Je vous ordonne de vous essuyez les pieds et de mettre cette musique !
À l’origine, on estime que c’est notamment le peu de place qui a développé cet art de vivre. Pour s’en convaincre, il n’y a qu’à voir de quelle façon le moindre mètre carré d’herbe peut devenir enchanteur et luxuriant. Un des nombreux charmes du pays du Soleil-Levant qui, il faut l’admettre, a su conserver des valeurs et des coutumes intactes.
Mais entretenir un petit jardin comme on compose un tableau n’est qu’une partie de l’art japonais. Dans le nord du pays, la ville d’Inakadate organise depuis une vingtaine d’années des plantations de riz d’un style très singulier.
Cette petite commune d’à peine 8 000 habitants pour 22 kilomètres carrés s’est non seulement rendue célèbre, mais a fait des petits : aujourd’hui, une bonne centaine d’autres villes et villages font également du « Tambo Art », Une pratique qui consiste à faire apparaître un dessin dans une rizière.
La technique, précurseur du land-art, est simple à détailler mais complexe à appliquer : en repiquant des riz de plusieurs couleurs et en suivant un tracé précis, on crée un gigantesque dessin qui apparait lors de la pousse, en été.
Le premier dessin étant apparu en 1993, c’est une pratique finalement plutôt récente, mais mettant en valeur un patrimoine ancestral datant de l’époque Yayoi, ayant existé quelque 300 ans avant Jésus-Christ. La culture de riz s’exerce en effet depuis plus de 2 000 ans sur ce territoire. Le repiquage des semences, à la base œuvre des villageois, est désormais accompli également par des passionnés venus de régions voisines, et parfois même de pays étrangers.
S’étendant sur près de deux hectares, l’œuvre demande bien entendu une fastidieuse préparation. Le thème est tout d’abord choisi par un comité, dessiné sur papier, puis les tracés se préparent par des repères de roseaux. Ce sont par la suite des centaines de volontaires qui sont nécessaires pour passer à l’action, peu avant le mois de juin.
Entre 100 000 et 200 000 visiteurs viennent chaque année admirer la création. Ne se voyant bien qu’en hauteur, un bâtiment s’érigeant à 22 mètres permet à tout un chacun d’avoir une vue aérienne sur le dessin.
Un charmant petit paradoxe vient s’ajouter à cette coutume très identitaire : plusieurs créations de Tambo Art rendent hommage à l’Europe et à la France. Ainsi a-t-on pu voir Napoléon sur sa monture ou le tableau La Joconde.
Rien d’étonnant à cela quand on connaît l’amour que portent de nombreux Japonais pour la France éternelle et son histoire
Dernière Ligne droite avant l'arrivée du titre dans nos salons !!!
On peux donc y découvrir de nouveaux costumes , ainsi que Iggy est Fugo mais aussi Ikuro Hashizawa , personnage bonus du manga : Baoh "The Visitor" du même auteurs qui s'invite dans l'univers Jojo :
Bonus : l'oav vostfr de Baoh the Visitor , histoire de connaitre un peu le personnage
A maintenant 2 jours de la sortie officiel il semblerait que quelque informations concerant le mode histoire soit lâcher via certain forum :
- le Story Mode ne serait apparemment que des images fixes et du textes concernant les missions
- les parties du corps du Christ servent à avoir du Spin infini pour Gyro et des Balles infinies pour Johnny
- l'IA pourrait apparemment prédire les projectiles avant qu'on ne les sortent de façons à les esquiver
- le combat opposant Josuke à Kira commence avec 50 de PV en moins pour les 2 persos
- on peut changer la couleur des Stands
- on peut éditer les musiques des stages
Honnêtement j’espérais un mode histoire avec quelques cinématique mais en vue des nombreux bonus et des mode de jeux apporté au titre . ce n'est clairement pas le plus important .
Jojo's Bizarre adventure All Star Battle sera jouable dès le 29 aout au japon .
J-Stars Victory VS, le fameux cross-over regroupant différents héros de manga, fait parler de lui aujourd'hui. En plus de découvrir une toute nouvelle poignée de captures, nous en apprenons un peu plus sur le titre. L’éditeur livre quelques détails intéressants relatifs aux phases de combats.
