Hier, c'est avec Brio qu'Orackle a inauguré son blog, strass et paillettes à l'appui, pour le plus grand plaisir de... de beaucoup plein de monde. Mais vous devez certainement vous poser une question tout à fait légitime à ce stade pourtant peu avancé de votre lecture (je ne sous-entend pas par là que vous lisez comme des taupes), laquelle est (la question) : mais qui est ce Brio ?
Pour être tout à fait clair, et pas seulement chazal, Brio est le meilleur ami d'Orackle. Son seul ami en fait. Avant hier, un jour de neige et de brouillard comme il y en a beaucoup à cette saison, Orackle était au lit, et avec quel Brio ? Avec le Brio que nous connaissons. Brio est en fait le fils de Brian Eno et de Bono, mais c'est un secret.
Mais, les plus chiants d'entre vous vont me demander : quel est le rapport avé le titre, puté con ? Patience, mes mignons petits enfants ; j'y viens. Brio est appelé ainsi parce que tout ce qu'il fait, il le fait avec un Brio, pardon, Orackle, qui coït systématiqument et irrémédiablement toute la population alentour, laquelle, étonnée par tant d'Orackle, ne peut que s'abaisser et ramper lombriquement devant l'incommensurabilité du talent qui caractérise habituellement ces deux génies dont je pourrais sans hésitation aucune baiser les pieds, eûssent-ils marché dans un Gotrunks juste avant.
Car oui, je suis pédophile. Je ressens une attirance sexuelle incompréhensible et incompressible pour les pieds. Je les aime, comprenez -moi. Qu'ils soient de danseur, palmés, plats ou même à terre, soyons fous, je les aime. Quoi de plus beau qu'un pied qui, conscient de l'infinitude de son sex-appeal, revêt ses plus belles Puma pour sortir le soir, dans un dîner dont le lumière intimiste n'est produite que par deux chandelles habilement disposées de façon à ce que les deux amoureux ne voient plus ce qu'il y a dans leur assiette ? J'aime les pieds. Je suis pédophile. Je les mangerais. Je les sucerais. Hélas, les pieds ne m'ont jamais rendu cet amour, qui souffre dans toute sa fougue. Certes, les pieds me visent souvent le postérieur, avec fougue également, et je ne puis m'empêcher au moment de la collision de jouir, mais après ça fait mal.
Je suis malheureux de ma pédophilie. J'essaye de m'en sortir. J'ai écrit une lettre faite de mots avec des voyelles et même -attention, c'est exceptionnel- des consonnes, écrite avec un crayon par épistolaire au magazine Garçons Mag, le mag des petits garçons qui deviendront grands, qui m'a répondu ceci :
''Cher Padrino,
Il ne faut surtout pas s'inquiéter. Seule la beauté intérieure compte. toutes les filles te le diront. En tout cas les plus moches. Le meilleur moyen pour qu'on t'aime est d'abord de commence par t'aimer toi-même, en dépit d'un physique qui n'y aide pas forcément. Ou bien de prier très fort. Sache que de toute façon, tu trouveras toujours quelqu'un pour prêter attention à toi. Le fisc, par exemple. Si tu es perdu sur la route de la vie, si tu ne sais pas où aller, quelle intersection prendre, cherche dans ton coeur ; tu trouveras le vrai chemin, celui du bonheur pour toi et tous les tiens, et même pour la planète entière, si Dieu se décide enfin à être un peu indulgent. J'espère que cette réponse aura pu t'aider. Ca fait 10 € tout rond.''
Ca ne m'aide pas vraiment. Je crois que je vais me voir obligé de porter tout mon amour vers d'autres organes, d'autres membres, plus enclins à expérimenter l'homosexualité (l'amour avec un grand homme). Je ne sais pas, moi, les doigts, par exemple.
Note de l'auteur : il est évident que Padrino est un affabulateur. Il se dit l'auteur de ce texte, mais il n'en est rien, et pour cause : c'est moi, Zinedine Descartes, qui en suis à l'origine. Comme l'a si bien fait remarquer Gotrunks hier, Padrino est bien trop con pour écrire un truc pareil. La preuve ? Il n'a même pas vu en copiant/collant ce texte la présente note ! Haha, je l'ai bien feinté ce connard !

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posted the 08/22/2005 at 07:51 PM by
franz
Je suis en fait un pied , raison de ce plus tendre amour envers ma race ...
Dieu ... dieu ... c'est MON dieu ! Je le vénère et j'éxècre toute cette humanité cherchant a percer sa carapace invulnérable qui abrite son coeur qui m'est entierement dévoué comme dirait le ver gotrunks ...
Le cintres voilà le vrai problème ! (pour plus de détails , voir précédents articles )
J'adore tes coms !