Le soleil de ton âme
Résonne dans la flamme
Qui brûle mon coeur
Quand je pense à notre bonheur.
L'herbe vacille sous la brise;
Ce poème me les brise ;
Je n'ai pas d'idée
Pour continuer.
En plus je dois faire des rimes,
Alors qu'à part maritime
Je vois pas ce qui rime avec rime.
Mais bleus sont tes yeux,
Comme rouge est ma queue,
Pour reprendre mon plus célèbre vers.
Je voudrais me mettre au vert
Mais le violet est plus fort.
Parait que je suis un trou duc',
Mais je suis ton père Luke.
Ton père.
Putain, tu comprends ça ?
Ton père !
Un poème méconnu de Zinédine Cambronne, dont la biographie et le chef d'oeuvre, Un Con testé, seront publié ici même dès demain.
Et tout à l'heure, comme promis même si je ne sais pas comment je vais faire, la recette du Lapin de Patagonie.
posted the 08/29/2005 at 08:00 PM by
franz
Le bleu de tes yeux
Ressemble au rouge de ma queue.
Il est beau dans la souffrance
Je veux m'acquitter de ma quittance
De loyer.
Le noyer ;
J'aime me reposer sous son aile, la nuit ;
Laisser mon coeur rêver à l'amour que je n'ai pas.
Mais je me prends des noix dans la gueule.
Ca fait mal.
Pourtant je ne cesse de t'aimer,
Tout en me rendant compte que tu es un thon
Et en plus très con.
Mais je t'aime.
Les étoiles de tes yeux scintillent comme les étoiles du ciel qui scintillent en scintillant.
Et je sautille,
En pensant à notre prochain rendez-vous.
C'est demain.
Je me ferai beau.
Ou moins moche.
Tout ça pour te dire une chose mon ange :
Je t'aime.
Putain c'est beau.
J'ai toujours su que Zinédine Cambronne n'était pas un p'tit slip en poésie, mais là il me subjugue.
Vraiment, moi j'adore.
Et comme je ne vois pas l'utilité de le faire dans les commentaires de mes billets, je tiens à remercier toutes les personnes qui ont osé me dire que ce que j'écrivais était un tant fut peu appréciable (Dnh, Arp3nteu, Rahan25 ; j'en oublie, mais pas Konoa31 qui a apprécié ma dénonciation virulente des conditions de détention des sardines, merci aussi).
Demain, un nouveau poème de Zinédine, et en bonus sa bio.
A suivre dans la soirée, parce qu'elle a été demandée par Dnh, la recette du Lapin de Patagonie (j'aurais mieux fait de fermer ma gueule quand j'ai parlé de ce truc).
posted the 08/29/2005 at 07:18 PM by
franz
Je vous invite à prendre connaissance dans le billet ci-dessous du scandale qui agite le landernau JeuxFrancien, à savoir la détention des sardines en boîte. Il est difficile pour moi d'évoquer ce sujet sans avoir la larme à l'oeil, et la boule dans la gorge et dans le pantalon. C'est pourquoi j'ai décidé, pour nous divertir en cette morne soirée apocalyptique, de parler de sujets plus légers, plus homoristiques que cette sombre affaire de sardines détenues de manière complètement frauduleuse dans leurs amballages ; mais je vous rappelle que tout est expliqué ci-dessous.
Pour détendre l'atmosphère donc, avec un sujet tout à fait comique, j'ai décidé de vous parler de la faim dans le monde, un grand gag moderne. Attention, vous allez rire.
Saviez-vous que 815 milions de personnes souffent de la faim dans le monde ? Hélas, on ne connaît pas le chiffre exact du nombre de personnes souffrant seulement de la faim (sans le monde), mais on suppose qu'il est assez réduit. Personnellement ce chiffre me fait beaucoup rire.
La Somalie, à défaut d'être championne du monde du Scrabble (un titre pourtant convoité), est championne du monde de la faim ; 75 % de sa population en souffre. Pas de la faim, hein : 75 % de la population souffre de n'être pas championne du monde de Scrabble. Là je me marre.
