CNPplay 10/10
Assassin’s Creed Shadows est une véritable lettre d’amour au Japon féodal et à la philosophie du bushido. Ubisoft a su marier l’authenticité historique avec un gameplay riche et dynamique, offrant une expérience intense et immersive. Le choix des deux protagonistes apporte une profondeur inédite, tandis que la refonte des mécaniques de furtivité et de combat donne un second souffle à la saga. Malgré quelques légères frustrations liées à la gestion du changement de personnage et à certaines quêtes secondaires moins inspirées, Shadows se hisse sans conteste parmi les meilleurs épisodes de la franchise. Un voyage inoubliable dans une époque fascinante, où chaque affrontement et chaque assassinat résonnent comme un poème guerrier.
BetaTesteur 9,3/10
En conclusion, c’est définitivement un des meilleurs jeux de la franchise. C’est un jeu complet avec de belles améliorations, l’histoire est bien construite et le joueur a une belle liberté dans les actions. Sans dénaturer la franchise, j’ai pu apprécié le jeu presqu’autant que les premiers opus. On n’est pas loin d’égaler les Black Flags ou la trilogie d’Ezio. J’avais été déçu par Mirage car le jeu était trop court et les combats trop répétitif. Je peux vous assurez que vous ne serez pas déçu de Shadows.
Gamergen 18/20
N’ayons pas peur des mots, oui, Ubisoft a fait du bon boulot. La raison est toute simple, Assassin’s Creed Shadows s’adapte à diverses machines ; lisez notre test du jeu sur la ROG Ally Z1 Extreme pour le coup. Les petits PC peuvent profiter d’une aventure fluide avec des réglages modestes, tandis que les ordinateurs musclés peuvent savourer un Japon sublimé à la sauce next-gen. Comme toujours, il faut ajuster les paramètres pour trouver le bon compromis entre fluidité et qualité visuelle. Plus votre PC est puissant, plus l’expérience sera époustouflante, mais les petites configurations ne sont pas laissées de côté. Assassin’s Creed Shadows signe une entrée fracassante dans l’ère du Japon féodal, et cette version PC confirme l’excellent travail d’optimisation. Que vous soyez ninja ou samouraï, une chose est sûre, cette aventure vous laissera des souvenirs impérissables ! Une vraie petite pépite à ne pas louper.
JV 17/20
Avec Assassin’s Creed Shadows, Ubisoft prouve une fois de plus que ses studios ont un vrai talent pour créer des univers et des mondes à part entière. Pour ceux qui aiment les open-world et le Japon féodal, nul doute que cet épisode offrira le dépaysement attendu. Côté gameplay, la complémentarité et les styles de jeu de Naoe et Yasuke sont vraiment rafraîchissants et on sent que des efforts ont été fournis, à différents niveaux, pour essayer de faire évoluer la formule. Malgré tout, si quelques éléments changent, le cœur même de la saga est toujours aussi présent dans la manière dont on aborde les contenus du jeu, sources de défauts qu'on lui connaît depuis longtemps : la redondance des activités, l’IA qui aboutit à des combats vite machinaux et une histoire un peu plate, même si elle a ses moments épiques. En définitive, Assassin’s Creed Shadows est un épisode efficace, grand public et divertissant, mais le manque de finition et les soucis récurrents de la série font que cet opus se heurte à un plafond de verre qui l’empêche de côtoyer les plus hauts sommets.
GameWave 17/20
Assassin's Creed Shadows reprend certaines idées proposées dans les précédents opus de la licence, notamment après la refonte initiée avec Origins, tout en améliorant grandement et en enrichissant la formule, et ce, sur plusieurs points.
Étant donné que cet opus met en scène deux protagonistes, nous avons le droit à deux gameplays différents mais surtout complémentaires. Le duo Naoe - Yasuke fonctionne bien manette en main, tandis que la structure du scénario, qui alterne entre présent et passé, approfondit leur propre histoire. Deviendront-ils des légendes, comme Ezio ou Kassandra ? Ça, c'est un autre débat.
