Après avoir chacun été au centre de leur propre jeu, Peter Parker et Miles Morales se partagent équitablement l’affiche dans Marvel’s Spider-Man 2. En dehors des passages de l’histoire principale vous invitant à jouer l’un ou l’autre, vous pouvez librement incarner le héros de votre choix (le SSD de la console PS5 vous permettant de passer d’un Spidey à l’autre quasi instantanément, d’une simple pression de touche. Le studio nous promet quelques vignettes croustillantes lors des changements de point de vue). Ils se partagent un paquet d’activités annexes, de gadgets et d’embranchements d’améliorations de base, mais ont chacun droit à leurs propres arcs narratifs, missions et capacités à débloquer. Les commandes sont identiques (gadgets de la tenue assignés à R1, compétences uniques à L1, jusqu’à quatre disponibles à la fois en association avec une touche principale), et vu leurs capacités similaires, vous ne vous retrouverez jamais coincés à devoir tout réapprendre après un changement de personnage.
Des mouvements qui évoluent avec l’histoire :
Le jeu nous montrait Peter faisant usage de ses quatre Spider-bras mécanisés pour terrasser ses adversaires. Ce qui n’était qu’une tenue personnalisable parmi de nombreuses options dans le Marvel’s Spider-Man d’origine constitue à présent son équipement de base… du moins jusqu’à l’entrée en jeu du symbiote. Insomniac Games entretient le mystère quant à ce choix, mais nous promet qu’il sera expliqué dans le jeu. Il en va de même pour Miles et sa puissance bioélectrique aux deux couleurs distinctes, également visible dans la bande-annonce et bien présente lors de ma prise en main. Intihar indique que l’évolution des pouvoirs de Miles joue un rôle dans son arc narratif. Les pouvoirs électriques et mécaniques disposent chacun d’un arbre de compétences dédié ; l’XP débloque progressivement des attaques de zones, des projections d’adversaires multiples, etc. L’un de mes premiers coups de cœur est la Spider-électrocution, attaque durant laquelle Pete brandit ses Spider-bras avec la vitesse et la grâce de l’arachnide dont elle s’inspire, et tire un déluge électrique ne laissant aucune chance aux ennemis pris dans sa toile. Puis je me régale en reproduisant le même mouvement que dans un extrait de la présentation de gameplay : Peter bascule sur une seule main et assène un double coup de pied fulgurant à l’ennemi, qui va s’écraser contre le mur d’à côté. Il existe en outre une multitude d’options supplémentaires pour le combat standard.
Le symbiote sauvage :
La tenue noire est une nouveauté phare depuis sa première annonce, et ma séance d’essai m’a donné plus d’une occasion de mesurer sa puissance ahurissante. Pete la porte déjà au début de la démo, et à l’instar de ses bras mécaniques, elle possède son arbre de compétences dédié, équipé de quatre attaques prédéfinies et prêtes à l’emploi pour ma première empoignade avec un groupe de Chasseurs de Kraven. Tout comme dans la présentation de gameplay, vous pouvez tirer des filaments qui saisissent et soulèvent automatiquement les ennemis aux alentours, avant de les fracasser violemment contre le sol. Avec la frappe symbiote, la tenue enveloppe Peter de sa masse grouillante recouverte de pointes, et catapulte en arrière les ennemis qui ont le malheur de se dresser sur sa route. Quant au poing symbiote, il s’agit d’une projection aérienne surpuissante qui étourdit les adversaires et permet d’enchaîner sur des combos. Le mot qui m’est souvent revenu lors des combats de Peter, c’est “brutal”. L’audio percutant, les visuels spectaculaires et les retours haptiques de la manette nous mettent dans la peau d’un Peter remonté à bloc, laissant libre cours à sa force symbiotique. L’attaque spéciale L3 + R3 de sa tenue, surcharge symbiotique, est un déluge tourbillonnant de frappes qui permet de viser manuellement des ennemis et de les mettre à terre pour de bon. Elle fait son apparition lors de la scène finale d’un affrontement en laboratoire qui dégénère… Une conclusion de mission à couper le souffle.