Saviez-vous les potos que 24 000 personnes meurent de la faim par jour ? Le problème de la fin par jour est très amusant, surtout que personne n'a jamais compris de quoi il s'agissait.
30 pays d'Afrique subsaharienne souffrent de sous-alimentation. Il est vrai que là bas les compagnies d'électricité ne sont guère performantes ; un détail qui m'a toujours amusé.
Un Américain avale en moyenne 3600 calories par jour, soit 67 % de plus qu'un Africain ! Si les Américains se mettent à piquer les calories des Africains, où va le monde ! Ceci dit, et c'est là que c'est drôle, les Africains n'ont peut-être pas de calories, mais pas de caries non plus. Haha.
J'espère avec ça avoir pu vous divertir, il est vrai que j'ai toujours eu un insatiable appétit pour le sujet hautement comique de la faim dans le monde. Maintenant si vous le voulez bien, nous allons recommencer à lutter sérieusement pour que les sardines aient enfin droit à la dignité.
posted the 08/28/2005 at 10:29 PM by
franz
C'est vrai, il se passe en ce moment des choses très graves ! Les droits d'expression sont bafoués ! La liberté d'avoir ne serait-ce qu'un minimum de place pour parler, discuter, lier connaissance, découvrir l'autre et tenter de nouvelles expériences sexuelles est spoliée ! Ce que je dénonce est une pratique complètement faciste ! On ne doit pas, on ne peut pas accepter ce qui a été fait, et qui continue d'être fait, sans que personne ne dise rien ! C'est très très grave ce qui se passe là, je vous le dis ! Un vrai scandale! Vraiment, moi ça me révolte des choses révoltantes comme ça ! Des injustices comme celles-là sont injustes ! Ce sont des actes intolérants, où y a pas de tolérance ! Aux armes JeuxFranciens !
ENSEMBLE MES FRERES, LUTTONS POUR QUE LES SARDINES EN BOÎTE AIENT DE MEILLEURES CONDITIONS DE VIE !
posted the 08/28/2005 at 09:44 PM by
franz
Comme le disait si bien Zinédine Mallarmé (alors que, toutes les filles vous le diront, il était très bien doté) : ''Je trouve pas ça cool que sur mon blog ben on efface des bouts que même que je sais pas pourquoi''.
Quelle surprise ai-je eue aujourd'hui en visitant mon blog pour voir si je n'avais pas par hasard fait une mise à jour pendant la nuit, à l'insu de mon plein gré ? Pouf, mon dernier article avait disparu, et les visites qu'il avait occasionnées avaient été, attentionaccrochezvous, dé-comp-ta-bi-li-sées ! (rassurez-vous, ''pouf'' est une expression visant à traduire ma surprise face à la subite disparition de mon texte ; je n'ai pas entendu ''pouf'' en arrivant sur mon blog).
Vous vous attendez certainement à ce que j'aille gueuler contre ''ces connards de modos despotiques et imbus d'eux-mêmes dont la seule raison d'être est de censurer avec leurs beaux ciseaux Maped les merveilles qui j'ai écrites''.
En fait non.
Finalement, je voulais remercier la personne qui m'a effacé le truc infâme que j'avais osé publier l'autre jour, puisque je l'avais fait histoire de mais sans avoir été réellement sous le coup de l'inspiration messianico-prophétique qui transpire à travers mes oeuvres écrites dont le premier tome paraîtra sous peu dans la collection de La Pliade.
