Le jeu de Splash Damage nous montre ici à quel point il est orienté multijoueur. En effet, si vous êtes un joueur solo, ce jeu n'a aucun intérêt, vu que la campagne n'est qu'un prétexte pour ensuite passer sur le jeu en ligne.
En faisant ce Brink, j'ai vraiment eu l'impression qu'il avait un certain potentiel, malheureusement je me dit qu'il n'a pas vraiment été finalisé, voire même optimisé surtout sur consoles. Loin d'être médiocre, il vaut mieux se laisser tenter par le soft en occasion, car au prix fort il ne vaut strictement pas le coup, surtout avec son faible nombre de maps.
Et voici la 2e vidéo sur la Bêta multijoueur de Gears of War 3 ! Bon elle assez courte, le but de cette vidéo est surtout de revenir sur mes impressions après ces quelques semaines de jeu, d'ailleurs cette vidéo est à regarder avec la 1ère, pour avoir un détour complet de cette Bêta.
Le 7e épisode de la série est arrivé, avec un jeu qui revient à l’essentiel : la castagne.
Après un 6e opus controversé mais sympathique au demeurant, j’attendais avec une certaine impatience la suite, et j’ai trouvé cela assez sympathique. Un poil plus joli mais avec toujours autant de clipping de petits défauts techniques, le jeu revient à quelquechose de plus classique sur le gameplay, toujours aussi bon et addictif pour peu qu’on passe outre l’immense répétitivité du jeu. Cruelle déception : pas de mode Libre et de création de persos. Bien sympa à faire en général, pour les fans avant tout.
Sorti en 2009 sur PC, ce titre de Runic Games vient de débarquer sur le Xbox Live Arcade, un titre à ne pas louper pour les amateurs du genre.
En effet, bien que n’ayant jamais fait ce jeu à l’époque, j’ai réellement beaucoup apprécié ce jeu, dynamique dans ses combats, le principe du « plus je tue des mobs, plus je récupère des équipements » est toujours aussi addictif, l’univers intéressant…bref, tout ce qu’il faut pour s’amuser. On regrettera surtout un manque de fluidité flagrant quand il y a beaucoup d’ennemis à l’écran, la lisibilité des textes (trop petit), voire la répétitivité de l’action mais là je chipote un peu…ne passez pas à coté du jeu, c’est un très bon titre, qui n’a que peu vieilli.
Une suite attendue, mais arrivée beaucoup trop vite ? c’est ainsi ce qu’on pourrait dire en voyant ce qu’est devenu ce Dragon Age II. Reprenant le concept du précédent opus, certains choix opérés dans cette suite risque de ne pas convaincre le joueur qui attend de celui-ci un véritable jeu de rôle profond et intéressant comme le 1er. Malgré tout, le jeu n’est pas médiocre, il conserve certains aspects vraiment sympa, et saura plaire à bon nombre de joueurs, peu exigeants sur la catégorie « roliste ».
Le 1er opus avait marqué les joueurs PC pour sa réalisation de haute volée mais aussi pour son gameplay intuitif et nerveux. Crytek a voulu en faire profiter tout le monde et donc, cette suite arrive enfin, mais fait également un tour sur consoles de salon.
Essai plutôt réussi pour son arrivée sur consoles, compte tenu des limitations sur ces supports, on passe un bon moment en compagnie d'Alcatraz (comme la prison) à buter tout ce qui bouge et en se servant de la nanocombinaison. Néanmoins, malgré une réalisation d'envergure, l'optimisation n'est pas au point, tout comme l'I.A. qui réagit parfois de manière...bizarre.
Un jeu à faire c'est certain, maintenant force est de constater que les joueurs PC risquent de se sentir lésés vis-à-vis de ce jeu, qui s'en retrouve au final bridé et limité, par rapport à ce que pouvait faire le 1er Crysis, dommage.
J'en profite également pour vous annoncer l'ouverture de mon site officiel (et non ce n'est pas un poisson d'Avril je vous rassure ), retrouvez-moi sur le http://bibi300.fr !! n'hésitez pas à passer et à laisser un petit commentaire. au programme : actus, vidéos, tests, fun etc...
Après un Top Spin 3 réussi et axé simulation, voici qu'arrive en très grande forme le 4e épisode de la série. On remarque de suite le gameplay typique de la série, avec cette fois-ci une symbiose entre l'accessibilité et la précision de celui-ci. Même si je peux lui reprocher un manque d'originalité et de variété du mode Carrière, ainsi qu'un choix de joueurs assez mitigés, force est de constater que Top Spin 4, c'est du bon, c'est un grand cru. De quoi s'amuser des heures durant.
Après Frontlines, Kaos Studio nous sort son nouveau FPS, annoncé comme plus ambitieux, profond et intéressant; Homefront a su faire parler de lui pendant un bon moment, jusqu'à sa commercialisation où malheureusement...on a très vite constaté que c'est bien beau le marketing, mais encore faut-il que la qualité du jeu suive...ce qui n'est pas vraiment le cas ici, dommage ça partait bien pourtant.
30 ans quand même...et oui près de 30 ans après sa 1ère apparition sur Arcade, notre petit citron préféré fait un come-back dans cette version améliorée de la Championship Edition, mais surtout avec un plaisir toujours au rendez-vous. On s'éclate, on y revient facilement, même pour 5 minutes. Que dire de plus ? rien, des jeux comme on en fait plus aujourd'hui.
Dans le monde du FPS, il y a souvent 2 genres fortement représentés : la guerre mondiale et la guerre futuriste. People Can Fly, qui a développé Painkiller, en a décidé autrement. Partant du principe que l'intérêt du jeu était de s'amuser certes, mais avec du style. Et là, on se retrouve avec un FPS original, dynamique et fun, bénéficiant de somptueux décors et d'un humour gras et lourd...mais qui correspond à 100% à l'esprit du titre : un jeu déjanté et décalé comme on en voit plus aujourd'hui.
Cependant, quel dommage que l'approximation des coups de pieds et du lasso soient (trop) présents, et surtout quelle déception de ne pas voir un mode coop pour la campagne, alors que c'était tout à fait possible. Certes le multi est là, mais il reste assez vite répétitif.
Ce que je retiens du jeu ? un bon défouloir, je me suis éclaté et ça faisait longtemps que j'avais pas ressenti une dose de fun pareille dans un FPS. Vivement Duke Nukem Forever.