j'ai longtemps hésité mais allé je me lance...

tout le monde attend la PS4 le 20 février,mais pas moi

j'ai fait mes recherches perso,et j'en conclue que Sony prépare un truc genre une box mais pas une ps4...

tout du moins si console de jeux il y a,elle ne s'appellera pas "ps4".

je vois bien un truc genre pspgo tout en démat avec abonnement et tout ça.

gaikai? sûrment.

aucun jeux en boite avec abonnement genre ps+.

les pari sont ouvert,moi je met ma bite à couper.

La Xbox ne sera bientôt plus une simple console de jeux mais un véritable boitier multimédia proposant du contenu exclusif développé par Microsoft.

Au mois de septembre nous apprenions que Microsoft avait embauché Nancy Tellem, une ancienne dirigeante au sein du groupe télévisé américain CBS. Celle-ci serait chargée de concevoir du contenu vidéo exclusif, lequel serait uniquement disponible auprès des détenteurs d'une Xbox, et probablement lié à un abonnement Xbox Live. A l'occasion du sommet D: Dive Into Media 2013, la société a confirmé ses ambitions.

« Oui nous avons commencé avec les jeux vidéo mais nous sommes en train de placer la Xbox au centre des divertissements de chaque foyer », explique dans un communiqué Yusuf Medhi, vice-président du département Interactive Entertainment Business chez Microsoft. Il ajoute qu'à l'heure actuelle, Microsoft a commercialisé 76 millions de consoles Xbox 360 soit trois fois plus que le modèle original. Aussi, le périphérique Kinect serait installé sur un tiers des Xbox 360 en circulation. 24 millions de capteurs Kinect ont été vendus.

Xbox Live détiendrait une base de 45 millions de membres, ce qui représente une croissance annuelle de 15%. Au total 18 milliards d'heures ont été passées à jouer en 2012 et l'usage des applications de divertissements serait en progression de 57%. L'année dernière, les abonnés à l'offre Xbox Live Gold ont passé en moyenne 87 heures par mois sur leur Xbox soir une hausse de 10% par rapport à 2011.

Microsoft explique que tous ces chiffres pointent vers de grandes opportunités pour développer la partie divertissements sur la console de jeux. « Nous pensons être au début d'une nouvelle vague de divertissements véritablement intéractifs », déclare Nacy Tellem. Celle-ci est effectivement chargée de produire ce contenu orignal lequel apposera une couche d'intéraction sur divers types d'émission.

Reste à savoir si ces productions seront disponibles au niveau international ou si elles seront réservées au marché américain.

voilà

Alors que tout le monde loue l'énergie et l'inventivité de Google, Apple ou encore Amazon ces dernières années, Microsoft est souvent pointé du doigt pour son immobilisme. Il faut dire que la firme de Redmond semble s'appuyer depuis 20 ans presque uniquement sur les ventes de ses deux branches les plus lucratives : Windows et sa suite Office. La réalité est pourtant bien différente. Il faut dire que Microsoft place parfois ses pions de façon plus discrète.

De nombreux partenaires majeurs

Quel est le point commun entre Facebook, Barnes & Noble ou encore Dell ? Qui a racheté dernièrement Skype et Yammer (réseau social pour entreprises) ? Qui est devenu l'égal de Sony dans le secteur du jeu vidéo en seulement deux générations de consoles ? Qui édite Internet Explorer, Hotmail et Skydrive ? Qui est le principal concurrent de Google dans le secteur de la recherche en ligne grâce à un partenariat majeur avec Yahoo! ? Qui détient des brevets forçant des constructeurs exploitant Android à le rémunérer ? Qui a réalisé un partenariat capital avec Nokia ?



Si pour la plupart des gens, le nom de Microsoft rime avec Windows ou encore Word, Excel, Outlook et PowerPoint, les tentacules du numéro un mondial des logiciels sont bien plus vastes qu'on ne le pense. Bien sûr, ses échecs et ses rendez-vous manqués sont nombreux. Les mondes des smartphones et des tablettes tactiles appartiennent à plus de 90 % à Google Android et Apple iOS, Bing est loin de gêner Google pour le moment, le Zune n'a pas percé, les Kin non plus, et Surface tout comme Windows RT/8 doivent encore convaincre. Mais croire que Microsoft s'endort et n'est qu'une suite d'échecs est franchement réducteur.



