Les Numériques 5/5
Pour sa collaboration avec Microsoft, Asus a soigné sa copie en reprenant les forces de ses précédents essais. La ROG Xbox Ally X se montre véloce, autonome et agréable à prendre en main grâce à son nouveau design. Néanmoins, cette itération aurait gagné à corriger certains de ses défauts de jeunesse, comme sa croix directionnelle peu précise et, surtout, la diagonale de son écran, trop petite pour une bécane de cet acabit... Et à un tel prix. Pour un prochain essai ?
JV 4,5/5
Après deux semaines avec la ROG Xbox Ally X entre les mains, je peux le dire : Asus a franchi un vrai cap. Cette nouvelle version envoie du lourd, plus puissante, plus endurante et surtout bien mieux pensée que la première. On sent que la marque a écouté les retours. En jeu, ça tourne fort, la chauffe reste sous contrôle et, pour une fois, l'autonomie ne fond pas comme neige au soleil. Mais si les specs impressionnent, son talon d’Achille reste Windows, qui n'a toujours pas dans son ADN la simplicité d'une vraie interface console. Asus a beau avoir fait de gros efforts pour rendre l'expérience plus fluide, on sent toujours que c'est un PC qui joue à être une console. Certains y verront un inconvénient, d'autres au contraire un atout. Et c'est peut-être là que réside toute la complexité et la singularité de cette machine.
Gamergen 18/20
Avec cette machine, Asus ne se contente pas d’une simple révision technique. Le constructeur affirme une conviction, celle qu’un jeu portable peut réunir puissance, confort et polyvalence. La conception respire la réflexion, chaque choix semble pensé pour le plaisir du joueur, sans excès ni compromis marketing. En refermant ce test, une conclusion s’impose. La ROG Xbox Ally X n’est pas parfaite sur divers points, mais elle ouvre une voie nouvelle. Elle prouve que le futur du jeu vidéo se situe entre la console et l’ordinateur, dans cet espace où la mobilité rencontre la performance. Cette machine marque une étape importante dans la convergence des deux univers et mérite déjà une place à part dans le paysage du jeu nomade.
ActuGaming 9/10
Et si Xbox, grâce à son partenariat avec Asus, tenait là l’une, si ce n’est la meilleure console portable actuellement présente sur le marché ? En proposant ce modèle premium avec 24 Go de mémoire vive, 1 To de disque dur et un tout nouveau processeur basé sur l’IA, la première collaboration de ce type entre les deux mastodontes des nouvelles technologies va faire parler, grâce à ses performances accrues très nettement palpables comparativement aux autres bécanes disponibles, son ergonomie et sa prise en main améliorées, sa polyvalence et sa compatibilité avec les autres boutiques via l’application Xbox Plein écran pour profiter de milliers de jeux en natif ou en Cloud Gaming, mais aussi et surtout à cause de son prix, qui rebutera forcément le grand public et même une frange de gamers habitués à jouer sur de plus grands écrans ou sur console, sans optimisation supplémentaire de leurs jeux. Une machine forcément pas faite pour tout le monde et qui demandera encore quelques concessions par moments. En proposant un mini-PC portable de ce calibre au prix deux fois supérieur à celui d’une Nintendo Switch 2 (incomparable en termes de performances) et même 100 € plus cher qu’une PlayStation 5 Pro, Xbox et Asus prennent le pari, celui de l’innovation, de l’excellence aussi, si on est prêts à y mettre le prix. Quitte à repousser encore un peu l’accès au commun des mortels à ce genre de technologies ultra-calibrées.
GAC 8,4/10
La ROG Xbox Ally X représente une évolution logique et réussie du modèle précédent. Asus améliore l’ergonomie, l’interface et la puissance sans trahir l’esprit de la machine. Le nouveau Ryzen Z2 Extreme offre des performances solides, notamment sur les jeux AAA, tout en maintenant une bonne stabilité thermique. L’écran reste efficace, même si un futur passage à l’OLED serait bienvenu. L’autonomie progresse aussi, permettant des sessions plus longues sans compromis. Au final, c’est une console PC portable plus aboutie et plus agréable à utiliser, taillée pour les joueurs exigeants.
O1net 4/5
Plus qu'une mise à jour matérielle à la marge, l'Asus ROG Ally X est la version la plus aboutie de la console-PC d'Asus. Elle conserve ce qui est, à notre avis, son plus gros défaut : l'interface de Windows qui n'est pas très adaptée à une console. Il est aussi un peu dommage que les performances n'aient pas reçu un petit coup de boost, même si elles demeurent suffisantes sur ce form factor. Un écran Oled n'aurait pas été de refus.
Ceci étant posé, pour le reste, Asus nous gratifie sans doute de la console-PC la plus aboutie du moment. Son autonomie ridiculise tout simplement la concurrence en allant tutoyer les 4 heures sur des jeux AAA. La nouvelle coque assure une prise en main qui relève de la masterclass et l'écran est bien calibré et fluide.
L'Asus ROG Ally est donc un très bon produit qui plaira à quiconque veut jouer en nomade sur PC. À condition de ne pas avoir peur de bidouiller quelque peu sur le chemin.
-------------------Sans note--------------------
Frandroid
Autant le dire tout de suite : nous ne pouvons pour le moment pas noter cette ROG Xbox Ally X. On vous explique pourquoi à la fin de cette conclusion.
En prenant pour elle la marque gaming de Microsoft, la ROG Xbox Ally X permet d'accéder à une expérience vidéoludique bien plus approfondie que le simple Windows classique. Et si le système d'exploitation a encore des choses à ajouter ou optimiser, on ne peut nier que les fondations sont bien là pour adapter toujours plus l'usage pour une exploration à la manette, ce qui est très agréable sur une console portable de la sorte. L'absence de limite de Windows commence doucement, mais sûrement, à s'allier à la facilité de prise en main d'un SteamOS.
La formule de la ROG Ally X évolue peu, mais dans la bonne direction. Si l'on peut s'esclaffer du fait qu'il ait fallu tant de temps pour qu'une console portable prenne enfin la forme définitive du manette à écran intégré, les gains ergonomiques sont évidents. Et ces vibrations ! Quel plaisir.
Maintenant... Nous ne sommes pas encore en position de juger des performances de la console, et donc lui donner une note, faute des soucis explicités dans notre test. Un constat qui concerne aussi l'autonomie de la ROG Xbox Ally X. Pour toute décision d'achat, nous vous invitons plutôt à faire preuve de patience en attendant que ces problèmes soient corrigés par Asus et Microsoft. Nous mettrons à jour notre test lorsque ceux-ci le seront.
Gamekult
Par son design léché, son ergonomie plaisante et ses performances, sans conteste supérieures à la plupart des autres appareils du même genre, la ROG Xbox Ally X s'impose aisément comme une alternative sérieuse au Steam Deck, pour ne citer que lui. Reste que son tarif bien supérieur (presque le double !), couplé aux affres habituels de Windows (qui n'est toujours pas optimisé pour une telle expérience) viennent gâcher un tableau pourtant positif. Pour faire clair, la ROG Xbox Ally X s'adresse à un public bien spécifique de technophiles (dont l'auteur de ces lignes ne cache pas faire partie) à la recherche des meilleures performances possibles pour un appareil portable. Jouer à Elden Ring, Cyberpunk 2077, Avowed, Silent Hill f, Baldur's Gate 3, Clair Obscur : Expedition 33 ou Kingdom Come Deliverance 2 avec un framerate respectable, c'est non seulement possible ici, mais aussi un plaisir de chaque instant. Encore faut-il pouvoir lancer les jeux sans se traîner un système d'exploitation aux fraises, ce malgré les quelques ajustements apportés par les surcouches Xbox & Armoury Crate. Alors à la question : la ROG Xbox Ally X est-elle une bonne machine, il sera difficile de répondre négativement. En revanche, ce n'est évidemment pas un produit pour tout le monde, et l'on a du mal à imaginer comment il pourrait ne serait-ce que talonner les ventes d'un Steam Deck moins onéreux, mais aussi plus doux dans l'expérience utilisateur.
