Est-ce la conséquence d'un accueil tiède des premiers acquéreurs ? Ou de l'annonce surprise d'un portage de Towerfall, l'une des rares exclusivités de la machine, sur PC ? Toujours est-il que les développeurs de la console OUYA ont décidé de faire parler le chéquier, pour verrouiller eux-mêmes leur catalogue d'exclusivités. Et, on l'imagine, relancer le bouche-à-oreille positif qui l'a porté aux nues sur Kickstarter, il y a un an.
Afin d'inciter les indépendants à privilégier la OUYA, ses concepteurs viennent donc de lancer une grande campagne "Free the Games", dotée d'une enveloppe d'un million de dollars. Son principe est simple : si vous êtes porteur d'un projet sur Kickstarter, et que vous jurez allégeance à la console Android pour au moins six mois d'exclusivité, les développeurs d'OUYA s'engagent à financer la moitié de votre jeu. Plus exactement, ces derniers proposent de doubler le budget de développement (jusqu'à 250.000 dollars d'aide), si celui-ci atteint son objectif de financement initial sur Kickstarter, lequel ne peut être inférieur à 50.000 dollars. Au terme des six mois de patiente loyauté, les développeurs pourront naturellement porter leur bébé sur le support de leur choix.

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posted the 07/19/2013 at 03:32 PM by
guiguif
c'est vraiment super cool !
La console est a jour, mais il est clair que face a la next gen, elle est en dessous.
Toutefois, beaucoup de gens ce sont extasier devant gta5, qui est pas sortie, alors qu'il tourne sur ps360...tout est relatif.
La puissance n'est rien si elle n'est pas utilisés avec intelligence. Je pense pas qu'un rendu proche photo réaliste peut être qualifié de beau artistiquement, alors qu'un wind waker ou un okami lui sans être un montres technique, et de toute beauté.
C'est un débat, mais le rendu des jeux next gen ne me convient pas.
Un jeux beau est un jeux pour moi, qui repousse les limite technique d'une console, alors que ce que on a vu de la next gen sera un standard...qui ne surprendra plus grand monde une fois le wahoo passer.
cyr, oui, c'est exactement ce que je pensais