Outre sa réussite incontestable dans le milieu du jeu vidéo (hormis au Japon), le créateur de Windows a opéré ces dernières années une nouvelle stratégie : investir dans des sociétés afin d'y avoir une influence, sans pour autant les racheter intégralement. Hormis les cas Skype et Yammer où plusieurs milliards ont été investis, Microsoft préfère donc racheter quelques pourcents d'une société. Par exemple, le plus beau coup en la matière pour la société fondée par Bill Gates est de façon évidente Facebook.

1,6 % de Facebook qui vaut de l'or

Très rapidement, dès l'année 2007, Microsoft a ainsi eu la riche idée d'acheter 1,6 % de Facebook pour 240 millions de dollars. Un investissement qui n'a pas été sans retour, loin de là. Bing a ainsi rapidement intégré le réseau social numéro un au monde. L'an passé, du fait de leurs relations, Microsoft a revendu à Facebook pour 550 millions de $ des brevets qu'il venait d'acheter deux semaines auparavant à AOL, ceci afin d'éviter (ou de gagner) une éventuelle guerre des brevets du web, notamment contre Yahoo!.



Et n'oublions pas que Facebook a intégré les services de Skype en juillet 2011 (peu avant l'acquisition de Skype par Microsoft, qui était sans doute dans l'air à l'époque), et que Skype n'a désormais besoin pour fonctionner que d'un compte Microsoft ou d'un compte... Facebook. Grâce à son investissement dans le réseau de Mark Zuckerberg, Microsoft avance donc ses pions, avant pourquoi pas plus tard, soyons fous, de lâcher les chevaux quand il sentira que son tour viendra, afin de devenir le roi, tout en évitant d'être mis en échec.

Barnes & Noble, Dell, des investissements hautement stratégiques

L'autre investissement stratégique important de Microsoft a été celui réalisé l'an dernier chez Barnes & Noble, concurrent principal d'Amazon dans le marché des liseuses de livres électroniques (ebooks). Là encore, Microsoft est minoritaire, en ne détenant que 17,6 % d'une division dédiée au numérique et donc créée avec B&N. Mais cela lui permet là encore d'intégrer le marché sans prendre trop de risques financiers, tout en forçant B&N à le rémunérer (du fait de ses brevets) et tout en ayant une influence sur B&N, un acteur de poids. Cette alliance a d'ailleurs poussé le libraire à lancer immédiatement une application pour Windows 8. Il n'y a pas de hasard.



Dans le même ordre d'idée, le géant du logiciel, il y a quatre jours, a consenti un immense prêt de deux milliards de dollars à Dell afin de l'aider à se redresser et à opérer sa nouvelle stratégie. Que cache ce prêt qui n'a franchement rien de négligeable ? Pour le moment, nous ne pouvons faire que des suppositions. Toutefois, dans son communiqué officiel, Microsoft n'a guère caché que son but était de soutenir un partenaire. Un partenaire qui vend évidemment des solutions de Microsoft en priorité.

Ce prêt, en toute logique, est donc un excellent moyen de pression sur un partenaire historique mais qui lorgne parfois sur la concurrence. Il est ainsi bon de rappeler que Michael Dell, le fondateur et PDG de Dell, a investi 100 millions de dollars dans Red Hat il y a déjà de cela huit ans. Sachant que Red Hat est aujourd'hui l'entreprise liée à l'open source la plus importante du globe. Empêcher Dell de se tourner vers Android ou Linux, ou tout du moins l'inciter à bien vendre ses produits, et certainement l'un des buts de Microsoft dans ce prêt.

Stephen Elop, l'ex qui n'oublie pas

Ajoutons que les ex-employés de Microsoft lui sont parfois profitables. Si ce n'est pas spécialement le cas de Gabe Newell (chez Microsoft durant 13 longues années), on ne peut en dire autant de Stephen Elop, ex-président Business chez MS, et actuel patron de Nokia.



Suite à son arrivée chez le géant finlandais du téléphone, sa société abandonnera Symbian pour Windows Phone et utilisera Bing par défaut, ceci après avoir signé un accord financier important. Et là encore, pour Microsoft, même si des sommes non négligeables ont été dépensées pour un tel partenariat, la société a pris bien peu de risques.

Les trouvailles de Microsoft Research

Enfin, nous ne pouvions finir cet édito sans citer Microsoft Research (MSR), la branche de Microsoft dédiée à la recherche. Alimentée par des milliards de dollars, cette branche âgée de 22 ans est une véritable pépinière à inventions. Si de nombreux projets développés chez MSR ne voient malheureusement jamais le jour pour diverses raisons, certaines technologies sortent tout de même parfois des labos de MSR.



