Après Athens 2004 et Beijing 2008, Eurocom nous gratifie d'un nouveau jeu sur les Jeux Olympiques, à savoir Vancouver 2010 : remporte-t-il la médaille d'or ou échappe-t-il au podium ?
Bonne vidéo à tous !!
Dès lundi vous pourrez retrouver une interview du Bibi sur le quotidien Nord Eclair, filiale de La Voix du Nord et un reportage vidéo sur dailymotion =) une petite gifle à tous mes détracteurs qui pensaient que j'avais pas le potentiel
Un test maison sur le bébé de Vigil Games : Assure-t-il le show, ou jette-t-il un froid ? réponse dans la vidéo de 25 minutes environ (risque de spoilers). Petit oubli de ma part : on peut contrôler un cheval du nom de Ruine, très puissant.
Nouveau titre de la part du studio Platinum Games et d'Hideki Kamiya, donc nouveau chef d'oeuvre ? réponse dans ce vidéotest de 40 minutes qui revient sur l'ensemble des points à savoir :
UPDATE : je comprends le design peut ne pas vous plaire, mais un design qui ne vous plait pas n'a jamais fait un défaut d'un jeu, en gros : on aime ou pas même si je peux comprendre que le design peut vous déstabiliser, voila je voulais préciser cela. Merci également d'éviter les trolls sur god of war qui n'est pas du tout dans le même style que Bayonetta.
Plutôt correcte dans l'ensemble, Pandemic Studios nous a livré un jeu très honorable avant sa fermeture définitive. Bénéficiant d'une ambiance excellente, maitrisée et assumée, le jeu possède une profondeur de jeu satisfaisante, avec un gameplay alliant action et infiltration, même si ce dernier est mal exploité. Assez long, le jeu nous tient en haleine grâce à des missions variées et intéressantes, nous mettant en place avec un scénario classique, mais efficace. Le graphisme se révèle terne et parfois pauvre, mais de là à dire qu'il est mauvais serait de la mauvaise foi. On ne le dira jamais assez : les graphismes ne font pas un jeu, et The Saboteur en est la preuve : il compense cela par un plaisir de jeu bien présent. Merci à Pandemic Studios pour leur dernier jeu qui se révèle être une petite surprise, non sans défauts évidemment.
Assez surprenant dans l'ensemble. le mélange Puzzle / RPG est bien représenté, mais on sent que le jeu ne montre pas tout son potientiel car de nombreux points auraient pu donner une plus-value à ce titre. Néanmoins, il reste assez prenant dans le fond, mais à conseiller avant tout aux puristes, les autres passeront leur chemin facilement, surtout pour 1200 MS points.
Je partais sur un apriori sur ce jeu, et bien je me suis planté en beauté. Le jeu nous transporte dans la Renaissance Italienne et nous fait découvrir de somptueux décors d'époque (on citera le Pont Rialto et la place St-Marc, en passant par un personnage culte : Léonard de Vinci) et surtout il améliore la trame scénaristique du jeu pour nous plonger encore plus dans l'histoire d'Ezio Auditore. Bénéficiant de nouveautés de gameplay bien sympatoches, le jeu pêche par des soucis techniques assez énervants pour un jeu de cette envergure (le clipping en 1ère position), sans oublier une I.A. inégale. Comme quoi on dit souvent que le 1er épisode reste le meilleur, et bien ce Assassin's Creed 2 prouve le contraire : il surpasse facilement le 1er opus en proposant une aventure prenante, et addictive. La classe à l'italienne.
Après les craintes instaurées par la démo, le jeu complet montre un visage plus sympathique. Bénéficiant de campagnes plus variées, dont certaines sous la lumière du jour et d'autres avec une atmosphère angoissante et opressante fabuleuse comme le marais ou le niveau de la pluie torrentielle, le jeu replante le décor avec un gameplay accessible, efficace et agrémenté de nouveautés ici et là. Cependant, aucune amélioration concernant l'I.A. (qui arrive même à vous oublier alors que vous subissez les assauts des infectés, la preuve dans ce videotest) et bien sur le prix pratiqué (surtout sur la version 360) qui est clairement abusif pour ce qu'il propose, et même si on retrouve l'essence et le punch d'un Left 4 Dead, la réflexion sera de mise. A conseiller vivement pour les fans du 1er ou ceux qui n'ont pas eu le précédent opus, pour les autres, réfléchissez bien, et posez-vous les bonnes questions.