Le monde ouvert d'Assassin's Creed Shadows, qui se veut plus petit que Valhalla, est absolument sublime et très vivant, offrant ainsi de bonnes heures de jeu à explorer les régions et les environnements, qui bénéficient d'une belle mise en scène grâce aux saisons, au cycle jour/nuit et aux effets météorologiques.
Assassin's Creed Shadows propose diverses activités annexes ainsi que la gestion du repaire, qui sont plus ou moins intéressantes, bien que certaines fois les quêtes secondaires viennent s'immiscer dans la progression de l'histoire principale, comme pour gonfler un tantinet la durée de vie. Le remplissage étant toutefois moindre que sur Valhalla, dont le contenu était... (trop) vertigineux.
Ainsi, l'opus Shadows est loin d'être un mauvais jeu, et est même plutôt bon, grâce à l'implantation d'améliorations notables et significatives, sa proposition scénaristique convaincante et sa diversité de gameplay intéressante. Mais faut-il encore être prêt à plonger dans une aventure de cet acabit, qui est certainement loin de celle condensée de Mirage. C'est peut-être là la vraie question.
Gamekult 8/10
C’est sur cette note amère que se termine notre test : Assassin’s Creed Shadows manque parfois de panache et de foi en ses choix. Est-ce que c’est ce qui lui manque pour se complaire dans l’excellence ? Probablement. Est-ce que cela en fait un jeu moyen pour autant ? Certainement pas. Shadows est un voyage aussi dépaysant que prenant qui peut compter sur la complémentarité de ses deux guides. Que ce soit au niveau du gameplay comme de l’histoire, le jeu réussit à prendre aux tripes sans que l’on prie pour que ça s’arrête. Influences et bonnes idées s’assemblent pour réunir sous la même bannière deux formules que tout oppose et deux personnages que rien ne relie, du moins en apparence. Un tour de force qui s’avère être, contre toute attente, la suite logique de l’évolution d’une licence qui avait besoin de faire le point pour sortir de l’ombre et se rapprocher de la lumière.
IGNFrance 8/10
J’ai passé un très bon moment sur Assassin’s Creed Shadows. Et étant donné la taille vertigineuse de la carte, il reste beaucoup à faire, même après soixante heures de jeu, et je compte bien retourner au Japon pour tout nettoyer. Le cadre est beau et maîtrisé, les deux protagonistes se complètent même si l’un est clairement mieux loti que l’autre, et la structure du monde ouvert fonctionne et laisse le joueur libre de ses actions. Une liberté certes au détriment de la narration qui s’en retrouve moins engageante. Tout n’est pas parfait, et Ubisoft ne tient probablement pas son jeu rupture, mais le bon supplante largement le moins bon. Il ne fait aucun doute que Shadows résonnera fort avec beaucoup malgré tout, et que les autres devront reconnaître ses qualités indéniables.
GAC 8/10
Assassin’s Creed Shadows avait de grosses chaussures à chausser. Valhalla avait déçu sur plusieurs points et divisait la communauté en deux. Ceux qui préféraient l’ancienne direction de la franchise et ceux qui adoraient le côté RPG. C’est presque impossible de satisfaire les deux, mais cette nouvelle aventure s’en approche presque. Que ce soit l’ajout du système d’informateurs et de la construction du repaire ou encore la présence bien moins nombreuse de collectables, le titre devrait plaire à une grande majorité.
Cependant, le titre est loin d’être parfait. Les problèmes techniques sont encore très présents, tandis que la modélisation des visages ne rend pas hommage aux décors somptueux. Sans doute reliée à l’utilisation d’un moteur graphique maison, la jouabilité rencontre les mêmes problèmes que les premiers jeux de la franchise, notamment concernant la précision des mouvements. Des éléments qui empêchent à cet opus de s’approcher de la perfection, mais sans pour autant être dénué d’intérêt.
Millenium 80%
Avec son open-world sublime et son duo de personnages très complémentaire, Assassin's Creed Shadows est une bonne pioche dans la saga phare de Ubisoft. Malheureusement, toutes ses bonnes idées sont égratignées à moyen-terme par une surenchère de contenu et des combats qui montrent leurs limites à mi-parcours. Le voyage vaut le coup, mais il aurait gagné à être plus court.