Tout d'abord, il sera possible de créer des affrontements en coopération, du deux contre deux pour être plus précis. Qui dit travail d’équipe, dit attaques combinées. Il sera alors possible de déchaîner sa colère, avec un coéquipier, sur un adversaire. En haut de l’écran, à gauche, sera affichée une jauge dite WIN. Une fois à son paroxysme, victoire assurée : elle permettra d'amorcer une attaque dévastatrice qui exterminera nos opposants en un rien de temps. En bas, barre de vie et de puissance trônent sur le côté gauche et la carte des lieux, sur le côté droit.
Bien évidemment, toutes les techniques de nos héros favoris seront incluses dans cette production. Du Kamehame-Ha vs Rasengan , cela vous tente ? J-Stars Victory VS ne possède pas encore de date de sortie et sera disponible uniquement au Pays du Soleil Levant sur PlayStation 3 et PSVita. Dernier point, le titre sera jouable lors du Tokyo Game Show 2013, vous pouvez donc compter sur nous pour vous livrer nos premières impressions en temps et en heure.
Il faudra donc sans surprise , obligatoirement passé par l'import pour goûté à cette galette !
En effet dans le dernier Numéro du U - Jump , nous apprenons le prix du DLC de Shigekiyo :
Shigekiyo VA : Kappei Yamaguchi
Shigekiyo DLC : Lancement à 600 Yen ( environ 4.50 )
Mais le plus important c'est ça :
The opening movie of the game is reportedly Great. It reproduces scenes from the manga, with the in-game engine. It's hard to tell sometimes if it's in-game models or anime art. They apparently took about 4 months of production time to make the opening movie.
The article focuses a bit on the Secret Missions of Story Mode as a new gameplay element.
There will be more characters to announce in the near future.
They plan to have many more "tricky" and "technical" characters to balance out the variety of gameplay .
Donc en gros , d'autre personnages sont à venir par la suite et il semblerait que le mode histoire et des phase de différent gameplay comme sur l'opus PS1 ( les frère D'arby , N'dour etc ) ce qui n'est vraiment pas de refus
Petite surprise de la part de Capcom il y a peu de temps, la firme a pris la décision de sortir une exclusivité Xbox 360 sur PlayStation 3 et Nintendo Wii U. Son nom ? Monster Huner Frontier G. Dans cet opus particulier, de nouvelles options seront incluses. Il sera, par exemple, possible d'exploiter les caractéristiques de son GamePad sur la belle de Big N., ou de partir à la chasse aux trophées, sur la petite de Mister S.
Pour l'heure, l’éditeur lâche une toute petite poignée d'images en plein jeu. Nous pouvons y admirer diverses créatures en train d'attaquer nos futurs héros. Bien entendu, ne vous attendez pas à voir des graphismes éblouissants. L’intérêt principal du jeu réside dans la chasse aux monstres en coopération.
Monster Huner Frontier G n'est prévu qu'au Pays du Soleil Levant le 20 novembre sur PS3 et le 11 décembre sur Wii U. Si Capcom bloque les serveurs par région, il vous sera impossible d'importer le titre et d'y jouer en ligne. À quand une annonce d'une édition en dehors de l'Archipel ?
la série dont j'ai toujours voulue jouer sur ma ps3
Simplement annoncé pour novembre chez nous, la sortie de Saint Seiya: Brave Soldiers se précise aujourd'hui de l'autre côté de l'Atlantique, où le jeu aura la particularité de sortir simultanément en Amérique du Sud et du Nord. Bien que proposé dans les magasins d'Amérique latine, du Brésil et du Mexique, il sera en revanche uniquement disponible en téléchargement aux États-Unis et au Canada, où la demande est probablement jugée moins forte par Namco Bandai.
La date de sortie a ainsi été fixée au 26 novembre de l'autre côté de l'océan, nous pouvons donc également tabler sur une parution sur notre continent dans ces eaux-là. Un bonus de précommande a aussi été annoncé : il s'agira d'un Aries Shion équipé de sa tenue dorée. Une très large galerie de captures est aussi visible dans les pages suivantes, en attendant des précisions sur la commercialisation européenne.
(quoi de mieux pour apprécier les images ci-dessous
Le première tour de la grande Finale de la Jojoleague à eu lieu .
