Injustement démonté par une presse qui ne va pas plus loin que le bout de son nez (10/20 par JV.com, putin ) et des joueurs qui suivent sans meme tester ou alors 30 minutes/1 heure (tiens ça me rappelle un autre jeu qui vient de sortir), Star Ocean 5 l’épisode de la discorde vaut-il vraiment sa sale réputation ? nan.
Avantages
- Artistiquement superbe
- Techniquement pratiquement irréprochable
- Combats qui bourrent toujours autant
- Bonne histoire
- Le systeme de roles vachement intéressant une fois maitrisé
- Ost sympathique (ça devient rare avec Motoi Sakuraba)
- Le fameux 1080p/60fps
- Ce charme Old-School
Inconvénients
- Les Privates Actions mal fichues
- Quetes annexes Fedex
- Camera qui microsautille dans certains lieux
- Quelques passages mal fouttu
- Aucun changement de leader hors combats
Malgré quelques passages qui m’auront fait grincer des dents (comme ces phases ou il faut protéger Anne), j’ai vraiment adoré ce Star Ocean 5.
Tout les problèmes de forme qu’avait le 4 ont été corrigé et on a enfin une histoire plutot plaisante a suivre, des perso qu’on de la prestance et des décors un peu plus inspirés (sans être fou non plus).
Niveau combat ces derniers qui paraissent brouillon au debut deviennent de plus en plus intéressant notamment une fois le principe des roles bien assimilés et autant dire qu’il vous faudra parfaitement les maitriser face a certains boss ou dans le donjon post game, certaines combinaisons pouvant rendre l’un de vos perso presque invincible (et contre les désormais cultes Gabriel Celeste et la Reine Ethéré, ce n’est pas du luxe).
Après le jeu a ses défauts, comme ces Private Actions mal foutue (mais importantes pour unlock certains des meilleurs roles) ou cette camera qui a tendance a faire des micro-sauts en ville selon la façon dont elle est positionnée (donnant ainsi l’impression qu’il y a des chutes de framerates).
Il a aussi cette impossibilité de changer le leader hors combat, ce qui fait qu’une fois un combat (seamless on le rappel) lancé la camera passe du hero au perso avec lequel on joue… de 1 ça fait perdre une seconde ou on peut se prendre des coups et de 2 quand notre perso est hors de la zone de combat la fuite auto se déclenche, plaisant.
Des ptites choses qui auraient pu etre pratiquement toutes patchées, mais Square n’en a surement rien a foutre et c’est dommage. Ah et cette fameuse histoire de la durée de vie, osef les jeux qui s’eternisent ça me saoul (meme si j’aurais pas dis non a un Colisée comme dans le 4).
Bref ce Star Ocean 5 est vraiment un excellent petit RPG et une trés bon apéritif a prix modeste pour patienter avant la sortie de FFXV.
Ptit coup de cœur pour ce Heart&Slash édité par Badland Games qui âpres Anima : Gate of Memories commence à s’imposer comme l’un des meilleurs éditeurs de jeux indés en boite avec ses prix assez bas et ses jeux dotés d’un manuel et de l’ost complète (hein Square-Enix).
A noter que meme si il est traduit en Français le jeu n’est pas trouvable en France, mais uniquement sur des sites UK ou Smartoys en Belgique, et que seule la version PS4 a eu le droit a une version physique, le jeu étant aussi sorti sur One et PC.
Avantages
- Patte graphique mêlant 3D et Pixelart (qui perso me rappelle Megaman Legend)
- Bonnes sensations de combats (quand on a les bonnes armes ahah)
- Beaucoup d’armes et d’armures
- Pas mal de ptits clins d’œil à d’autres jeux (Nintendo notamment) (click)
- Une certaine quete qui se déroule sur plusieurs parties
- Excellente OST (click)
- En Français
Inconvenients
- Le framerate chancelant en ville
- Encore pas mal de petits bugs a corriger (collision, camera ect…)
- Un niveau de plus n’aurait pas été de refus
Pour ceux qui ne connaîtraient pas, il s’agit d’un Roguelike en 3D avec des textures type pixelart et un gameplay proche du BTA.
