En ce moment je réfléchi beaucoup à l'évolution des jeux vidéos et surtout à comment je les consomme. Je me rends compte que je joue "par dépit" à des jeux qu'on me dicte comme des jeux géniaux mais qu'au final je les fait pour dire de les faire. Je n'arrive pas à expliquer mon ressenti, mais je constate que j'accumule les jeux qui sortent, sans vraiment y jouer. Par manque de temps ? Je ne pense pas car sur les jeux sur lesquels j'accroche je vais passer du temps (Zelda BOTW, Animal Crossing, Pokemon Legend Arceus etc.). Une fois que j'estime avoir fait le tour, j'arrête d'y jouer. (Flemme de récupérer les flammes dans Pokemon Arceus, ou les trucs bidons pour augmenter la durée de vie...).
Je joue sur console Nintendo, et j'achète les jeux types Luigi's Mansion, Pikmin 3, Kirby et le monde oublié etc, Zelda BOTW, Mario Odyssey etc. Parmi eux bien sûr il y en a que j'ai adoré et que j'aime même envie de refaire. Mais d'autres pour lesquels je me force presque à jouer pour me dire "C'est bon celui là, c'est fait". Je suis certains aussi d'être passé à côté de très bon jeux soit par manque de communication sur ceux-ci, ou même des jeux que je possède pour lesquels je n'ai même jamais inséré la cartouche dans la console. À ce moment je me pose la question, "C'est quoi le jeux vidéo ? Qu'est ce que j'aime et que j'ai envie de vivre au travers ? Pourquoi je n'arrive plus à m'amuser ?". Alors que quand j'étais petit c'était tout l'inverse, j'avais peu de jeux mais je passais des moments fabuleux. Est-ce en grandissant que j'ai perdu le goût de jouer ? Mes priorités ont changées ? L'industrie du jeux vidéo est-elle la cause ?
Il y a aussi l'histoire des jeux en ligne, difficile de jouer avec des gens à son niveau, où des expertises et des communautés se forment, je trouve que ça décourage aussi l'envie de m'investir sur tel ou tel jeu. Surtout quand j'ai pas vraiment d'ami IRL qui se passionnent pour la même chose que moi. Peut-être qu'il me manque une communauté ? Je pense à un jeu, "Fall Guys", je n'ai pas pu encore y jouer car j’attends qu'il sorte sur Switch. Je me dis que ce serait typiquement le type de jeu qui me permettrai de m'amuser sans pour autant devoir skill de fou pour en profiter.
J'ai envie de lorgner du côté du jeu rétro, car il y a plein de pépites qui m'attendent et qui sont accessibles avec l'émulation. Mais avec tous ces jeux qui sortent en même temps, comment jouer aux anciens jeux et aux jeux actuels ? Avec quel matos ?
Voilà juste un billet humeur un peu fouilli, car je réfléchis pas mal en ce moment sur ce que j'ai envie de faire quand je joue. Et le constat est que je ne joue pas car que je le fais je perd le plaisir, je réfléchis trop à "Pourquoi je fais ça ?", alors qu'au final je veux juste m'évader et vivre une aventure, sans qu'on me demande des centaines d'heures pour obtenir telle ou telle récompense, tel ou tel rang.
Du coup si vous avez des jeux (peu importe le support tant que c'est émulable), n'hésitez pas je suis preneur !
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Compliqué de s'y retrouver dans la jungle des consoles + mes critères ^^
De ce que j'ai cru comprendre, c'est souvent la profusion de jeu (accessible malgré qu'on dit que c'est devenu plus cher ) et de modèles économiques pour y jouer plus facilement "à l'essai" - Steam + GP par exemple - qui nous rends plus exigeants et moins sensible aux jeux sans grandes propositions originales.
Perso, les derniers jeux qui m'ont marqué avaient vraiment un petit qq chose (indé comme AAA) qui les rendaient addictif ou vraiment touchant car laissant voir la passion des développeurs.