La chasse aux Chasseurs :
On aurait pu craindre de ne faire qu’une bouchée des criminels du jeu, mais mes multiples rixes contre les Chasseurs de Kraven ont vite dissipé mes appréhensions. Les groupes sont systématiquement nombreux, articulés autour de vagues mettant en scène une impressionnante diversité d’adversaires. Les drones Rapace vous ciblent de loin depuis les airs, tandis que leurs congénères à quatre pattes créent des zones neutralisant vos compétences tant que vous ne les avez pas détruits (et… surprise ! Quand vous les éliminez, ils explosent.) Les explosifs sont justement la spécialité de certains Chasseurs humains, qui lancent à distance des volées de mines ou des grenades toxiques, tandis que d’autres tirent des filets électrifiés ou condamnent les airs à l’aide d’un champ électrique. Complétez le tableau avec des porteurs de bouclier, des artilleurs lourds ou d’autres encore qui vous foncent dessus avec une dague dans chaque main, et vous n’aurez pas le temps de vous ennuyer. On ressent clairement la montée de la menace et la richesse des situations devant cette palette d’ennemis.
Parade :
Esquiver les coups de poing, les balles, les griffes et tout le reste se fait toujours en appuyant sur la touche cercle, dès que votre sens d’araignée vous titille. Mais désormais, Peter et Miles ont tous les deux la possibilité de parer les attaques signalées par un cercle jaune passant au rouge quand un ennemi s’apprête à frapper. Appuyez sur L1 au bon moment pour repousser l’assaillant. La démo a mis à l’épreuve mon sens du timing lors d’une rencontre contre un miniboss, une brute des Chasseurs armée d’une hache vers la fin du combat au labo. L’étourdissement qui récompense la parade m’a permis d’en venir rapidement à bout. Certaines attaques ne peuvent pas être parées et demandent des réflexes rapides pour se mettre hors de portée.
Énigmes, précision et inventivité :
Comme indiqué au début de la démo, Peter et Miles devront autant utiliser leurs méninges que leurs muscles. Dans un puzzle vers le début, j’ai dû débarrasser un brin d’ADN de ses atomes corrompus sans endommager ceux en bon état. Peu de temps après, Peter s’est faufilé dans un gigantesque accélérateur de particules pour réinitialiser des aimants décalés. En jouant soigneusement avec les gâchettes adaptatives de la manette DualSense, j’ai dû trouver les différents points de pression nécessaires au réalignement. Bien plus tard, dans la peau de Miles, j’ai guidé un Spider-Bot dans des conduits d’aération et détourné l’attention de cambrioleurs pour réactiver les portes sécurisées d’une exposition locale entièrement verrouillée. Ce genre d’interactions contraste agréablement avec les bastons et les cascades aériennes.
A l'occasion du 40 ème anniversaire du manga , l'anime culte aura droit à son remake.
Aucune nouvelles info concernant le staff ou une date de sortie hormis un simple visuel d'annonce et ces messages des deux auteurs d'origine.
Message de Buronson :
"Une œuvre d’il y a 40 ans est relancée sous forme d’œuvre d’anime.
En fait, il y a 40 ans, je gardais une petite distance entre le manga et l’anime, pensant qu’ils étaient différents. Quarante années ont passé et la technologie actuelle de l’animation et de la vidéo a considérablement évolué. Comment la technologie et les visuels amélioreront-ils Fist of the North Star ? De plus, cette fois, l'idée de base est de représenter l'œuvre originale avec le plus grand soin. Je suis vraiment impatient d'y être.
Fist of the North Star, qui est apprécié de tous depuis 40 ans, sortira en tant que nouvelle œuvre d'animation.
Je veux en profiter avec tout le monde."
Message de Tetsuo Hara :
"Merci pour la nouvelle animation.
J'avais la vingtaine lorsque la série a été publiée pour la première fois, et je n'aurais jamais imaginé que le jour viendrait où Fist of the North Star fêterait son 40e anniversaire et que je serais récompensé par un tout nouvel anime.
Je suis heureux d'entendre que les doubleurs lisent l'œuvre originale comme s'ils écoutaient les voix des personnages et imaginaient leurs performances respectives.
J'ai vraiment hâte de voir comment le tableau que j'ai dessiné de tout mon cœur il y a 40 ans sera réincarné par l'équipe de production pleine d'amour pour l'œuvre originale !!"