Le jeu est composé de 3 niveaux (générés donc de façon procédurale à chaque NewGame) à savoir l’Usine, la Ville et la Tour. Les 2 premiers niveaux sont scindés en 2 zones, la partie « Safe » et la partie « Warning » pour l’Usine et la partie « En plein air » et la partie « Egout » pour la ville, avec chacune un boss unique en son sein. A vous donc d’aller voir le boss qui vous plait le plus pour accéder au niveau suivant (sauf si le jeu ne vous donne pas le choix et ne vous propose qu'un boss).
Il est aussi intéressant de voir que chaque niveau a un level design qui lui est propre (labyrinthique pour l’Usine, très ouvert pour la ville et verticale avec de la plate-forme pour la Tour) .
Coté Gameplay on a affaire à un système de BTA classique, avec 75 armes (epees, lances, guns, poings ect…) et 60 parties d’armures qu’on pourra renforcer en butant les divers ennemis rencontrés. La ptite subtilité vient du fait qu’on peut détruire nos armes ou nos armures pour reprendre de la vie. Il y a aussi toute une quête sur plusieurs partie pour débloquer Slash le robot noir.
Bref Heart&Slash est un ptit roguelike fort plaisant avec de très bonnes idées pour qui aime le genre, mais qui souffre a l’heure actuel de quelques défauts techniques (framerate, bugs de collision…) et un petit manque de contenu (un niveau en plus ou un true last boss n’aurait pas été de trop) si on le compare aux gros titres du genre tel que Binding of Isaac pour ne citer que lui.
Certainement l’un des jeux que j’attendais le plus cette année, l’A-RPG aux faux airs d’Hack & Slash "Yoru no Nai Kuni" (rebaptisé "Nights of Azure") est enfin sorti chez nous dans sa version PS4 uniquement.
Avantages:
- Techniquement globalement très propre (joli, net, fluide)
- Direction artistique et ambiance sublimes
- Candidat à l’OST de l’année
- Système de combat intéressant
- Doublage jap
Inconvénients:
- Trop facile (le vrai challenge apparaissant en Post Game, FFXIII style)
- Un peu trop Lineaire et Court
- Bonnes idées, mais pas assez poussées
- Mise en scène plan plan et quelques cutscenes un peu trop mielleuses
- Uniquement en VOSTA
Nights of Azure raconte l’histoire d’Arnice, chevalier sainte de l’Ordre du Curia qui se voit octroyer comme mission de veiller sur Lilysse (la fille qu’elle aime fufufu) jusqu’au jour de son sacrifice qui servira à garder le Nightlord scellé. Jusqu'à ce que ce jour fatal arrive vous allez devoir enchainer les missions sur l’Ile pour faire avancer le scenario et découvrir de nouvelles zones/boss, le tout grâce à l’aide de vos Familiers à qui vous pourrez donner des ordres et faire évoluer.
Malheureusement si le jeu possède de bonnes idées de gameplay, il est beaucoup trop court et easy (j’ai du mourir 3 fois durant la 20ene d’heures de jeux que compose la trame principale), le vrai challenge n’apparaissant qu’en Post Game avec l’arrivée de 2 Boss optionnels et surtout du Hall of Infinite Darkness qui poussera le joueur à farmer pendant des heures pour avoir des équipes de familiers au taquet vu que les monstres rencontrés a l’intérieur seront plus haut level que l’heroine (les ennemis et familliers pouvant atteindre le LV15 et Arnice seulement le LV11).
Et bien sur pour les chasseurs de trophées, il y aura aussi de quoi faire entre les quêtes (principalement du farming) et le mode Arena.
Bref malgré le fait que j’ai adoré, Nights of Azure possède trop de petits défauts pour figurer aux cotés des grands, la faute a une difficulté qui aurait du être au rendez-vous dés le départ, à une durée de vie assez courte hors Post Game et à une trop grande linéarité (je me répète).
Reste un bon apéritif avant l’arrivée de SO5 et FFXV.
Je n’avais pas pu faire Gravity Rush dans sa version d’origine (je suis un mauvais Pro-S, je n’ai pas de Vita), je me suis donc rattrapé sur cette version PS4 et comme prévu: gros gros coup de coeur.