Numerama 8/10
Il y a, dans Assassin’s Creed Shadows, comme un goût de synthèse. Par tous ses ajustements et la combinaison des avancées de ses prédécesseurs, le jeu s’impose comme la vision la plus aboutie et remarquable de la formule action-RPG initiée par Assassin’s Creed Origins en 2017. Avec en plus l’attrait ensorcelant de son open world aussi magnifique que vivant et l’efficacité de ses deux redoutables gameplay, le titre aligne les arguments imparables. Mais face à cela, un autre goût émerge peu à peu, plus amer, quand le jeu retombe de temps à autre dans des travers connus et regrettables, en particulier la redondance placide de ses missions principales si peu créatives et ratant l’évidente opportunité d’exploiter la complémentarité de ses héros. Mais, à la faveur d’une soirée d’automne, perché en haut d’un tenshu, face à l’immensité de monts tapissés d’arbres rougeoyants, ces petits regrets sont vite emportés au loin, tels de simples feuilles d’érable, par la brise légère. Devant l’immensité de ce Japon captivant et riche de mille surprises, comment ne pas s’incliner ?
PresseCirton 8/10
Au risque de doucher les espoirs d’Ubisoft, Assassin’s Creed Shadows n’incarne pas le renouveau du studio. Comme certains le craignaient, les principales critiques des précédentes éditions n’ont pas été prise en compte. Ainsi, la qualité graphique n’est pas des plus spectaculaires et les mécaniques de jeu sentent le réchauffé. Sur ces aspects, Ubisoft n’innove pas vraiment.
En revanche, le temps de jeu de 50 à 60 heures nous semble assez confortable pour un jeu vendu 80 euros (hors promo). L’éditeur peut aussi compter sur un scénario bien construit ainsi que sur son talent pour retranscrire toute l’ambiance d’une époque que nous n’avons pas connue, avec la dimension historique qui l’accompagne. Mention spéciale au mode immersif, en japonais !
Les quelques ajouts comme la gestion du camp de base, l’infiltration plus poussée et l’IA légèrement améliorée participent à l’immersion dans l’aventure. Cet Assassin’s Creed Shadows n’est pas le jeu de l’année, mais il reste un bon opus pour une licence qui patine depuis trop longtemps. Les fans les plus indulgents passeront donc un bon moment (c’est notre cas), les aficionados du Japon féodal aussi. De manière générale, ce Shadows reste l’un des meilleurs Assassin’s Creed de ces cinq dernières années. Pour ce que cela vaut.
XBoxMag 8/10
Attendu depuis un bon moment, Assassin's Creed Shadows apporte les nouveautés nécessaires pour maintenir l'intérêt des joueurs pour la saga, sans pour autant parvenir à sublimer la formule. S'il a le mérite de corriger les erreurs du passé et de nous immerger parfaitement dans le Japon féodal du XVIème siècle, les développeurs d'Ubisoft Québec manquent toutefois l'occasion de nous offrir un titre qui mettra tout le monde d'accord, la faute notamment à l'absence d'une réelle dimension épique dans sa narration. Au final, Assassin's Creed Shadows reste avant tout un beau voyage, au gré des saisons, et conserve cette capacité à nous livrer un récit fictif intéressant, ponctué d'événements historiques et de traditions retranscrites de façon à nourrir la curiosité du joueur ; avec cette sensation hautement satisfaisante de toujours vouloir y retourner.
ActuGaming 7,5/10
À l’heure du bilan, on peut dire qu’Assassin’s Creed Shadows réussit son pari de proposer une exploration plus organique, plus dirigée vers l’observation et au profit de son monde ouvert tout simplement ravissant, vivant et très dynamique. Le tout associé à de nombreuses options pour personnaliser son expérience, allant de son équipement à sa manière de procéder pour chaque quête, faisant de lui un bon jeu action-aventure aux composantes RPG en monde ouvert assez classique… mais cela ne suffit peut-être pas à en faire un très bon Assassin’s Creed, de par la quasi-inexistence d’un lore concrètement rattaché à la licence et ses confréries mystérieuses notamment. Les amateurs de la tournure RPG de la licence seront ravis de découvrir cette nouvelle épopée au Japon, mais les fans les plus pointilleux ne manqueront pas de constater les carences d’une licence qui ne sait plus vraiment où elle va, qui peine à se renouveler et à proposer une expérience équilibrée pour les nouveaux venus et pour les plus anciens. Assassin’s Creed Shadows propose de très nombreuses options pour améliorer votre qualité de vie en jeu, mais sur d’autres aspects demeure encore trop dirigiste et dispersé, bien qu’il nous soit obligé de louer les qualités techniques, narratives, visuelles et auditives d’un titre qui porte un lourd fardeau : celui d’empêcher une chute inexorable d’un éditeur autrefois au firmament.
