Mafia The Old Country n’est pas mauvais, mais il aurait pu être bien meilleur et bien plus ambitieux. Le titre brille par son ambiance, la retranscription de la Sicile est bien travaillée jusqu’au moindre petit détail, on est réellement transporté dans cet univers de la mafia.
Bien que trop prévisible, son scénario reste efficace, 14 chapitres compose une histoire qui ressemble un peu trop au tout premier Mafia.
The Old Country reste un mafia trop timide, son gameplay est son point faible, l’impression que Hangar 13 n’a pas voulu en faire plus que ça , c’est terriblement basique. Les gun fight sont mou, lent et sans saveur, l’infiltration l’est tout autant avec une IA à l’ouest, et je ne parlerais même pas de la mauvaise idée des combats au couteau qui sont très répétitif.
Sur le papier, le cadre de la Sicile est un terrain de jeu parfait pour The Old Country , mais Hangar 13 a préféré miser sur des vielles mécaniques datées , avec des séquences beaucoup trop scriptée et un semi monde ouvert vide.
Agréable que pour son ambiance et son scénario (et encore la fin peut diviser) Mafia The Old Country aurait pu être bien meilleur, et un changement de moteur ne suffit pas.
Les Plus
- Son ambiance
- Son scenario et ces personnages
- Très beau graphiquement
- Le doublage Vo et Vf
- Des anecdotes fort sympathique
Mais
- Des gun fight pas très passionnant et une Ia à l’ouest
- Beaucoup trop de mission d’infiltration et des mécaniques datés
- Les duels de boss au couteau , une très mauvaise idée
- Beaucoup trop scripté
- Pas beaucoup d’armes a feu
- Une bande son trop timide
- Trop court et une fin catastrophique
Lie Of P est un excellent Souls-like et est bourré de qualité, inspiré du roman Carlo Collodi , Round8 Studio nous ouvre les portes sur un univers aussi captivant qu’énigmatique, de son architecture des lieux passant par la mélancolie des marionnettes ravagé par la folie, on est tout de suite séduit par son univers.
On retrouve bien évidemment tout les ingrédients d’un Souls-like classique, nerveux par ces parades en passant par la nervosité de ces combats, Lie of P offre un large éventail de possibilité avec un système d’arme original combinant lame et poignée qui permet d’expérimenter a sa convenance les différentes armes proposée, le tout est grandement facilité par la clarté des menu, qui sont simple et efficace.
Si les bases d’un bon jeu semblent assez solides, son level design perd de son efficacité sur certaines zones qui manquent d’identité propre. Bien que son exploration soit tout aussi classique et que parfois la caméra fait des siennes, sa bande son reste beaucoup trop timide à mon goût, malgré une Ost assez élégante de son hub principal.
Lie Of P reste une très bonne proposition , profitant d’une bonne narration et de clin d’œil assez sympa sur Pinocchio, le titre se place parmi les meilleurs de sa catégorie.
Que nous réserve Round8 Studio pour son prochain jeu ? Une adaptation du Magicien d’Oz ? Une suite directe ? Mensonge ou Vérité ?
Les Plus
- La force de son univers et de sa DA
- La ville de Krat sublimée par ces décors
- Sa narration
- Son hôtel et son ambiance
- Son système d’arme et les améliorations du bras mécanique
- Les boss
- Son ost
- Des menus simple et intuitif
- Ni trop long ni trop court
- La variété des ennemies
Mais
-Un level design qui patauge dans certaines zones
- Quelques soucis de camera
- Gemini aurait pu servir a quelque chose
- Une exploration très basique
Insomniac délivre une suite plutôt convaincante , son gameplay plutôt nerveux rajoute ce petit quelque chose qui le différencie de son prédécesseur , alors certes les nouveautés font plaisir mais au détriment de sacrifier beaucoup de chose. A commencer par la disparition de gadget utile pour l’infiltration qui devient assez répétitif , son manque de vrai quête secondaire et son endgame qui fait fuir. Le traitement de certains personnages ne passe pas vraiment pour ma part , Black Cat et ou certains super vilains qui deviennent gentil d’un claquement de doigt , franchement ça ne pardonne pas.