Quand je vois un Forspoken, je me dis "ça à l'air cool" mais c'est pas un jeu "d'auteur". C'est original mais en même temps très conventionnel dans ce que j'y vois.
Alors que le soin sur un Elden Ring montre le travail de dingue abattu et le souci du détail sur des choses parfois inutile.
Enfin, je pense que le temps disponible joue.
On peut donner volontier 100h de notre temps pour un jeu mais il faut qu'il nous le rende vite afin de justifier notre achat et le temps qu'on va lui consacrer.
Pour ma part j'ai arrêté de jouer à des jeux parce que c'est la mode ou que c'est des "immanquable depuis presque 10 ans mais c'est pas pour autant que ça a réglé la question du pourquoi je joue.
Malheureusement on a grandi en même temps que le JV on a pu voir le passage à la 3D, la HD, l'arrivée du online ou du tactile pour ne citer que, donc forcement si tu réfléchis un tant soit peu tu finis par avoir l'impression de soit tourner en rond, soit suivre le dictat de la communication des éditeurs.
J'ai aussi, et depuis plus d'une dizaine d'années déjà, un sentiment de lassitude plus ou moins fort quand je joue a des jeux. Je constate régulièrement que jouer devient limite une corvée sur certains jeux, que je me force à jouer. Pourtant, depuis le temps et vu la profusion de jeux aujourd'hui (sans compter les limites de mon temps et de mon porte-monnaie), j'ai pris le pli depuis un moment de ne jouer qu'aux jeux qui m'intéressent vraiment, quitte à laisser passer les goty du moment ou même des nouvelles expériences qui pourraient être intéressantes. Mais ça ne m'empêche pas d'être frustré en jouant, même sur des vieux jeux que j'ai aimé. Je passe beaucoup de temps à réfléchir à cette question, pourquoi jouer devient parfois limite une "corvée", pourquoi je me retrouve à me forcer à jouer au lieu de simplement profiter selon mes envies comme je le faisais quand j'étais gamin. J'ai trouvé des tas d'explications qui se valent toutes, ce qui veut dire que le problème est loin d'être simple...
1) Il y a bien sûr le fait de trouver les jeux "moins bons" qu'avant, en tout cas qui ne correspondent plus assez à ce que je recherche en jouant. Souvent, les univers proposés aujourd'hui ne me parlent plus, voire m'agacent. Sinon, ce sont des resucées de ce qu'on connait depuis 20 ou 30 ans, et alors vient la lassitude. Les mécaniques de jeux sont en revanche mieux huilées qu'avant, et il est plus agréable de jouer aux jeux d'aujourd'hui : la fluidité et le rythme améliorés des jeux, les sauvegardes auto pour pouvoir arrêter sa partie n'importe quand, les défis et le contenu qui poussent à profiter du jeu, et même la baisse de difficulté que l'on déplore souvent fait que mine de rien les jeux sont moins prise de tête... mais sont du coup moins valorisants, et ont un effet de "vite fini, vite oublié".
Mais parfois tout ça est "trop huilé", et je regrette souvent les aspérités que pouvaient avoir certains vieux jeux qui expérimentaient beaucoup, quitte à faire des erreurs, à manquer d'équilibre. Quelque chose que je pourrais retrouver du côté des indés, mais je n'arrive généralement pas a être assez emballé par les propositions de ces derniers (univers proposés, scope trop petits, manque de maitrise ou de moyens, qui font que les jeux ne m'attirent pas assez).
D'un autre côté, je pourrais aussi me contenter de ce qu'on me propose, comme je le faisais finalement quand j'étais gamin, mettre de côté mes attentes pour me concentrer sur mon ressenti du jeu. Mais c'est un exercice plus difficile qu'il n'y paraît
2) Il y a l'industrie aussi, qui nous abreuve de jeux à n'en plus finir, nous donne envie de jouer à tout et longtemps (on bourre de contenu les jeux pour contenter le joueur moyen) en oubliant que nous n'avons ni le temps ni l'argent pour ça. Sans compter toutes les tendances plus ou moins bénéfiques arrivées avec le temps et qui ne font que s'accentuer : démat, DLC, season pass, jeux patchés, free-to-play, online payant, abonnements, cloud gamling... Des choses qui veulent (soi-disant) améliorer l'expérience des joueurs en diversifiant l'offre, mais ne fait finalement qu'accentuer le sentiment de frustration.
