Dishonored est un jeu avec une ambiance et un level design unique , son coté steam punk est bien cohérent avec son univers et ces décors sont sublime. Développé par Arkane studio et édité par Bethesda , ce jeu d’infiltration marche a la perfection et le nombres de possibilités offertes est assez dingue. La combinaison entre les pouvoirs et les armes de Corvo permet de réfléchir et d’expérimenter plusieurs stratégies durant les missions.
Si l’aventure a Dunwal est une réussite , le reste est intelligemment bien construit avec notamment une histoire qui tient la route et des personnages attachant.
Les Plus : - Un gameplay captivant offrant une multitude de possibilités.
- Son univers et sa DA steampunk.
- Les décors et niveaux qui débordent de créativités.
- Son histoire et ses personnages mémorable.
- D’une bonne durée de vie.
- L’ost tantôt mélancolique tantôt stressante augmentant davantage l’immersion.
- Les graphismes n’ont pas pris une ride.
- La rejouabilité.
Mais :
- L’IA des ennemies parfois embêtant
9/10
Dans Dishonored 2 , les choix ont encore plus de conséquences que le premier donnant la possibilité de choisir entre deux personnages avec pour chacun une vision assez différentes. L’un avec de l’expérience ( Corvo ) et l’autre avec une infiltration encore plus poussé que d’habitude ( Emily )
Si le gameplay paraît encore plus fluide et plus fun qu’avant , ce deuxième opus dévoile ces cartes avec un agrandissement de son univers et nous plonge dans d’autres décors plus variés loin de Dunwal et de son architecture. Sa DA est toujours aussi envoûtante et offre quelques niveaux bien mémorable ( asile , manoir mécanique )
Le plaisir de jeu est toujours là bien que trop classique par moment , je n’ai pas été happé par l’histoire ni par les nouveaux personnages. L’expérience reste beaucoup moins marquante que le premier avec parfois quelques missions redondante mais l’infiltration reste néanmoins très fun et satisfaisante.
Les plus :
- Un gameplay encore plus fun
- Des décors plus variés et une DA plus soignée
- L’ost
- Les choix offert pour le joueur.
- Une ingéniosité pour certains niveaux.
- Une bonne Rejouabilité.
Mais :
- Une IA encore plus embêtante
- L’histoire trop classique et des personnages moins bon.
14 ans après la fin de la série. Tout les personnages emblématique ce retrouvent dans ce téléfilm spécial intitulé Mr Monk's Last Case. Le brillant détective de San Francisco souffrant de TOC joué par Tony Shalhoub revient pour résoudre une dernière affaire impliquant sa belle-fille bien-aimée Molly, une journaliste qui prépare son mariage.
Prévu le 8 décembre au USA, toujours pas de date pour la France.
Le réalisateur Wes Ball insuffle un nouvel élan à cette franchise épique mondiale qui se déroule plusieurs générations dans le futur après le règne de César, dans laquelle les singes sont l'espèce dominante vivant en harmonie et les humains ont été réduits à vivre dans l'ombre. Alors qu'un nouveau chef tyrannique des singes construit son empire, un jeune singe entreprend un voyage éprouvant qui l'amènera à remettre en question tout ce qu'il sait sur le passé et à faire des choix qui définiront l'avenir des singes et des humains.
« Le royaume de la planète des singes » est réalisé par Wes Ball (la trilogie « Le Labyrinthe ») et met en vedette Owen Teague (« Ça »), Freya Allan (« The Witcher »), Kevin Durand (« Locke & Key »), Peter Macon (« Sans regret ») et William H. Macy (« Fargo »). Le scénario est de Josh Friedman (« La Guerre des mondes ») et Rick Jaffa & Amanda Silver (« Avatar : La voie de l’eau ») et Patrick Aison (« Proie »), basé sur des personnages créés par Rick Jaffa & Amanda Silver, et les producteurs sont Wes Ball, Joe Hartwick, Jr. (« Le Labyrinthe »), Rick Jaffa, Amanda Silver, Jason Reed (« Mulan »), avec Peter Chernin (la trilogie « La planète des singes ») et Jenno Topping (« Le Mans ‘66 ») en tant que producteurs exécutifs