Nous avons eu le droit à 8 combats toujours contrôlé par CPU vs CPU ( spam ,spam ,spam ,spam ! le prochain ora/dora/muda )
Ainsi : Jotaro , Buccelati , Josuke ( jojolion ) ,Koichi , Caesar , Johnny ,Kakyoin ,Dio disputerons les Demies-finales Mercredi Prochain ( à 2h heure Fr )
Les Prochains combats :
Jotaro vs Buccelati
Josuke vs Koichi
Caesar vs Johnny
Kakyoin vs Dio
Alors vous voyez qui pour la suite ?
http://www.youtube.com/watch?v=UnNx5H-wKfwajouter une source
Reportage sur l'artiste Roumano-Argentin Romano Chucalescu :
Enfaite je me refais l'intégrale des Inconnus et je suis toujours en kiffe sur leurs sketch .
Tellement de chose qui sont encore d'actualité , c'est dingue !
Jusque là rien d’intéressant vous me direz .... sauf que SI !
Avec des " vrais " personnes , on découvre un gameplay beaucoup plus intéressant que sur les vidéo du Jojo League et moins de coup spamé ^^ ( la torture Kakyoin sur le Groupe G )
On découvre enfin la GHA de Josuke en entier qui fait très très mal
Vous Pouvez passé les 10 première minute qui sont inutile ( Kyyyaaaa !!! tout le long , juste la boite du jeu a 7.30 et l'équipe de CC2 et Namco Bandai à 4 min )
PORTRAIT - Ils ont marqué notre époque par leur liberté d'esprit et leur comportement décalé ou provocateur. A tel point que leurs contemporains ne savent plus s'il faut les détester ou les aduler. Ce sont les iconoclastes. Cette semaine, place à l'un des plus sulfureux personnages du cinéma américain.
On le sait: tel le dieu Saturne, Hollywood aime à dévorer ses propres enfants. En une dizaine d'années, Mel Gibson est passé, selon l'expression anglo-saxonne consacrée, du héros au zéro. Au tout début des années 2000, il encaissait des cachets record de 25 millions de dollars par film. Avec deux franchises phares à son actif en tant qu'acteur, Mad Max et L'Arme fatale, une carrière naissante de cinéaste encensé par le public comme par ses pairs (la fresque épique Braveheart, son deuxième film, a récolté cinq oscars, dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur), une popularité intacte auprès de tous les publics (les femmes, les hommes, les enfants…) et un mariage long et fructueux avec sa femme Robyn (vingt ans de vie commune et sept enfants), Mel Gibson fut deux décennies durant une des superstars hollywoodiennes les plus enviées de son époque. Tout cela est désormais du passé: aujourd'hui, Gibson ne semble même plus faire partie du paysage cinématographique américain. Le milieu a fait de lui avec une rapidité foudroyante l'homme à abattre. Et, de fait, l'a abattu.
Né en 1956 dans une petite ville de l'Etat de New York, l'acteur est élevé au sein d'une famille nombreuse - 11 enfants - dominée par la figure patriarcale de Hutton Gibson. Celui-ci, refusant d'approuver la guerre du Vietnam et d'y envoyer ses garçons, emmène toute sa famille vivre en Australie, loin de la décadence qui, selon lui, gangrène sa patrie. Là, il élève sa progéniture dans la foi catholique, et plus particulièrement dans celle de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X, en rupture avec Rome depuis le concile Vatican II. Le petit Mel grandit donc entre tradition et sédition, dans une famille conservatrice qui n'en a pas moins rejeté son pays d'origine ainsi que l'autorité ecclésiastique qui représentait sa foi. Dès l'adolescence, il développe une personnalité torturée et un penchant pour la boisson. Après avoir travaillé comme ouvrier, il s'oriente vers le métier de comédien et devient soudainement une star du cinéma australien à la fin des années 70 avec le triomphe du mythique Mad Max, road-movie post-apocalyptique ultraviolent qui va lui assurer une renommée internationale. Y incarnant un flic futuriste désirant venger la mort de sa femme et de son enfant tués par des pirates de la route, Gibson y montre déjà un goût prononcé pour les rôles extrêmes, la violence et la vengeance. Et surtout pour les personnages à la fois libres et habités par une pulsion de mort, des têtes brûlées constamment en décalage, voire en opposition, avec leur environnement. Qu'il s'agisse du journaliste risque-tout de L'Année de tous les dangers, de l'officier mutin du Bounty ou du flic suicidaire de L'Arme fatale, toutes ses prestations suivantes seront marquées de ce sceau-là, imposant l'image d'une star à part et peu encline au glamour politiquement correct qu'aurait pu induire son physique de mannequin.
