Le bleu de tes yeux
Ressemble au rouge de ma queue.
Il est beau dans la souffrance
Je veux m'acquitter de ma quittance
De loyer.
Le noyer ;
J'aime me reposer sous son aile, la nuit ;
Laisser mon coeur rêver à l'amour que je n'ai pas.
Mais je me prends des noix dans la gueule.
Ca fait mal.
Pourtant je ne cesse de t'aimer,
Tout en me rendant compte que tu es un thon
Et en plus très con.
Mais je t'aime.
Les étoiles de tes yeux scintillent comme les étoiles du ciel qui scintillent en scintillant.
Et je sautille,
En pensant à notre prochain rendez-vous.
C'est demain.
Je me ferai beau.
Ou moins moche.
Tout ça pour te dire une chose mon ange :
Je t'aime.
Putain c'est beau.
J'ai toujours su que Zinédine Cambronne n'était pas un p'tit slip en poésie, mais là il me subjugue.
Vraiment, moi j'adore.
Et comme je ne vois pas l'utilité de le faire dans les commentaires de mes billets, je tiens à remercier toutes les personnes qui ont osé me dire que ce que j'écrivais était un tant fut peu appréciable (Dnh, Arp3nteu, Rahan25 ; j'en oublie, mais pas Konoa31 qui a apprécié ma dénonciation virulente des conditions de détention des sardines, merci aussi).
Demain, un nouveau poème de Zinédine, et en bonus sa bio.
A suivre dans la soirée, parce qu'elle a été demandée par Dnh, la recette du Lapin de Patagonie (j'aurais mieux fait de fermer ma gueule quand j'ai parlé de ce truc).

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posted the 08/29/2005 at 07:18 PM by
franz