PS : Il sera donc nécessaire de le compter dans vos dépenses (c'est 70€ de plus pour le chargeur officiel chez ASUS).
GAC 8,5/10
Pokémon Legends: Z-A montre que Game Freak gagne à sortir de sa zone de confort. L’aventure urbaine à Illumis apporte un vent de fraîcheur grâce à son exploration verticale, ses combats en temps réel et ses Méga-Évolutions revisitées. Le jeu reste visuellement modeste, mais offre une excellente fluidité sur Switch 2 et un contenu généreux. Sans être une révolution, c’est une évolution maîtrisée et agréable qui redonne à la série une belle dose d’énergie et de modernité. J’ai vraiment apprécié l’expérience et je suis heureux de voir que l’équipe a su apporter de solides améliorations pour enrichir sa série de spin-off Pokémon Legends. J’espère sincèrement que Game Freak continuera dans cette voie, car cette formule me séduit de plus en plus.
Millenium 80%
Addictif et agréable à parcourir, Légendes Pokémon Z-A est un bon jeu et une belle mise en bouche en attendant la prochaine génération. TPCI continue d'expérimenter de nouvelles manières de jouer avec les dresseurs et leurs Pokémon et ça leur réussit plutôt bien, avec cette formule en deux phases que l'on a eu bien du mal à lâcher. Dommage, par contre, que son histoire ne soit pas un peu plus intéressante et que sa technique soit toujours aussi balbutiante.
Jdg 8/10
Légendes Pokémon Z-A vient enfin redorer le blason de la franchise. Avec suffisamment de temps et de ressources, les développeurs ont pu laisser libre court à leur imagination pour faire d’Illumis un immense terrain de jeu qui révolutionne la licence. Game Freak tient le bon bout et cette nouvelle approche aurait tout intérêt à se poursuivre avec la 10ème génération. Maintenant, il nous tarde de voir ce qu’un jeu Pokémon développé exclusivement pour la Switch 2 peut avoir dans le ventre.
Numerama 8/10
Ce n’est pas parce qu’un jeu vidéo se déroule dans une version fantasmée de Paris qu’il faut absolument en attendre une révolution, et on ne voulait pas trop en attendre de Légendes Pokémon : Z-A. Cependant, ce nouvel opus s’inscrit clairement dans la continuité d’un Légendes Pokémon : Arceus dont la fraîcheur nous avait séduits à l’époque, et il parvient à en renouveler la formule, se trouvant assez aisément une identité propre. Cette dernière se situe non seulement du côté d’un gameplay plus dynamique bien que fatalement clivant (on ne remet pas en cause 30 ans de fondamentaux aussi facilement), mais aussi de la cité d’Illumis. On est ainsi heureux de découvrir cette ville lumière dans un environnement en 3D aussi séduisant en termes d’intentions artistiques, et plutôt bien réalisé si l’on ferme les yeux sur ses plus grosses faiblesses. Légendes Pokémon : Z-A est ainsi parfois bluffant, tant on a rarement vu un jeu Pokémon aussi joli sur de nombreux aspects, mais aussi frustrant de par des limitations techniques que l’on imagine inhérentes à un développement pensé pour la première Switch. En fin de compte, on ressort de l’expérience de Légendes Pokémon: Z-A étonnamment satisfait, tout en se disant que ça aurait pu être encore mieux. Mais force est de constater que les promesses du futur sont clairement là. Vivement la 10G, si bien sûr elle bascule sur Switch 2 uniquement.
JV 15/20
Légendes Pokémon Z-A n’est pas le jeu de la révolution tant espérée. Il innove sur le plan du combat, mais reste trop timide sur celui de l’exploration. Son univers, concentré sur la ville d'Illumis, limite l’envie d’aventure, même si son système de combat ouvre enfin la voie à une nouvelle génération de gameplay Pokémon. Les dresseurs en quête d’un vent de fraîcheur y trouveront un titre solide et agréable. Pokémon Z-A sort le 16 octobre sur Nintendo Switch et Switch 2, et devrait plaire à ceux qui veulent tester leurs réflexes de dresseur dans une toute nouvelle arène. Et ceux toujours friands de la licence d'évolutions et de captures.
ActuGaming 7,5/10
Légendes Pokémon Z-A est sans conteste l’épisode le plus audacieux de Game Freak depuis des années après Arceus. En osant bouleverser le système de combat au profit d’un modèle en temps réel, le studio prouve qu’il cherche encore à faire évoluer sa formule, quitte à prendre des risques. Plus nerveux, plus immersif et parfois plus mature dans son ton, le jeu réussit à surprendre là où on ne l’attendait pas forcément. Mais cette ambition se heurte à des limites techniques et structurelles évidentes, avec une ville trop étriquée, des affrontements souvent brouillons, et une mise en scène encore trop rigide pour un titre de cette envergure. Malgré tout, la magie opère par moments, notamment grâce à ses Méga-Évolutions spectaculaires et son écriture plus travaillée que d’ordinaire.
Gamergen 14/20
En fin de compte, Légendes Pokémon : Z-A ressemble à une étape, pas une destination. C’est un épisode qui pose de bonnes bases, qui expérimente, qui tente. Il ne révolutionne pas la série, mais il lui offre un souffle différent, plus urbain, plus mature, et parfois un peu trop mesuré. Nous avons aimé y croire, explorer, et voir le studio se remettre en question, mais pour la vraie renaissance, il faudra sans doute attendre le prochain chapitre. Une aventure solide, agréable, mais pas inoubliable...
Gamekult 6/10
Si la série Légendes Pokémon semble de prime abord montrer une volonté de s'affranchir des carcans limités des épisodes canoniques, elle ne saurait malgré tout s'affiner en réinvention pourtant attendue depuis des années. Z-A témoigne de bonnes idées et offre le système de combat le plus engageant de la saga depuis fort longtemps, mais peine à faire oublier ses carences éternelles : des visuels ternes et franchement insuffisants à l'ère moderne, une narration toujours aussi enfantine, un manque de personnalité criant et des incohérences de gameplay qui réduisent son appréciation au fil des heures. Si l'on ne doute pas un seul instant que les inconditionnels de la série feront fi de ces défauts, le commun des mortels, qui s'adonne sporadiquement à la chasse de monstres, trouvera dans Légendes Pokémon : Z-A une tentative certes sympathique, mais bien loin d'être essentielle.
Gamekult 9/10
Dans une année 2025 déjà encombrée, Absolum arrive malgré tout à s'imposer sur le podium comme une évidence. Guard Crush Games, Dotemu et Supamonks livrent une expérience virtuose où les faux pas sont très rares. De la sublime bande-son aux visuels maîtrisés, de la boucle roguelite parfaitement huilée à la qualité premium des mécaniques de combat, il n'y a vraiment que la narration qui se retrouve un peu mise de côté, et cela tombe bien, puisque c'est finalement le moins important dans un beat 'em up en règle générale. Autant dire qu'on a trimé pour trouver des défauts à signaler. Après Streets of Rage 4, Dotemu place la barre encore plus haut, réussissant avec un brio rare le lancement de sa première franchise interne. Est-ce que cela va provoquer un second sursaut du genre ? Si oui, les cinq prochaines années vont être absolument lunaires, dans le meilleur sens du terme.