Du coté de son scénario c’est sympa mais pas surprenant et assez prévisible dans son ensemble , il aurait du ce concentrer uniquement sur Peter car toute la partie de Miles ne sert littéralement à rien et heureusement que Venom sauve les meubles, son ascension est digne d’un vrai blockbuster , enfin un vrai Venom qui respecte les comics. L’écriture de Kraven est aussi intéressante , dommage qu’on ne le voit pas assez souvent. Du coté de Peter Parker , le personnage à complètement régressé , l’impression qu’il est plus faible qu’avant , en plus d’avoir un Miles tout beau tout gentil , Mary Jane passe d’une bonne journaliste dans le premier opus à une marie poppins prête à sauver le monde , la « spider team » méritait mieux que ça.
Spider man 2 est sympa sans plus , une fois l’histoire bouclé , il ne parviendra pas à rester aussi mémorable que son prédécesseur.
Les plus
- La mise en scène
- Son gameplay plus nerveux
- La bonne idée du delta-toile
- Enfin un vrai Venom , terriblement bien réussi
- Une bande son convaincante
- Les boss et un Kraven bien sympa malgré son manque de temps à l’écran
Mais
- Un Miles Morales qui ne sert à rien
- L’impardonnable traitement de Black Cat et de certains super vilains
- Une infiltration répétitif
- Encore plus de collectibles inutile et des activités totalement débile.
- Le vide abyssal des quêtes secondaire
- Une re-jouabilité quasi inexistante
- Un scénario qui met du temps à démarrer
- J. Jonah Jameson : « Miss Watson , lâchez ce taser et mettez vous au boulot ! , le journal ne va s’écrire tout seul ! »
7/10
Dans cette industrie ou les jeux de plate-forme (hors Nintendo) sont de plus en plus rare , la Team Asobi va à contre courant avec Astro Bot , c’est beau , jovial et fun en même temps. Ça n’innove pas, mais les idées sont là et le résultat offre une expérience de jeu à la hauteur du titre.
Bien que trop facile, Astro Bot manque d’identité propre, sa direction artistique bien attrayante manque d’originalité, cette impression qu’il ne vole pas de ses propres ailes en ce reposant trop sur les caméos playstation.
Astro Bot à un potentiel indéniable, un titre à la fois simple et sans prise de tête ou « l’amusement » est au centre de tout, et malgré son manque d’originalité, il ne lui manque pas grand-chose pour s’élever au rang des meilleurs plate-former 3d.
Les plus
- C’est beau , et fun
- Les différents niveaux et pouvoirs
- L’exploitation de la dualsense
- Des boss géniaux
- Son ost
- L’excellent suivi
Mais
- Trop facile et trop court
- Le recyclage des ennemies
- Manque d’identité propre
8,5/10
Je n’avais pas touché à la licence depuis Monster Hunter 4 ultimate sur 3ds qui était excellent, et ici avec Wilds c’est une énorme déception. La licence a perdu de sa superbe tant on nous prend par la main constamment, le mode focus simplifie énormément la chasse rendant les combats encore plus faciles. Je ne parlerai même pas de cette monture atroce qui participe a l’automatisation des déplacements, non vraiment une horreur. Pour parler des combats contre les monstre , bon bah c’est tout aussi facile, j’anticipe très facilement leurs mouvements et vu que la traque a complètement disparu, c’est plié en 10 min.
Je ne retiendrai pas grand-chose hormis la mise en scène des monstres et l’effet climatique des zones.
Les plus
- Le bestiaire augmentera avec le temps
- Un solo sympathique
- La mise en scène des monstres
- Sa bande son
- La zone foret et désert plutôt cool à explorer et leurs effets climatique
Mais
- Aucun challenge
- L’erreur du mode focus
- La monture et l’automatisation des déplacements
- L’absence de traque et de stratégie
- Pas de claque graphique
Il est peu courant de trouver des jeux d'exception et encore plus rare d'en découvrir qui restent plaisants du début à la fin. Clair Obscur Expedition 33 est indéniablement un jeu qui apporte un vrai choc et un plaisir que je n'avais pas ressentie depuis un bon moment.
Et avant d'établir cet avis rapide, des remerciements s'imposent envers Sandfall Interactive et à tous ceux qui ont travaillés d'arrache-pied sur ce titre, merci et respect à eux pour avoir sorti une telle proposition aussi maîtrisée, un premier projet qui respecte les joueurs, franchement chapeau.
Comme énoncé juste avant, Expedition 33 est maîtrisé de bout en bout, en dépoussiérant le tour par tour et en le rendant plus accessible à tous, son gameplay est assez fun et addictif, la mécanique de parade et d'esquive sont assez efficaces sans devenir laçante, procurant des combats divertissants et gratifiants, où se mêlent réflexes et concentration, le tout en gérant les différentes stratégies.