Avantages
- La direction artistique et l’ambiance générale fabuleuse
- Level design tellement bien foutu
- L’idée de gameplay juste énorme
- L’OST qui colle a l'univers
- Les cutscenes en BD
- Une héroïne qui n’est pas cruche
- Platine easy
Inconvénients
- Assez court et simple (une dizaine d’heures a peine en ligne droite, quelques heures de plus pour le Platine et le 100% des DLC inclus avec le jeu)
- Peu de choses a faire hors trame principale
- La distance d’affichage aurait pu être revus un peu plus a la hausse.
Gravity Rush est l’exemple parfait de pourquoi j’aime le (bon) jeu video jap : Une DA somptueuse, une OST qui colle parfaitement, des persos sympa, une histoire qui se laisse suivre et un concept qui surprend. Bref des titres qui ont une âme.
Le jeu est juste un bol d’air frais, "voler" dans ces décors est juste un plaisir énorme surtout qu’en plus des 4 quartiers très distincts qui composent le monde de Gravity Rush, le jeu vous emmènera dans d’autres lieux cette fois dirigiste comme a l’intérieur d’un arbre geant ou encore dans l’espace (avec des champi chelou)
Mais tout n’est parfait et bien qu’en prenant en compte qu’il s’agit a la base d’un jeu portable, pour un open world Gravity Rush manque clairement de contenu hors quête principale. A part les defis, 3 boss optionnels pas tres fort, la recherche de 2 PNJ et les quêtes optionnelles pas folichonnes (qui étaient en plus en DLC payant sur Vita si je dis pas de connerie), il n’y a presque rien a faire, le jeu étant platinable en 12/15 heures selon votre façon de jouer.
C’est vraiment dommage d’avoir créé un terrain de jeu aussi beau et bien foutu, et de pas l’avoir plus remplis de contenus car on fini le jeu avec une petite sensation d’ébauche de ce que sera le 2.
Maintenant plus qu’a attendre cette suite qui risque d'envoyer encore plus de rêve et qui est désormais devenu l’un des jeux que j’attends le plus cette année.
Project Zero 5, premier opus de la serie que je test et qu’en toute honnête je n’aurais ptete pas acheté si il n’y avait pas eu cette histoire d'edition physique ultra limitée (la fameuse carotte)
Avantages
- Graphiquement tres propre
- Chara Design reussi
- Histoire plutôt sympa
- Le système de combat
- Les doublages japs
- Ambiance sonore au top
- Le boss de fin
Inconvénients
- Persos lourds a contrôler rendant les combats parfois pénibles dans les petites zones ou les couloirs
- Pas mal d'allers-retours
- C’est censé faire peur ?
- La petite censure de la version internationale
- Le chapitre d'Ayane qui se fini en 20 minutes
Project Zero Maiden of Black Water, un jeu qui aurait pu etre tellement meilleur.
Autant l’univers et le système de combat a base de photos pour vaincre les ennemis m’ont plus, autant le jeu est blindé de petits defauts qui auraient pu etre évités comme la trop grande rigidité des persos rendant certains passages très agaçant, notamment en combat lorsqu’on se bat contre plusieurs ennemis a la fois dans des zones étroites.
Second point, la redondance. Alors oui on est sur le Mont Hikami durant toute l’histoire, mais se taper jusqu'a 3 ou 4 fois les memes zones a traverser c’est parfois agaçant (que je hais le temple). La palme au chapitre dans l’auberge ou on doit checker par camera ce qui se passe et faire 150 allers-retours dans l’établissement, chapitre qu’on fait 2 fois au passage…
Dernier probleme pour un jeu qui se veut horrifique, le jeu ne fait pas peur. Il y a peut-etre 2/3 moments « Jumpscare » qui font leur effet, mais globalement on avance sans trop se poser de question, pis bon c’est pas comme si on avait un indicateur qui nous disait par ou arrivaient les ennemis a chaque fois… ah si.
A coté de ça malgré ses nombreux defauts le jeu m’aura quand meme bien plus, il possède une certaine aura et un gameplay qui merite d'etre creusé, en espérant que le prochain releve le niveau.
Pour ma part c'est le jeu Wii U de cette fin d'année avec Xenoblade X.
Apres Ys:Seven je me suis mis à Ys:Oath of Felghana, remake du 3eme opus sorti originalement en 89 et remaké en 2005 sur PC et PSP.