Gameblog 7/10
Assassin’s Creed Shadows arrive dans un contexte particulièrement tendu et semble avoir tout fait pour arrondir les angles et se faire beau, et ça marche. C’est un excellent épisode mais clairement pas exempt de défauts. Les nouveautés sont suffisamment nombreuses et bien pensées pour le sacrer meilleur épisode en ce qui concerne l’infiltration. On regrettera que Naoe porte le jeu à elle toute seule, là où Yasuke n'a qu’une place capitale que dans l’histoire et non le gameplay. Assassin’s Creed Shadows est un jeu où la liberté est reine et ça lui fait parfois défaut. Le rythme est irrégulier, l’écriture peut peiner à convaincre comme briller par moments, et les défauts flagrants de mise en scène sont tels qu’ils ruinent des instants de fulgurances. Dommage, car le jeu propose un open world absolument bluffant, le Japon est sublime. Sans compter son système de météo dynamique tout simplement incroyable et jamais vu que l’on espère devenir une norme désormais. Assassin’s Creed Shadows n’est peut-être pas exceptionnel, mais il fait néanmoins partie des très bons épisodes de la licence et nous promet surtout de belles choses pour la suite.
JVFrance 60%
Assassin’s Creed Shadows tente d’offrir une expérience immersive dans le Japon féodal, mais souffre de choix de game design discutables, d’une trame narrative oubliable et de limitations techniques persistantes. Si le gameplay asymétrique entre Naoe et Yasuke est une bonne idée sur le papier, il peine à trouver un équilibre, avec l’infiltration de Naoe relativement bien intégrée à l’ADN de la saga, tandis que le combat frontal offert par Yasuke s’avère plutôt générique. L’Anvil Engine montre toujours plus ses limites face à la concurrence, notamment sur les animations et l’IA, souvent incohérente, comme trop souvent sur les productions d’Ubisoft. Pourtant, malgré les défauts et lacunes que la série traîne derrière elle comme un boulet, le jeu reste globalement agréable à parcourir, notamment pour ceux à la recherche de l’ambiance séduisante du style nippon. Certes, le jeu n’atteint pas l’excellence et souffre d’un développement chaotique, mais il reste un plaisir coupable, un titre imparfait qui, à défaut de révolutionner la saga comme nous aurions été en droit d’espérer, parvient à offrir quelques moments immersifs et satisfaisants.
JDG 5/10
Assassin's Creed Shadows n'a rien fait de plus que de nous vendre du rêve grâce à son cadre capable de charmer plus d'un amoureux du jeu vidéo et de culture geek. C'est bien simple, le contexte géopolitique et l'univers sont les seules évolutions notables entre Valhalla et Shadows. Le système de combat et l'infiltration sont toujours d'un grand classicisme, sachant que l'IA ennemie se montre toujours aussi risible. Le contenu secondaire manque d'originalité, d'intérêt et nous attire avant tout par l'envie et la nécessité de récupérer de jolies armes et équipements pour Naoe et Yasuke. Le duo de héros très charismatique est clairement LE point fort d'Assassin's Creed Shadows. Dommage que la trame narrative morne ne se focalise pas suffisamment sur leur évolution individuelle et commune. Une fois Assassin's Creed Shadows bouclé, le constat est limpide : il est grand temps que la licence change de cap.
PS : Je rajouterais des tests au fur et à mesure.