La visite de ces lieux variés m'a nettement impressionné, notamment grâce à une direction artistique somptueuse et à l'usage de couleurs qui nous transportent dans des paysages inédits, chaque recoins est joliment soigné pour un dépaysement total.
Ces mêmes environnements sont parsemés de zones dissimulées et de passages secrets débordant d'objets à dénicher et de boss optionnel, bien que ce sont des couloirs à plusieurs enbrenchements, et même s'il y a pas de mini map pour se guider (ce qui reste appréciable pour son immersion) , le joueur ne sent jamais vraiment perdu. J'ai même plutôt apprécié explorer chaque petit recoin.
Le grand retour de la carte du monde fait aussi son effet, c'est bien construit tout en offrant une belle liberté au joueur. Pour ce qui est de la palette des personnages, c'est aussi maîtrisé que le reste, ils sont tous bien intégré au récit, mais surtout assez cohérent dans cet univers si riche.
Le scénario est tout aussi étonnant, une véritable merveille d'écriture dans son ensemble, à l'instar de sa musique tout aussi exceptionnelle.
Cochant absolument toutes les cases, Expedition 33 est un rpg inoubliable, Sandfall Interactive délivre ici une véritable toile de maître, un chef d'œuvre à vivre absolument.
Les plus
- Sa direction artistique de toute beauté
- Son gameplay tour par tour fun et gratifiant
- La variété des builds
- Son Ost complètement dingue !
- Son lot de personnages cohérents et attachant (Esquie et Monoco rajoutent un peu d'humour)
- Un scénario surprenant et très bien écrit
- Son rythme
- Son exploration et ces challenges
- Des boss incroyable (le maitre des lampes, le maitre des visages, le duelliste)
- Une durée de vie plutôt bien équilibré
-Une bonne rejouabilité
- Une proposition qui tient ses promesses à un prix plus qu'abordable.
Mais
- Dommage pour le casino
- Dur de lâcher la manette
Pour avoir bien apprécié Final fantasy 7 remake, je l'attendais particulièrement. Et force est de constater que le début est assez rythmé dans la même veine que Remake. J'avais plus ou moins apprécié jusqu'à Junon en ligne droite hein, parce que son pseudo contenu dans cet open world qui ne devrait plus exister me laisse de marbre. Contenu qui d'ailleurs n'est ni intéressant ludiquement ni intéressant tout court, encore plus avec ces mini jeux à outrance causant de multiples problèmes de rythmes.
J'ai eu cette impression d'avoir eu une histoire de seulement deux heures tant certaines péripéties se font inutilement étiré pour rien. Si dans remake, l'histoire se laissait suivre sans trop de problèmes, Rebirth lui joue la carte du gagne temps tout étant intimement trop long, certains chapitres frôlent le ridicule. Entre ces qte sans intérêt, son level design complètement à la rue ou ces quêtes secondaires, je ne saurais dire qu'elle est le pire entre ces trois points.
Je ne comprends pas comment Square a pu produire un jeu aussi soporifique dans ces mécaniques d'exploration. L'automatisme dans ces même mécaniques n'ont pour moi rien de ludique et en somme, l'ennui s'installe assez rapidement.
Tout à été déjà dit sur son pseudo "open world" mais je trouve que le jeu offre un faux sentiment de voyage, je n'ai pas eu cette sensation de voyager malgré les nombreux lieux que propose le jeu, Final fantasy 15 par exemple m'a bien mieux transporter dans son univers.
Son gameplay reste assez proche de son prédécesseur, ça reste plutôt convaincant, son système de materia aurait cependant mérité une belle évolution, pourquoi proposer une synthèse d'objet qui ne sert à rien mais pas une fusion de materia ? Je me pose encore cette question. Un mot aussi sur le système d'amélioration des armes, un peu trop fouillis par rapport à Remake
Si son gameplay et ces musiques sont les seules choses que je retiendrais, son histoire m'a laissé perplexe, encore plus sur ces deux derniers chapitres. Au vu de la lenteur du rythme, je m'attendais pas à voir cette scène emblématique souillée par ce délire du multivers. À la fois confuse et brouillonne, c'est une immense déception de voir une histoire aussi décousue.
