« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Gameblog 9/10
Europa Universalis 5 n’est pas qu’une évolution, c’est une véritable renaissance. Paradox a su moderniser son grand classique sans trahir son esprit, en offrant une simulation historique d’une ampleur inédite. Plus vivant, plus lisible et plus cohérent, le jeu réinvente la gestion des populations, du commerce et des guerres avec une précision vertigineuse. Certes, la courbe d’apprentissage reste raide et les performances peuvent flancher en fin de partie, mais le voyage est fascinant. Chaque décision compte, chaque siècle raconte une histoire différente, et lorsqu’on referme la carte du monde après des dizaines d’heures, on a vraiment le sentiment d’avoir façonné l’Histoire.
En général, pour les jeux de grande stratégie de Paradox (je ne sais pas pour celui-ci), le tutoriel est expédié en moins d'une heure et ne couvre quasiment rien du jeu... Il faut s'accrocher et lire pas mal de guides pour réussir à s'en sortir.
J'ai des centaines d'heures sur EU4 et HoI 4, et je continue à découvrir des choses (et il y a encore des mécaniques que je ne maîtrise pas totalement...).
Cela dit, vu la durée de vie (une partie dépasse généralement les 50 heures), ce sont des jeux qui vivent sur le long terme — sans compter que Paradox sort en général un gros DLC par an.
Le vrai problème avec Paradox, c'est l'avalanche de DLC : le prix total du jeu finit par exploser, et souvent, l'ancien épisode avec tous ses DLC est plus complet que le nouveau qui vient de sortir (je suis resté sur EU3 encore trois ans aprés la sortie de EU4...).
J'ai des centaines d'heures sur EU4 et HoI 4, et je continue à découvrir des choses (et il y a encore des mécaniques que je ne maîtrise pas totalement...).
Cela dit, vu la durée de vie (une partie dépasse généralement les 50 heures), ce sont des jeux qui vivent sur le long terme — sans compter que Paradox sort en général un gros DLC par an.
Le vrai problème avec Paradox, c'est l'avalanche de DLC : le prix total du jeu finit par exploser, et souvent, l'ancien épisode avec tous ses DLC est plus complet que le nouveau qui vient de sortir (je suis resté sur EU3 encore trois ans aprés la sortie de EU4...).