3) Mais il y a aussi moi, dont les habitudes de jeux ont changé : les problèmes d'adultes, rythmes de travail ou de famille qui font que l'on ne peut plus profiter des jeux avec la même insouciance qu'avant ; parfois problèmes de santé aussi, dans mon cas jouer est devenu pénible pour mes yeux à cause de l'écran, et c'est sans compter l'espèce de période de dépression que je traverse depuis un moment déjà ; et le fait que j'ai changé mes habitudes de jeux par rapport à quand j'étais gamin, peut-être finalement le point le plus important !
Car dans le fond à l'époque je jouais peu et je ne pouvais pas me payer tous mes jeux, et j'étais finalement frustré de ne pas pouvoir jouer à tout ce que je voulais. J'avais aussi moins d'attention sur les jeux, que bien souvent je ne finissais pas, pas forcément à cause de la difficulté mais simplement de mon côté volubile à ne pas supporter de rester sur un même jeu pendant des mois.
Maintenant que j'ai plus de temps de jeu et que je peux acheter pratiquement tout ce que je veux (dans la limite du raisonnable), bin je n'ai toujours pas le temps de jouer à tout ce que je veux... Entre les vieux jeux que je n'ai jamais fini, les nouvelles sorties qui me branchent et les jeux plébiscités qui me rendent curieux, mon back log de jeux à faire est devenu long comme la Loire, et même en n'ayant qu'une seule console + un PC a alimenter (sans parler de mes consoles rétro), je me retrouve à devoir sélectionner les jeux que je prend pour ne pas me retrouver avec trop à faire à la fois et à me disperser...
A côté, je veux prendre le temps d'aller jusqu'au bout de mes jeux pour le plaisir de les finir quitte parfois à me "forcer", et ce au détriment de jouer à plus de jeux et profiter de plus d'expériences, ce qui aurait de toute façon pour effet de me mettre dans une sortie de boulimie maladive de JV (ce qui m'est déjà arrivé...).
Bref, il n'y a jamais de bonne solution. Même à supposer que j'arrête de bosser et que je passe mes journées à jouer et à rien d'autre, je ne serais pas satisfait car j'aurais d'autres problèmes
Conclusion : la question est insoluble, et j'ai bien peur de ne jamais plus être pleinement satisfait en jouant, à part peut-être si j'arrive un jour à rattraper mon back log interminable... Ou si, par miracle, l'industrie du JV mettait un gros coup de frein à la production, qu'on ne se contentait que d'une centaine de sorties par an (ce qui est déjà beaucoup !) nous permettant de ne plus être dans la course permanente à la nouvelle hype ou au jeu parfait, ce qui permettrait aux studios/éditeurs de mieux peaufiner leurs jeux, et aux joueurs de simplement prendre le temps de profiter des millions (!!) de jeux qui existent déjà. Mais là, je crois qu'on nage en pleine science-fiction
Du coup, j'essaie de plus trop me prendre la tête et de profiter autant que possible de mes jeux en cours
Désolé pour le pavé, il fallait que ça sorte, c'était l'occasion
Mais j'ai l'impression que c'est la sensation de bcp de personne au finale.
Tu changes Nintendo et le jeu vidéo par le Marvel et le cinéma par exemple. Ou encore Netflix et les séries... Et tu retrouveras bcp de personne dans ce cas-là aussi.
Dans le sens où ils (on) regardent des contenues juste parce que c'est le trend du moment ou il est conseillé dans son milieu d'amis/famille/collègue.
