JVC 17/20
Le menu taille XXL concocté par id Software est fait pour les gourmands d’action voulant toujours plus de ketchup. Entre deux tranches de rigolade à bord d’un robot géant ou sur le dos d’un dragon féroce, The Dark Ages profite de ses zones gigantesques pour laisser le guerrier décider à quelle sauce smoky BBQ il va être mangé. Les mondes plus ouverts permettent des affrontements hors-normes jamais vus dans un Doom, mais à l’instar des phases en Mecha ou en dragon, tout est fait pour provoquer des sensations fortes immédiates au risque de manquer un chouilla de profondeur. En tout cas, la production de Bethesda ne rabâche pas les mêmes formules, aussi magiques soient-elles : elle s’appuie sur un savoir-faire ancestral pour mieux s’aventurer vers des plans astraux démoniaques.
ActuGaming 8,5/10
Bien que légèrement moins marquant que DOOM Eternal, DOOM: The Dark Ages est sans nul doute l’un des meilleurs FPS de cette année 2025. En conservant quelques mécaniques du précédent opus, tout en ajoutant des nouveautés qui obligent les joueurs à revoir un peu leur façon de jouer et en diversifiant considérablement l’expérience, force est d’admettre que id Software maitrise son sujet. S’il y a quelques couacs graphiques, sonores mais aussi de petits cailloux dans la chaussure du gameplay, tout ce qu’entreprend le jeu dans sa progression, ses niveaux un peu plus ouverts ou encore dans le feeling global les améliorations du Slayer, est une franche réussite. Tout est plus brutal dans le gameplay, plus terre à terre, nerveux et diversifié, et cela fait que DOOM: The Dark Ages arrive à conserver l’esprit des deux précédents volets, pour en faire une fusion parfaite qui ravira les fans de la franchise.
Gameblog 8/10
DOOM The Dark Ages nous met donc dans une position plutôt délicate. D’un côté, on a totalement adoré incarner le Slayer dans un univers médiéval démesuré, grâce à un gameplay à la fois « old-school » et moderne plus brutal et jouissif que jamais, et même globalement plus accessible. De l’autre, les tentatives de son studio d’apporter plus de profondeur à l’histoire de la franchise et aux mécaniques de jeu tombent dans l’ensemble sérieusement à plat. Cela ne nous a cependant pas empêché de prendre un pied monstrueux à éviscérer des armées de démons et une claque graphique et technique toujours aussi magistrale.
Gamekult 8/10
Malgré une bande-son trop redondante et quelques phases à vide, DOOM : The Dark Ages reste le meilleur simulateur de boucherie sur le marché avec sa palette de flingues mémorable et l'impressionnant travail de réinvention accompli par iD Software. Cet épisode trouve une tonalité unique dans la franchise grâce à son bouclier, au poids du Doom Slayer, et aux passages lovecraftiens qui soufflent un véritable vent de fraîcheur. Reste une condition sine qua non pour s'éclater quand on est déjà familier de la franchise : pousser les potards de la difficulté pour retrouver les vraies poussées d'adrénaline de notre jeunesse. Sans ça, vous pourriez être un peu déçu par la difficulté normale, plutôt accueillante et tolérante. À vous d'ajuster l'expérience à votre convenance.
JeuxActu 16/20
Avec DOOM The Dark Ages, id Software ose casser sa propre formule et signe un épisode aussi audacieux que clivant. Fini la frénésie aérienne de DOOM Eternal, place à un gameplay plus lourd, plus brutal et résolument centré sur le corps-à-corps. Ce virage, porté par le bouclier-tronçonneuse et des mécaniques inspirées du jeu d’action tactique, apporte un vrai souffle nouveau à la série. Le système de combat, complexe mais gratifiant, révèle toute sa richesse une fois maîtrisé, et offre des affrontements viscéraux, intenses et plus stratégiques que jamais. À ce niveau, The Dark Ages brille, et pas qu’un peu. Malheureusement, tout n’est pas aussi solide que son gameplay. La structure semi-ouverte du jeu, bien qu’ambitieuse sur le papier, peine à convaincre sur la durée. Les allers-retours dans les mêmes zones, les énigmes simplistes et le manque d’intérêt réel des récompenses freinent l’envie d’exploration. De même, les phases à dos de dragon déçoivent autant qu’elles frustrent, par leur manque d’originalité, de fluidité et de variété. Heureusement, les passages en mécha relèvent un peu le niveau côté mise en scène et défouloir. Avec ses 22 niveaux, une histoire qui étoffe le mythe du Slayer et une proposition de gameplay renouvelée, DOOM The Dark Ages n’est pas une révolution totale, mais une évolution audacieuse. Il demande un temps d’adaptation, mais saura séduire les joueurs en quête d’une expérience FPS plus lourde, plus méthodique, mais tout aussi brutale.
