on y apprend vraiment beaucoup de choses très intéressantes dont les influences pour le jeu.
Shadow of the Colossus et The Legend of Zelda: Ocarina of Time aidèrent Hajime Tabata à défendre sa vision d’un monde ouvert ne craignant pas le vide, car imprégné d’une ambiance mémorable. Pour encourager ses équipes, il adopta une devise implacable : « Ce n’est pas grave si nous échouons. »
hey oui ça explique pourquoi l'univers est étendu et peut paraitre vide pour certaines personnes, c'est un choix purement artistique et contemplatif comme je l'ai toujours dit : 3
Pus tardivement, alors que la renaissance de Final Fantasy XV sur consoles de nouvelle génération était déjà bien engagée, il rêva même sur une impulsion de tout reprendre à zéro pour le transformer en une comédie musicale jouable, tant il aimait les films Moulin Rouge et Les Misérables ; il venait tout juste de voir ce dernier. Ses plus grandes extravagances ne faisaient cependant pas uniquement débat au sein de son équipe, et finissaient aussi par être refusées par sa hiérarchie.
- le jeu ne comporte que 2 (vrais villes) altissia & lestallum
- tenebrea est présente dans la seconde partie pour raison scénaristique(exploration limité)
- solheim n'est pas dans le jeu
- niflheim est comme insomnia un donjon plus qu'une ville a explorer.
- pour revenir dans la partie open world(première partie du jeu) du titre il faudra obligatoirement remonter le temps(fuck la cohérence et la structure de l'open world)
-7 invocations
- histoire classique de toute évidence pas maitrisé et incohérente sur la fin
- la première partie du jeu (open world) se termine au chapitre 8
mais on peut y revenir dès le chapitre 9
-la deuxième partie du jeu est plus linéaire(mais ce n'est pas un couloir)
-Le gameplay est une réussite
-quelques soucis techniques qui font penser à un jeu bethesda mais plus polish'
-donjons d'excellentes factures et nombreux.(beaucoups d'optionnelles)