D'ailleurs le marketing travaille bcp là-dessus, c'est un peu la petite révolution que Facebook a apporté à l'époque, çad, partager à outrance ce qu'on l'ont aime avec son entourage. ça devient petit à petit une pression de social à force.
Perso, prend un peu de fraicheur et change de type de jeu ou tout simplement sort du Nintendoisme. Je l'étais aussi à l'époque Gamecube en ne jouant que dessus... Puis j'ai découverts bien d'autres jeux qui m'ont tellement passionnés!
D'ailleurs là j'ai 41ans et j'en suis à 145h de jeu sur Elden Ring, pas ce parce que c'est le jeu du moment... mais tout simplement parce que je suis fan des Souls depuis la PS3 où personne ne connaissait Demon's soul
Thejoke ah pourtant Metroid je l'ai aimé car bien rythmé, pas trop long et pas trop dur. Luigi's Mansion j'ai commencé mais j'arrive pas à me plonger dedans.
e3ologue oui je me souviens la présentation des jeux avant j'étais ébahi, mais j'étais plus jeune et l'industrie n'était pas du tout comme elle est aujourd'hui.
Randyofmana Ca fait plaisir de voir que je suis pas le seul à réfléchir à tout ça et je me sens moins seul ! Et comme tu dis la question est insoluble. Je pense qu'il faut prendre du recul et jouer à ce qui fait envie à un instant T. Le souci c'est qu'il faut savoir quoi ^^
Zoske Exactement pareil dans les autres industries. On est assomés par une avalanche de contenus et au final on ne sait que choisir. Le partage aussi rentre en compte, avec Twitch ca a changé la donne et c'est vrai que parfois je me sens bête de jouer seul, penser seul, vivre seul le jeu alors que d'autres font ca en ligne avec leur commu. Parfois je me prend aussi à regarder les streameurs jouer pour apprendre des choses, me détendre ou juste me poser sans regarder la TV (Car y'a rien a la TV lol)
Yukilin Chacun vit son ressenti propre mais globalement on est plusieurs a voir les mêmes pensées même si elles diffèrent sur certains points.
Après Nintendo avait l'habitude de changer les gameplay ca renouvelait un peu les façons de jouer, mais là avec la Switch c'est revenu en arrière.
Les vidéos de Sakharu sont pas mal d'ailleurs sur ces sujets : https://youtu.be/JLYD5aZMmhA
Il est très rare que je termine un jeu de nos jours, une fois que j'ai compris ses mécaniques.
Dernier en date : Moving Out : https://www.youtube.com/watch?v=yR6Fod7KHnM .
Je ne pense pas que je continuerais à y jouer (sauf si des potes passent à la maison) car une fois que j'ai compris le principe, hé bien ça devient... répétitif
Peu etre aussi que tu est quelqu'un qui enchaine continuellement les jeux par habitudes ou addiction mais pas par envie.
Moi il m'arrive de ne pas jouer pendant deux semaines d'affilée car pas envie. Et si je me force a jouer c'est foutu je rentre sans une spirale "depressive" de jeu video je cherche d'autres jeux et je passe sur un autre jeux sans jamais finir.
Ce que je veux dire par la. Si vraiment un jeu ne t'intéresse pas de par ta propre envie ou ressentie, passe ton chemin quitte a rester un moi sans jouer.
Franchement le meilleur moyen de savourer un jeu serai de se deconnecter du media jeux video, de ne pas passer nos journée a chercher la moindre infos sur le moindre jeux etc....
Tout ca nous pollue literallement l'esprit et un sentiment de lassitude se fait ressentir beaucoup rapidement.