Incarnez le mercenaire cybernétique V et lancez vous dans une mission d'espionnage et d'intrigue pour sauver la présidente des NUSA. Dans le dangereux quartier de Dogtown, vous devrez forger des alliances au sein d'un réseau de loyautés brisées et de sinistres machinations politiques.
L'extension Phantom Liberty sortira le 26 septembre sur Xbox Series X|S, PlayStation 5 et PC
"Vous pourrez faire presque n’importe quoi, tout comme dans nos jeux précédents. Le support des mods sera disponible l’année prochaine, et nous l’adorons. Nous ferons les choses en grand."
A part les mods qui existent déjà sur le jeu, comme pour Skyrim, un support de mods conçu par Bethesda arrivera en 2024 permettant de modifier à volonté les paramètres et l'apparence du jeu mais aussi y inclure de nouvelles quêtes et nouveaux personnages.
Son extansion du jeu qui ce nomme Shattered Space confirmé par Todd Howard est toujours sans date de sortie.
Godzilla Minus One est un film d'époque qui se déroule dans les années 50, juste après la Seconde Guerre mondiale. Le réalisateur Takashi Yamazaki a choisi de revenir aux sources de Godzilla, en explorant les conséquences des bombardements
nucléaires sur le Japon
Godzilla Minus One est prévu pour le 3 novembre au Japon le 1er décembre aux États-Unis.
A l'occasion de l'IFA 2023 à Berlin , la Légion go est annoncé par Lenovo.
Comme les leaks le prévoyaient , cette machine concurrencera la Rog Ally de Asus , elle sortira courant novembre au prix de 799 euros.
Cette console dispose d’un écran IPS de 8,8 pouces, affichant en QHD+ (2 560 x 1 600 nits) avec une fréquence de rafraîchissement jusqu’à 144 Hz.
Equipé d'une puce , le Z1 Extreme de la série AMD Ryzen Série Z1 , elle ajoute 16 Go de RAM LPDDR5X à 7 500 MHz et d’un SSD PCIe Gen 4 allant de 256 Go à 1 To.
Un emplacement microSD est présent pour étendre le stockage jusqu’à 2 To.
La Lenovo Legion Go s’offre deux ports USB-C prenant en charge DisplayPort 1.4 et Power Delivery 3.0. Une prise jack 3,5 mm complète cette partie et la console supporte le wifi 6E et le Bluetooth 5.2.
Ressemblant a la switch avec ces deux contrôleurs détachables , ces Joy con sont appelées "TrueStrike",
qui a un effet Hall pour garantir une absence de dérive. Les commandes disposent d’un pavé tactile intégré, d’une croix directionnelle D-pad ou encore d’une molette de souris inclinée.
les manettes disposent aussi d’un mode FPS pour permettre aux joueurs de les détacher du corps de la console et d’utiliser la béquille arrière.
Le Legion Go tourne sous Windows 11 comme ce fut le cas de l’ASUS ROG Ally.
La console sera aussi accompagné de lunettes de réalité virtuelle. Un moniteur virtuel portable pour « jouer sur grand écran partout ».
"N’y allons pas par quatre chemins, Starfield est un réel coup de cœur. Nous avons été impressionnés par la richesse des quêtes proposées, mais surtout par leur qualité d’écriture. Bethesda livre ici une expérience maîtrisée qui nous guide intelligemment par ses multiples narrations pour découvrir et explorer ce monde qu’il a créé pour nous. Il est toujours possible de trouver une façon de s’occuper, même après 100h de jeu, et de ressentir les mêmes sensations qu’au début. Le voyage attendu est au rendez-vous et l’aventure spatiale n’a presque aucune “limite”. Explorer par nous-mêmes n’est malheureusement pas aussi excitant que nous l’aurions souhaité. Selon nous, les promesses de liberté sont à moitié tenues : oui, nous voyageons et parcourons toute la galaxie, oui, nous vivons de très riches aventures, mais l’exploration spatiale et planétaire arrivent à peine à la cheville de jeux comme No Man’s Sky ou Elite Dangerous. Tout dépend de ce que l’on attend de ce point précis, qui est bien présent, mais qui manque de profondeur et de possibilités. Starfield embarque tout le savoir-faire du studio pour un jeu très ambitieux qui livre une excellente expérience, expérience qu’il faudra accepter telle qu’elle est."