IGNFrance 8/10
Avec DOOM: The Dark Ages, id Software prend un virage audacieux, en enfonçant les deux bottes dans un univers de dark fantasy crasseux et sacrifié. Loin de la nervosité fulgurante qui avait fait de DOOM Eternal un chef-d’œuvre de violence chorégraphiée, le Slayer est plus lourd, plus bestial, plus ancré dans la terre et le sang. Techniquement, c’est une démonstration. L’id Tech 8 crache ses particules à +150 fps sans broncher, et chaque zone visitée regorge d’un travail artistique qui mérite qu’on s’y attarde même si l’exploration, justement, manque parfois d’intérêt ou casse un peu le rythme. Côté gameplay, les combats restent d’une efficacité redoutable, en particulier grâce à des armes bien pensées. Mais The Dark Ages n’est pas le meilleur DOOM depuis le reboot de 2016. Il lui manque cette énergie animale et cette nervosité pure qui faisaient de DOOM 2016 mais surtout d’Eternal, des uppercuts constants. Certains choix de mise en scène comme les phases en dragon ou en mécha impressionnent visuellement mais s’avèrent pauvres manette en main. Et l’exploration trop mise en avant ralentit parfois un tempo qui, dans cette série, devrait rester au seuil de la crise d’adrénaline. Reste toutefois, un très bon jeu, un DOOM différent, qui a le mérite de tenter autre chose. Plus contemplatif, plus technique, mais parfois moins jouissif. Pas le meilleur de la saga moderne, non. Mais une pierre intéressante dans le mausolée sanglant qu’id Software continue d’ériger.
Millenium 75%
Doom The Dark Ages est un jeu contrasté. Il expérimente avec des mécanismes inédits dans la licence et un nouveau contexte historique, mais leur intégration est superficielle ou mal pensée. Le bouclier éclipse tout le reste au combat, alors que le dragon et le mécha s'avèrent simplement décevants. Le jeu ne nous donne pas non plus l'impression d'être plongés durant un âge obscur. Ce nouvel opus n'est pas mauvais pour autant, puisqu'on retrouve tous les éléments fondamentaux qu'on apprécie dans les jeux Doom modernes. Les joueurs à la recherche de combats intenses sur fond de heavy metal toujours excellent devraient tout de même y trouver leur compte.
PS : Je rajouterais des tests au fur et à mesure.
https://www.metacritic.com/game/doom-the-dark-ages/
86 sur OC
https://opencritic.com/game/18023/doom-the-dark-ages
Souhaitez moi bonne chance
La semaine prochaine, ce Doom délivrera toute sa beauté et sa puissance sur ma 5090
Merde ! nicolasgourry tripy73 aerie90 kidikarus giru gaeon
gat : justement il arrive en temps voulu, mais bon comme d'hab tes interventions sont de très haute qualité... et pour info j'en ai rien à carrer des jeux tiers sur Switch 2, j'ai mon PC pour les faire gros débile.
Ils s’efforcent tant bien que mal de défendre Nintendo face aux détracteurs qui disent du mal d’eux.
Si le jeu sortait un jour, après tout, c'est pas non plus impossible, Doom étant sortie sur Switch, j'espère pour les personnes intéressaient qu'il sortira en version "complet" en boîte (comme sur Switch), même si moi j'acheterais pas, après si on me le prête, je veux bien jouer, j'attends plus Metroid Prime 4.
Ca m'en touche une sans faire bouger l'autre si Doom The Dark Ages sort sur Switch 1, 2 ou 3.