voici le débat de Game One du 22/02/2012 au programme donc Vita Vs 3Ds : laquelle choisir ?, 2012 : come back du PC ?, doit-on encore donner des notes aux jeux ?, coup de coeur / coup de gueule et la question idiote qui est : des idées pour l utilité du dos tactile de la Vita ?
et vous alors
-1- : Vita Vs 3Ds : laquelle choisir ?
-2- : 2012 : come back du PC ?
-3- : doit-on encore donner des notes aux jeux ?
-4- : coup de coeur / coup de gueule ?
-5- : question idiote, des idées pour l utilité du dos tactile de la Vita ?
Hironobu Sakaguchi, père des Final Fantasy, revenait sur sa dernière production : The Last Story. L'occasion d'apprendre de nombreuses anecdotes que nous vous divulguerons
dès lundi matin dans notre vidéo intégrale de l'événement.
En attendant, pour les fans, une information clef totalement inédite. Ainsi, avant de s'appeler The Last Story, le jeu avait été baptisé Last World.
Un simple changement de nom ? Pas seulement. En effet, l'aventure se voulait initialement plus sombre et intégrait de nombreux éléments de science-fiction. Une direction que Nintendo aurait fini par rejeter... avant que le jeu prenne sa forme définitive. Vous retrouverez ci-dessus les explications de Sakaguchi... et ci-dessous les visuels en haute résolution.
C'est dans un entretien avec Eurogamer que Oskari Hakkinen, le responsable de la licence Alan Wake chez son créateur Remedy, a confié son enthousiasme devant le succès de The Elder Scrolls V : Skyrim. Evidemment, pour le studio finlandais, les histoires et la narration sont au coeur de leurs préférences, c'est la marque de fabrique du studio. C'est aussi, souligne ainsi Hakkinen, quelque chose qu'il ne faut pas changer, mais au contraire poursuivre :
Les Call of Duty et les Battlefield marchent très fort aux USA. Ce type de jeux est populaire et demandé, il est donc très positif de voir Skyrim et d'autres RPG qui mettent un fort accent sur l'histoire rencontrer également le succès. Ca nous motive à faire des jeux portés par leur narration, parce qu'il y a manifestement une audience de gens qui apprécient également les histoires. Le succès de quelque chose de ce type témoigne du fait que nous n'avons pas besoin de minimiser consciemment nos histoires, d'essayer de les rendre plus simples. Nos histoires ne sont pas nécessairement compliquées, mais nos jeux sont très chargés de ce point de vue. Et avec le succès de jeux tels que Skyrim, on se dit : "pas la peine de simplifier nos histoires".
En bref, il s'agit de se placer en opposition face à ceux qui estiment que le jeu vidéo doit se contenter d'histoires simples. A l'évidence, en matière de scénarios, le jeu vidéo a encore bien de la marge avant de nous laisser aussi pantois que les meilleurs films ou bouquins de sa génération...