description : L'idée de ce blog, c'est de parler des jeux « indépendants » (de notre volonté...à les faire connaître).
Ils prennent une place de plus en plus importante, sur tous les supports, donc nous parlerons des jeux « indés » qui sortiront quelque soit le support (qu'il soit « exclusif » - temporaire ou pas - ).
Développeur : Drinkbox Studios
Genre : Action/Plates-formes
Disponible sur PS3/PSVita (Guacamelee!)
Disponible sur PC/PS4/X360/XOne/WiiU (Guacamelee! Super Turbo Championship Edition)
Date de sortie : 8 Octobre 2018 (Switch)
- Guacamelee 2 en Décembre sur Switch (disponible PC/PS4)-
C'est un Metroidvania dans un monde inspiré par le folklore traditionnel mexicain.
Vous incarnez Juan Agacate, un cultivateur d'agaves qui a trouvé par hasard un masque de luchador magique, il lui permettra de sauver la fille d'El Presidente qui a été enlevé par Carlos Calaca, pour un sacrifice.
C'est jouable à 2 en coop' (locale) et l'achat du premier épisode donnera lieu à un rabais de 30% sur le second.
Attention ! Alerte à l’OVNI ! Développé par un seul homme, Gabriel Koenig, suite à une campagne Kickstarter peu gourmande, le titre de Ghost Time Games vous propose d’incarner un maladroit robot amnésique à la recherche de son identité à travers les immensités de l’espace. Disponible sur PC et Xbox One depuis l’automne 2017, depuis fin février sur PS4 et depuis cette semaine sur Switch, uniquement en démat’ au prix de 10 balles (11 sur Switch, la fameuse "taxe" devant s'y appliquer), plongée dans le voyage initiatique d’un loufoque géant d’acier involontairement destructeur qui ne manque cependant ni de cœur ni d’amour.
Jettomero : Hero of the Universe de son petit nom est avant tout un jeu d’esthètes. Le style visuel choisi (pour masquer le peu de talent du créateur selon ses propres mots) est un feu d’artifice permanent : entre la colorimétrie, les effets visuels nombreux et continus (explosions, ombres et lumières virevoltantes avec ces petits corps stellaires soumis au rayonnement de l’astre voisin gigantesque…), vous allez en prendre plein les mirettes durant les deux à trois heures nécessaires pour compléter (intégralement) le « jeu ».
La présentation de l’histoire se fera sous forme de BD rappelant les pulps des années 70 et le titre dans sa globalité m’a fait penser à du Geoff Darrow période Hard Boiled, avec un ton cependant beaucoup plus épuré et moins sanguinolent. Le titre est en effet adapté à tous les âges, que l’on ait 2 ans ou 127 années au compteur.
A l’image des voyages interstellaires (voir la vidéo ci-dessous), il se passera toujours quelque chose pour attirer votre rétine, quelque chose de substantivement similaire à vos expériences passées mais formellement différent étant donné la génération procédurale des planétoïdes et systèmes visités.
Entre les trainées de la poussée, les éruptions de l’astre principal et les différents fonds cosmiques,
chaque voyage spatial est une invitation à la contemplation de l’immensité.
Les amateurs de mode photo et adeptes de l’esthétique du titre pourront s’en donner à cœur joie, avec la possibilité de choisir entre une trentaine de filtres différents (que vous pourrez conserver durant le jeu en lui-même si l’envie vous prend), de régler les paramètres habituels (champ, lumière, axe…) mais aussi d’ajouter des bulles de comics à vos prises.
En ce qui concerne le gameplay en lui-même, on aborde là le point négatif du jeu : si les premières minutes de prise en main du titre laissent espérer du bon, le joueur va vite être douché par la répétitivité de la courte boucle de gameplay. Vous allez visiter des systèmes solaires composées de trois ou quatre planètes, y atterrir, collecter du carburant pour vos vols spatiaux, amasser des costumes uniquement cosmétiques pour votre robot (en piétinant le sol), décoller du planétoïde et répéter le processus jusqu’à trouver l’unique ennemi du système, l’affronter via des QTE aux tempos laxistes (en dehors des derniers combats, avec un pic soudain néanmoins justifié par le scénario, qu’on peut cependant atténuer en changeant le niveau de difficulté, ce qui transforme les affrontements en simples suites de boutons à presser sans contrainte temporelle) et ainsi vous permettre de débloquer un trou de ver vous menant au système suivant. En sachant que si Jettomero se déplace dans le vide avec une grâce et une souplesse certaines, il n’en est pas de même à terre. Cette masse de métal est pataude, vraiment pataude, ce qui rend les déplacements fastidieux bien qu’amusants, et lui fait souvent détruire involontairement les constructions croisées, à moins que vous n'avanciez à pas de loup. Heureusement pour la patience du joueur, les « planètes » visitées sont plutôt des astéroïdes pour le gigantesque robot et vous pourrez vite en faire le tour.