IGNFrance 9/10
Il va falloir que je l'écrive à nouveau cette année : j'ai eu un véritable coup de cœur pour cet Absolum. Ce titre brille de mille feux. Avec son esthétique de comics animé du plus bel effet, sa bande originale somptueuse, ses personnages cool et grisants à maîtriser, son gameplay de beat'em up arcade associé à une mécanique de roguelite décuplant la sensation de puissance à mesure que vous améliorez et maîtrisez les actions de votre héros, les mouvements de vos adversaires et les différentes possibilités de combo, vous arriverez à la sensation jouissive de casser le jeu - voire même un peu trop, car c'est aussi là que le défi peut être amoindri en fonction de vos propres bonus, dont certains sont peut-être un peu trop puissants, au risque de créer quelques déséquilibres. Il existe une multitude de possibilités de jeu, réparties entre les six compétences associées aux quatre personnages. Nous aurions pu espérer davantage, mais nous savons déjà nous contenter de la qualité de la proposition (qui plus est à ce prix). Certes, Absolum ne révolutionne pas tous les codes esthétiques, techniques ou de gameplay qu'il emprunte ici et là entre l'animation et le jeu vidéo. Toutefois, il sublime chacune de ces parties tout en se les appropriant pour se créer une véritable identité - que j'espère revoir très vite d'ailleurs. Il ne nous reste donc plus qu'à espérer un véritable succès pour Absolum, afin de voir arriver, dans un futur plus ou moins lointain, du contenu supplémentaire pour enrichir encore cette aventure absolument fabuleuse.
GamingBolt 9/10
Absolum is absolutely recommended for beat 'em up fans thanks to the pedigree of its developers. It's also a surprisingly deep rogue-lite with a well-developed world, bolstered all the more by its incredible presentation.
Absolum est vivement recommandé aux fans de beat 'em up grâce au pedigree de ses développeurs. C'est également un rogue-lite étonnamment profond, doté d'un univers riche, et dont la présentation est tout simplement incroyable.
ActuGaming 8,5/10
Chaque défaite est un apprentissage. Chaque défaite est un gain d’expérience, une augmentation de puissance. Chaque défaite enrichit le lore, débloque des conversations et des quêtes. L’expédition s’étoffe et les contrées de Talamh nous invitent à l’aventure. Parfois, on est presque pressé d’échouer, simplement pour retenter sa chance, partir en quête d’un secret, d’un événement caché, ou tester une capacité fraîchement acquise. Absolum sait titiller la curiosité. Il sait aussi adoucir ce sentiment désagréable de répétitivité. Il y a toujours une récompense, quelle qu’elle soit, à la fin d’une run, et l’excellence du gameplay séduit. Des décisions narratives, ou certaines actions sur l’environnement, peuvent également provoquer des réactions dans le jeu. Sans que cela ne soit renversant, ce sont des détails qui cimentent un game design maîtrisé, pensé pour rendre l’expérience aussi fluide et gratifiante que possible. Pari réussi pour les studios, Absolum envoi du lourd.
PCGamer 83%
So Absolum is ultimately a beat 'em up with a bit more depth and progression than we've seen before in this style of game that has been so resistant to change since it was born in the arcades. Absolum lacks the extensive variance of a true roguelike, but delivers enough intricacy to push the genre into a more interesting space than it's ever occupied.
Absolum est donc un beat 'em up qui offre un peu plus de profondeur et de progression que les jeux de ce style, si réfractaires au changement depuis leur apparition dans les salles d'arcade. Absolum manque de la variété d'un véritable roguelike, mais offre suffisamment de complexité pour faire évoluer le genre vers un espace plus intéressant qu'il n'a jamais occupé.
GameWave 9/10
Battlefield 6 redonne à la série ses lettres de noblesse. Après un épisode 2042 en perte d’identité, cette nouvelle itération parvient à combiner spectacle, intensité et cohérence. La campagne, bien que courte, s’avère rythmée, crédible et techniquement impeccable, offrant enfin une vraie mise en scène militaire digne du nom Battlefield. Le multijoueur, cœur du jeu, brille par son dynamisme, ses cartes bien pensées et la satisfaction constante de ses combats, soutenus par une destruction qui, même parfois excessive, renforce la tension et l’immersion.
Le gameplay, fluide et lisible, tire profit d’une excellente optimisation et d’un moteur graphique maîtrisé. On retrouve ce plaisir brut de la série : le chaos organisé, la coordination d’équipe et l’adrénaline des grandes batailles. Sans révolutionner la formule, Battlefield 6 la perfectionne. Un épisode solide, généreux et fédérateur, qui replace enfin la licence parmi les meilleures expériences FPS actuelles.
IGNFrance 9/10
Battlefield 6 nous rappelle les heures de gloire de la licence avec un gameplay intense et complet, une ambiance et une immersion XXL, tant sur le plan esthétique que sur le sound design, qui nous plongent une nouvelle fois dans ces champs de bataille démentiels. Il est encore trop tôt pour affirmer qu’il entrera dans la légende des opus marquants de la série, mais il en est sur la bonne voie. Reste maintenant à DICE de nous fournir régulièrement du contenu de la même qualité que celui proposé day one, et ce Battlefield 6 auront un avenir radieux devant lui. Il n’y a finalement pas grand-chose à reprocher à ce BF qu’on aura attendu une paire d’années. Maintenant qu’il est là, profitons-en pleinement !
Gameblog 9/10
Battlefield 6 signe le grand retour de la franchise sur le podium des meilleurs FPS de sa génération. Le changement de cap de la licence et ce retour aux sources tant espéré lui fait un bien fou et on se régale. La campagne n’est peut-être pas bien longue et l’IA est complètement à la ramasse, mais le simple fait de retrouver une once de feeling à la Bad Company 2 suffit à la rendre agréable. Un bonus qui vient habiller le gros morceau que représente le multijoueur. Le contenu est généreux et on a même droit à un nouveau mode de jeu qui s’avère être une très bonne surprise. Une quarantaine d’armes, des gadgets et accessoires par dizaines, plein de cosmétiques à débloquer, difficile de faire la fine bouche surtout lorsque l’on sait que d’autres contenus gratuits arrivent. Reste que le nombre de cartes est un peu chiche, d’autant qu’elles ne sont pas toutes mémorables, mais c’est à peu de choses près tout ce qu’on peut lui reprocher. Les sensations sont excellentes et elles prennent très largement le dessus, et c’est l'essentiel finalement. Le multijoueur ne ressemble à aucun autre, c’est du grand Battlefield, intense et immersif, voire même parfois plus cinématographique que ne l'est la campagne. On en redemande, c’est du grand spectacle.
JV 17/20
Battlefield 6 marque bel et bien un retour en force pour la série ! C’est un épisode certes nostalgique dans son approche mais qui affine sa formule d’une façon assez impressionnante, notamment grâce à un gameplay et des graphismes qui font simplement des merveilles (surtout en multijoueur). Jouer à cet opus s’est révélé être une expérience prenante et addictive, même si on a été un peu déçu par le solo. Pour tout vous dire, après ce test, on a qu’une hâte : retourner sur le champ de bataille. Et ça, ça veut tout dire, non ?
