L’industrie japonaise a beau commencer à adopter l’IA dans le processus de développement, 
elle a encore des limites à fixer concernant cet outil. Notamment d’un point de vue artistique. Comme tant d’autres grandes entreprises culturelles, Square Enix, Bandai Namco et d’autres piliers du jeu vidéo japonais se sont associés sous la bannière de The Content Overseas Distribution Association (qui protège normalement les oeuvres du piratage) pour se dresser contre OpenAI, l’une des sociétés les plus importantes du marché de l’IA.
Le site Game Developer rapporte que The Content Overseas Distribution Association (CODA) a déposé une requête écrite à OpenAI pour demander l’arrêt de cette pratique, en indiquant que cette entreprise enfreint les lois de droits d’auteurs via sa génération d’images ou de vidéos :
   
 « CODA a déterminé que ce problème résulte de l’utilisation de contenu japonais comme données d’apprentissage automatique. Dans les cas, comme celui de Sora2, où des œuvres protégées par le droit d’auteur sont reproduites ou générées de manière similaire, CODA considère que l’acte de reproduction lors du processus d’apprentissage automatique peut constituer une violation du droit d’auteur. »
Cette plainte intervient malgré les promesses de Sam Altman, PDG d’OpenAI, qui clamait que Sora2 protégerait mieux les auteurs en leur accordant la possibilité de refuser que leurs créations soient utilisées.
 
ActuGaming 
      
            
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    posted the 11/03/2025 at 03:10 PM by 
nicolasgourry 
              
oui, les auteurs américain ... comme disney par exemple