Cosmic Rim :
A l’image du jeu tout entier, la présentation des combats est leur principal point fort. Les dialogues des premiers ne manqueront pas de vous arracher quelques sourires, le cadrage des affrontements rappellera des souvenirs en noir et blanc et même si la difficulté est absente, hors fin du jeu, leur faible nombre n’outrepassera pas la patience du joueur avec sa dizaine en tout et pour tout, vite achevés qui plus est.
30 secondes chrono :
Les succès contre les monstres rencontrés vous permettront de retrouver votre mémoire progressivement via un mini-jeu plutôt sympathique, où vous devrez décrypter des phrases incohérentes initialement en ajustant quelques potards (5 au maximum) pour remettre les lettres à leur place. On pourra regretter (sur cette phase de jeu et sur Switch, la course des autres contrôleurs devant être suffisamment importante pour garantir plus de souplesse) une sensibilité du stick trop élevée, et il faudra mieux, pour vos nerfs, tester si la position choisie est la bonne en vérifiant sa validité au moyen d’un simple bouton tout en restant bloqué sur les lettres voulues avec le stick. Le cas échéant, le potard se bloquera sur la bonne position, virera au noir, et vous pourrez passer au suivant, jusqu’à trouvez toutes les bonnes solutions et accéder ainsi à une courte séquence (parmi un total de 9) mise en forme selon le procédé susnommé, à savoir des cases de comics.
Les deux paragraphes ci-dessus demanderont entre 5 et 10 minutes aux plus pressés d’entre vous, et si la première demi-heure vous verra peut-être flâner sur d’autres planètes, en essayant d’éviter la destruction des bâtiments (pas évident avec votre démarche d’étudiant en médecine sortant d’une soirée du secteur à 9h du matin) ou au contraire vous la jouer Kaiju et craner froidement devant les tirs inefficaces des lilliputiennes armées adverses sur votre corps indestructible alors que vous détruisez leur monde, vous allez vite constater qu’aucune modification ou changement de la boucle de gameplay n’aura lieu et sur la fin probablement vous contenter du strict minimum afin de faire progresser l’histoire. Vous pourrez toujours admirer les éruptions astrales, s’amuser à modifier l’apparence de votre héros, voler à travers le vide à la recherche d’énergie, de vistas admirables ou sourire devant les excuses en forme de bulles de BD de votre maladroit robot chaque fois qu’il réduit des bâtiments en poussière, mais n’espérez aucune évolution : la fin de l’aventure sera similaire au début, et nulles énigmes, nulles situations, nulles nouvelles capacités ou autres procédés de renouvellement ludique n’apparaitront.
Que l’on soit au sol ou dans l’espace, les panoramas saisissants ne manqueront pas.
Vous ne poursuivrez donc l’aventure que pour cette ambiance visuelle et l’envie d’en savoir plus sur notre attachant amnésique, bien que le scénario soit prévisible à des kilomètres. Au bout d’une dizaine de systèmes visités, ce sera la fin et le temps de la digestion de cet étrange œuvre vidéo-ludique, toute personnelle bien qu’agglomérant une multitude d’influences.
Au niveau thématique, on pourrait définir le jeu comme une fusion entre Godzilla, les Extros d’Hypérion, Pimp My Robot et Journey, où la naïveté et l’amnésie cacheraient l’amertume des temps anciens, des actions passées, un conte pour enfants sur la fin de la candeur et la nécessité du pardon, de la résilience et des renaissances… Chacun y verra bien ce qu’il veut en tout cas, le jeu préférant évoquer plutôt que moraliser.
La bande-son, aussi composée par le développeur du jeu, est une franche réussite, avec son ambiance relaxante malgré des sous-textes et harmonies plus sombres. Une belle alchimie avec l’univers créé, qui renforce l’aspect fantastique du voyage, et son ton.
