Actualité
McG, réalisateur de
Terminator 4, a laché pas mal d'infos aujourd'hui !!
Nous apprenons que si le film n'a pas été tourné au format
IMAX, il pourra être diffusé dans les salles spécialisées. Le réalisateur parle également de la classification de son film aux Etats Unis ... habitué a voir un
Terminator interdit au moins de 17 ans non accompagnés aux Etats-Unis, celui ci aura donc une classification PG-13 américain, qui donne la responsabilité aux parents d'enfants de moins de 13 ans de juger si ces derniers peuvent voir le film ou non.
Nous apprenons également que le film durera environ deux heures.
« Je veux un film d'une durée correcte, de façon à ce qu'il ait le meilleur impact sur le spectateur et qu'il donne à penser à la sortie du cinéma. » dit
McG.
Enfin,
McG évoque des suites possibles si le succé est au rendez vous.
Terminator : Renaissance sortira le 3 Juin 2009
posted the 01/19/2009 at 09:16 PM by
funkenstein
Actualité
Twilight premier du nom est a peine sortie que déja nous parlons du troisieme épisode.
Selon les rumeurs, le réalisateur espagnol
Juan Antonio Bayona (L'Orphelinat) et James Mangold (3 :10 pour Yuma, Copland) se disputent la place de réalisateur pour ce troisieme épisode.
A voir qui va gagné ...
posted the 01/19/2009 at 08:31 PM by
funkenstein
Actualité
Comme vous devez surement le savoir,
The Thing, un grand classique de
John Carpenter aura droit a sa préquelle. C'est donc le réalisateur allemand
Matthijs van Heijningen qui s'occupera de cette préquelle.
Le personnage principal devrait être le frère de Macready (Kurt Russell), le héros du premier film.
Ronald D. Moore, créateur de
Battlestar Galactica, qui a rédigé le scénario qui adoptera donc le point de vue du campement Norvégien où la Chose a d'abord été découverte.
posted the 01/19/2009 at 07:58 PM by
funkenstein
Critiques
Après le catastrophique The Spirit, le début d’année est aussi marqué par la sortie du phénomène Twilight. Beaucoup de blabla autours du film, des fans par millions mais est-il à la hauteur de sa réputation.
Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville pluvieuse dans l'Etat de Washington, pour vivre avec son père. Elle s'attend à ce que sa nouvelle vie soit aussi ennuyeuse que la ville elle-même. Or, au lycée, elle est terriblement intriguée par le comportement d'une étrange fratrie, deux filles et trois garçons. Bella tombe follement amoureuse de l'un d'eux, Edward Cullen. Une relation sensuelle et dangereuse commence alors entre les deux jeunes gens : lorsque Isabella comprend que Edward est un vampire, il est déjà trop tard.
Longtemps attendu, il était enfin temps de découvrir le phénomène dont tout le monde parle. Adaptation du roman de Stéphenie Meyer ayant comme « originalité » le fait d’aborder le mythe du vampire sous un angle nouveau, pour ne pas dire inculte. En effet, les suceurs de sang n’ont pas de dents pointues, ils ont juste une peau claire qui brille face aux reflets du soleil. Une façon pas honteuse mais différente des habitudes du genre. Un premier bon choix, à mon goût, c’est le choix de la réalisatrice : Catherine Hardwicke, connue pour deux réalisations traitant de la jeunesse ( Thirteen et Les Seigneurs de Dogtown). Elle arrive à nous faire croire à cette histoire d’amour, aux situations et répliques pourtant très « niais » et interprété avec un fort manque de justesse. Ce défaut nous donne souvent l’impression de se retrouver devant un vieil épisode des Feux de l’amour version Buffy. C’est certainement tout se qui résume le succès du film : la jeunesse. Chaque ado risque de se retrouver quelque part dans l’un des deux héros. Dommage que le métrage s’étale sur 2h20, engendrant des petites longueurs avant de se lancer dans un rebondissement ( ?) qui tourne assez vite à la mascarade. Avec un peu plus d’impact dans sa narration, Twilight aurait pu peut être changer la malédiction qu’il se trimballe, celle d’un film pour pré-ado. Ne mettons pas l’entière faute sur la pauvre réalisatrice qui a fourni un bon travail général. L’autre gros argument pour attirer les jeunes filles est la présence du surestimé Robert Pattinson, propulsé sur le devant de la scène grâce au film mais qui manque profondément de justesse dans son jeu d’acteur, alors que c’est tout le contraire pour l’inconnue Kristen Stewart qui livre une bonne performance. Les autres membres de la famille Cullen, eux, font juste figure de pilier au beau milieu du film.
On pourra toujours discuter sur les enjeux commerciaux et cinématographiques du film, au final, le résultat est le même. Un divertissement pour teenagers, insipide comme bourré de pas mal de petites idées apportant un certains renouveaux à un genre qui en manqué terriblement, Twilight n’est pas le nouveau Génération Perdue, ni le métrage à la hauteur des attentes qu’il nous promettait. Twilight est, comme les premiers Harry Potter, l’exemple même du film mis en avant manquant cruellement d’argument pour convaincre un public diversifié au maximum. On attendra la suite…
posted the 01/19/2009 at 07:26 PM by
maxou06
Actualité
Roland Emmerich, le Mr Destruction de
Hollywood auteur des films comme
Le Jour d'Aprés, Indépendance Day, Godzilla ou dernierement
10.000 BC adaptera Fondation au cinéma.
le livre Fondation est composé de cinq nouvelles qui furent publiées ensemble en 1951 et fait partie du Cycle de Fondation qui comprend aussi Fondation et Empire (1952), Seconde Fondation (1953), Fondation foudroyée (1982) et Terre et Fondation (1986). Isaac Asimov a écrit par la suite les préquelles Prélude à Fondation (198

et L'Aube de Fondation (1993)
Histoire du livre :
Dans un très lointain futur qui a lieu, selon l’histoire fictive, 13 à 15 millénaires après la perte de la planète berceau de l’Humanité, la Terre, dont les Hommes auraient oublié avec le temps l’emplacement dans la Galaxie de la Voie Lactée. Un empire galactique englobant une bonne partie de la galaxie s’est formé et regroupe des millions de mondes habités. Sa capitale, Trantor, est une ville unique couvrant une planète entière de dômes en métal ; Seul le palais impérial de l’histoire n’a qu’un toit découvert, près du centre de la galaxie. Au cours du 13e millénaire de l’ère impériale, un homme, Hari Seldon, prédit au moyen d’une science dont il est l’inventeur, la psychohistoire, la chute inéluctable de cet empire et trente mille ans de barbarie qui lui succèderont. Après cette période, un nouvel empire galactique devrait naître. Il suggère alors la création d’une fondation rassemblant le savoir dans une encyclopédie; D’après lui, cette opération réduirait à mille ans la période de barbarie inévitable. L’Empire lui accorde de la créer sur une petite planète à l’extrémité de la galaxie, Terminus. Seldon en évoque cependant en privé une seconde qui seconderait la première à « l’autre bout de la galaxie », à « la fin des étoiles », sans en dire davantage.
posted the 01/19/2009 at 05:49 PM by
funkenstein