Graphismes 15/20
Tout dépend de l'oeil que l'on utilise... L'acerbe y verra les ralentissements qui sévissent dès que trop d'éléments s'affichent à l'écran et la difficulté générale de la console à gérer The Last Story. Le rêveur y verra un titre qui délivre un design sublime et des effets dans tous les sens, quelque chose de fort ambitieux pour une Wii. Au moins, on ne peut pas se plaindre d'y trouver un monde plat et vide.
Jouabilité 18/20
Le système de combat fait partie de ce qui peut se faire de mieux sur la console. Si vous pensiez qu'un RPG était forcément mou du bulbe, vous allez vite changer d'avis devant un titre qui ne vous laisse jamais le temps de respirer. Le must reste les boss, qui ne vous laissent pratiquement pas de répit. Utiliser la bonne technique pour les battre ne sera pas aisé. La gestion de l'expérience est tout aussi parfaite, ne vous obligeant jamais à faire du leveling barbant.
Durée de vie 13/20
Compte tenu de l'action constante offerte par The Last Story, il ne fallait pas s'attendre à 70 heures de durée de vie. Comptez plutôt 25 heures si vous voulez tout faire, sans compter le New Game Plus et les parties multijoueurs. Cela reste tout à fait honorable pour un jeu dans lequel on ne s'ennuie jamais.
Bande son 18/20
Accueilli par les violons de l'écran-titre, on devine tout de suite qu'on a affaire à un Nobuo Uematsu des grands jours. On voyage du grandiose à l'envoûtant à chaque instant. Une bonne note aussi pour les voix anglaises.
Scénario 15/20
On n'en aura pas trop parlé au final, mais The Last Story fait l'effort de ne contenir aucune longueur, chose rare pour le genre. Zael va devoir confronter sa vision du monde aux événements qui l'entourent, à commencer par sa rencontre avec une certaine Lisa...
Note Générale 17/20
The Last Story n'est pas le jeu que vous attendiez ? Peu importe ! Porté par un système de combat enivrant et une narration sans temps mort, le titre du papa de Final Fantasy subjugue du début à la fin dans une aventure courte, mais haletante. Quand on a envie de reprendre la partie sitôt la console éteinte, c'est qu'on est devant un grand soft, peu importe s'il est sans doute trop gourmand pour la Wii. N'ayez pas peur de sa durée de vie, il vaut largement le coup.
Graphismes 14/20
Le titre est loin d'être extraordinaire techniquement parlant, les textures par exemple paraissent un peu datées lorsqu'on les regarde de près. Cependant, quand l'action bat son plein on oublie vite ce genre de petits détails pour ne voir plus que la façon dont les robots volent agréablement en éclats lorsqu'on leur tire dessus.
Jouabilité 15/20
L'action est soutenue sans pour autant devenir effrénée et on prend un vrai plaisir à démolir des hordes de robots. On regrette par contre que la reconnaissance vocale ne soit pas encore tout à fait au point et qu'elle vienne souvent alourdir la gestion des relations avec les coéquipiers.
Durée de vie 16/20
Comptez entre 8 et 9 heures pour faire le tour de la campagne, c'est plutôt honnête étant donné que l'aventure est assez intense et qu'elle propose des phases variées. On regrette juste quelques longueurs lors des combats contre les boss. Le multijoueur en ligne est tout ce qu'il y a de plus classique mais on aurait aimé qu'un véritable mode coopératif vienne étoffer la campagne.
Bande son 11/20
Les musiques manquent de pèche et il faut s'accommoder d'un doublage français en dents de scie : certaines répliques sont dans le ton mais d'autres manquent d'émotion ou sont même totalement à côté de la plaque (on pense notamment au superbe marseillais qui conseille le président des Etats-Unis...).
Scénario 13/20
Le scénario nous sert une belle compilation de clichés et de tirades soit disant viriles. On est donc bien loin de Blade Runner mais heureusement quelques retournements de situation vous maintiendront éveillé jusqu'au combat final.
Note Générale 15/20
Binary Domain ne tient peut-être pas toutes ses promesses et ne brille pas par son originalité, mais il s'agit tout de même d'un bon jeu d'action qui fournira un belle dose d'adrénaline aux amateurs du genre. Préparez-vous à dessouder des armées de robots et à y prendre goût !
Graphismes 16/20
Moins torturé et recherché que le jeu original ou bien encore le DLC de l'Ecrivain, Alan Wake's American Nightmare n'en reste pas moins très agréable graphiquement. Rendant hommage à quelques figures incontournables de l'Amérique profonde, le soft nous propulse dans un univers télévisuel peuplé de créatures inédites bien plus véloces et belliqueuses que par le passé et trois environnements relativement vastes.
Jouabilité 14/20
Sur ce point, Remedy n'a quasiment rien modifié, le gameplay étant identique à celui des précédents épisodes. On pourra alors regretter une caméra parfois trop proche afin de bien anticiper les attaques ennemies. A part ce détail, on trouve une belle panoplie d'armes dont la clouteuse représente un morceau de choix. Notons enfin qu'Alan s'essouffle moins vite et que vous pourrez visualiser sa santé sous la forme d'une jauge prévue à cet effet même si on optera davantage pour l'absence de HUD synonyme de plus grande immersion.
Durée de vie 12/20
Il vous faudra entre 4 et 5 heures pour terminer l'aventure solo qui se révèle plus facile que celles des opus précédents. Le mode Arcade ne servant pas à grand-chose, on en fera vite le tour d'autant que le seul objectif est de débloquer les cinq maps de base en version Cauchemar.
Bande son 17/20
S'il est très frustrant de ne pas avoir droit aux très bons doublages français, il faut avouer que la version anglaise se montre à la hauteur. De plus, ce nouveau chapitre d'Alan Wake fait encore une fois montre d'une grande qualité sonore tant dans les bruitages que les musiques choisies pour accompagner notre aventure.
Scénario 12/20
En s'inspirant de La Part des Ténèbres de Stephen King tout en jouant avec les codes des séries télévisées, à commencer par The Twilight Zone, le scénario d'American Nightmare avait de quoi titiller notre curiosité. Malheureusement, et ce malgré une bonne qualité d'écriture, le tout reste un peu trop décousu pour convaincre sans parler des personnages gravitant autour d'Alan qui brillent ici par leur absence ou une construction bloquée dans une boucle temporelle. On regrettera également une fin relativement frustrante mais aussi porteuse d'espoir quant à une éventuelle suite.
Note Générale 14/20
Bien que se replonger dans l'univers d'Alan Wake soit des plus délectables, on pourra néanmoins regretter la dimension «action» omniprésente. Si on peut comprendre qu'il était difficile de développer les personnages ou bien encore l'histoire via le format «jeu téléchargeable», on regrettera l'aspect spin-off de l'histoire originale même si le tout entretient bien entendu des liens très forts avec cette dernière et une construction honteusement redondante légitimée par son scénario. Cependant, entre les nombreux hommages à Rod Serling et Stephen King, la réalisation efficace, l'excellente bande-son, la nouvelle panoplie d'armes et le plaisir procuré, on aurait tort de bouder notre plaisir d'autant qu'Alan est encore loin de s'être complètement réveillé.
Shincloud: C'est la source universelle you know
Bien Teel n'est pas là, kru kru kru...
Le papa de ff à loupé son charme sur moi. Qu'il me propose autre chose
(bon ok, j'arrête...)
"Quand tu vois une pub en pleine page de last story et le test qui sort en meme temps je me permet de mettre en doute l'integrité du testeur"
ouaaaaah barcelona vient d'inventer l'eau chaude.