Au premier abord des ressembles assez flagrante avec THE FOUNTAIN, tant sur l'affiche (l'arbre et le fond nuageux), les Musiques (magnifiques dans les deux films), que sur le plan esthétique (voyage spirituel dans des limbes tumultueuses), et enfin concernant l'actrice Rachel Reisz.
Lovely Bones est beau, doux autant que dur, agressif et stressant. La jeune actrice est touchante et vrai lorsque le Pédophile est ultra-caricatural.
Malgré tout un tas de bons points Lovely Bones pèche surtout sur des questions techniques : les effets spéciaux sont presque a vomir (pourtant les mêmes mains travailleuses que pour Avatar).

Bref c'est beau voila tout ...
Ma note : 7,5/10




Un film intelligent, réalisé par un intelligent, d'après l'histoire d'un intelligent.
Lucien est Juif sous le régime de Vichy, son étoile de David jaune cousu sur le revers de la veste. Il a grandi, mais son étoile est encore là, quoique différente celle-là : il la porte sur son visage, car il n'est plus question de religion mais de physique. Et malheureusement personne n'y peut rien sinon lui et toutes ses exubérances.
Gainsbourg est né...
Gainsbourg est beau, superbement interprété, magnifiquement filmé. Ses muses sont là ... mais ne servent a RIEN, elles sont nuls (surtout Sara forestier en France Gall) du moins presque car Jane Birkin relève un peu tout ca ...

Mais potassez un peu avant de le voir, car tout ne vous sautera pas aux yeux, y compris les subtilités, ou psychologies des personnages.

Ne vous attendez pas a un biopic banal, non ici tout est atypique, des monstres, des rêveries, des personnages étranges....

Ma note : 8,5/10

Anthony Dod Mantle choppe l'oscar pour la meilleur photo (slumdog millionaire en 2009) mais n'est même nominé pour Anitchrist


"Antichrist" le film controversé du Danois Lars von Trier, a remporté sept récompenses du Prix Robert 2009 au Danemark, dont celles du meilleur film de l'année 2009, du meilleur réalisateur et du meilleur scénario, ont annoncé lundi les organisateurs de la cérémonie.

Le Prix Robert, récompensant les meilleures prestations cinématographiques danoises dans 14 catégories, a été décerné dimanche soir par les professionnels du cinéma à Copenhague.

Ecrit par Lars von Trier en guise de "thérapie" au sortir d'une dépression et inspiré de ses rêves et obsessions, ce film raconte le chagrin d'une mère (Charlotte Gainsbourg) ayant perdu son enfant, et qui vire à la folie.

La surenchère de violence des scènes finales qui allient nudité, sexe et automutilation filmée frontalement, a choqué une partie des critiques. Ce film avait valu à Charlotte Gainsbourg le prix d'interprétation féminine du festival de Cannes 2009.