Millenium 85%
Battlefield 6 signe le grand retour d’une licence qui assume pleinement son héritage tout en modernisant ses fondations. DICE parvient à réaffirmer l’ADN stratégique de la série qu’on avait perdu à Battlefield 2042 : coopération, lecture du terrain et maîtrise de l’équipement priment toujours sur les réflexes et le chaos typiques de la concurrence. Les sensations de tir sont plus équilibrées, la mobilité du soldat bien mieux clibrée et les cartes, d’une richesse exemplaire, offrent une diversité vraiment grisante. Le système de classes, plus souple et personnalisable, redonne une vraie liberté de jeu sans trahir la structure tactique chère aux vétérans. Certes, la campagne solo manque d’ampleur et certains modes multijoueur nécessitent encore des ajustements, mais le cœur du jeu reste solide, nerveux et gratifiant. Avec 45 armes au lancement, neuf cartes soignées, un suivi de contenu ambitieux et une promesse de mises à jour régulières, Battlefield 6 se place sans vergogne parmi les meilleurs opus de la franchise.
Actugaming 8/10
Après l’énorme déception qu’était Battlefield 2042 à nos yeux, la tâche de nous réconcilier avec la licence n’était pas aisée pour Battlefield 6. C’est pourtant ce qu’il a réussi à faire avec brio. Sa campagne est l’une des meilleures que la série ait pu nous proposer. La mise en scène est bonne, on en prend plein les yeux et on apprécie suivre la trame narrative qui nous est offerte même si l’on pourra toujours regretter la faible durée de vie du mode. Pour son multijoueur, le jeu corrige les erreurs du passé avec le retour aux quatre classes emblématiques et surtout au grand retour de la destruction. Le gunplay est bon, avec des sensations qui rappellent Battlefield 4 par moments et des nouveautés de gameplay bienvenues. On retrouve l’ensemble des modes de la licence ainsi que la très bonne surprise d’un nouveau venu baptisé Expansion. Enfin, on ne peut qu’apprécier la qualité visuelle du titre aussi bien en solo que dans le multijoueur. Battlefield 6 signe une vraie renaissance, tel un phénix qui renait de ses cendres.
Jdg 8/10
Battlefield revient sur le champ de bataille en mode patron. Ce Battlefield 6 ne joue pas la concurrence en revenant à ce qui faisait son charme, les affrontements épiques. Avec une ambiance plus immersive que jamais et des décors destructibles, ce nouvel opus sent bon la poudre et a des envies de réalisme. On a beau se prendre les balles, on en redemande.
Gamergen 16/20
En d'autres termes, Battlefield 6 réussit son pari, à savoir relancer la franchise avec panache et technicité. Ce n’est pas une révolution, mais une évolution solide, ambitieuse et terriblement efficace. Les sensations de tir, la mise en scène des combats et la démesure du champ de bataille en font un indispensable pour tous les amateurs d’action militaire. Après quelques années d’errance, la série retrouve enfin son souffle et son identité, celle d’un chaos spectaculaire, immersif et terriblement satisfaisant à vivre. Battlefield 6, c’est ce moment où tout explose... et où nous sourions, casque vissé sur les oreilles, en murmurant « ça claque ».
Gamekult 7/10
Battlefield 6 reste avant tout un jeu de reconquête de sa communauté historique et pour s'absoudre de BF2042. Dans ces conditions, le cahier des charges qui consistaient à proposer une expérience made in Battlefield on ne peut plus classique est rempli et que ça soit sur le gameplay, les sensations de jeu ou l'équilibrage des armes en multijoueurs c'est une belle réussite globale. Difficile dans ce contexte de voir la licence révolutionner ou même secouer un peu sa formule, mais l'aspect multijoueur tient la route et c'est l'essentiel à l'heure actuelle. Les quelques tentatives, la campagne en tête, ressemblent plus à une envie de mimiquer Call of Duty qu'autre chose avec cet américanisme pénible et on est encore en colère de cette conclusion scénaristique qui rappelle les heures les plus sombres de CoD. Quitte à copier Acti, essayons de ne pas reprendre les mauvaises choses, même si on a déjà éviter les skins affreux à outrance et c'est déjà une très belle victoire.
Millenium 80%
Little Nightmares 3 reste dans la lignée de ses deux prédécesseurs. Une aventure dans des mondes sombres et malaisants ayant pour but de refléter les cauchemars de Low et Alone. Une formule identique, à la seule différence que cette fois, c'est à 2 que l'aventure se vit.
Un twist pas forcément exécuté de la meilleure des manières tant l'aspect co-op ne crée pas une différence flagrante dans le jeu, avec des énigmes assez faciles à résoudre. Mais ce nouvel épisode reste globalement une aventure sympathique que les fans des 2 premiers épisodes apprécieront tout autant, à 2 si besoin !
Gameblog 8/10
Supermassive Games a su s’approprier l’univers de Nulle-part tout en l’enrichissant, aussi bien par son récit que sa dynamique en duo. Little Nightmares 3 brille par son atmosphère anxiogène, sa mise en scène aux petits oignons et une bande-son qui ponctue avec soin chaque moment de tension. Le gameplay, quant à lui, ne cesse de renouveler son rythme pour ne jamais nous lasser. On passe de l’exploration captivante à l’infiltration, en passant par des moments d’action plus intenses. On regrettera quelques imprécisions dans la maniabilité et une optimisation encore possible en matière de performance. Mais, dans l’ensemble, ce troisième volet est une réussite qui devrait s’apprécier encore plus à deux, à condition de jouer en ligne.
Jdg 7/10
Little Nightmares 3 n’est pas un mauvais jeu, mais il n'est pas là où on devrait l'attendre. À force de vouloir étendre son univers, il en perd un peu son identité, surtout en ce qui concerne la peur et l'instinct de survie. Ses zones initiales trop vides et sa symbolique moins lisible affaiblissent un ensemble pourtant porté par une réalisation soignée et une ambiance sonore toujours aussi magistrale. Malgré tout, le jeu reste solide dans la forme, mais est moins inspiré dans le fond. L’univers fascine toujours mais l’émotion s’est un peu perdue en route au profit d'un aspect plus logique.
JVFrance 70%
Little Nightmares III est une épopée sombre et onirique dans un univers où la présence de nos protagonistes n’est désirée que pour en faire un quatre-heures. L’atmosphère du jeu est maîtrisée de bout en bout, et ce, malgré une aventure qu’on aurait bien vue un peu plus longue. Il faut le savourer en coopération pour en tirer toute la quintessence, et ça tombe bien, avec le pass ami, on peut littéralement parcourir tout le jeu avec quelqu’un n’ayant pas acheté le jeu. Pour le coup, on apprécie que Bandai Namco et Supermassive Games aient suivi ce chemin, qui permettra sans doute au plus grand nombre de découvrir la licence. Malgré des énigmes trop faciles, un léger manque d’originalité et un petit côté frustrant par moments, il n’en reste pas moins un moment agréable : un comble quand on sait que le jeu fait tout pour faire ressurgir nos peurs infantiles. Et sur ce point-là, c’est un sans-faute.
ActuGaming 6,5/10
Little Nightmares III nous raconte une histoire glauque, dérangeante, sombre et à la fois si poétique, dans la stricte lignée des précédents opus. Les habitués de la licence ne seront pas dépaysés tandis que les nouveaux venus pourront prendre le train sans heurts. On salue l’arrivée d’une coopération intelligente, mais trop peu mise en avant, pourtant au service d’une épopée qui n’ose peut-être pas assez, bien que techniquement réussie. Ceci étant dit, on ne peut que louer le travail réalisé par les équipes de Supermassive Games qui ont respecté, sans doute un peu trop, le cahier des charges de la licence, au point de ne prendre que très peu de risques et de manquer le coche d’insuffler un peu plus de leur ADN dans une licence forte et bien installée, mais que Bandai Namco a peut-être eu un peu peur d’écorner.
Gamewave 6,5/10
Revenir dans l’univers de Little Nightmares est toujours un plaisir. La direction artistique fait une nouvelle fois des merveilles, et l’ambiance sombre, dérangeante mais captivante, reste l’un des plus grands atouts de la série. Cette fois, l’expérience se partage à deux, et même si la coopération se limite au mode en ligne, elle apporte une vraie plus-value, en renforçant la tension comme la lecture environnementale.