Sans ces derniers, Kinect n'aurait ainsi probablement jamais vu le jour, tout comme la Touch Mouse, la table tactile Surface, diverses améliorations dans Bing Maps, etc. Et il n'y a pas plus tard qu'il y a quelques jours, MSR a annoncé travailler sur un système permettant de prédire les catastrophes. Un travail moins clinquant et donc moins vendeur qu'un énième smartphone, il est vrai.



Oui, Microsoft n'achète pas trois sociétés par semaine comme certains. Oui, Microsoft ne lance pas de nouveaux produits tous les six mois. Oui, Microsoft a connu de très lourds échecs dans le passé. Oui, Microsoft s'appuie encore sur ses deux mamelles que sont Windows et Office, bien que ses divisions Serveurs et Jeux Vidéo soient très importantes. Oui, Microsoft peut faire moins rêver qu'un Apple ou un Google, et ses plans de communication font moins mouche qu'un Amazon ou un Samsung.



Mais alors que les yeux sont tournés vers d'autres sociétés, Microsoft étend ses tentacules, lentement, doucement, en toute discrétion, se liant avec des sociétés majeures (Facebook, Yahoo!, Nokia, B&N, Dell) et rachetant des services tout aussi bien grand public (Skype) que professionnels (Yammer). Une stratégie qui semble donc tournée vers le long terme. Il faudra toutefois que l'Américain en récolte rapidement les fruits, car Windows perd petit à petit du terrain ces dernières années. Ce type de scénario a toutefois dû être imaginé par les dirigeants de Microsoft il y a bien longtemps.

Nos confrères d'IGN continuent de publier des morceaux de leur interview-fleuve de Joachim Kempin, l'ancien vice-président des ventes de la branche Windows chez Microsoft de 1983 à 2003. Selon lui, la firme de Redmond aurait tenté de racheter SEGA, mais Bill Gates aurait mis son veto.

L'ancien dirigeant semble plutôt loquace devant nos confrères puisqu'il leur a confié que Microsoft envisageait pendant un temps de racheter SEGA afin de s'opposer efficacement à SONY. L'homme y voyait le moyen le plus simple pour la firme d'entrer sur le marché pour tenter d'écraser le géant japonais de l'électronique, étant donné les importants coûts engendrés par la fabrication de consoles de jeu.



« Il y avait trois compagnies sur le marché à ce moment, je crois qu'il s'agissait de SONY, SEGA, et Nintendo. Nous avons beaucoup discuté de l'éventualité de racheter SEGA ou quelque chose comme ça, mais cela ne s'est jamais produit. Par contre nous avons réussi à placer Windows CE dans leur plateforme », avoue Kempin. « Mais pour Bill (Gates) ce n'était pas assez, il ne pensait pas que SEGA puisse avoir assez de muscles pour arrêter SONY, alors nous avons fait notre Xbox », ajoutera-t-il.



Des discussions ont pourtant eu lieu entre les deux firmes, mais n'ont jamais abouti. « Il restait encore SONY et Nintendo hein ? Et Nintendo avait quelques soucis financiers à l'époque, SONY en a profité avec sa PlayStation et bang ! Ils ont décollé en laissant tout le monde derrière eux ».



Depuis, Microsoft a réussi à rattraper ses rivaux. Si la première Xbox ne fut pas un grand succès commercial avec seulement 24,6 millions d'exemplaires écoulés, contre 153,6 millions à la PlayStation 2, mais la Xbox 360 fait jeu égal avec la dernière console de SONY, toutes deux s'étant vendues à plus de 70 millions d'unités. Nintendo a aussi su relever la barre avec ses 100 millions de Wii sur le marché et ses 154 millions de DS. L'hégémonie de SONY a pris fin sur cette génération de machines.

Il reste à voir comment le géant nippon réagira, et s'il saura reprendre la tête avec sa PlayStation 4, qui sera dévoilée aux médias le 20 février.

Nintendo vient de renforcer la sécurité du réseau social Miiverse de la console Wii U, de sorte à empêcher les joueurs de 12 ans et moins d'envoyer des demandes d'amis. Cette décision a été prise pour protéger les plus jeunes utilisateurs.

Nintendo s'explique quant à cette décision : « Pour la protection des jeunes utilisateurs, les demandes d'amis en direct ne sont pas possibles dans le Miiverse pour les joueurs de 12 ans et moins ». De ce fait, les plus jeunes ne pourront voir de potentiels messages injurieux sur le réseau.

En parallèle, la société nipponne modère minutieusement son réseau social, de sorte à supprimer tout message jugé comme inapproprié et autres dessins douteux.