Je kiffe ce jeu mais faut rester sérieux un minimum
Le Journal du Geek, par contre, ils me surprennent. Je vais lire leur test pour comprendre.
keiku et hop le com le plus minable de 2025 pour le moment pas mal mec
dis donc ce AC fais suinter le cul de beaucoup de monde
altendorf ah ouais t'as joué au jeu ? ou bien tu sors juste de la merde car t'estime que les méchants d'Ubisoft ils ont eu une boooooooonne note à leur jeu, alors que moi j'ai décidé de pas aimer avant même qu'il sorte ?
keiku débile comme commentaire. Suffit qu'une personne ait un jeu en grippe surtout avec les ouin ouins actuel du genre le jeu il est trop woooooooke pour en tirer quoi que ce soit. Dans ta logique RDR il vaut 6/10 et surtout The Last of Us il vaut 3/10 : https://opencritic.com/game/13283/the-last-of-us-part-i/reviews?sort=score-low
bennj débile comme commentaire. Suffit qu'une personne ait un jeu en grippe surtout avec les ouin ouins actuel du genre le jeu il est trop woooooooke pour en tirer quoi que ce soit.
bein oui et ca sera justifier... , 5 c'est pas une mauvais note , c'est ni bon ni mauvais ce que le jeu est...
keiku en quoi c'est justifier de noter un jeu non pas sur ce qu'il est mais sur ce que toi tu estimes qu'il devrait être selon tes critères de "ouin ouin le jeu est woke". Oh non le jeu ne met pas en avant le christianisme alors que moi j'attendais ca, oh la la 2/10. Donc oui c'est débile.
donc dire qu'il vaut plus que 5 parce qu'il y a du wokisme c'est peut être ca ton problème
Pardon ou j'ai dis ca ? Ne me prête pas des paroles qui sont les miennes. Je dis juste que justement que non ca n'a pas à rentrer en compte, car sinon faire comme je le dis et noter un jeu pour ce que j'aimerai qu'il soit.
quand tu dis que certain baisse la note parce que c'est woke, inversement c'est que tu l'augmentes parce que c'est woke donc tu fais pareil...
"Si Uncharted 4 était à moitié aussi performant qu'il en avait l'air, ce serait un chef-d'œuvre… mais ce n'est pas le cas. En fait, malgré toute sa splendeur et tout le soin apporté à son rendu visuel et sonore, il commet un péché capital impossible à pardonner : il est carrément ennuyeux à jouer. Il y a des moments où l'on se laisse facilement emporter par l'opulence visuelle et la grandiloquence, mais ensuite, ces moments passent et on retourne directement aux commentaires sarcastiques et aux ascensions automatiques… Mais bon, c'est vraiment joli, non ?"
noté qu'une fois, 5 par GameCritics
Bref, je pense que le meilleur avis, c'est surtout APRES y avoir joué, n'est-ce pas ?
Jouez-y dans la neutralité, et revenez nous en parler objectivement.
bonne note, j'aurais mis pareil... au final uncharted n'a jamais fait mieux que tomb rider sur ps1
Ok visiblement tu aimes bien inventer des choses. Donc je me répète ou j'ai indiqué qu'il fallait augmenter une note par rapport à ca ? Je dis simplement que non c'est pas un truc à prendre en compte. Donc ni baisser, ni augmenter... Chez pas c'est si difficile à comprendre en fait ?
snave mrpopulus bah vous aimer bouffer la merde c'est votre droit mais j'ai quand même le droit de nommer ce que vous bouffer... par contre éviter de venir me quote parceque l'halleine de vos message pue la merde...
je suis peut être le clown du site, mais la chute/mort d'ubi c'est moi qui l'avait annoncée et en attendant elle est la et c'est grace au gens comme toi, d'ailleurs pas que celle d'ubi, tu peux reprendre tous mes anciens commentaire et tu verras que j'ai eu juste quasi a chaque foi
Gens comme moi ? Mais j'ai pas touché à un jeu Ubisoft depuis 2018 et ya aucun rapport putain. Continue ton cirque au moins tu nous fait bien marrer
Gens comme moi ? Mais j'ai pas touché à un jeu Ubisoft depuis 2018 et ya aucun rapport putain.
c'est ca, donc en fait tu viens juste pour faire chier alors que t'est d'accord avec moi en vrai ? c'est toi le clown en fait