Donc merci.
posted the 08/28/2005 at 08:26 PM by
franz
[Ami lecteur, ce texte est plutôt fait pour être entendu que pour être lu. Comme tu l'auras constaté si tu n'es pas trop con, il est impossible de l'entendre. C'est pourquoi je te conseille de le lire à haute voix]
A quoi pensait De Vinci le jour où il ramonna Lisa ? On ne le sait guère. on sait juste que Léonard devint cynique depuis ce jour, et avec tout ce qui bouge : les femmes et les enfants d'abord, les animaux ensuite, même s'il ne l'a jamais avoué qu'à Demi Moore. Il n'a en revanche jamais caché son attirance pour les vierges mariées par petite annonce à Sion. Mais il n'y a pas de quoi en faire une Cène : De Vinci a toujours honoré de sa présence les invites à Sion (aussi) à dîner de son ami Jésus et ses douze salopards (devant ou derrière, là est la question).
Hélas, en raison de la mort de son hamster des suites d'une pneumonie, Léonard devint si peureux qu'il en est resté Boti.. Blotti chez Li, son ami chinois ; Miquel, Andge et l'autre dont j'ai oublié le nom donnent à Tello, le secrétaire de Li, tout ce qu'ils veulent faire parvenir à Léonardo : pizzas, tagliatelles, herbe, etc.
Shreder, pardon... J's'rais dernier de la classe en géo, j'dirais que l'Italie sît en Afrique. Mais je le sais bien, moi, qu'elle se trouve en Amérique grecque.
En attendant, Coper nique alors que mon nouvel hamster a la Galilée... Pardon. Mon nouvel hamster a la Galle ; il est pâle comme un Gallois ; c'est une preuve non ? J'ai demandé conseil à mon ami Kowa Bunga (oui, il vient d'Allemagne). Voici notre dialogue :
-Kowa, ô maître, aide-moi sur la serpenteuse route de la connaissance ou bien je me fait Hara Kiri; on m'a dit que c'était un bon coup, même si l'autre jour j'ai vu Cavanna sortir en colère ; il m'a dit qu'il préférait aller chez un certain Charlie Hebdo, enfin bref. Kowa Saki, réponds moi : est-ce que le tort tue ?
-Nein Ja !
Certes, il est allemand, mais tout de même, cette réponse ne m'avance guère. Mais j'ai enfin compris le surnom de Kowa Bunga il crie des Nein Ja !
Pour finir, je voudrais citer le grand noir avec une chaussure blonde de la vigie-pirate des aventures d'Astérix le Gavlois : Aaaaaaa'chi ! Me'de ! Il me faut un Kleenex.
En espérant que tout ceci vous aie ne serait-ce que moyennement amusé...
posted the 08/24/2005 at 08:22 PM by
franz
Hier, dans un élan de désespoir causé par la perte de mon hamster des suites d'une fièvre aphteuse incurable et la défaite de l'ASNL, j'ai décidé, pour tenter de donner un sens à mon existence, de me faire Hara Kiri. Je pense que je viens d'en choquer certains, pourtant il n'y a pas de quoi ; se faire Hara Kiri est à la portée de tous. C'est d'ailleurs ce que j'ai fait immédiatement après que l'idée m'eût traversé l'esprit comme la flèche de Cupidon traverse le coeur de l'amoureux transi au croisement des premiers regards échangés avec la femme de ses rêves matérialisée sous ses pupilles émerveillées, mettant alors en branle toute la mécanique génitale qui ne manque jamais de manifester son insatiable appétit dans ce genre de situation, donnant ainsi lieu à une loquace gêne pour qui n'est pas très penché sur l'exhibitionnisme qui sied aux plus grands.
Ainsi donc, je me suis fait Hara Kiri. Comment ? C'est très simple. Je suis allé sonner à sa porte (je vous donne son adresse : M. Hara Kiri, 5 rue de la Vache, Belville, code postal 3675933883094929+16-19² ). Il m'a ouvert. Il était en robe de chambre. Je l'ai trouvé beau. Il m'a trouvé pas mal. Nous nous sommes plus. La suite, vous la connaissez : je me suis fait Hara Kiri.
