Nous sommes l’été ! Il s’agit normalement de l’une des périodes les plus importantes pour le cinéma américain, le Summer of Blockbuster a déjà commencé et entre dans sa seconde moitié en nous proposant une tonne de films tous plus majeurs les uns que les autres. Et pourtant, cette année je n’en attendais réellement que deux. Non pas parce que je deviens blasé ou autre, simplement parce que ce sont deux films qui ont un réel potentiel pour me marquer l’esprit. Ça n’est pas une critique contre les autres films, après tout je ne vais pas juger ce que je n’ai pas vu. Si ça se trouve
Transformers 5 est
le Parrain 2 de la saga et sera… Oui non, n’allons pas trop loin dans le surréalisme.
Ces deux films sont
La Planète des Singes : Suprématie et le film dont nous allons parler maintenant :
Baby Driver. Pourquoi est-ce que j’attends
Baby Driver ? La réponse : Edgar Wright. Pour ceux qui ne le connaissent pas, tout d’abord sachez que vous êtes de terribles personnages et que je vous hais. Ensuite, il s’agit du réalisateur de la célèbre Cornetto Trilogy (
Shaun of the Dead,
Hot Fuzz et
Le Dernier Pub avant la fin du monde) ainsi que de
Scott Pilgrim vs. the World. Et je suis un fan absolu de ces 4 films, je les adore sur quasiment tous les points. Le rythme, l’humour, l’action … Je les adore ! Et par conséquent je ne peux qu’adorer Edgar Wright !
Donc forcément, quand un nouveau film d’Edgar Wright sort dans nos salles, je n’ai pas besoin d’autres raisons pour foncer en salle. Encore plus quand j’ai la chance d’assister à une séance en avant-première ! Bref, c’est la critique de
Baby Driver et je l’attendais depuis des mois le petit salaud !
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