Avant sa sortie en Novembre prochain et ainsi retrouver notre cher agent 47 en forme (on l’espère !), voici une petite mise en bouche proposée pour toute précommande du jeu : Sniper Challenge ! Le but ? tuer sa cible en peu de temps, tout en faisant le ménage parmi les gardes présents sur les lieux. Serez-vous à la hauteur du challenge ? on peut dire en tout cas que c’est plutot sympa, gratuit rappelons-le avec une certaine rejouabilité appréciable. Reste plus qu’à patienter pour le jeu complet !
Après un 1er épisode en demi-teinte, Dimps continue sur sa lancée avec une suite qui accueille plusieurs nouveautés de gameplay mais aussi la possibilité de jouer avec Tails (seulement en Multi, ouch !) mais aussi avec Metal Sonic. On constate que des efforts ont été faits avec un jeu déjà plus joli, avec des décors plus riches en détails, une durée de vie sensiblement plus élevée grâce au multi local et online.
Mais, car il y a un mais…peut-on encore parler de véritable nouvel épisode numéroté ? celui qui te fait découvrir des nouveaux niveaux, persos comme à l’époque ? clairement, non. Sonic 4 épisode 2 pourrait s’appeler « Best-of 2″ facilement, car un air de déjà-vu plane autour de ce titre, mais surtout la jouabilité déjà si particulière de l’épisode 1 revient ici faire des siennes, avec un manque flagrant de vitesse et de précision dans les sauts.
Plaisant à jouer, mais pas indispensable pour autant. A vous de trancher.
Bonne vidéo à tous, Retrouvez l’ensemble des tests, unboxings et d’autres surprises sur le site officiel : www.bibi300.fr
En gestation depuis près de 5 ans, ce jeu indépendant développé par Polytron est enfin arrivé sur le Live Arcade pour 800 MS points. Véritable hommage au Pixel-Art, au rétro style 8-Bits, le titre de Phil Fish et de Renaud Bédard nous plonge dans un monde abstrait rempli de mystères, d’artefacts, de symboles et de stèles, mais aussi d’animaux et de personnages rendant le tout à la fois crédible et mystérieux.
Je savais plus ou moins à quoi m’attendre avant de me lancer dans l’aventure, mêlant exploration, réflexion avec un soupçon de plates-formes, mais je doutais vraiment de sa qualité, me méfiant toujours de ces titres que l’on pose sur un piédestal avant même leur sortie. Que les choses soient claires : FEZ est réussi. Il dégage une aura particulière qui fait qu’on plonge instantanément dans ce périple à la recherche des cubes et anti-cubes, une ambiance qui nous emporte totalement, le tout finit par nous achever avec des compositions de grande envergure, privilégiant le minimalisme, synthétique, organique, éléctronique…mais exquis.
Ne considérant pas ce jeu comme une véritable révolution, j’admets malgré tout qu’il m’a plu et qu’il a rempli son rôle : me faire voyager dans ce lieu que je ne connais pas, loin de tout, rempli de mystères que je dois résoudre et ce, sans aide particulière, me débrouillant seul…seul face au destin qui m’attend. Répétitif oui, frustrant oui, manquant de folie dans le level design oui…mais qu’on se le dise : il fait partie des grands jeux, tout simplement. De ceux qui laissent une trace dans le monde du Jeu Vidéo, d’un symbole unique gravé à tout jamais dans les esprits. Respect.
Toujours développé par Radical Entertainment, ce Prototype 2 met en scène James Heller en quête de vengance, à la poursuite d’Alex Mercer, (anti)héros du 1er épisode.
Le pitch de départ est alléchant, retrouver New York comme terrain de jeu avec un personnage ultra-puissant détruisant tout sur son passage et affrontant à la fois BlackWatch et les monstres peuplant la ville, ça donne envie. Le jeu remplit son role 1er : il est défoulant. Le fait de diriger James Heller, de le voir évoluer au fur et à mesure grâce aux compétences que l’on va récupérer (anciennes et nouvelles) est gratifiant, et laisse ainsi place à un spectacle de désolation et de destruction.
Cependant, force est de constater que cet opus est l’archétype même de la suite sans surprise (sans saveur ?), en prenant les qualités du 1er…mais aussi tous ces défauts : pas très beau, I.A. en dent de scie, bugs à profusion mais aussi et surtout pour moi le comble : des missions principales et annexes sans aucune réelle envergure, ambition, diversité : bref, tout ce que vous ferait durant tout le jeu : assimiler et détruire. Ok, loin d’être réjouissant.
De ce fait, la lassitude point le bout de son nez très (trop) rapidement. Au final, loin d’être un mauvais jeu évidemment, je ne peux m’empecher de voir en lui un épisode terne, répétitif au possible, et surtout manquant cruellement d’ambition et d’envergure dans sa structure narrative et dans sa forme. Les fans du 1er apprécieront ce coté défoulant, les autres…vous savez ce qu’il vous reste à faire.
Bonne vidéo à tous, Retrouvez l’ensemble des tests, unboxings et d’autres surprises sur le site officiel : www.bibi300.fr
Après la réussite du Trials HD, RedLynx revient en forme avec un nouvel épisode qui envoie le paté.
Plus long, plus beau, avec du multi jusqu’à 4 en ligne, un éditeur de niveaux performant et qui promet des créations toutes plus farfelues les unes que les autres par les internautes, de l’humour et tout un tas d’autres choses qui vont réjouir les fans de la 1ere heure.