En ce qui concerne la technique, sur Switch, le titre tourne bien, avec des chargements relativement courts et masqués par la transition entre les systèmes solaires visités. Des ralentissements apparaissent lorsqu’une dizaine de soucoupes vous attaquent et qu’une poignée de bâtiments explosent et se transforment en volutes de fumée, mais ça reste acceptable. Du stuttering a aussi lieu lors des chargements susnommés, sans trop de conséquences si ce n’est sur la transe que devraient occasionner ces passages (oui donc en fait c’est bien dommage ).
Pour ce qui est de cette bordure blanche autour de l’écran, autre aspect renforçant le côté comics du jeu, il est possible de la faire disparaitre via une option accessible dans le mode photo (à venir sur PS4) et le jeu gère un affichage 4K pour les machines qui en sont capables (bientôt sur X.One X mais déjà dispo sur PS4 Pro).
Le jeu a bénéficié d’une traduction en français, ce qui est une excellente initiative afin que même les plus jeunes puissent profiter du titre.
Jettomero : Hero of the Universe est une curieuse œuvre. Une sorte de Journey robotique et spatial beaucoup plus humoristique et répétitif, sauvé par une DA époustouflante, des sensations de vol spatial grisantes et une douce bande-son. Une paire d’heures seront nécessaires aux moins doués d’entre nous pour finir les aventures de ce gigantesque être métallique au cœur d’enfant, à la difficulté inexistante, avec sa boucle de gameplay de 5, 10 minutes prétexte à la découverte du passé de notre avatar et cet univers enchanteur. Il est dur de mettre une note sur ce type de jeu : les esthètes seront probablement comblés, les désireux d’une aventure relaxante aussi mais ceux souhaitant des phases de jeu vidéo « traditionnel » feraient bien de passer leur chemin. A voir selon le caractère de chacun.
Les points titanesques :
- Une DA époustouflante
- Les oniriques vols spatiaux
- Les différents effets pour animer l’univers
- Bande-son
- Dispo en français
Les points étains :
- Court
- Répétitif
- Ralentissements sur Switch
Développeur : Tate Multimedia
Genre : Action
Sortira sur PC/PS4/XOne
Date de sortie : 7 Novembre 2018
-en dématérialisé et physique (sur PS4 au Japon)-
Nous sommes dans l’Amérique (imaginaire) des années 50.
Vous incarnez un gang de bikers punk qui devront se battre contre des robots.
Éditeur : Team17
Développeur : Fireproof Games
Genre : Réflexion
Disponible sur PC/Mobile
Prévu sur Switch
Date de sortie : 18 Octobre 2018 (Switch)
Vous recevez une mystérieuse invitation qui va vous mener au grenier d'une maison abandonnée. Dans cette pièce se trouve un coffre-fort, au-dessus, une note écrite promettant quelque chose d'ancien et d'étonnant caché à l'intérieur.
- Nombreuses énigmes et nombreux puzzles.
Bomb Chicken est sorti durant l’été, au milieu de la foule d’indés qui ont débarqué sur Switch durant la période. Développé par les anglais de Nitrome, responsables de nombreux jeux mobiles et pour navigateurs, le titre est une exclu temporaire, qui devrait sortir à terme sur PC.
Bomb Chicken est un jeu de plateforme/puzzle qui semble de prime abord tout ce qu’il y a de plus classique, mais avec un twist intéressant cependant : vous ne pourrez sauter et le seul moyen de vous élever sera d’utiliser le pouvoir de l'animal incarné, à savoir pondre des bombes (notre héros ayant en effet subi une expérience qui l'a quelque peu changé). Sur cette subversion du genre, le titre va s’appliquer à utiliser tout le potentiel de cette spécificité à travers 29 niveaux soigneusement conçus et répartis dans plus ou moins 3 ambiances différentes.
Première chose qui frappera le joueur : le pixel-art employé est de toute beauté et voir le jeu en mouvement ne fera que conforter cette impression. Les animations et différents effets de lumières sont en effet un vrai plaisir pour les mirettes, sans parler de la colorimétrie qui arrive même à faire passer des teintes apparemment criardes pour le choix le plus pertinent qu’il ait été possible de faire. La réussite visuelle est totale et est un véritable délice pour les amateurs du genre. Les éléments du décor réagiront à l’explosion de vos bombes et on a vraiment l’impression d’évoluer dans un univers vivant, entre les différents comportements des travailleurs (en train de roupiller, de bosser, de jouer…) ou les divers graffitis présents sur les murs des zones industrielles.