Pour moi, Rebirth est assez décevant tant ce qu'il propose est assez oubliable. Un épisode qui allonge artificiellement sa durée de vie, pour un scénario aussi vide que le regard des manteaux noir.
Les plus
- Son gameplay
- Sa formidable ost
- Une belle réalisation
- Des boss plutôt sympa
- La bonne idée de l'évolution des personnages.
- Quelques rares bon moments.
Mais
- Inutilement trop long et une durée de vie étiré à son maximum
- Un faux monde ouvert et son contenu tout aussi insipide.
- Des quêtes secondaires toujours pas au niveau.
- Des mini jeux à outrance influencant le rythme.
- Un level design ignoble
- Certains chapitres et dialogues parfois malaisant.
- Un scénario étrange qui oscille entre le wtf et le mauvais.
J’avais de bons souvenirs sur Yakuza 7, très bien écrit, de bon personnages, mais un tour par tour qui manquait de punch et de peaufinage.
Quelques années plus tard, le système de combat de Infinite Wealth a bien évolué et rend le tour par tour assez agréable tout au long du jeu, c’est un vrai plaisir manette en main.
Maintenant, il y a des choses qui fâchent et je dois dire qu’il y en a pas mal. À commencer par la nouvelle ville de Honolulu à Hawaï qui même si le dépaysement est là au début, très vite elle devient un calvaire à parcourir, faute à une map beaucoup trop grande. Elle n’est pas aussi marquante que les villes japonaises.
Si certains comme moi ont pu faire Like a dragon Gaiden juste avant, accrochez vous bien, cela ne sert absolument à rien scénaristiquement !
Le jeu est composé de 14 chapitres, je suppose que c’est assez correct pour nous raconter une bonne histoire, sauf que là, rien ne va, j’ai rarement vu un scénario aussi catastrophique et ça me fait mal à dire ça pour le fan que je suis. L’histoire est très mal écrite et en plus, elle décolle très tardivement ! Tout est inutilement trop long , certains chapitres frôle le ridicule. Heureusement que Kiryu est là pour au moins sauver les apparences même si les incohérences sont assez visibles.
Le jeu à un contenu assez monstrueux, c’est plus ou moins la seule chose que je retiendrai, de ses quêtes secondaires passant par un Animal Crossing like , c’est assez généreux comme d’habitude.
Infinite Wealth est une assez grande déception, au final pas grand-chose de marquant, les quelques nouveaux personnages sont plutôt sympa sans plus.
Je pense qu’il est temps de passer à autre chose, Ichiban n’a pour moi plus rien à raconter, bien que je n’ai pas spécialement aimé son personnage dans cet opus, il n’est pas utile de le développer davantage. Pour ce qui est de Kiryu , il est tant pour lui de bénéficier d’un repos bien mérité.
Les plus :
- Un tour par tour qui a bien évoluer
- Un contenu gargantuesque
- Un Kiryu toujours debout et Seonhee jouable un plaisir
- Yamai cette classe !
- Les nouveaux personnages
Mais :
- Une ville d’Hawaï pas aussi marquante
- Une Ost inexistante
- Un scénario et une écriture catastrophique
- Un rythme en dent de scie
- Des boss tous oubliable
- Des donjons qui manquent d’inspiration
Après Gris en 2018 et son ambiance mélancolique, Nomada Studio fait son retour de la plus belle des manières avec Neva.
Dans ce nouveau jeu, on suit les aventures d'Alba, une jeune femme accompagnée d’un louveteau qui tente d’affronter des forces obscures. On suit donc leurs évolutions et un lien indéfectible se créera au fur et à mesure de cette si belle aventure.
Neva captive dès les premières minutes par la beauté de ses environnements et cela s’accentue davantage dans les dernières parties. Nomada est parvenu à produire une belle variété de décors à travers les quatre-saisons qui compose le jeu. Tout comme Gris, la direction artistique est splendide et s’apparente plus à une poésie vidéoludique tant elle parvient à transmettre des émotions toujours plus fortes. Le côté action aventure vient rafraîchir cette poésie narrative le rendant un peu plus dynamique et unique. Alors, oui, les combats sont plutôt simples, mais cela suffit largement pour ce titre.
Neva est tout bonnement une excellente évolution de Gris, une œuvre d’art vidéoludique qui parvient à toucher émotionnellement le joueur. Nomada Studio propose ici une aventure poignante et mémorable.