Alors qu'il surfe sur les sommets du box-office, au milieu des années 90, il crée sa propre société de production, baptisée Icon, dont le logo est le détail d'une icône religieuse. On est alors en plein dans les années Bill Clinton et le Tout-Hollywood est en train de passer du côté du Parti démocrate. Pas lui. Même s'il se garde de soutenir le Parti républicain, ses déclarations sur la peine de mort, sur les homosexuels ou sur l'avortement font régulièrement scandale. Beaucoup de gens stigmatisent ses opinions politiquement incorrectes, mais, selon ses amis les plus proches, ces paroles relèvent souvent de la pure provocation. Adepte des blagues potaches les plus scatologiques et des sorties les plus incongrues, Gibson aime mettre les gens mal à l'aise. Il sait pourtant redevenir sérieux lorsqu'il envisage de devenir réalisateur.
Entre 1993 et 2006, il met en scène quatre films. Quatre œuvres à la fois spectaculaires et personnelles, portées vers l'innovation et les défis narratifs. Si son premier film, L'Homme sans visage - un petit drame psychologique sur la condition de paria d'un homme défiguré - est avant tout conçu comme un galop d'essai, il surprend tout le monde avec Braveheart, impressionnant biopic de William Wallace, héros et martyr de l'indépendance écossaise qui fédéra les clans de son pays contre l'oppresseur anglais au XIIIe siècle. Déployant un sens du spectacle visuel peu courant (ses scènes de bataille feront école par la suite - voir Le Seigneur des anneaux), le film est un énorme succès et vaut à Gibson l'oscar du meilleur réalisateur, lui qui n'avait jamais été nominé en tant qu'acteur. Jusqu'ici tout va bien. Mais, au début des années 2000, lorsque Mel Gibson le catholique traditionaliste annonce que son prochain film racontera les dernières heures de la vie du Christ, Hollywood s'inquiète du potentiel scandaleux d'un tel sujet entre les mains d'une forte tête. Craintes confirmées quand il révèle qu'il ne jouera pas dans le film, que celui-ci sera extrêmement violent, décrivant dans les moindres détails les tortures et supplices infligés au Christ, et que les dialogues seront en araméen! Pour les producteurs qu'il rencontre afin de financer son film, le projet est non seulement antipathique, mais, plus grave, ressemble à un véritable suicide commercial. Les portes se fermant les unes après les autres, Gibson joue à quitte ou double et sort les 30 millions de dollars de budget de sa propre poche. Hollywood ne lui pardonne pas son entêtement. Avant la sortie du film, les échotiers se répandent en rumeurs alarmistes, prédisant à la star qu'aucun spectateur ne se déplacera pour voir un film en langue morte. Quelques mois plus tard, La Passion du Christ triomphe dans le monde entier, engrangeant plus de 600 millions de dollars de recettes et devenant l'un des films les plus rentables de l'année 2004. Mais entre-temps, une autre polémique a fait surface.