Malgré tout, les jeunes joueurs sur Wii U pourront toujours se faire des amis, en ne passant pas par Miiverse : il suffit d'enregister l'identifiant Nintendo d'autres utilisateurs dans le menu principal de la console.

« Nous encourageons les plus jeunes utilisateurs à se faire des amis sur Wii U à condition qu'ils soient amis dans la vie réelle », annonce Nintendo.

Avec la sortie de chaque nouvelle console, des communautés de hackers bien particulières se jettent dessus non pas pour jouer, mais pour exploiter les possibilités de l’appareil.

La Wii U n’a pas fait exception, comme le montre cette vidéo publiée par un développeur amateur, qui est parvenu à faire fonctionner le Wii U GamePad sur un PC.

La vidéo est postée par le développeur Chris Manning, et montre l’utilisation qu’il est parvenu à faire de la nouvelle manette de Nintendo.


Comme les autres appareils sans fil de la console, le Wii U GamePad se connecte via Bluetooth à la console, un protocole standard qu’on retrouve sur la majorité des PC, et qui avait déjà permis d’utiliser les WiiMote sur un ordinateur classique.


L’outil développé par Manning permet donc d’utiliser le Wii U GamePad comme une manette classique, utilisable notamment pour jouer sur des émulateurs, comme le montre sa vidéo.

Il explique cependant être en train de travailler sur une manière de rendre la manette utilisable comme une tablette graphique, par exemple. Comme c’est souvent le cas dans ce genre de communautés, Chris Manning ne fait aucun secret de son travail, et diffuse donc librement les fichiers permettant de l’imiter sur son site.

Des sources proches du développement de la PS4 ébruitent de nouvelles informations sur sa manette, sa fenêtre de lancement et ses spécifications techniques.


A quelques jours de l'annonce officielle de la Playstation 4 prévue pour le 20 février prochain, les langues commencent à se délier au sujet de la future console de Sony.

Des sources impliquées dans le développement de la console et citées par le site Edge ébruitent un certain nombre d'informations sur la manette, la fenêtre de lancement et les spécifications de la techniques de la console, prétendument supérieures à celles de la prochaine Xbox. Comme d'habitude, les rumeurs qui suivent sont à prendre avec de bonnes grosses pincettes. A noter : aucune des images illustrant cet article n'est officielle. Le look final de la PS4 sera dévoilé le 20 février prochain, selon toutes vraisemblances.


La Playstation 4 serait livrée avec une manette redessinée, d'une taille similaire à celle des dernières DualShock.

-Elle pourrait intégrer un petit pad tactile à l'emplacement des actuels boutons "Select, Start et PS", basé sur une technologie similaire à celle du pad tactile à l'arrière de la Vita.

-La manette intégrerait un bouton "Share" qui permettra de lancer une nouvelle fonctionnalité de partage de capture d'écran et de vidéo pendant une session de jeu.

-La machine enregistrerait en continu les 15 dernières minutes d'action à l'écran, sans impact sur les performances selon la source de Edge. Ces séquences pourront ensuite être partagées sur le net.



La Playstation 4 serait d'abord lancée au Japon et aux Etats-Unis pour Noël, avant une sortie européenne planifiée pour début 2014.

-Ce délai serait du à la complexité d'un lancement sur plusieurs pays par plusieurs acteurs de la distribution en Europe.

-Dès le lancement de la console, Sony lancerait une nouvelle itération du Playstation Eye, un périphérique "caméra" notamment utilisé sur PS3 pour exploiter le PS Move.

-Le PS Move serait d'ailleurs compatible d'entrée avec la PS4, mais les sources du site Edge n'ont pas su dire si le périphérique serait intégré en bundle avec la console

-Quel design pour la prochaine playstation ?



Les portes paroles de Sony ont fait savoir que la firme ne reproduirait pas l'erreur de l'architecture inhabituellement complexe de la PS3, cause de nombreuses prises de tête chez les développeurs. L'architecture hardware de la PS4 devrait être assez proche de celle d'un PC, une promesse qui susciterait déjà l'engouement d'un grand nombre de studios.

-Les sources du site Edge confirment la véracité des spécifications techniques de la PS4 (nom de code Orbis) qui ont filtrés sur la toile il y a peu : la machine embarquerait bien 4 Go de Ram - contre les 8 Go supposée de la Xbox 3 en DDR3 -, dont le format en GDDR5 devrait éliminer le risque de goulot d'étranglement qui freinait les performances de la PS3.