Le pire, c'est que ça m'a vraiment remonté le moral. Hara est un type formidable, qui rit tout le temps. Kiri aime les animaux , il possède un ara. Ou tant. Bref, si je n'ai qu'un conseil à vous donner : faites-vous Hara Kiri.
posted the 08/23/2005 at 09:14 PM by
franz
[NB : de préférence, lisez ce qui suit à voix haute]
Vas, Tican ! Et que je ne te revoie pas pérorer benoîtement, qui pis est avec une attitude de Seize qui n'eût pas déplu au Louis éponyme. N'empêche, on dira ce qu'on voudra, mais quand je vois un descendant direct de monsieur Seize, Louis de son prénom, trôner à la tête de l'Eglise (voilà bien une aberration linguistique ; nous devrions dire à la tête des glises, non mais), je ne puis m'empêcher de penser que s'il faut être l'arrière arrière arrière arrière arrière petit-fils à grand grand grand grand grand papa pour être pape, il y a des injustices, et elles sont injustes en plus.
Mais l'herbe noie ces injustices dans les paradis artificiels, du même nom que l'anus de mon grand père ; ils ont sûrement le même fabriquant. J'en paule de plaisir. Pis on ze demande tout de même encore pourquoi je vanne et ça part à Digme, jolie bourgade située sur les côtes maritimes de la Lorraine, à deux pas de Laquiche, la ville la plus réputée de la région. Réputée, puisque que le nombre de prostituées y dispensant le plaisir tarifaire est le plus élevé de France, même si elles ne sont pas toutes aguichantes. Eh oui, dans Laquiche, il y a des lardons, et même de la croûte.
Metz... Pardon. Mais ce n'est pas le sujet qui nous préocupe en ce moment. Mainte Nancy... Maitenant, si vous le voulez bien, passons à autre chose.
Oui, mais quoi ? Quel autre sujet que les lardons de Laquiche pourrait vous intéresser, me demande-je, m'interrogeant-je sur ce dont je pourrais-je vous parler-je.
Sers-je vraiment mon sujet, alors que Gain se bourre à côté de moi, et que je l'ignore comme s'il était le dernier des pochtrons ? Ce qu'il est, certes, mais Desproges... mais des pochtrons il y en a plein partout. Et pusi ce n'est pas une raison pour l'exclure de Montand. Pardon. De l'exclure, point. De mon temps, les choses étaient bien plus simples. Mais point de passéisme dangereux. L'avenir, c'est demain, donc dans le futur.
J'ai fait part de mes interrogations à Garçons Mag, le mag des petits garçons chiants mais qui deviendront grands, qui m'a répondu ceci :
Cher padrino,
C'est la première fois que je vois une lette venant de toi. Il faut bien dire que c'est la première fois que je vois une lettre de lecteur, puisque je mon prédécesseur s'est fait Mike Brant (pour les japonisants : Hara-Kiri, c'est la traduction de Mike Brant) hier.
Ceci dit, te répondre m'emmerde plus qu'autre chose. Ce nonobstant, je doigte... Pardon. Je dois te dire que tes problèles m'intéressent moins que les miens : mon hamster a attrapé le Sida ce matin, donc tes petits ennuis, je m'en tape.
Allez, salut, lecteur, ce soir il n'y a ni bal, ni quoi que ce soit.
Personnellement, je n'ai pas compris cette réponse, en dépit de sa sympathie affichée, m'enfin bon.
Note, vraiment sérieuse cette fois : je n'ai aucunement la prétention d'être drôle avec tout ceci, ni même d'être supérieur à quiconque. Je me contente d'écrire ce qui me passe par la tête, en espérant que cela puisse faire esquisser ne serait-ce qu'un sourire à celui qui veut bien s'y préter. Je trouve moi-même mes jeux de mots bêtes, faibles, et pour tout dire je ris rarement de mon humour ; je veux dire par là que je n'ai pas cette sale manie d'exploser de rire après avoir lancé une phrase que j'estime drôle en société, comme on rote après avoir bien mangé.
Et comme l'a si bien dit Jacques Higelin : J'suis con, j'aime ça.
posted the 08/23/2005 at 07:58 PM by
franz
Question intéressante au demeurant, mais à laquelle je n'ai aucunement envie de répondre. Par contre, je voudrais bien savoir si ma tante Gilberte.
