IGNFrance 10/10
Rien, absolument rien n’a été oublié dans cette grandiose épopée. Sa mise en scène somptueuse, sa bande originale époustouflante et sa direction artistique exceptionnelle portent fabuleusement bien son histoire envoûtante, émouvante, et riche en secondes lectures. Chaque personnage est soigneusement travaillé et utile dans cette aventure qui saura vous surprendre. Et que dire de plus sur son gameplay, complexe et exigeant de prime abord, mais qui pourra être dompté à condition que vous vous perdiez dans les mécaniques astucieuses et addictives de la construction de votre équipe. Oui, Clair Obscur : Expedition 33 est une lettre d’amour ouverte au J-RPG, mais Sandfall Interactive sublime ce genre de jeu en modernisant tous ses aspects caractéristiques, tout en apportant sa pierre à l’édifice. Pour un premier titre, on frôle le miracle et nous ne pouvons qu’applaudir le travail de l’équipe française. J’espère de tout cœur que le studio n’a ouvert ici que le premier livre d’une longue saga ; et si l’histoire a déposé quelques pierres qui seront sans nul doute utiles par la suite, c’est avec l’accueil du public que nous pourrons leur assurer un avenir radieux. Vous savez ce qu’il vous reste à faire. En attendant, je repars à Lumière pour profiter une fois de plus de ce tableau mémorable.
CNPlay 10/10
Clair Obscur : Expedition 33 n’est pas juste un bon jeu. C’est un marqueur. Une preuve que le jeu vidéo peut encore surprendre, émouvoir, impressionner. Le genre de titre qui vous fait lever un sourcil au départ, et vous laisse sans voix à l’arrivée. Une œuvre dense, exigeante, généreuse. Tout y est maîtrisé : le fond comme la forme, le gameplay comme l’esthétique, la musique comme l’écriture. On sent derrière chaque choix une vision claire, une ambition sincère, une envie de faire mieux, différemment, plus fort. Et dans une année déjà riche en titres ambitieux, celui-ci s’impose comme le prétendant le plus évident au titre de jeu de l’année. S’il ne le remporte pas, ce sera une erreur.
XBoxMag 10/10
Phénoménal. Magistral. Les qualificatifs ne manquent pas pour décrire le travail réalisé par Guillaume Broche, le studio Sandfall Interactive et tous ceux qui ont contribué, de près ou de loin, à nous proposer une œuvre qui n'a absolument rien à envier aux ténors du genre. En s'inspirant de franchises comme Persona, Final Fantasy ou même Lost Odyssey, Clair Obscur: Expedition 33 offre malgré tout un univers bien à lui, porté par des combats d'une intensité incroyable, un scénario chargé émotionnellement, une direction artistique solide, et des compositions musicales splendides. Cette plongée dans ce monde fantaisiste tout droit sorti de la Belle Epoque et de l'Art Déco est une réussite absolue, qui restera forcément gravée dans les mémoires de chaque joueur qui prendra la peine d'accompagner les membres de cette expédition pas comme les autres.
Millenium 95%
Clair Obscur: Expedition 33 est l'une des meilleures surprises de ces dernières années. Une production XXL d'une petite équipe passionnée, immersive, soignée, au gameplay addictif et racontée à la perfection. Une véritable leçon et une nouvelle référence pour tous les amateurs de JRPG qui devrait satisfaire tous les fans du genre, et particulièrement la génération qui a grandi avec FF7, 8, 9 et 10, et qui croit de moins en moins en Square Enix pour faire un vrai bon nouveau JRPG. Une baffe qu'on n'est pas près d'oublier et en plus c'est français, pas mal non ?
GameWave 19/20
La passion des Français de chez Sandfall Interactive transparaît à de multiples niveaux dans Clair Obscur: Expedition 33.
Que ce soit grâce à son histoire complexe et accrocheuse, à son gameplay travaillé et fourni, à sa direction artistique envoûtante et somptueuse, Clair Obscur: Expedition 33 est une expérience vidéoludique absolument grandiose et marquante.
Le souci apporté aux détails, la soundtrack exceptionnelle et l'excellente interprétation des doubleurs/doubles consolident l'identité forte et originale de Clair Obscur: Expedition 33, qui se hisse ainsi parmi les meilleurs RPG au tour par tour.