Mais à trop vouloir laisser place à l’interprétation, le jeu se perd un peu. L’histoire, volontairement floue, manque de repères pour véritablement impliquer le joueur. Le gameplay, de son côté, conserve une certaine lourdeur, avec des phases d’action parfois trop exigeantes qui brisent le rythme et génèrent de la frustration.
Malgré tout, la formule fonctionne encore. Le jeu repose sur des bases solides, porté par une esthétique unique et un univers qui mérite toujours d’être exploré. Reste à espérer que les développeurs sauront affiner cette vision dans un futur opus, en poussant plus loin la coopération et en trouvant un meilleur équilibre entre mystère et lisibilité.
Jrpgfr 9,5/10
En finissant Digimon Story: Time Stranger, une évidence s’impose d'elle-même : c’est une œuvre qui a compris ce qui fait l’essence d’un grand JRPG au-delà de son étiquette de RPG de capture de monstres. Un jeu aux mécaniques solides à travers un voyage entre deux mondes — le réel et le digital — qui se mêlent. La progression devient une quête identitaire, une réflexion sur la mémoire, le temps et le lien indestructible qui unit plusieurs êtres, qu’ils soient humains ou Digimon.
Là où tant de jeux à licence se contentent d’exploiter une nostalgie, Time Stranger ose raconter quelque chose de nouveau, de plus grand. Ses choix artistiques, son gameplay addictif, ses personnages aux blessures crédibles donnent une dimension presque animée, que l’on se plait à vivre plutôt qu'à observer. Même moi, qui ai grandi avec Pokémon depuis la première cartouche, j’ai trouvé ici une maturité et une audace que je n’attendais pas. Pokémon m’a appris à aimer collectionner les monstres, mais Time Stranger m’a rappelé que ces créatures pouvaient aussi porter des histoires, des drames et des espoirs à la hauteur de grands récits de fiction.
Alors oui, pour moi, c’est sans doute, à ce jour, le meilleur JRPG de monstres auquel j’ai eu l’occasion de jouer. Simplement parce qu’il m’a touché, surpris et emporté comme peu d’œuvres savent le faire. Il honore la franchise Digimon et redéfinit ce qu’elle peut être, complètement. Et si le temps est au cœur de son récit, alors je peux dire sans détour qu’il a su marquer le mien.
Millenium 85%
Digimon Story Time Stranger est un bon jeu qui peut s'inscrire comme étant la porte d'entrée pour découvrir cet univers en vous proposant une histoire intéressante à suivre, un gameplay complet accompagné d'environnements divers et variés et un contenu conséquent allant de la simple mission de routine à la collection de cartes ou de créatures en passant par des combats qui peuvent parfois demander une certaine préparation. Le tout sans oublier les fans qui retrouveront leurs monstres digitaux favoris venant de toutes les générations ainsi que le système de progression qui fait la force de ce titre. Après, vaut-il son prix ? Si vous êtes amateur de J-RPG, oui, mais si vous ne l'êtes pas, nous vous conseillons plutôt de faire la démo d'abord..
JVFrance 80%
Bingo, avec Digimon Story Time Stranger, Bandai Namco offre enfin aux joueurs le jeu Digimon parfait. Si la réalisation est toujours perfectible et les poncifs du JRPG sont bien présents, le plaisir de jeu, lui, ne nous a jamais quittés et la richesse du gameplay conjuguée à la douce nostalgie qu’il a su provoquer en nous ont sans cesse relancé l’intérêt. Attention toutefois, les mécaniques de jeu sont tellement nombreuses qu’il va falloir les maîtriser correctement pour passer les pics de difficulté, ou bien accepter de passer en mode de difficulté Histoire. Avec des sous-titres en français, il ne manquerait plus qu’une localisation intégrale dans la langue de Molière et quelques petites corrections pour parfaire le tout. On n’en attendait rien, mais il faut se rendre à l’évidence : Digimon Story Time Stranger est l’une des bonnes surprises de cette fin d’année.
Geeko 7,3/10
Plusieurs années après la sortie du dernier “Digimon Story”, la licence est de retour avec un nouvel épisode qui ne vient pas chambouler la formule, mais qui l’améliore. Time Stranger nous propose une aventure à la structure un peu classique pour un JRPG, mais qui nous permet de parcourir différents lieux du Japon ainsi que du monde digital. Porté par un scénario parfois un peu complexe mais pourtant réussi, le titre brille surtout par les nombreux systèmes qui accompagnent ses combats au tour par tour. Capable de nous laisser une bonne liberté dans la conception de notre équipe, le jeu se montre aussi très accessible. Malheureusement, les nombreux donjons du jeu ne sont pas toujours très inspirés. Time Stranger souffre aussi d’une mise en scène en dents-de-scie, de même que des décors pas toujours réussis, qui cachent pourtant de réelles avancées visuelles dans la licence et de l’inventivité dans la direction artistique et dans l’exploitation de son univers. Digimon Story Time Stranger reste une aventure réussie qui ravira les fans de la série.
Actugaming 7/10
Digimon Story Time Stranger dispose de solides arguments pour convaincre les joueurs et les joueuses de lui laisser sa chance. Son gameplay est riche et bien huilé, son roster de créatures est dense et varié, ses combats de boss stratégiques sont souvent très plaisants à prendre en mains, et sa réalisation globale est digne d’un titre tarifé au prix d’un AAA. Malheureusement, le J-RPG souffre aussi de défauts susceptibles de provoquer de la frustration et de la lassitude en cours de partie. Sa narration, pourtant intéressante à suivre dans l’ensemble et surprenante à plusieurs occasions, voit son rythme et son niveau de qualité sapés par des longueurs et un arc final poussif et trop convenu. Sa progression est très répétitive. Quant à son expérience de jeu, elle est trop fortement axée sur les affrontements, et ce jusqu’à l’excès. Si vous êtes du genre patient et êtes prêts à lui pardonner ces écueils, alors vous devriez passer un bon moment dessus. Dans le cas contraire, vous risquez d’abandonner l’aventure avant de découvrir ce qu’elle a réellement dans le ventre. À défaut d’être pleinement à la hauteur de ses ambitions, il s’agit donc d’une production se plaçant un peu à mi-chemin entre le gros plaisir coupable et le vrai bon jeu capable de marquer les esprits.
BetaTesteur 9,2/10
Super Mario Galaxy et Super Mario Galaxy 2 étaient déjà considérés comme des chefs-d’œuvre. Cette nouvelle version ne fait que confirmer leur statut intemporel. Malgré quelques modèles 3D datés et une caméra qui montre parfois ses limites, ces deux aventures restent d’une créativité rare, portées par une direction artistique sublime et une bande-son inoubliable.
En 2007 comme en 2025, Mario nous rappelle qu’il n’a pas d’âge et que le jeu vidéo, quand il est porté par l’imagination et le soin du détail, peut défier le temps.
GAC 8,5/10
En somme, cette nouvelle édition de Super Mario Galaxy et Super Mario Galaxy 2 propose un retour réussi de deux classiques qui ont marqué l’histoire de la série. Les améliorations techniques, la compatibilité avec la Switch et la Switch 2, ainsi que l’ajout du mode assisté et du lecteur de musique rendent l’expérience plus agréable et accessible, tout en respectant l’esprit original. Même si le prix peut sembler élevé pour des jeux déjà bien connus, cette réédition permet autant aux nouveaux joueurs qu’aux vétérans de redécouvrir deux des meilleures aventures de Mario dans des conditions optimales.