Avantages
- Ambiance a l’ancienne
- Gameplay fun et bourrin
- Ost qui gere
- Histoire sympa
- De bons donjons/boss
Inconvenients
- Court (une dizaine d’heure)
- Manque de contenu annexe (quetes and co)
- Doublage moyen (que ce soit en Jap ou en US)
Apres avoir sauvé le monde de Darm dans les deux premiers épisodes, Adol continu son voyage et débarque sur l’ile de Felghana avec son ami Dogi (originaire de ce pays). Malheureusement ce qui aurait pu être un séjour au calme se transforme vite en nouvelle aventure quand nos deux hero apprennent que le roi du pays, allié au meilleur ami d’enfance de Dogi, ont l’intention de retrouver des stèles cachées sur l'ile et ayant scellées un démon il y a des milliers d’années.
Difficile de ne pas tomber sous le charme de ce petit A-RPG. Camera automatique avec parfois de supers plans, decors 3D/Perso 2D, OST qui donne la patate, gameplay extrêmement dynamique, boss a la pelle, histoire certe classique mais possédant quelques rebondissements bienvenus, YS Oath of Felghana est l’incarnation meme du bon petit A-RPG a l’ancienne et certainement l’un des meilleurs opus de la serie.
Malheureusement comme pour la plupart des autres episodes, il y a tres peu de choses a faire hors trame principale, mais ce n’est pas grave, le jeu est tellement prenant.
Vous aimez le genre, alors foncez, c'est une petite dizaines d'heures de bonheurs et l'un des meilleurs jeux du genre
Ys Seven comme son nom l’indique est le 7eme opus de cette série phare de l’Action-RPG japonais, tout du moins 7eme épisode canonique car la série a connu un grand nombre de portages, de remakes et de spin-off depuis sa creation.
N'ayant fini que le 6eme opus, "Ys: Ark of Napishtim" que j’avais fait a sa sortie sur PS2, j’ai décidé de me remettre à cette série avec les opus PSP en commençant par celui-ci.
Avantages
- Agréable visuellement
- Bonne ambiance
- Gameplay fun et rapide
- Ost plutôt sympathique
- De bons gros boss
- Bonne durée de vie pour le genre (20/25 heures en normal)
Inconvenients
- Peu de choses à faire hors trame principale.
- Histoire peu originale
Ys Seven c’est l’épisode qui amènera la série vers sa nouvelle formule, formule qu’on retrouvera plus tard dans Memories of Celceta sur Vita et bientôt dans le 8eme opus sur PS4/Vita.
Fini les sprites 2D, place à la 3D intégrale (avec camera fixe), mais surtout fini l’aventure en solo puisque cette fois-ci vous pourrez jouer avec 3 persos (sur un total de 7) que vous switcherez selon le type d’ennemis que vous aurez en face de vous. Un Gameplay simple mais toujours accrocheur. Malheureusement ce qui reste simple c’est aussi l’histoire qui est d’un manque cruel d’originalité (Ouh le monde part en sucette, enchainons les temples pour récup des pouvoirs et comprendre pourquoi) malgré 2/3 idées bienvenues mais aussi son contenu qui hormis 20 petites quêtes annexes dont 3 Boss optionnels pas fortiches n’a rien de plus a proposer.
Néanmoins le jeu est d’une grande fraicheur, avec d’excellentes sensations de gameplay, pleins de donjons a thème avec du gros boss et une OST qui réserve quelques bonnes surprises.
Fan d’Action-RPG de l’ere SNES comme Secret of Mana and co, ce jeu (et cette saga) est fait pour vous.
Si il y avait bien un jeu qui me tentait sur PSP c’est bien Nayuta no Kiseki, mais jusqu'à present je n’avais jamais eu le courage de me lancer, ce dernier n’ayant jamais quitté le sol jap. Trois an après sa sortie c’est chose réglé avec son achat et la découverte au même moment qu’une fantrad US venait tout juste d’etre finalisé, le destin sans doute.
Avantages :
- Tres beau avec une ambiance originale
- Gameplay dynamique et Gamedesign convaincant
- OST plutôt réussie dans l’ensemble
- Bonne durée de vie (25heures en Normal)
- Histoire classique en apparence mais qui révèle quelques bonnes surprises.
- Le coté RPG mélée a l'Action/Plate-Formes
Inconvenients :
- New Game+ obligatoire pour tout débloquer
- Perspectives pas toujours évidentes a appréhender
Je ne vais pas revenir en détails sur le synopsis ou le gameplay, je l’ai déjà fait ici pour les intéressés.