- Les plus
- Sa direction artistique passant par la beauté de ces environnements
- Une bande son de qualité qui arrive pile au bon moment.
- Des mécaniques simples mais toujours bien efficaces
- Une durée de vie qui se suffit à lui-même
- Des boss convaincants
- Une fin forte en émotion
Persona 3 Reload a été une bonne aventure durant ces 86 h de jeu. Si persona 4 et 5 proposent une formule bien mieux conçue, ce troisième épisode fonctionne avec des hauts et des bas.
L’histoire met un peu de temps pour ce lancer, faute à un rythme assez inégal. Son thème de la mort fait apparaître une écriture bien plus sombre qu’à l’accoutumé et ces personnages assez variés sont tous très attachants.
N’ayant pas fait l’original, ce remake est plus qu’efficace. Son gameplay au tour par tour offre un véritable plaisir de jeu tout au long de cet unique donjon le tartarus. Ce donjon du haut de ces 264 étages est assez redondant, avec des zones couloirs se répétant plus ou moins. Je l’ai personnellement pris pour un vrai défi à relever, n’hésitant pas à bien organiser mes sessions et a switcher régulièrement avec le reste des activités a faire. Je regrette cependant le manque de musiques pendant cette traversée.
Concernant les liens sociaux, c’est un peu la douche froide. Ils sont en aucun cas, intéressants, même si certains arrivent un peu tard, c’est globalement oubliable. Un point qui aurait fallu retravailler davantage.
Persona 3 reload brille d’une belle lumière bleu, son ost sublime passant par ces thématiques et sa refonte graphique donne au joueur une expérience inoubliable. (et toujours sous le choc de cette fin)
Les plus :
- Les thématiques abordés
- Son immense durée de vie
- Son ost exceptionnel
- Le gameplay et ces nouveautés
- Son ambiance et son scénario plus sombre
- Une refonte graphique agréable
- Des personnages attachant
Mais :
- Un rythme assez bancal
- La répétition du tartarus
- Des liens sociaux oubliable
Hogwarts Legacy l’héritage de Poudlard est une véritable déception , marqué par de bonne intention.
Au premier coup d’œil , l’immersion dans le château de Poudlard est enchanteur et bien modélisé, les 10 premières heures de jeu sont plutôt chouette. Le bande son fait bien son effet et la magie ce révèle convaincante. Avalanche Software a fait un boulot remarquable sur pas mal de points et je salut l’initiative.
Hélas la magie commence a s’estomper au fur et a mesure , la faute à un scénario très enfantin et catastrophique qui commence bien trop tard dans le jeu , et a des quêtes secondaires fade qui durent pas plus de 10 minutes. L’écriture global du jeu et des personnages sont tout sauf réussi même en utilisant le lore de l’univers d’Harry Potter je m’attendais a quelque chose de bien plus poussée et d’un peu plus mature. Étant dans la maison Serpentard , je m’attendais aussi a plus d’identité entre les maisons et un peu plus de compétition.
Maintenant pour parler du monde ouvert en lui même , je trouve que c’était une grosse erreur de leur part. Un semi aurait été parfait , avec quelques zones plus fournit regorgeant de secrets , en ajoutant en plus le chemin de traverse et une foret interdite plus flippante , le tout avec un château Poudlard plus immersif et des mini jeux. Cette open world ne vaut rien et les activités annexe sont inexistante au possible , son approche est beaucoup trop classique et redondant.
Son gameplay reste néanmoins efficace et les combinaisons affilés a plusieurs sorts sont sympathique.
Je vois les bonne intentions derrière, et si il y a un second opus un jour beaucoup de choses sont a revoir.
Les plus :
- Un gameplay qui fonctionne bien.
- Son ost.
- La quête de Sebastian.
- Le château de Poudlard et son ambiance bien retranscrit.
Mais :
- Un scénario très mal écrit et des méchants oubliable.
- Un monde ouvert qui ne sert a rien.
- Des quêtes secondaire décevante.
- Des perso trop gentil et enfantin.
- Un loot affreux et des collectibles a gogo
- Un bestiaire assez pauvre.
- Pas de choix ni de conséquences
- Le sort révélio
- Les épreuves de merlin
Starfield le dernier jeu du studio Bethesda ce révèle être un bon terrain de jeu , j’ai aimé me perdre dans ces galaxies tout en ayant une certaines liberté.