JV 18/20
Super Mario Galaxy 1 et 2 restent des références absolues de la plateforme 3D. Leur retour sur Switch et Switch 2 constitue la meilleure occasion de les découvrir ou de les redécouvrir dans des conditions modernisées. Toutefois, il est important de garder à l’esprit qu’il s’agit d’un portage amélioré, et non d’une refonte complète. Les améliorations visuelles, le curseur optimisé et le confort portable apportent un vrai plus, mais ne révolutionnent pas l’expérience. Pour les nouveaux joueurs, c’est un incontournable. Pour les anciens possesseurs sur Wii, la décision dépendra de leur envie de redécouvrir ces chefs-d’œuvre dans une version un poil plus agréable. Ils arrivent tout de même à point nommé après une année étrangement faible, sans réel jeu Mario original pour la nouvelle console et les 40 ans du plombier. Avec ces Super Mario Galaxy, on s'est juste remis à rêver du futur de la série. Ce qui est déjà, à mon sens, un sacré tour de force.
Numerama 8/10
Avec Super Mario Galaxy 1 + 2, Nintendo a rarement autant fait honneur à sa réputation. Une compilation probablement trop chère et aux améliorations à la fois bienvenues et trop peu nombreuses, mais qui permet de rendre enfin disponibles dans des conditions (quasi) idéales deux immenses monuments du jeu vidéo : y a-t-il finalement plus Nintendo que ça ? Si vous n’avez encore jamais joué à ces deux chefs-d’œuvre, et si en plus vous possédez une Switch 2, on ne saura que trop vous recommander de foncer, tant les deux Mario Galaxy vous émerveilleront de par leur univers magique, leurs bandes originales d’exception et leurs dizaines d’idées de gameplay fascinantes. Si vous avez déjà joué à ces titres et avez hâte de les refaire en (très) haute définition, vous ne découvrirez quasiment rien de nouveau, mais il y a fort à parier que la magie opère toujours.
IGNFrance 8/10
Diptyque indispensable, Mario Galaxy brillait par sa proposition et son éclatante direction artistique. Avec les deux jeux, le bundle devient particulièrement généreux et éclairant sur l'avenir de la franchise : le laboratoire du level-design se trouve dans l'espace. Fun, iconique, la musique est culte dès la première note, voici un authentique grand classique à découvrir à rebours. Dommage que Nintendo soit un peu glouton sur le prix.
Gamergen 14/20
Au final, ce recueil vidéoludique remplit sa mission, à savoir redonner vie à deux titres mythiques en les rendant accessibles à tous, sans trahir leur identité. Les défauts sont réels, mais l’équilibre penche largement du côté du plaisir. Redécoller avec Mario, Harmonie, les Lumas et Yoshi reste un moment de grâce vidéoludique, et ces aventures cosmiques méritent toujours leur place parmi les sommets de la plateforme. Entre nostalgie et découverte, il s’agit d’un double voyage que nous conseillons principalement à la nouvelle génération, même si le billet d’entrée pique un peu. Mario ne nous fait peut-être pas découvrir de nouvelles galaxies, mais il rappelle pourquoi celles-ci nous ont tant fait rêver.
Gamergen 18/20
Au final, Sonic Racing: CrossWorlds réussit à se tailler une place confortable aux côtés des géants du genre. Car oui, le titre apporte suffisamment de fraîcheur et de générosité pour séduire les fans de Sonic comme les amateurs de courses ultra nerveuses. Un jeu qui sait être fun, sans se prendre trop au sérieux, et qui rappelle pourquoi nous aimons toujours enfiler nos gants de pilote bleu après toutes ces années. Bref, un indispensable pour qui veut transformer son salon en circuit de course, sans les peaux de bananes, ni de carapaces bleues.
CNPlay 9/10
Sonic Racing : Crossworlds n’est pas un simple rival de Mario Kart World, c’est sa relève naturelle. Plus audacieux, plus nerveux, plus inventif, il redonne au genre de la course arcade un souffle nouveau. Il prouve qu’il est encore possible d’innover dans un domaine saturé depuis des années. Là où Mario Kart s’endort sur son prestige, Sonic Racing s’impose par son audace et sa générosité. C’est un jeu exigeant mais juste, spectaculaire sans être superficiel, accessible mais profond. Une réussite totale pour les fans de vitesse, d’adrénaline et de coopération. Crossworlds ne se contente pas de faire mieux : il change les règles du jeu. Si la saga Sonic avait besoin d’un symbole de renaissance, le voilà.
JeuxActu 18/20
Difficile de ne pas tirer son chapeau à SEGA avec ce Sonic Racing CrossWorlds, tant le jeu coche quasiment toutes les cases qu’on attend d’un bon jeu de karting arcade en 2025. Oui, Mario Kart World reste l’incontournable de la discipline pour des millions de joueurs, mais il faut bien admettre que le plombier moustachu s’est quelque peu assagi avec le temps. Là où Nintendo a choisi d’élargir son public avec une conduite plus permissive, des tracés XXL et des règles toujours plus tolérantes, Sonic Racing CrossWorlds prend le chemin inverse et s’impose comme l’option pour les vrais mordus de vitesse et de technique. Le drift est roi, la punition est immédiate en cas de sortie de piste, et les anneaux à gérer remplacent avantageusement les pièces trop classiques de Mario Kart. Mais là où CrossWorlds explose littéralement son concurrent, c’est dans la variété et la profondeur de son gameplay. Les gadgets changent complètement la façon d’aborder une course, que ce soit en ligne ou hors-ligne, et ouvrent la porte à des stratégies quasi infinies. Les CrossWorlds, eux, dynamitent la monotonie des circuits et transforment chaque partie en une expérience imprévisible, où la surprise est permanente. Ajoutez à cela un casting plus généreux que jamais, une personnalisation des véhicules enfin libérée, des modes de jeu complets et un cross-play qui fonctionne, et vous obtenez une proposition de SEGA qui n’a rien d’une simple alternative à Mario Kart World, mais bien un concurrent sérieux, mieux armé et, osons le dire, supérieur. Alors certes, tout n’est pas parfait : les hoverboards restent en retrait, l’interface a été dessinée avec des moufles, et certains trouveront peut-être le jeu chaotique du fait de la surcharge d'effets visuels. Mais nous, on n'y peux rien, on adore quand ça dégueule d'effets en tous genres.... Mais globalement, CrossWorlds réussit ce que beaucoup n’osaient espérer : réinventer la formule Sonic Racing sans trahir ses racines, tout en imposant un style plus nerveux, plus pointu, et surtout beaucoup plus fun à long terme que celui de son rival moustachu. Oui oui, Mario Kart World a trouvé son maître, et il s’appelle Sonic Racing CrossWorlds.
Geeko 8,2/10
Sonic Racing CrossWorlds est sans l’ombre d’un doute l’épisode le plus réussi de la franchise et pour la première fois une vraie alternative à Mariokart. Plus nerveux et peut-être même plus technique que son rival, le titre offre un gameplay arcade extrêmement plaisant et des boucles de gameplay passionnantes. Certes, il copie un peu sur son rival avec les enchainements de monde, mais le fait brillamment et sensiblement différemment. Avec son casting de haut vol, son gameplay survitaminé, ses superbes graphismes et son univers coloré, CrossWorlds est une vraie bonne surprise.