Pour faire cours Nayuta no Kiseki c’est un A-RPG/Plate-Formes avec une 50enes de niveaux ou vous devrez aider votre hero à sauver le monde dans lequel il a atterri avec son ami d’enfance, monde qu’il avait déjà entraperçu auparavant a travers d’étranges petites pierres tombant du ciel aux alentours de l’ile ou il habitait. Classique, du moins durant la première partie du jeu car la seconde révèle son lot de petites surprises.
Malgré qu’il ait plus la tronche d’un jeu de Plate-Formes/Action a niveaux classique, le coté RPG n'est pas en reste grâces a un système d’XP, d’equipements, loot mais aussi a divers quetes annexes debloquable en ville, ville ou vous pourrez aussi apprendre de nouvelles competences ou acheter de l'equipements.
Bref avec son gamedesign simple mais efficace, son gameplay très dynamique emprunté a la serie des Ys, sa bande-son reussie, son ambiance particuliere mêlant tropique/futuriste et ses personnages plus qu’attachants, Nayuta no Kiseki est un enorme coup de cœur et tout simplement l’un des jeux les plus rafraichissant que j’ai pu faire ces dernières années. Plus que ça, il est devenu tout simplement mon jeu préféré de la console et l'un des mes RPG favoris
Je n’avais pas prévu d’acheter ce Yoshi n’étant pas forcement un gros fan de la license et comme pour beaucoup mon cœur de pierre s’est laissé aller grâce au visuel « laineux » du jeu et a l’Amiibo Yoshi (qui malheureusement a moins de gueule que sur les photos officielles).
Heureusement le jeu a bien plus a offrir qu’une patte artistique et une peluche débloquant des skins.
Avantages
- Patte artistique originale
- Prise en main agréable
- Bonne durée de vie
- Difficulté présente grâce a la récupération d’items
- Niveaux globalement bien pensés
- OST plutôt réussi avec quelques pistes sortant réellement du lot
- Pleins de Yoshi a débloquer
- Fun a deux
Inconvenient
- Quelques chutes de frame-rate à certains endroits
- Boss pas spécialement intéressants, sans compter un boss de fin totalement bidon
Il n’y a rien de spécial a dire sur ce Yoshi, un jeu très classique mais efficace, la difficulté venant surtout de la récupération d’objets planqués a travers les niveaux (chose a laquelle nous somme habitué depuis un temps avec Nintendo) le tout avec des emplacements de checkpoint parfois très éloignés rendant la chose plus compliqué. Le jeu possède une bonne durée de vie, il vous faudra bien 7/8 heures pour le finir en prenant votre temps et quelques heures de plus pour le 100%.
Sur le plan visuelle le jeu se défend grâce à sa direction artistique tout en laine. La plupart des niveaux se démarquent facilement des autres, certains sortant vraiment du lot tout comme certaines pistes de l’OST qui arrivent a se détacher clairement du reste (celle du 5-2 ou des niveaux S ).
Bref même si il marquera surement moins les esprits qu’un DK Tropical Freeze, il reste néanmoins un jeu a faire absolument si vous aimez la Plates-Formes 2D et que vous possédez une Wii U, pour ma part j’ai été conquis, et meme surpris
Profitons de cette journée Splatoonesque pour finir un jeu aussi basé sur la peinture (du moins durant sa première partie), portage d'un jeu PS3 et disponible gratuitement avec le PSN+.
Avantages
- Artistiquement reussi
- De bonnes idées de gameplay
- Ost somptueuse
Inconvenients
- Court
- Certaines idées de gameplay auraient du être plus poussées
- Replay value faible
The Unfinished Swan est un jeu poétique et conceptuel qui vous mettra dans la peau d’un enfant partant a la poursuite d’un Cygne geant.
Le jeu est divisé en 4 chapitres aux concepts différents, l’un ou on se retrouve dans un niveau tout blanc ou l'on doit tirer des balles de peintures pour faire apparaitre le décors pour pouvoir avancer (d’ailleurs il y a un trophée ou il faut trouver la sortie en ne tirant que 3 balles, beau délire), un second ou l'on tire des balles d’eau ou faire pousser des lierres dans une ville pour pouvoir continuer, un troisième ou on pourra créer des plateformes et un dernier mélangeant les 3 mécanismes de jeu pour un final magnifique.