Vous passerez en effet beaucoup de temps dans des usines : l’histoire du jeu fait fortement penser à Oddworld, avec un poulet ou une poule choisi par la destinée pour lutter contre une entreprise de malbouffe. Un environnement de type jungle sud-américaine sera aussi présent, avant d’aborder une zone qui vous fera fortement penser aux forteresses des Mario 2D.
En ce qui concerne les capacités de votre gallinacé, les boutons de la Switch ne vont pas être mis à rude épreuve : vous ne pourrez en effet que vous déplacez selon un axe horizontal et/ou poser des bombes donc. A partir de cette simplicité, les développeurs ont réussi, grâce à des niveaux foutrement bien construits, à offrir aux joueurs une variété et un renouvellement des situations constants qui ne manquera pas d’impressionner les amoureux du genre. Les poncifs du jeu de plateforme y passent tous mais grâce à l’impossibilité de sauter, tous prennent une tournure inédite et vont vous forcer à utiliser vos méninges plutôt que vos réflexes.
Parce que 30 secondes de vidéo résumeront mieux le jeu que le paragraphe à venir…
Si vous ne pouvez sauter, vous pouvez en effet prendre de la hauteur en accumulant les bombes (sans aucune limitation de quantité et rapidité si ce n’est les limites naturelles de l’environnement pour la première) pour franchir les obstacles verticaux (ou bien encore éliminer les ennemis en leur retombant dessus). Les débuts sont simples et vous demanderont juste d’accumuler quelques bombinettes sans qu’elles n’aient de conséquences négatives sur l’environnement, les derniers niveaux compliqueront cependant grandement leur utilisation avec des murs qui répercuteront l’explosion subie par exemple (et vous obligeront ainsi à déposer une bombe pour se surélever au dessus de l’onde de choc si vous vous trouvez sur cette surface particulière, ce qui répètera le cycle). Vous pourrez aussi pousser vos bombes pour qu’elles aillent exploser dans le sens voulu : comme précédemment, si les premiers niveaux vous demanderont juste de détruire quelques portes en bois ou ennemis par ce procédé, la seconde moitié de l’aventure exigera des mouvements plus subtils, comme accumuler 4 bombes et, lors de votre retombée, poussez les deux supérieures afin d’activer un mécanisme à distance (les bombes ne sont pas soumis à la gravité lorsqu’elles sont projetées ainsi).
Tout le jeu va être une montée progressive vers des situations de plus en plus complexes, avec des derniers niveaux qui vous arracheront un râle de soulagement lorsque vous réussirez à enchaîner la poignée de tableaux qui les composent. Boules de feu similaires à celles des châteaux de Bowser dans les Mario, plateformes qui disparaissent en quelques secondes ou roulantes, sols inflammables sur lesquels de gros blocs de pierre destructibles vous barrent la route, canons multiples dont les projectiles font exploser vos bombes dans une pièce avec 3 mécanismes à activer sur le plafond, ennemis bondissants ne pouvant être détruits que si ils se posent une bombe, flèches régulières vous obligeant à trouver le bon rythme pour traverser une zone… Vous allez en voir des vertes et des pas mûres sur la fin de vos pérégrinations, à fortiori si vous chassez les nombreuses gemmes présentes dans chaque niveau, que ce soit les plus visibles d’entre elles ou les secrètes, qui demanderont un niveau de maitrise et de réflexion beaucoup plus important que l’aventure normale, avec leurs mini-tableaux (souvent dissimulés) synthétiques et beaucoup plus ardus que le reste de l’aventure.
Gemmes qui seront échangeables à l’issu de chaque niveau contre une vie supplémentaire (représentée sous forme de cœur en haut à gauche de l’écran), si vous pouvez suivre la courbe exponentielle avec vos gains. En cas d’oubli, vous aurez toujours la possibilité de refaire le niveau de votre choix, avec une indication vous permettant de savoir si vous avez obtenu toutes les gemmes (les niveaux intégralement complétés auront une orbe bleue, les autres une verte).
Des boss seront aussi présents, où un examen final des capacités utilisées sur leur monde, avec toujours des petits plus qui rendront l’affrontement mémorable. Franches réussites, ils apportent une bouffée d’air frais supplémentaire à l’originalité de ce titre.
Des boss, grand classique aussi présent dans le jeu, mais subverti à la sauce BC.