Personnellement, ça va, je ne me pose plus trop la question de savoir à quoi jouer en ce moment, car même quand les jeux qui sortent ne m'intéressent pas, je peux me tourner vers les centaines de jeux rétro que j'ai envie de faire. Le problème vient plutôt de "à quel jeu donner la priorité" et à gérer à la fois mon envie (dois-je vraiment jouer à ce jeu parce que j'en ai envie maintenant, quitte à laisser en plan les 3 autres jeux que je fais pour les finir plus tard... ou jamais ?) et mes priorités pratiques (budget, temps...).
suzukube Oui, c'est vite l'inconvénient des "petits jeux" où tout ou presque repose sur une mécanique. Et j'imagine sans problème qu'avec ton métier, devoir enchaîner ce genre de jeux, bah c'est lassant à la longue... D'ailleurs, autant être testeur/journaliste/youtuber aurait pu être une voie qui m'aurait intéressé à une époque, autant aujourd'hui je me demande comment vous faites pour arriver à digérer tous ces jeux sans finir dans l'overdose... ^^' Enfin dans ton cas, je suppose que tu peux te permettre de juste jouer à des jeux qui t'intéressent ou qui piquent ta curiosité contrairement aux journalistes qui doivent tout tester, mais ça reste tout de même une charge conséquente, vu la profusion de jeux actuellement...
ghouledheleter Il y a sans doute de ça aussi, oui. Parfois je me dis que la profusion d'informations sur le média nous bourre le crâne et pèse dans l'appréciation de nos jeux. Les choses me paraissaient plus simples quand je me contentais de quelques screens et d'un petit test dans un magazine pour avoir envie de faire un jeu. Maintenant qu'on a accès facilement aux trailers, aux démos, aux preview des journalistes/youtubers, on connaît déjà la moitié du jeu auquel on va jouer... et le plaisir de la découverte est gâché d'autant. Pourtant, c'est essentiel pour s'assurer que le jeu va nous plaire (ou pas), car plus que jamais on doit choisir à quels jeux on va consacrer notre temps et notre argent
De plus, je ne me vois plus me passer des infos sur le JV, sans quoi je m'isolerai complètement dans ma conception du JV (comme c'était le cas avant), et je serais complètement déconnecté de la réalité du milieu.
Enfin, sans même parler du marketing des éditeurs, les réseaux sociaux et le partage d'infos entre joueurs a amené du bon comme du mauvais : d'un côté c'est un plaisir que de pouvoir partager son ressenti et ses expériences avec d'autres et ne plus se retrouver à joueur seul dans son coin, de l'autre on est tiraillé par les avis de tout le monde, ceux qui vont te dire que tel jeu est génial, les autres te dire que c'est une vraie bouse, et au final ne plus savoir quoi penser du jeu... Car même en cherchant à se faire notre propre avis, ceux des autres influencent indirectement notre jugement.
yobloom Malheureusement, l'aspect business a toujours été prépondérant dans le JV, plus que l'aspect artistique, et ce depuis sa commercialisation avec Pong... C'est juste que les besoins business de l'époque se faisaient en fonction des contraintes de l'époque (pas d'internet, tout sortait en physique, etc.), et permettaient plus facilement une démarche créative : il fallait sortir son jeu le plus abouti ou le plus original possible pour se démarquer et remporter l'adhésion du public (et donc faire de bonnes ventes).
Aujourd'hui plus besoin : tu peux te contenter de jouer de ton image de marque, reprendre des mécaniques déjà vues mais qui fonctionnent, jouer sur des mécaniques addictives pour accrocher les joueurs, patcher ton jeu après la sortie pour corriger les bugs et rajouter du contenu, quand ce dernier n'est pas fourni en DLC. A dire vrai, c'est même devenu quasi-nécessaire pour assumer les coûts de production des jeux, car le fait de faire simplement un bon jeu ne suffit plus à faire vendre et à rentabiliser.
Ajoutons à ça le besoin capitaliste de toujours faire le plus de thunes possible, et on a une industrie du JV bien plus écœurante qu'il y a trente ans, alors que nos jeux devraient être juste plus beaux et plus aboutis...
Je réponds un peu tards, mais j’avais gardé ton sujet sous le coude, je le trouve pertinent.