancer la bête pour certains.
Destructoid 7,5/10
Returnal is a thrilling sci-fi action romp that suffers from a lack of scale at times.
PS : Je rajouterais des tests au fur et à mesure.