Malgré une introduction lente à démarrer qui fait un peu fuir , l’aventure Starfield ce construit au fur et a mesure, et même si l’histoire principal m’a grandement déçu dans sa globalité je me suis plutôt bien amusé sur le jeu.
Que ce soit certaines quêtes de factions plutôt bien écrite ou même permettre de ce balader un peu partout , j’ai beaucoup apprécier mon aventure.
Maintenant il y a des points qui fâchent énormément , de gros défauts qui selon moi gâche un peu l’expérience de jeu.
Starfield est archaïque dans sa technique et dans son game design , son univers bien qu’attrayant est surtout pas très cohérent. Les interactions avec les pnj sont complètement dépassé et certaines mécaniques aussi. Je reviens vite fait sur la quête principal qui ne vaut rien et qui est digne d’une quête secondaire , pourquoi ne pas avoir fait quelques chose de plus pertinent qui englobe la plupart des factions et villes importante ? bref heureusement que les factions relève un peu le niveau même si les conséquences aurais pu être creuser un peu plus. Sur certains points on retrouve toujours la même recette Bethesda avec toujours ces forces et ces faiblesses.
L’exploration spatial bien que sympa au début devient vite redondant au fur et mesure , avec une certaines copies pour les grottes et autres laboratoires , l’effet procédural est a mon sens une grossière erreur dans sa construction et aurais pu bénéficier de quelque chose de plus léger , ce concentrer davantage sur quelques systèmes solaires que plutôt viser les miles planètes qui pour la plupart ce ressemble presque toutes, permettant ainsi d’avoir en même temps une bonne optimisation pour le jeu.
Starfield reste une nouvelle proposition forte de Bethesda avec une envie d’y retourner encore et encore , une belle aventure mémorable avec de bonne base mais néanmoins très imparfaite dans le fond , et qui aurais pu être meilleurs.
Les plus :
- Son énorme durée de vie et très généreux en contenu
- Sa Ost grandiose qui colle parfaitement aux situations.
- Les quêtes de faction qui sont pour la plupart très bien écrite.
- Le sentiment de progression a son propre rythme.
- Les villes et différents lieux
- Des gun fights amusant mais qui aurais mérité plus de diversité
- Un univers sympa mais qui manque de cohérence.
- Graphiquement propre.
- Le mode constructeur de vaisseaux et son système de persuasion
Mais :
- Une quête principal assez bancal et oubliable
- Un abus de temps de chargement coupant l’expérience de jeu
- La lourdeur des combats en vaisseaux.
- Trop de voyage rapide et l’espace qui n’est pas utilisé
- Les pouvoirs qui ne servent a rien.
- Une infiltration qui ne fonctionne pas.
- Un inventaire un peu trop fouillis et un système de craft complexe pour pas grand-chose.
- Des pnj fade et une synchro labiale complètement raté.
- Une exploration qui atteint vite sa limite et devient assez redondante
- Une difficulté mal calibré et une optimisation a revoir
- Quelques bugs
Dordogne est une magnifique peinture vidéoludique , une excellente expérience narrative de 3 à 4 h qui est pleine de bonne attention et vous fera voyager a travers les quelques endroits contemplatif sublimé par sa direction artistique peinte en aquarelle.
Tout ce qui est construit autour est bien maitrisé , de son ost douce passant par le point 'n 'click qui ce laisse bien suivre , Dordogne possède tout pour plaire et offre une bonne aventure rafraichissante et reposante tout en proposant des thématiques fortes.
Les Plus :
- Sa direction artistique
- Sa douceur dans son ost
- Un point 'n 'click qui ne lasse pas profitant d'un bonne effet de découverte.
- Des décors sublime
- Les collectibles qui ont une bonne utilité
- Son histoire touchante et ces thématiques forte.
- Durée de vie courte suffisante.
Dishonored est un jeu avec une ambiance et un level design unique , son coté steam punk est bien cohérent avec son univers et ces décors sont sublime. Développé par Arkane studio et édité par Bethesda , ce jeu d’infiltration marche a la perfection et le nombres de possibilités offertes est assez dingue. La combinaison entre les pouvoirs et les armes de Corvo permet de réfléchir et d’expérimenter plusieurs stratégies durant les missions.
Si l’aventure a Dunwal est une réussite , le reste est intelligemment bien construit avec notamment une histoire qui tient la route et des personnages attachant.
Les Plus : - Un gameplay captivant offrant une multitude de possibilités.
- Son univers et sa DA steampunk.