Votre poule répondra extrêmement bien à vos commandes, fort heureusement pour vous : les masques de collisions, le tempo à adopter durant certaines épreuves l’exigent et les développeurs nous ont donc pondu un gameplay à la réactivité parfaite. Vous mourrez, mais vous ne pourrez vous en prendre qu’à vous-même.
Un bug a été rencontré sur un tableau, mais une simple relance du jeu a permis de le faire disparaitre. Les temps de chargements sont rapides, une poignée de secondes au pire.
Au niveau musical, c’est assez punchy et certains thèmes évoqueront du Crash Bandicoot. Ca accompagne à merveille les séquences de jeu en tout cas, et les bruitages, bien que classiques, font le taf.
A la lecture, et pour les plus impatients d’entre vous qui ont déjà posé les yeux sur l’avant dernier-encart, vous vous demandez surement pourquoi ce jeu n’obtient pas une note plus élevée. La faute à son tarif (13,5€) et une durée de vie largement sous la dizaine d’heures, quelque soit votre talent manette en main, sans grosse rejouabilité en dehors des amateurs de speed-run.. Le bon côté de la chose, c’est que le jeu n’outrepasse pas la patience du joueur avec cette montée progressive et minutieuse, sans aucune redite ou temps mort jusqu’au feu d’artifice final. Pour les fans de « petits » jeux de plateforme/puzzle, vous pouvez cependant foncer sur le titre, qui vous octroiera quelques heures de plaisir sans aucun souci. Inutile de chercher des poils sur les œufs, Bomb Chicken est une franche réussite.
Bomb Chicken devrait ravir tous les amateurs de jeux de plateforme/réflexion. Pas question de jouer les poulets sans tête avec ce titre, les maigres capacités de votre gallinacé exigeront en effet d’agir judicieusement pour surmonter le très bon level-design des (courts) tableaux à surmonter. Mignons jusqu’au point de rendre la mort des ennemis rigolote, la DA, les animations et le pixel-art créé sont le second gros point fort du jeu. Un petit 7/10 mérité, en espérant que le jeu rencontre son succès et ne soit que le premier d’une longue série de jeux aussi bichonnés et amusants.
Les points AOC :
- Beau Pixel-art, soigné et animé avec humour
- Le principe de ne pouvoir sauter…
- … Et donc d’utiliser des bombes pour s’élever…
- … Avec des conséquences parfois mortelles
- Les gemmes secrètes qui poussent le level-design à son maximum
- Maniabilité au poil
Développeur : Bit Kid, Inc.
Genre : Metroidvania
Disponible sur PC/PS4/PSVita
Prévu sur Switch
Date de sortie : 11 Octobre 2018 (Switch)
Langue : Anglais
Dans une ville minière des citadins ont commencé à disparaître, kidnappés par des créatures surnaturelles émergeant des profondeurs, vous êtes là pour comprendre le phénomène et remettre de l'ordre.
-Six régions immense à explorer.
-Vous pourrez customiser votre personnage.
Éditeur : FDG Entertainment
Développeur : Game Atelier
Genre : Plates-formes/Aventure
Prévu sur PC/PS4/XOne/Switch
Date de sortie : 4 Décembre 2018
Le jeu sortira en dématérialisé (Multi) et en physique (PS4/Switch).
Site du jeu Steam Twitter
PS : Le jeu était prévu pour le 6 Novembre 2018, il est repoussé au 4 Décembre 2018.
Éditeur : SOEDESCO
Développeur : 3DClouds.it
Genre : Course
Prévu sur PC/PS4/XOne/Switch
Date de sortie : 2019
Par le développeur de All-Star Fruit Racing
Nous sommes en 2030. À l'ère des véhicules volants, un championnat unique pour les véhicules à roues traditionnels a été organisé, avec des voitures électriques de pointe alimentées au xénon.
Éditeur : Blowfish Studios
Développeur : Mistfly Studios
Genre : Shoot
Prévu sur PC/PS4/XOne/Switch
Date de sortie : 2019
Entrez dans le poste de pilotage d'un combattant intergalactique et explorez les vastes étendues de l'espace.
L'histoire commence lorsque Sgt. Jed Riddle est amené pour enquêter sur une installation minière qui est mystérieusement devenue silencieuse à la radio. Une fusillade tendue s'ensuit, amenant Riddle à regarder de plus près ce qui se passe exactement et les sombres secrets cachés dans l'ombre.
-40 missions