Gamekult 9/10
Il existe des mots que l'on n'ose pas trop employer : par leur nature galvaudée, l’essence même de leur signification semble avoir perdu de leur substance au fil des années. “Chef-d’œuvre” en fait partie. Et pourtant, nous avons bien envie de déroger à la règle pour Clair Obscur : Expedition 33. Nous tenons là une leçon de maîtrise scénaristique, de vision artistique et de complexité de gameplay rarement atteinte dans un jeu du genre. Les quelques petits défauts techniques (potentiellement corrigés avec un patch day one) ne sauraient avoir raison de l’excellence et de l’élégance ici dépeintes avec une passion transpirante. Le tableau se remplit, peu à peu, et l’aquarelle révèle au fil de l’aventure une profondeur unique, dont on se rappellera pendant des années. Quant au fait qu’il s’agisse du premier jeu d’un studio français aux ambitions débordantes, c’est juste la cerise sur le gâteau.
JV 18/20
Animée de sa passion pour les jeux de rôle, la jeune équipe de Sandfall Interactive a su transformer ce premier coup d’essai en coup de génie. Du bout de son pinceau, trempé dans la peinture matérialisée grâce au talent de ses équipes, le studio montpelliérain a prouvé qu’un jeu vidéo au budget modeste pouvait faire de l’ombre aux plus grands RPG. J’attendais beaucoup de Clair Obscur : Expedition 33 et l’aventure a su combler toutes mes attentes, réussissant à m’émerveiller sans cesse grâce à son univers et à son gameplay et me surprenant continuellement à travers son scénario. Rares sont les jeux vidéo à m’avoir autant bouleversé. Il y a un avant et un après Clair Obscur : Expedition 33 et certaines de ses scènes ne me quitteront plus jamais. Non, le titre de Sandfall Interactive n’est pas une croûte, c’est une fresque aussi sublime qu’un tableau de Renoir.
JDG 9/10
Clair Obscur : Expedition 33 est exceptionnel à presque tous les niveaux. Le synopsis de départ alléchant laisse place à une trame narrative prenante de bout en bout et magnifiée par un dernier tiers d'aventure mémorable. SandFall Interactive livre une œuvre à la direction artistique sublime et magnifiée par une des plus belles bandes-son de tous les temps. Chaque moment passé dans le jeu est un plaisir, aussi bien durant l'exploration de lieux principaux comme annexes que lors de combats addictifs ou devant ses sublimes cinématiques. Un jeu immanquable pour les fans de Final Fantasy ? Assurément. Un jour, il y aura des jeux pour les fans de Clair Obscur : Expedition 33.
Gamergen 18/20
C’est un hommage à la beauté du monde et à sa fragilité. Il mêle avec brio l'action et la réflexion, le poétique et le tragique. Porté par une direction artistique démentielle, une bande-son de haute volée, des personnages à fleur de peau et un gameplay innovant, il marque les esprits. Oui, tout n'est pas parfait, l'interface mériterait plus de clarté, et certaines zones restent un peu trop linéaires... Mais l'émotion, l'implication et la vision qu'il propose suffisent à faire vibrer. Sandfall Interactive vient de livrer son premier chef-d'œuvre. Merci et surtout, BRAVO !
ActuGaming 8,5/10
Comment une équipe d’environ 30 personnes arrive à nous proposer un tel titre, c’était déjà une interrogation qui pouvait nous travailler avant de poser nos mains sur Clair Obscur: Expedition 33. Et une fois l’aventure terminée, ce sentiment prend encore davantage de place. On ressort soufflé devant autant de générosité sur tous les aspects du jeu, allant d’un gameplay d’une richesse et d’une exécution grisantes à une patte artistique séduisante complètement débridée en passant par une musique splendide. Le tout est couronné par une histoire poignante, portée par des personnages forts au doublage impeccable. Certes, il faut un peu de temps pour pleinement apprécier l’expérience et quelques ombres au tableau subsistent, comme une mécanique de plateforme maladroite et des choix d’écriture, de qualité de vie et de linéarité qui peuvent étonner ou gêner. Mais en remettant à nouveau en perspective la taille du studio, un avenir radieux et excitant s’annonce pour Sandfall Interactive qui nous peint ici une première toile mémorable.
Gameblog 8/10
air Obscur Expedition 33 est assurément une claque à la française qui dégouline d’amour pour le jeu vidéo, et l’art dans son ensemble. Extrêmement généreux dans tout ce qu’il entreprend, on ne pourra lui reprocher finalement que d’en faire parfois un peu trop au risque de frôler l’explosion. On le sent à bout de souffle, à fleur de peau. Il n’y a pas un aspect qui ne va pas au bout des choses et qui ne se tient pas fermement à la vision de ses créateurs quitte à désarçonner, voire déranger. En ce sens, le jeu dégage une créativité et une intelligence intouchable. Les développeurs nous donnent tout ce qu’ils ont, tout ce qu’ils veulent et on le reçoit avec plaisir. Il ne lui aurait finalement manqué qu’à trouver un bel équilibre et un peu plus de finition pour en faire un réel indispensable. Il n’en reste pas moins un concurrent sérieux aux plus prestigieuses récompenses de l’année.