- Les décors et niveaux qui débordent de créativités.
- Son histoire et ses personnages mémorable.
- D’une bonne durée de vie.
- L’ost tantôt mélancolique tantôt stressante augmentant davantage l’immersion.
- Les graphismes n’ont pas pris une ride.
- La rejouabilité.
Mais :
- L’IA des ennemies parfois embêtant
9/10
Dans Dishonored 2 , les choix ont encore plus de conséquences que le premier donnant la possibilité de choisir entre deux personnages avec pour chacun une vision assez différentes. L’un avec de l’expérience ( Corvo ) et l’autre avec une infiltration encore plus poussé que d’habitude ( Emily )
Si le gameplay paraît encore plus fluide et plus fun qu’avant , ce deuxième opus dévoile ces cartes avec un agrandissement de son univers et nous plonge dans d’autres décors plus variés loin de Dunwal et de son architecture. Sa DA est toujours aussi envoûtante et offre quelques niveaux bien mémorable ( asile , manoir mécanique )
Le plaisir de jeu est toujours là bien que trop classique par moment , je n’ai pas été happé par l’histoire ni par les nouveaux personnages. L’expérience reste beaucoup moins marquante que le premier avec parfois quelques missions redondante mais l’infiltration reste néanmoins très fun et satisfaisante.
Les plus :
- Un gameplay encore plus fun
- Des décors plus variés et une DA plus soignée
- L’ost
- Les choix offert pour le joueur.
- Une ingéniosité pour certains niveaux.
- Une bonne Rejouabilité.
Mais :
- Une IA encore plus embêtante
- L’histoire trop classique et des personnages moins bon.
Planet of Lana est un très bon jeu de plateforme et d’aventure , simple et envoûtant a la fois , son univers atypique et sa belle direction artistique rappelle fortement un certain The Last Guardian a petite échelle.
L’univers et ces décors a coupé le souffle sont accrocheurs et donne un vrai sentiment de curiosité , l’immersion est d’ailleurs simplifier par ces graphismes et sa DA. Ce mélange de science – fiction est un vrai plus donnant naissance a une belle et courte aventure. Sa narration qui est d’ailleurs sans dialogue est sublimé par son ambiance poignante.
Si la durée de vie de 5h ce suffit largement car bien complet , ces énigmes et puzzle reste néanmoins simple et sympathique a faire.
J’ai d’ailleurs remarqué une ressemblance assez amusante des premiers Prince of Persia dans ces phases de plate-forme avec un contrôle du personnage de Lana assez lourd et lent mais cela ne gâche en rien le plaisir de jeu.
Je ne peux pas m’empêcher de penser qu’avec ces idées et plus de budget et d’ambition , de proposer a l’avenir un grand jeu a la hauteur des plus grands.
Planet of Lana est un véritable bijou , même si les mécaniques manque d’originalité , les quelques émotions qu’il renvoie font en sorte de transporter le joueur dans un court et beau voyage fantastique.
Les Plus :
- Son univers attrayant et sa DA.
- Un émerveillement face aux décors.
- Son gameplay simple mais toujours bien efficace.
- Son Ost de haute volée.
- D’une bonne durée de vie convenable.
Mais :
- Les quelques lourdeurs du personnage qui vient parfois alourdir les phases de plate – forme
J'avais vraiment aimé Innocence qui ma séduit par son univers , ces personnages mais aussi par une narration très réussi. Le premier avait une bonne durée de vie qui était ni trop courte ni trop longue et le gameplay n'étais pas si mal.
Mais sa suite Requiem c'est l'inverse , une narration qui est le point le plus fort dans ce genre de jeu est dilué dans un rythme épouvantable qui gâche tout . Des longueurs sur pratiquement toutes les mécaniques , que ce soit les combats , les phases d'énigmes et puzzles ou encore l'infiltration.
Des chapitres extrêmement étiré en longueur ou pour la plupart ne font en rien avancée l'intrigue.
Malheureusement Requiem fait un bon en arrière en terme de gameplay que je qualifierais de "Laborieux"
Une infiltration qui n'est pas ou plus possible avec beaucoup trop d'ennemies qui sont quasiment partout et nous suivent à la trace comme des aimants , d'autres peuvent visiblement voir a travers les murs et maisons. Un sentiment d'impatience ce construit petit a petit obligeant a rush pour continuer tellement c'est interminable.
