Il y a quelques jours de cela, nous apprenions que Capcom réfléchissait à une mesure de restructuration suite à divers chiffres de ventes qui n'avaient pas atteint les objectifs fixés pour l'année fiscale. Aussi, puisqu'il n'y avait rien de concret encore, nous n'avions pas relayé l'information.
Aujourd'hui, nous apprenons avec grand regret que ce sera la branche française de l'éditeur nippon qui en fera les frais! En effet, Capcom annonce licencier quasiment l'intégralité de la filiale hexagonale! Ce limogeage massif concerne en particulier le service marketing, seul 4 salariés devraient garder leur poste sur la cinquantaine.
C'est une véritables catastrophe industrielle qu'engendre Capcom, si on couple cette grosse vague de licenciement à celle de Square-Enix, plus tôt dans l'année et la disparition pure et simple de SEGA France (suivit de SEGA Europe en 2012)...
posted the 10/19/2013 at 11:01 AM by
anakaris
Je suppose qu'ils vont relier leurs chaines de livraison à un autre comme le fait Sega.
Il a fallut que quelqu'un paye, et bah c'est nous.
On les voyait venir petit a petit ces annonces malheureusement.
Entre non localisation, des choix douteux sur leur tire(RE6), les jeux à tiroirs de DLC qui ne donnent pas envie d'acheter car tu sais que tu va avoir dans un an la version+ avec les dlc pour moins cher qui aura sa version ++ 10 mois plus tard.
A force de prendre ses clients pour des cons, bah forcément à un moment ça risque de se voir et le retour de baton peut faire mal.
- "Hey viens on sort un jeu et on en parle à personne !"
- "Ah ouais !
=> Capcom France presque intégralement licenciée !
Non c'est juste sega france qui a disparu en 2012.
Je me demande donc ce que ces personnes faisaient au quotidien...
CAPCOM décide de supprimer les centres de coût, indispensable à sa survie ??? Tant mieux.
Je parie que toutes ces équipes de marketing n'ont jamais touché à Street Fighter de leur vie...
T'es chiant à tout le temps contredire, surtout quand tu sais pas de quoi tu parle
sheeraz organisé les distribution de jeu d’essai au Toulouse Game Show ou au Paris Games Week, superviser la distribution de publicité sur lieu de vente à travers les magasin français et quelques autre broutilles. Voila à quoi servait le service marketing de Capcom France.
Boum headshot, à qui le tour.
Bon à savoir. Utile à leur échelle, locale donc, ce qui ne pèse pas bien lourd à l'échelon international pour CAPCOM.
Les salariés licenciés disposent d'un bagage professionnel parfaitement exportable sur d'autres circuits, si je me réfère à ce que tu dis.
Le problème c'est que une cinquantaine de personnes pour faire ça, à l’échelle d'un pays comme la France (en terme de population et en terme de chiffre d'affaire secteur jeu vidéo), c'est beaucoup trop.
Le 1er coût d'une entreprise moderne c'est ni le coût de production, ni le coût de publicité, mais bien le coût de la masse salariale!
Le hic c'est que ça fait depuis plus de 10 ans que ça dure chez Capcom France, au lieux d'avoir 50 bonhommes, ils en auraient 20 ou 25, p'tet que ça irait un peu mieux aujourd'hui et je suis persuadé que les 25 employés n'auraient pas été débordés de boulot!
Cocotte suivi de SEGA Allemagne, Benelux et Espagne, qui constituait l'ensemble SEGA Europe.
Nope, c'est une restructuration. Sega europe est toujours bien là vu que Sega UK existe toujours et que le siège social est là bas. Les pays que tu cites ne font juste plus partie de la division Sega europe.
D'ailleurs si sega europe n'existait plus, son internet n'existerait plus aussi, tu pourras donc vérifier que ce n'est pas le cas.
Ce que tu écris porte à confusion, c'est pour ça que je rectifie.
asmita non
Après vérification sur le site:
To get to the Development Services offices by public transport, the nearest stations are Gunnersbury, which is served by the London Underground (District Line) and Overground, and Kew Bridge with rail services operated by Southwest Trains.
SEGA Europe, Development Services
First Floor Offices
Canberra House
266-270 Gunnersbury Avenue
Chiswick
London W4 5QB
SEGA Europe. Ltd.
Fin de la parenthèse.