C’est cool et certains moments sont vraiment bons, mais on aurait aimé une aventure plus longue ou un mode challenge avec des défis pour étoffés toutes ces idées qui ne sont pas exploitée a leur maximum, le jeu étant plutôt court (2/3 heures grand max) avec un replay value assez inexistant.
Reste une expérience à faire, notamment grâce a son univers très poétique et son ost fabuleuse.
Le genre Metroidvania à le vent en poupe depuis le debut de l'année, apres Apotheon en janvier, Shantae en fevrier et Ori en Mars, voila que ce debut avril accueille sur PS4 "Axiom Verge" de Tom Happ (Fapp… fufufu blague) et si le titre ne paie pas forcement de mine visuellement, autant dire que ludiquement parlant il passe à ça d’être aussi culte que Super Metroid.
Avantages
- La formule Metroid appliqué avec perfection
- Direction artistique très SF 80's
- Des secrets partout
- Histoire plutôt intéressante
- Ost réussi
- Grosse durée de vie pour le genre (10 heures en le finissant à 80%)
- Un mode Speedrun
- Fait par un seul homme, what else ?
Inconvenients
- Comme un manque de cohérence entre les différentes zones
- Certains endroits moins travaillés techniquement que d’autres.
- Un peu trop d’armes qui ne servent a rien
- Certains bruitages de monstres trop stridents
- Boss qui auraient mérités d’être plus travaillés.
Axiom Verge est une réussite total dans le genre et met a mal une bonne partie des Metroidvania fait ces derniers temps (oui meme le ptit Ori).
Tout ce que vous aimiez dans les Metroid 2D est là, du level design hyper bien fichu/labyrinthique blindé de zones secrètes à l’ambiance SF/mystique en passant par un gameplay aux ptits oignons, mais le jeu arrive tout de meme a se distinguer du maitre grâce a quelques features originales comme le petit robot contrôlable ou le hack des decors/ennemis.
Malheureusement tout n’est pas parfait, à commencer par le visuel. En effet si certaines zones sont très agréables, d’autres donnent vraiment l’impression d’avoir été fait a la va vite, parfois même dans un style se rapprochant plus du 8bits que du 16bits.
A coté de ça on notera un manque de cohérences entres les différentes zones, comme si elles n’étaient au final pas toujours rattachées entre elles. On peut passer d'un decors organique à quelque chose de plus métallique, pour finalement sortir en exterieur sous un ciel rosatre alors que le ciel d'une autre zone situé au meme niveau sur la carte sera bleuté, pas trés logique de mon point de vue.
On pourra aussi chipoter sur le nombre hallucinant d’armes inutiles (âpres chacun aura sa préférence vous me direz) et sur les boss qui ne sont pour la plupart pas très inspiré hormis l’énorme 3eme boss.
Mais ne boudons pas notre plaisir et rappelons nous que le jeu n’a été fait que par une seule personne, dans tout les cas Axiom Verge est tout simplement le meilleur Metroidvania de ce debut d’année et est certainement l’un des meilleur hommage fait a la saga de Nintendo. Chapeau l’artiste.
Le jeu sortira dans les mois qui viennent sur PC et PSvita.
Apres un The Order 1886 qui en aura déçu plus d’un (en plus d’avoir mis en feu quelques membres de Gamekyo), certains s’inquiétait du fait que l’exclue suivante de Sony, se déroulant aussi dans un univers victorien, soit aussi un gros pétard mouillé. Autant dire que c’est absolument tout l’inverse.
Avantages
- La direction artistique dans le style Victorien
- Le système de combat bien kiffant
- Une maitrise parfaite du level design
- Ost qui colle a l’ambiance
- Grosse durée de vie
- Du bon boss qui fait mal
- Difficile mais on en veut encore plus
- Des zones/objets cachés partout
- Une ode a Castlevania
Inconvénients
- Les temps de chargements (le patch arrive, sinon go SSHD)
- Les donjons calices hyper répétitif (tout l’inverse du solo)
- Framerate pas toujours stable lorsque le live est activé
- La camera contre certain boss
- Boss de fin un peu décevant (true last boss inclue)
Franchement je ne m’attendais pas à ça, surtout qu’au début je pestais pas mal sur le jeu (j’étais faible, puis j’ai appris à jouer), mais quelle pépite, j’ai rarement été autant accroché a un jeu.