Numerama 6/10
Clair Obscur: Expedition 33 relève de la prouesse. Voir un studio, né en 2020, pondre un tel premier jeu, avec des idées fortes, une identité claire, une direction artistique à tomber et un récit aussi complexe, mérite le respect. Il y a vraiment des choses à souligner dans ce jeu vidéo qui entend nous faire aimer les combats au tour par tour en ajoutant une donnée dynamique pendant les phases adverses. Hélas, Sandfall Interactive se prend un peu les pieds dans le tapis dans l’exécution de son concept, beaucoup trop punitif et hyper mal équilibré. Les amatrices et amateurs de timing serré apprécieront peut-être cette expérience masochiste, mais les autres tomberont forcément de haut. D’autant que Clair Obscur: Expedition 33 est une somme d’ingrédients complexes qu’il faut saisir à tout prix pour survivre. Les développeurs ne voulaient pas d’un énième jeu d’action. Sauf que leur projet en est un, et il est loin d’être plaisant.
PS : Je rajouterais des tests au fur et à mesure.
Bon, ben allé hop, petit achat sur le pstore… Tout va bien…
C'était un des rares (media pro) à avoir osé critiqué l'écriture de Dragon Age d'ailleurs
PS : C'est très bien que les wokes de Numerama n'aiment pas, bon point mibugishiden
On va se régaler
Les pauvres choux, du gameplay exigeant en 2025, ils ont sûrement pas pu finir le jeu . . .
à chaque test ils sont à la ramasse
Tout va bien chez les corrompus
ravyxxs l'art de la roulade
Cette focalisation des critiques sur la baguette et l'omelette semblent indiquer une insécurité sexuelle prononcée de tes interlocuteurs, tu ne devrais pas t'en soucier
Comment un jeu comme ça sortie de nulle part par une equipe inconnue peut sortir one shot avec un tel niveau de critique
Là, je suis treeeees intriguer et je sens que je vais le faire tres vite.
C est marrant parce que j ai toujours peur du petard mouillé ou alors d un jeu aa marketé comme un jeu aaa.
J ai toujours un petit warning dans ma tête.
Mais si ce jeu arrive réellement à faire ce qu il propose alors je dis "prodigieux"
Je vous dirais ça une fois que je l aurais terminé
Ce n'est pas comme si c’était la première fois que ça arrive. Certains ont la passion, une vrai vision et un vrai savoir faire appris en jouant, et c'est comme ça que tu réussi a faire d'excellents jeux.
Non mais tu sais bien que depuis quelques années, les projets pétard mouillés, on en a eu plein. Des jeux avec des promesses de fou, graphismes de fou pour qu au final tu te retrouves avec une moitié de jeu ou méme d une affaire de fuite au bahamas avec l argent de la caisse.
Sinon quelqu'un sait si la version originale est Anglaise ou Française? J'aime la synchro parfaite et j'ai joué plague tale en Anglais à cause de cela.
Bordel que ça fait plaisir de voir ce genre de jeu sortir d'une petite équipe à une époque de quadruple A sans saveurs sont légions.
Du coup je n'en peux plus d'attendre demain de rentrer du boulot pour lancer ça sur mon PC de compétition qui m'a coûter une couille droite mais tant pis, je sens que je vais vivre une expérience incroyable et c'est dans ces moments là que je comprends pourquoi j'investis autant dans le JV, pour ces quelques pépites qui peuvent te retourner les tripes comme aucun autre média ne sait le faire. Et ça, ça vaut tout l'or du monde.
tokito mercure7 : ils sont pitoyable, ils feraient mieux de retourner tester des téléphones et des télés, au moins là ça ne demande aucun talent et investissement personnel pour donner un avis pertinent...
par contre ils auraient pu préciser qu'il y a une accessibilité pour les timing dans les options j'avoue.....
Y a un monde entre parler d'un souci d'équilibrage (ce qui pourrait s'entendre), ce que tu sembles vouloir pointer, et mettre un 6/10 en parlant d' "expérience masochiste" pour ce qui est du système de combat, qui est customisable en partie.
Si tu vois pas la nuance, il y a, au contraire, un souci