Là, je sens que vous attendez la fin de la phrase. Je vois d'ici Konoa31 arriver avec toute la finesse qui caractérise les plus pachydermiques membres de ce cheptel : Beuh alors d'abord tu pourrais finir tes phrases, d'abord.
Bref. Ma tante Gilberte. C'est un fait, il est indéniable. Que l'on puissse berter, moi ça me répugne déjà, mais qu'en plus ma tante Gilberte, là c'en est trop ; je craque. D'ailleurs j'ai écrit pour parler de mon problème au magazine Garçons Mag, le mag des petits garçons qui deviendront grands. Voici sa réponse (attention, lisez bien ; ça change) :
Cher et chiant Padrino,
Tes lettres à répétition (10 en 2 jours quand même) nous ont beaucoup amusés. Néanmoins, il serait temps que cela stoppe, et que ta tante Gilberte. Notre rédac-chef bien-aimé (du moins de son vivant) s'est jeté par la fenêtre par ta faute. Quant à moi, je tente de plus en plus difficilement d'assumer ma place de répondeur au courrier du lecteur. Alors, nous t'en prions : arrête ça. Stop. Game over. Que ta tante Gilberte, c'est un fait. Mais est-ce une raison pour venir nous faire chier avec tes conneries ? Je te ferais remarquer que je ne supporte plus de mon côté que mon oncle Raoul, en Peugeot 205 en plus. Et notre rédac-chef mal... bien-aimé, lui, s'est jeté par la fenêtre parce que l'idée que son père Fouettard lui était insupportable.
Alors tu vois mon petit Padrino, le fait que ta tante Gilberte, on s'en tape, c'est pas nos oignons, merde à la fin. En plus, Robert à la recherche d'on ne sait quoi. C'est dire à quel point nous sommes désespérés. Le pire dans tout ça, c'est que Jeannot Lapine. Alors bon. Et puis, comble de malheur, Jonathan on ne sait trop quoi.
Merde à la fin, j'ai envie de tout plaquer ! De me mettre à pleurer toutes les larmes que croque Odile ! Tu n'as Catherine et ta bella thix tchixera, tu verras. Tout ira mieux, pour toi, pour moi, pour mon hamster qui a attrapé le rhume ce matin, pour la planète entière. De toute façon, tout ça, Sean sont que de des Connery ! Ah, que Roger Moore ! Et que Pierce Brosnan, nom de Dieu, depuis le temps qu'on attend ça ! Ah, que Tomb Raider, et que vasec Tommy ! Tout ça ne veux plus rien dire, mais je m'en fous, surtout que demain je Brad Pitt, alors bon vous comprendrez bien que là plus rien ne m'importe, qu'elle soit ouverte ou fermée d'ailleurs, ou d'ici.
Finalement, ce qui m'attriste le plus là dedans, c'est que Gotrunks et que Konoa31, alors que je n'en attendais pas tant d'eux... Mais bon, la vie est ainsi faite, que l'on ne sait jamais rien : depuis combien de temps Pierre à la recherche de son dernier chiffre après la virgule ? Voilà la vraie question.
Allez, la fenêtre m'appelle, Sam dit de sauter, et Jésus trop tard qu'il était encore temps pour moi de trouver un échap à Toire
Merci Garçons Mag pour cette réponse très claire.
Oh, et j'oubliais, pour Konoa31, en fait il s'avère que je ne suis pas pédophile, ni même podophile, mais simplement Théophile. Go !T'y es ?
posted the 08/22/2005 at 09:46 PM by
franz
Hier, c'est avec Brio qu'Orackle a inauguré son blog, strass et paillettes à l'appui, pour le plus grand plaisir de... de beaucoup plein de monde. Mais vous devez certainement vous poser une question tout à fait légitime à ce stade pourtant peu avancé de votre lecture (je ne sous-entend pas par là que vous lisez comme des taupes), laquelle est (la question) : mais qui est ce Brio ?