Avant même que le film soit tourné, son scénario est taxé d'antisémitisme par certaines organisations juives, notamment à cause de sa manière de stigmatiser les prêtres du sanhédrin. Certains dignitaires juifs auront beau disculper Gibson de ces accusations, en arguant que de nombreux autres personnages juifs du film sont dépeints avec bienveillance, rien n'y fait. Même si deux autres stars réalisateurs aussi respectables que Kevin Costner et Clint Eastwood lui disent publiquement leur respect pour avoir réussi à concrétiser son film sans l'aide du système, Mel Gibson sent désormais le soufre à Hollywood. Pas de quoi stopper «Mad Mel», qui part tourner au Mexique un nouveau défi: Apocalypto, l'histoire d'une chasse à l'homme sur fond de civilisation maya déclinante, avec des personnages qui s'expriment en maya yucatèque. Le tournage, très long et très difficile, le retient loin des siens durant neuf mois. Au moment précis où son couple bat de l'aile. Robyn, épouse discrète qui a élevé leurs sept enfants avec une abnégation rare, lui a beaucoup passé au cours de leur mariage, notamment les beuveries et les coups d'éclat médiatiques qui ont terni son image. Diagnostiqué maniaco-dépressif et bipolaire, Mel Gibson n'est pas le mari le plus facile à vivre qui soit. Le 28 juillet 2006, l'acteur commet le faux pas de trop. Arrêté complètement ivre au volant de sa voiture, il se laisse aller à une véritable explosion de colère s'achevant sur ces mots: «Putains de Juifs… Les Juifs sont responsables de toutes les guerres dans le monde.» Malgré des excuses publiques, la promesse de soigner son alcoolisme et une condamnation à trois ans de probation, le sort de Gibson à Hollywood est réglé. Des patrons de studio appellent au boycott pur et simple de l'acteur, tandis que d'autres personnalités du monde du cinéma l'insultent publiquement. Dès le lendemain de l'incident, Mel et Robyn se séparent. Cette dernière attendra néanmoins trois ans pour demander le divorce, après la publication dans la presse d'une photo sur laquelle son futur ex-mari enlace la pianiste russe Oksana Grigorieva. Les deux amants vont vivre une romance brève mais intense qui se soldera par une petite fille, le huitième enfant de Mel Gibson, et une rupture catastrophique. A l'été 2010, alors que le couple est en train de se déchirer et que l'acteur est accusé de maltraitance, Oksana enregistre puis rend publique une conversation téléphonique dans laquelle un Mel Gibson hystérique l'abreuve d'insultes, de menaces physiques, de propos racistes et sexistes (l'enregistrement est sur internet). Extrait: «Tu ressembles à une foutue pute en chaleur et si tu te fais violer par une bande de nègres, ça sera de ta faute!» Cette fois-ci, c'en est trop. Hollywood lâche totalement celui qui, dix ans auparavant, était encore une de ses plus grandes stars.
Dans la foulée du scandale, la chaîne de télé ABC annule une série qu'elle développait avec Mel Gibson, tandis que Leonardo DiCaprio se retire du futur projet du réalisateur, un film de Vikings dont il devait être la tête d'affiche. A l'annonce de sa participation au film Very Bad Trip 2, l'acteur comique Zach Galifianakis, révélation du premier volet, menace de ne pas tourner s'il doit donner la réplique à Gibson, qui est finalement remercié par les producteurs. Du côté de sa vie privée, cela ne s'arrange guère: en décembre 2011, Robyn obtient le divorce et la moitié de la fortune de son ex-mari, soit 400 millions de dollars (un record dans l'histoire de Hollywood). La star fait son retour sur les écrans en tant qu'acteur, mais ses deux nouveaux films, le thriller Hors de contrôle et la comédie dramatique Le Complexe du castor, sont des échecs cinglants. Comble du comble, le film suivant, un thriller tourné au Mexique et baptisé Kill the Gringo, sortira directement en vidéo, ravalant ainsi la star au rang d'un vulgaire Steven Seagal.
Malgré tout, il reste quelques personnalités fidèles à Mel Gibson dans le milieu, de vrais amis aux opinions politiques bien souvent diamétralement opposées, comme Jodie Foster, Danny Glover ou Robert Downey Jr, qui continuent de le soutenir et de militer pour sa réintégration au sein de Hollywood. Une chose est sûre: Gibson l'insoumis, le maverick, le cavalier solitaire, ne viendra pas quémander son pardon. Jodie Foster le dit très bien: «Une des choses que je respecte le plus chez Mel, c'est qu'il ne se vend pas. Il ne va pas chez Oprah Winfrey toutes les cinq minutes pour raconter sa vie. Il n'est pas continuellement en train de s'excuser ou de mettre en avant ses cures de désintoxication. Du coup, il y a forcément beaucoup de choses à son sujet que vous ne connaissez pas.»
Au passage , j'ai finit les Lost Canvas et je rattaque les Inferno maintenant mais ma question est La série Omega mérite t'elle que je la regarde ou mes yeux vont t'il bruler ????