Même chose pour les combats qui sont encore pire , le studio en a profité pour virer les quelques bonnes idées du premier comme le fait d'esquiver ou la destruction d'armures et en tirer partit pour tuer les soldats mais dans Requiem les ennemies aux casques sont pratiquement invincible et le seul moyen d'en venir a bout c'est d'utiliser de l'alchimie pour les bruler.
Sans oublier cette fronde ou lance pierre d'Amicia qui vraiment n'est plus logique ( j'avais pardonné dans le premier mais là faut arrêter ) Amicia n'est pas capable d'apprendre les bases du tir a l'arc sérieusement ? ça collerais mieux sur l'utilisation de l'alchimie mais aussi une arme redoutable contre les soldats. On peut même imaginer un lancer de couteaux comme arme secondaire vu qu'elle est doué pour viser , alors oui il y a l'arbalète mais qui est plus ou moins bof.
Cette suite n'apporte pas grand chose et massacre littéralement tout ce que le premier jeu a construit avec des personnages qui sont sans intérêt. Et une narration qui peine a décoller pour finalement être sans grande surprise , loin de la richesse que le premier à apporter c'est plus des enchainements de séquence très axé sur le désespoir qu'une bonne histoire.
Malgré une ost sublime qui suit les traces de son prédécesseur et des décors incroyable avec son ambiance très vivante cela ne suffit pas pour être un bon jeu.
Les plus :
- Des décors somptueux
- Le duo Amicia / Hugo touchant
- Graphiquement de toute beauté
- Des lieux bien plus vivant
- Une ost toujours aussi efficace.
Mais :
- Une narration bien inferieur moins surprenante que le premier et une fin très décevante et prévisible.
- Beaucoup trop long pour rien.
- Un rythme épouvantable
- L'infiltration ne fonctionne pas et trop étiré.
- Un gameplay trop bancal qui manque de variété.
- Une IA catastrophique
- Des énigmes et puzzles trop répétitif.
- Des personnages secondaire sans intérêt.
- Pas de boss marquant.
Like a dragon ishin est globalement satisfaisant , le studio a l'habitude de sortir du lourd et celui ci n'exempte pas a la règle. Un remaster / remake qui sort enfin traduit chez nous.
Le scénario est toujours aussi subtilement bien écrit avec du drame et de la trahison un peu partout mais aussi grâce a de nombreux personnages bien attachant.
Là ou toute les cinématiques du jeu sont magnifique à l'écran , la dure réalité nous revient et techniquement parlant c'est faible avec quelques textures qui bavent de temps en temps. Kyo reste un plaisir de s'y balader ou il y a énormément de vie dans certains quartiers.
Le contrôle du personnage de Sakamoto Ryoma ( un personnage qui a réellement existé ) est un peu lourd a prendre en main et les trop nombreux aller retours entre les zones n'aide pas.
Pour le système de combat qui comprend les 4 styles de jeux , je le définirai d' "Approximatif ".
Le style du "bretteur" marche souvent bien mais avec beaucoup d'ennemies d'affilés c'est parfois le bazar et j'ai eu beaucoup d'attaque dans le dos, pareil pour celui du "tireur " ou de la "dance endiablé ou ça manque cruellement de précision. J'aurais aimé avoir en option un système de lock pour les combats au sabre ça aurais été très un peu mieux. Le gameplay reste moins fluide qu'un Jugement par exemple. Je retient tout de même quelques combats de boss qui avec une bonne maitrise sont très sympa.
La difficulté est souvent mal dosé par rapport aux ennemies qui ont une garde bien soulante a briser , par contre j'ai eu aucun problème avec les boss.
Ishin ! tire sa force de son scénario et de ces activités secondaires très variés , malgré quelques couacs technique et un système de combats qui navigue entre le chaud et le froid . Le jeu reste néanmoins un bon compromis plaisant à découvrir et a jouer.
Les plus :
- Le scénario brille comme d'habitude
- Une ost sympa mais oubliable
- Une bonne traduction fr
- Sakamoto Ryoma et le Shinsen gumi quelle classe !
- D'une grande durée de vie et activités diverses.
- Les boss
- L'époque choisi et Kyo
- Le mélange des 4 styles de combats reste sympa malgré un coté brouillon par moment.
Mais :
- Techniquement faible.
- De trop nombreux aller retour.
- Certaines quêtes secondaire.
- Un système d'amélioration d'armes confus.
- Les combats manque de précision et de fluidité.