Pour être tout à fait clair, et pas seulement chazal, Brio est le meilleur ami d'Orackle. Son seul ami en fait. Avant hier, un jour de neige et de brouillard comme il y en a beaucoup à cette saison, Orackle était au lit, et avec quel Brio ? Avec le Brio que nous connaissons. Brio est en fait le fils de Brian Eno et de Bono, mais c'est un secret.
Mais, les plus chiants d'entre vous vont me demander : quel est le rapport avé le titre, puté con ? Patience, mes mignons petits enfants ; j'y viens. Brio est appelé ainsi parce que tout ce qu'il fait, il le fait avec un Brio, pardon, Orackle, qui coït systématiqument et irrémédiablement toute la population alentour, laquelle, étonnée par tant d'Orackle, ne peut que s'abaisser et ramper lombriquement devant l'incommensurabilité du talent qui caractérise habituellement ces deux génies dont je pourrais sans hésitation aucune baiser les pieds, eûssent-ils marché dans un Gotrunks juste avant.
Car oui, je suis pédophile. Je ressens une attirance sexuelle incompréhensible et incompressible pour les pieds. Je les aime, comprenez -moi. Qu'ils soient de danseur, palmés, plats ou même à terre, soyons fous, je les aime. Quoi de plus beau qu'un pied qui, conscient de l'infinitude de son sex-appeal, revêt ses plus belles Puma pour sortir le soir, dans un dîner dont le lumière intimiste n'est produite que par deux chandelles habilement disposées de façon à ce que les deux amoureux ne voient plus ce qu'il y a dans leur assiette ? J'aime les pieds. Je suis pédophile. Je les mangerais. Je les sucerais. Hélas, les pieds ne m'ont jamais rendu cet amour, qui souffre dans toute sa fougue. Certes, les pieds me visent souvent le postérieur, avec fougue également, et je ne puis m'empêcher au moment de la collision de jouir, mais après ça fait mal.
Je suis malheureux de ma pédophilie. J'essaye de m'en sortir. J'ai écrit une lettre faite de mots avec des voyelles et même -attention, c'est exceptionnel- des consonnes, écrite avec un crayon par épistolaire au magazine Garçons Mag, le mag des petits garçons qui deviendront grands, qui m'a répondu ceci :
''Cher Padrino,
Il ne faut surtout pas s'inquiéter. Seule la beauté intérieure compte. toutes les filles te le diront. En tout cas les plus moches. Le meilleur moyen pour qu'on t'aime est d'abord de commence par t'aimer toi-même, en dépit d'un physique qui n'y aide pas forcément. Ou bien de prier très fort. Sache que de toute façon, tu trouveras toujours quelqu'un pour prêter attention à toi. Le fisc, par exemple. Si tu es perdu sur la route de la vie, si tu ne sais pas où aller, quelle intersection prendre, cherche dans ton coeur ; tu trouveras le vrai chemin, celui du bonheur pour toi et tous les tiens, et même pour la planète entière, si Dieu se décide enfin à être un peu indulgent. J'espère que cette réponse aura pu t'aider. Ca fait 10 € tout rond.''
Ca ne m'aide pas vraiment. Je crois que je vais me voir obligé de porter tout mon amour vers d'autres organes, d'autres membres, plus enclins à expérimenter l'homosexualité (l'amour avec un grand homme). Je ne sais pas, moi, les doigts, par exemple.
Note de l'auteur : il est évident que Padrino est un affabulateur. Il se dit l'auteur de ce texte, mais il n'en est rien, et pour cause : c'est moi, Zinedine Descartes, qui en suis à l'origine. Comme l'a si bien fait remarquer Gotrunks hier, Padrino est bien trop con pour écrire un truc pareil. La preuve ? Il n'a même pas vu en copiant/collant ce texte la présente note ! Haha, je l'ai bien feinté ce connard !
posted the 08/22/2005 at 07:51 PM by
franz