Gameblog 8/10
Le retour du hérisson bleu sur la piste de course est très bien manœuvré par Sega. Plutôt que de prendre le risque d’un renouveau total, les équipes ont au contraire repris une formule qui fonctionnait déjà très bien pour la moderniser en s’inspirant de ce qu’elles avaient déjà pu créer auparavant. Fluide, nerveux et follement addictif, Sonic Racing CrossWorlds a de quoi ravir les amateurs du genre sur toutes les plateformes. On regrettera seulement un roster de lancement assez maigre, de même qu’un nombre de circuits Grands Prix trop restreint, sans oublier l’Aire de compétition qui n’emballera pas tout le monde. Mais, avec sa promesse d’accueillir du contenu régulier sur le long terme, il a tout pour devenir un nouvel incontournable dans le paysage des jeux de course.
IGNFrance 8/10
Plus nous jouons à Sonic Racing : CrossWorlds, plus nous y prenons du plaisir. La lourdeur du jeu s'efface au fil de notre maîtrise et lorsque nous nous enfonçons dans les méandres de la personnalisation des véhicules pour affiner notre style de jeu, en fonction de nos besoins et de notre façon de profiter d'un titre de ce genre. La concurrence reste dure sur ce genre et cet épisode ne conviendra clairement pas à tout le monde et ne sera pas aussi accessible au grand public que du coté de son rival moustachu. Nous avons ici un titre plus exigeant, plus punitif, moins simple à prendre en main, où la prise et le maintiens de vitesse sont capitales et la gestion des différentes armes plus importante encore. Le titre offre une véritable profondeur, à condition de lui accorder le temps nécessaire pour le maîtriser. Avec un contenu solide, sans être gargantuesque, il en gagnera avec le temps - nous le savons, car le jeu nous affiche directement les personnages et les courses à venir, payantes ou gratuites, au fil des prochains mois, au point même de donner au jeu un côté "rétention de joueur" un brin exacerbé. Si l'ergonomie du titre reste perfectible, on pourra profiter de nombreux modes de jeu plus ou moins réussis, mais relativement différents, le tout dans une mécanique multijoueur qui profite d'un crossplay capital pour la survie du jeu face à la concurrence.
SegaMag 8/10
Les amateurs des précédents Sonic Racing devraient trouver leur compte avec Sonic Racing : Crossworlds, qui reproduit des sensations de conduite similaire, en rajoutant par-dessus un tas d'options de personnalisation, et qui fait preuve d'une belle générosité dans ses modes de jeu, et d'un sacré sens du spectacle. Dommage que les défauts des précédents volets, surtout la conduite des avions et des bateaux, n'aient pas corrigés, voire sont accentués, et que plus de moyens n'aient pas été dédiés à l'aspect technique. Malgré tout, Sonic Racing Crossworlds est un titre vraiment fun, pour peu qu'on soit réceptif à sa proposition un peu foutraque.
Gameblog 9/10
Si Ghost of Yotei ne révolutionne pas foncièrement la formule déjà éprouvée de Ghost of Tsushima, il vient définitivement la parfaire dans tous ses aspects. La soif de vengeance d’Atsu, de prime abord assez convenue, va nous emmener dans un magnifique voyage à travers la région d’Ezo, ainsi qu’une émouvante quête de rédemption pour notre héroïne. Tant dans l’exploration agréablement immersive du monde ouvert que dans une histoire mise en scène avec maestria ou un gameplay action-infiltration bien ficelé et diversifié, on a droit ici à une aventure très généreuse qui se renouvelle constamment pour nous tenir en haleine de bout en bout. La PS5 tient là une nouvelle exclusivité majeure, qui vient clairement faire de l’ombre à Assassin’s Creed Shadows, à son illustre aîné, et même à d’autres jeux du même genre. Sucker Punch nous régale donc encore d’une belle épopée au Japon féodal, qui n’a pas à rougir du grand cinéma nippon dont il s’inspire, et digne du plus poétique des haïku avec en fond un air apaisant de shamisen.
IGNFrance 9/10
Peut-on vraiment se plaindre qu’un jeu soit itératif, quand il répète et sublime l’excellence de l’original? C’est un véritable plaisir de retrouver le Japon de Sucker Punch. Ghost of Yōtei est une expérience mémorable et le voyage d’Atsu, sur un fond de vengeance plutôt classique, parvient à surprendre à chaque étape. Une épopée violente, viscérale, qui ne pourra pas laisser indifférent. Une des plus belles expériences de la PlayStation 5, un immanquable pour les fans, mais les autres pourront se heurter à un excès de déjà vu.
GameWave 9/10
Avec Ghost of Yotei, Sucker Punch prenait un risque en proposant un tout nouveau personnage jouable, étant donné que Jin Sakai, soit celui de Ghost of Tsushima, est très apprécié par la communauté. Force est de constater que le studio a réussi son pari : Atsu est une protagoniste avec une belle profondeur, en raison de son histoire tragique, qui se dévoile via des flashbacks jouables.
Reprenant les bases du gameplay de son aîné, Ghost of Yotei parvient à distiller de la nouveauté ci et là, notamment au niveau des combats et de l'exploration, tout en proposant un monde ouvert riche. Ce nouvel opus met, d'ailleurs, grandement l'accent sur la liberté, afin que les joueurs profitent de leur périple aux côtés d'Atsu comme ils l'entendent. Et ça fait du bien.
Sucker Punch profite également grandement des fonctionnalités offertes par la PS5 et sa manette, en proposant des temps de chargement ultra rapides, une très bonne fluidité, une excellente stabilité mais aussi des visuels sublimes et des actions à réaliser avec la DualSense.
Gamergen 18/20
Au fond, ce jeu n’est pas un simple divertissement, mais un rendez-vous. Un rendez-vous avec le Japon féodal revisité avec passion, un rendez-vous avec nos émotions les plus profondes, un rendez-vous avec un futur classique instantané. Ghost of Yōtei nous laisse cette impression rare d’avoir joué à quelque chose de grand, de nécessaire, d’indispensable. Une production qui ne se contente pas de raconter une histoire, mais qui grave son nom dans nos mémoires, comme une cicatrice belle et indélébile.
JV 17/20
Si Ghost of Yotei n’est pas le grand jeu qu’il laisse paraître pendant ses premières heures, c’est un excellent jeu d’action-aventure qui marque une belle évolution par rapport à Ghost of Tsushima. Ici, le studio Sucker Punch fait un beau - voire un très beau - pas en avant en matière de monde ouvert, notamment grâce à une zone de jeu centrale qui offre des panoramas somptueux et une distance d’affichage impressionnante, et une générosité de chaque instant en matière d’activités secondaires. Même après 50h, on s’est toujours fait surprendre par des rencontres et des événements inattendus, donnant le sentiment d’évoluer dans un monde organique, vivant. Une valeur sûre sur PS5.
JVFrance 85%
Si il y avait bien un jeu d’aventure en monde ouvert à avoir sur PlayStation 5, Ghost of Yōtei pourrait remplir ce rôle. Véritable épopée dans les débuts de l’ère Edo, Sucker Punch signe une nouvelle lettre d’amour à la culture japonaise. Poussant toujours plus l’idée de l’immersion, nous nous immergeons complètement dans cette nouvelle région avec cette terrible envie d’y revenir. On regrettera toutefois que les combats soient un peu trop similaire au premier, que certaines quêtes trainent en longueurs ou encore d’avoir cette impression de déjà vu, mais il est si difficile de quitter ses paysages qu’on lui pardonnera ces quelques défauts. Ghost of Yōtei est une pépite visuelle qu’il nous tarde de relancer et d’explorer.