Des jeux comme ça, de cette qualité et pour un prix accessible, ça ne se refuse pas, et en plus ils se permettent même de foutre une gifle monumentale à certaines productions et à certains editeurs / développeurs qui n’hésitent pas à claquer des DLC partout, à faire des jeux à mini-durée de vie et qui se foutent royalement de la gueule des joueurs en bloquant du contenu volontairement (Capcom, si tu me regardes…mes fesses te disent bonjour ).
Je regrette surtout le nombre limité de motos à notre disposition, la frustration et la difficulté qui va vous faire arracher le peu de cheveux qu’il y a sur votre crâne, mais au delà de ça, rien ne vous empêche de craquer pour l’un des meilleurs jeux Live Arcade de cette année, rien que ça et ouais.
Un Ridge Racer qui n’a de Ridge Racer que le nom : et bien c’est ce qui correspond le mieux pour parler de ce jeu De BugBear Entertainment. Oubliez tout ce que vous avez déjà vu auparavant, le studio a décidé de balayer toutes les choses spécifiques de la licence pour proposer un jeu avec de la destruction de décors, de véhicules etc…en gros, un truc plus bourrin, plus spectaculaire.
Dommage vraiment que le jeu reste très banal, quelconque finalement sans réelle âme, avec un mode carrière light, une I.A. inégale etc..mais avec un éditeur de circuits intéressant et ça, c’est beau. Désormais vous savez à quoi vous attendre.
Vous vous souvenez du Mode Crash des anciens Burnout ? Et bien le revoici en version miniature
dans cette édition XLA / PSN, le jeu de Critérion reprend les bases du mode avec un principe simple : créer le plus gros carambolage pour ensuite faire valdinguer tout ce qui passe près de l’explosion de votre véhicule ! Le concept évidemment est fun et sympa, le souci c’est qu’on tourne assez vite en rond car il manque des modes de jeux innovants ou variés, ça manque de contenu aussi sur le long terme, pas de multi ou de coop.
On a vraiment l’impression qu’ils ne sont pas allés au bout de leur concept, en proposant un jeu certes défoulant au début et plutot agréable à jouer, mais qui frustre également par son coté aléatoire / chance trop présent.
A conseiller avant tout pour les fans de scoring, ou attendez une petite réduction du prix de base.
Et ainsi s’achève la trilogie Mass Effect.
Mon attente n° 1 de cette année, c’était bien lui. Je voulais être bluffé, emporté, ému par l’aventure bref…je misais énormément sur ce 3e épisode. Le constat est simple : je me suis régalé. Bénéficiant d’un background riche, d’un univers travaillé, une forme de « Guerre des Mondes » version Space Opera qui emporte le joueur, le fait voyager et lui donne des émotions. Tantôt ému, triste, parfois en colère, frustré, choqué…les choix seront difficiles, parfois durs et lourds de conséquence, surtout selon votre niveau (conciliation ou Pragmatisme).
Des regrets ? oui quand meme, sur le coté RPG pur (dialogues moins profonds, moins de choix), l’i.A. inégale, l’exploration au rabais, les fins expéditives etc…Est-ce que tout ceci doit vous empecher de faire le jeu ? certainement pas, vous passeriez à coté d’un excellent jeu, qui pêche sur des détails, mais qui vous met une gifle, parfois tellement forte que vous avez envie de tendre l’autre joue pour apprécier deux fois plus.
Force est de constater que Bioware a signé sur cette génération un coup de maître, en créant l’une des plus grandes licences de cette génération, purement et simplement. Mass Effect devient plus qu’un simple jeu vidéo lambda : c’est un symbole, une expérience forte et unique, tellement profond qu’il serait dommage de ne pas en profiter à fond. Passer à coté serait une hérésie.
Ne laissez pas tomber cette licence, Bioware : vous avez dans vos mains une véritable pépite d’or. (L’appréciation peut paraitre un peu forte, mais elle représente bien à mon sens ce que j’ai vécu avec ce jeu : Une émotion de tous les instants.)
Le retour de la glisse !
Je dois bien avouer que je ne pensais pas voir revenir de sitôt la licence SSX qui m’avait conquis à l’époque, notamment le Tricky et le SSX 3 avec du fun à profusion. Ca donne quoi ici ? Retour plus que correct, avec vraiment un aspect communautaire bien géré, les épreuves monde excellentes qui accentue le challenge, et surtout du fun retrouvé meme s’il est différent. La cause ? un gameplay plus assisté notamment qui ne nuit pas au plaisir de jeu, mais au challenge solo, surtout avec un mode carrière banal et sans saveur véritable.
A conseiller ? Oui, mais au prix fort ? non, ce n’est pas indispensable, à moins d’être fan de la neige et du vent qui siffle dans vos oreilles
Starbreeze Studios est adepte des jeux avec une ambiance, un gameplay. En gros, tout ce qui peut se démarquer du reste. Or, avec ce Syndicate, j’ai plutot eu l’impression que le jeu n’allait pas plus loin que ces idées de base, et c’est bien dommage. En effet, bien que j’ai aimé faire ce jeu et que je le trouve pas si pourri que cela, force est de constater qu’il ne me laissera aucun souvenir spécifique, car ça manque de moments épiques, et puis les idées de gameplay sont finalement sous-exploitées, et là où aurait pu avoir quelquechose qui montrer toute la puissance de la puce DART 6, au final ça ne décolle pas.