Toujours selon ces mêmes sources, Sony aurait annoncé aux développeurs son intention de garantir une équivalence en puissance mémoire entre la PS4 et la Xbox 3.

- Comme la supposée Xbox 3, la PS4 intégrerait un processeur AMD à huit coeurs, cadencé à 1,6 Ghz. Là où Microsoft a prétendument opté pour un GPU D3D11.x , Sony envisagerait une solution made in AMD basé sur l'architecture R10XX, couplée à un processeur APU "Liverpool" (processeur accéléré capable de tâches graphiques).

-Sur le papier et si ses rumeurs s'avéraient, la console de Sony serait « légèrement plus puissante » que la prochaine Xbox, selon une autre source de Edge connaissant les deux consoles.

Dans le cas des jeux multiplateforme, les différences visuelles seront probablement aussi minimes qu'entre la PS3 et la 360, même si Sony s'attend à ce que les titres first-party de la PS4 démontrent sa supériorité : chacun jugera sur pièce.

la wii u est elle une console pour "non gamers?"


la question est posée quand je m'aperçois qu'il est plus facile de compter le nombre incalculable de jeux qui ne sortent pas sur cette dernière,que les jeux qui sortent dessus... c'est à dire quelques uns sur 2 ans à première vue

alors voilà et sans aucun troll vulgaire de ma part,pourquoi Nintendo est con? pourquoi Nintendo ne fait rien pour faire saliver les joueurs que nous sommes?

j'aurais aimé craquer pour la wii u,mais Nintendo m'en empêche... suis je un troll pour autant? ou suis je juste pas assez bête pour me faire avoir?!?

et vous,vous en dites quoi?

ps : le projet X je m'en bat les steak sévère

Alors que Sony Computer Entertainment s'apprête à annoncer sa PS4, que se passe-t-il du côté de Microsoft ?

D'après les rumeurs, la firme de Redmond était au courant du plan marketing de Sony et serait elle aussi prête à commercialiser sa Xbox 720 cette année, avec une annonce programmée pour ce printemps, si l'on en croit le site Polygon qui semble avoir des révélations proches de la distribution.

Les journalistes de Polygon vont plus loin en affirmant que Microsoft proposerait une nouvelle méthode s'achat de sa nouvelle console, en s'inspirant de ce qui se fait dans la téléphonie. Concrètement, l'idée serait de proposer une machine à bas prix, moyennant un abonnement mensuel au Xbox LIVE qui servirait à échelonner et payer la console sur plusieurs mois. L'offre pourrait même s'étaler sur 2 ans.

Ce ne serait pas vraiment un coup d'essai de la part de Microsoft qui a d'ores et déjà testé cette offre commerciale avec la Xbox 360 en proposant aux Etats-Unis une console à 99$ auquel se greffe un abonnement au Xbox LIVE Gold à 14,99$ par mois pendant deux ans.

Si Microsoft a réfuté l'ensemble de ces rumeurs, il semble évident que les différents constructeurs se sentent obligés de varier leurs offres pour contrer l'explosion des smartphones et autres tablettes, qui ont changé à tout jamais notre façon de consommer du jeu vidéo...

Cette année sera riche en nouveautés, mais aussi en déclarations hostiles. Discutant avec un journaliste de CVG sur la puissance de la PS4, un employé de Microsoft s’est laissé à une déclaration bien épicée.

« La victoire n’ira pas à ceux qui feront le plus de bruits, mais à ceux qui auront le plus d’impact. » Laissant penser que Microsoft pourrait remporter la prochaine guerre grâce à sa puissance marketing.

Du côté de Sony, un employé est également allé de son petit commentaire en déclarant que Sony n'était pas forcément concentré sur une meilleure machine parce que "la guerre ne sera pas gagnée en produisant le meilleur système". On en a vu la preuve avec la PS VITA, et la Wii qui a surpassé à la fois la xbox360 et la PS3.

Il y a peu, Jonathan Browne a mis à jour son profil LinkedIn. Depuis novembre 2010, celui-ci travaille chez Microsoft Studios en tant que Senior Product Manager et Product Planner.

Là où ça devient intéressant, c'est lorsqu'on remarque qu'il a indiqué sur son profil qu'il a planché sur quatre nouvelles IP qui n'ont pas encore été annoncées.

Il précise même qu'il a été un contributeur clé sur ces projets, et ce de la phase conceptuelle à la mise en production. En d'autres termes, on devrait s'attendre à au moins quatre annonces de la part de ce studio first party.

c'est pas un fake!!!!!



MAJ!!! une deuxième image!!!



chat vocal ?!?