« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Gamekult 8/10
Parler de détermination face aux efforts accomplis par Joakim Sandberg relève de l'euphorisme, tant Iconoclasts est une réussite au long cours. Magnifique et maniable de bout en bout, suprenant à bien des égards et jamais avare en idées, ce périple en deux dimensions dans un monde en pleine décomposition est un travail d'orfèvre sur quasiment tous les points. Les personnages et le scénario dépassent souvent les clichés auxquels on pensait les cantonner, donnant lieu à des scènes marquantes servies par de l'action/réflexion au diapason. A moins de miser sur un hypothétique portage sur Switch ou Xbox One, on voit mal ce qui pourrait vous retenir de craquer immédiatement si vous avez le beau jeu dans le sang.
JVC 16/20
Iconoclasts est fait par un amoureux des Metroidvania pour les amoureux du genre, ceux-là mêmes qui prennent du plaisir à mémoriser tous les recoins reculés d’une carte pour y revenir avec le bon item ou pourvu de la compétence nécessaire. Contrairement à certains titres affiliés, le jeu de Joakim Sandberg met l’emphase sur la réflexion avec un level design faisant la part belle à des mécanismes de puzzle-game, tout en livrant une expérience aux séquences variées et aux nombreux dialogues humoristiques. Abordant une multitude de thèmes lors de ses cutscenes bavardes, Iconoclasts est toujours très bon dans ce qu’il entreprend. Si le pixel art ne vous répugne pas et que vous souhaitez jouer à un Metroidvania rempli de personnages attachants, alors vous auriez tord de ne pas prêcher pour cette paroisse.
Dommage j'ai trop de jeux à faire ^^'
Même si 20 euros ça pique un peu.