« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Nouveau jeu des créateurs de Zero Escape et Danganronpa.
L'histoire de World's End Club commence en juillet 1995, où des enfants d'une école de primaire, un peu « différents » des autres, sont réunis dans une classe de losers, nommée « Classe des battants ». Le jeu semble faire une fixation sur le chiffre 12, ce qui rappelle les Zero Escape d'Uchikoshi avec le chiffre 9. En effet, il y a 12 enfants, qui vont devoir entreprendre un voyage sur 1200 kilomètres. Alors qu'ils partaient en excursion scolaire vers Kamakura à bord d'un bus, ils sont victimes d'un accident et se réveillent ensuite dans un parc à thème sous-marin, et ne savent pas du tout comment ils ont pu arriver là, ni comment ils pourront en sortir. C'est alors qu'un clown très étrange apparaît devant eux et les force à participer à un « jeu d'élimination », qui leur demande simplement de s'entretuer afin de survivre et remporter la victoire.
Chaque participant a un bracelet attaché à son poignet, où est affiché le « devoir » d'une autre personne. Il ne s'agit pas de simples devoirs, puisque certains consisteront à tuer quelqu'un. Si les élèves acceptent donc les règles du jeu, ils doivent donc communiquer avec les autres d'une manière ou d'une autre, ou bien voler les bracelets pour connaître leur mission. Une récompense sera offerte au premier élève qui accomplit son devoir, mais ceux qui tentent d'abandonner se verront injecter une drogue mortelle via le bracelet.
Désespérés à l'idée de ne pas pouvoir sortir vivants de cet endroit particulièrement glauque, les élèves découvrent quelque chose d'encore plus inattendu : des pouvoirs comment à s'éveiller en eux. Pendant ce temps, alors qu'ils explorent des attractions avec des lieux inspirés des 4 coins du Japon, des événements surprenants se déroulent sur la Terre...
Le jeu contient un doublage en japonais uniquement (des voix anglaises étant prévues pour la version Switch), avec des sous-titres en français, anglais, japonais, espagnol, italien, portugais, allemand, chinois simplifié, chinois traditionnel, coréen, arabe, néerlandais, russe et turc.
Pas celui de Ken sugimori mais d'un autre