ActuGaming 8/10
On s’y attendait, Ghost of Yōtei marche dans les pas de Ghost of Tsushima en suivant le cap d’une recette efficace. Et est-ce nécessairement un mal ? Lorsque l’on repart sur un récit de vengeance prenant, une immersion exceptionnelle et un gameplay combat grisant tout en améliorant un peu la soupe malgré les grumeaux persistants, on ressort satisfait de ces dizaines d’heures passées dans Ezo. Cela étant dit, une chose est certaine, celles et ceux qui n’en peuvent plus des mondes ouverts grand public et leur structure redondante ne verront probablement pas en ce jeu une exception, et ce malgré les quelques efforts abattus pour tenter d’éviter les écueils de la formule. Sans faire beaucoup mieux, Ghost of Yōtei remplit son contrat de suite fidèle et bonifiée, et si l’on en partage les termes, le plaisir est garanti.
Jdg 8/10
Ghost of Yotei est-il à la hauteur des attentes ? Cela dépend au fond de ces dernières. Si vous vous attendiez à une suite reprenant les bases de son prédécesseur avec des pointes d'amélioration, alors le jeu répond à cette exigence qualitative sans fausse note ou presque. Dès lors, on peut se dire que l'excellence de Ghost of Yotei est directement le fruit de l'excellence de Tsushima avec souvent les mêmes qualités, parfois les mêmes défauts. Un titre qui a visé l'amélioration davantage que la révolution.
Millenium 80%
Ghost of Yotei est superbe, avec belles musiques et une réalisation de grande qualité à bien des niveaux. Mais on ne peut pas en dire autant de son contenu. L'histoire est maladroite alors que le monde ouvert propose toujours la même routine dénuée d'originalité et il n'est sauvé que par la beauté des paysages. Le gameplay est efficace et l'introduction de différentes armes ajoute une touche de variété et de stratégie aux combats, même si ce n'est pas sans quelques lourdeurs. Les joueurs ayant réussi à échapper au genre jusque-là devraient l'apprécier davantage.
Gamekult 7/10
Ghost of Yotei a clairement peaufiné sa formule sur pas mal de points, l'exploration et la construction de son monde ouvert en tête, pour un plaisir d’exploration bien supérieur au précédent opus. L’infiltration s’affine et le combat a droit à des petites modifications, mais le jeu néglige aussi d’autres aspects sur lesquels il aurait fallu se pencher. C’est toujours un jeu visuellement sublime à parcourir, mais l’intrigue peine à se démarquer et à nous offrir quelque chose d’aussi fort scénaristiquement que Ghost of Tsushima.
NoisyPixel 10/10
Hades II on Switch 2 delivers a masterclass in roguelite design, expanding on its predecessor with a darker tone, richer character arcs, and deeper mechanical systems. Supergiant Games refines the formula with a compelling new protagonist, rewarding exploration, and an ambitious progression loop that keeps each run fresh and addictive.
Hades II sur Switch 2 est une véritable leçon de design de roguelite, qui s'appuie sur son prédécesseur avec une ambiance plus sombre, des arcs narratifs plus riches et des systèmes de jeu plus profonds. Supergiant Games affirme sa formule avec un nouveau protagoniste captivant, une exploration gratifiante et un système de progression ambitieux qui rend chaque partie fraîche et addictive.
GAC 10/10
Mais quelle année sommes-nous en train de vivre ? Après des jeux aussi incroyables que Clair Obscur, Hollow Knight: Silksong, Donkey Kong Bananza et j’en passe, voilà qu’un nouveau prétendant au trône du Jeu de l’année fait son apparition. Hades 2 représente absolument tout ce qu’une suite doit être: une histoire toujours aussi solide, une jouabilité maîtrisée, une énorme durée de vie et beaucoup de variétés. Évidemment, les bases du jeu étaient déjà en place pour réaliser ce chef-d’oeuvre mais cela aurait pu être un couteau à double tranchant. Mais au contraire, Supergiant Games nous surprend avec un roguelite qui va marquer les esprits. 2025, tu commences à faire mal à notre portefeuille !
BetaTetseur 9,9/10
Hades II est une réussite totale. Supergiant Games ne se contente pas de répéter le succès de son précédent titre mais l’améliore dans tous les domaines. La qualité graphique et sonore, le gameplay enrichi, la profondeur de l’histoire et la variété des builds font de cette suite un jeu incontournable pour les amateurs de roguelites. Les quelques répétitions inhérentes au genre ne ternissent pas une expérience globale brillante et addictive.
J’y avais joué sommairement à Toronto et, je dois l’avouer, j’avais vraiment hâte de remettre la main dessus et je n’en suis aucunement déçu!
Pour tout joueur cherchant à combiner stratégie, action, immersion narrative et plaisir visuel, cette aventure est une recommandation sans réserve. Mélinoé, la nouvelle protagoniste charismatique, et l’ampleur de l’univers à explorer confirment que le trône des roguelites n’a jamais été aussi mérité.
JV 18/20
Hades II réussit ce pari fou de respecter l’essence de son prédécesseur tout en y ajoutant des épaisseurs : gameplay enrichi, narration plus profonde, direction artistique renforcée, bande-son grandiose. Cela dit, le jeu ne transcende pas complètement la répétitivité — cycle après cycle, run après run, on finit par reconnaître les mêmes biomes, les mêmes constructions de salle, les mêmes motifs visuels — ce qui peut limiter l’émerveillement après de longues sessions. Si vous acceptez cette condition — que répéter fait partie du voyage — alors vous vivrez une aventure bénie des Dieux.
Gamekult 9/10
Avec Hades 2, le studio a non seulement répondu aux attentes, mais il les a pulvérisées. Plus ambitieux dans son univers, plus subtil dans son écriture, plus profond dans ses mécaniques, le jeu dépasse son prédécesseur sur tous les plans. Là où beaucoup de suites se contentent d’empiler du contenu, celle-ci rebat les cartes du roguelite avec une audace folle, tout en restant incroyablement accessible. C’est un tour de force rare, une démonstration de savoir-faire qui prouve que l’excellence peut être repoussée encore plus loin, run après run. Hades 2 n’est pas seulement une suite réussie. C’est une leçon de game design, une célébration du roguelite et un hymne à la mythologie vivante. En réussissant à élever une formule déjà considérée comme parfaite, Supergiant signe l’une des suites les plus brillantes de l’histoire du jeu vidéo. C’est aussi un rappel qu’un jeu peut être à la fois exigeant, généreux et profondément humain. On n’en sort pas indemne, et surtout, on n’a aucune envie d’en sortir.
ActuGaming 9/10
Vous l’aurez peut-être compris, si l’on retrouve bien le squelette du premier Hades dans cette suite, tout est plus grand, tout est plus beau, tout est plus riche dans Hades II. Si le jeu ne rend pas caduque pour autant le précédent opus, le changement d’un épisode se ressent véritablement lorsque l’on retouche à ce dernier. La proposition est plus qu’impressionnante, à tel point que l’on peine à trouver de véritables points noirs qui viendraient ternir l’aventure. On a de quoi être complétement charmé par l’expérience, qui fait presque un sans-faute. Pour peu que le genre ne vous laisse pas indifférent, Hades II aura de quoi entrer dans votre panthéon personnel et y loger pendant un sacré bout de temps.
Jdg 9/10
Les puristes les plus tatillons qui vouent un culte à Hades premier du nom trouveront sans doute quelques points faibles rédhibitoires, étant donné que la formule a été sensiblement modifiée à certains niveaux. Mais dans l’ensemble, ce second volet est le digne successeur de son illustre aîné, et réussit brillamment à se construire sa propre identité tout en préservant intelligemment l’ADN de la franchise. Les sensations sont au rendez-vous, l'art est fabuleux, et la narration toujours captivante; au bout du compte, Hades II est un bijou de game design qui mérite amplement sa place parmi les meilleurs jeux de l’année. Si le premier vous a plu, vous auriez tort de vous en priver, surtout au prix très raisonnable demandé par le studio. Chapeau bas !