La direction artistique tout droit inspiré d’œuvres de Poe/Lovecraft couplé a ce level design maitrisé a la perfection regorgeant de boss et de zones secretes, le système de combat pas évident a prendre en main au depart qui devient juste ultra jouissif une fois un peu maitrisé, cette envie d’y retourner quand on s’est fait rouster la gueule et ces mains qui tremblent une fois un gros boss ou ces bâtards de chasseurs abattus, le kiff ultime.
Bref malgré les quelques défauts cité plus haut, Bloodborne est le jeu a ne pas rater en ce début d’année (dans mon "top 5 2015" direct et il ne risque pas d’en sortir), une ode Castlevania diront certains, on y retrouve tout ce qui faisait le charme de la saga : village, foret, chateaux, boss gigantesques…ya meme un fouet ! Konami a du souci à se faire (quoi que maintenant vu ce qu’ils deviennent, ils doivent s’en foutre).
Je comprenais pas l'engouement autour de la serie des Souls mais now tout est clair. Maintenant je veux Dark Souls sur PS4 et je crois que je ne vais pas réussir a résister a Dark Souls II Scholar of the First Sin (finalement ils n’étaient ptete pas si con que ça Namco en ressortant le jeu une semaine apres Bloodborne).
Final Fantasy Type-0 HD, portage du jeu PSP tienne-t-il ses promesses et vaut-il surtout le coup sur console de salon ?
Avantages:
- Systeme de combat ultra dynamique
- Ost qui colle a l’ambiance
- Doublage jap dispo
- Ouh une Worldmap traversable à dos de Chocobo (pauvre mais une Worldmap quand meme)
- Un NewGame+ digne d’interet
- La cinematique de fin trés belle (après Crisis Core, Tabata sait vraiment comment nous faire lacher notre larmichette)
- La démo de FFXV (ah bah ouais on va pas faire semblant)
Inconvenients:
- Seul les modèles des perso jouables ont été retravaillé (et honnêtement je préfère leur visage sur PSP)
- La colorimétrie originelle donnant une ambiance particulière aux niveaux a été supprimé
- Histoire pas très prenante/floue
- On a du mal a s’attacher aux personnages (trop nombreux et stéréotypés)
- Quêtes annexes inintéressantes
- Villes vides et rikiki
- Un boss de fin a la limite du scripté dans un RPG...
J’ai apprécié faire Final Fantasy Type-0 HD, certe ce n’est pas un bon Final Fantasy et encore moins le jeu de ce début d’année, mais il a tout de meme ce quelque chose de prenant qui fait qu’on a envie d’en voir le bout.
Son système de combat en premier lieu qui est juste hyper kiffant et bien speed, chaque personnage ayant un style bien a lui (se la jouer DMC avec King et ses deux guns c’est la classe), mais aussi tout simplement l’envie de savoir ou toute cette histoire va nous mener, ce qui se passe a la fin étant assez soudain et inattendu (vous aimez un certain manga avec une grosse epee ?).
A noter que le NewGame+ a un vrai intérêt car il vous donnera accès a des cinématiques en plus, mais surtout de nouvelles missions dans des zones inédites.
Mais malheureusement des reproches il y en a un tas à faire, en premier lieu le système de jours lorsqu’on est entre 2 grosses missions (je n'en dirait pas plus c'est un peu long a expliquer), mais aussi les quêtes annexes assez foireuses qui consistent la plupart du temps a basher un certains nombres de monstres pour obtenir des objets inutiles, ou alors a l'inverse, assez puissants qu’on les aurait normalement obtenues dans un autre RPG en en chiant contre un gros boss optionnel. D'ailleurs autant le dire, la plupart du temps on les skippera pour direct continuer l'histoire, histoire qui durant ses ¾ ne consistera qu’a une succession de missions ayant pour but de renverser le royaume ennemi, pas ultra passionnant même si ça se laisse suivre.
Ajoutez a ça que les perso sont pour la plupart vu et revu, et que l'histoire est inutilement compliqué, autant dire qu'on a du mal a s'immerger a 100% dans ce qui se passe dans le jeu, j'ai d'ailleurs eu l'impression en le finissant d’être passé totalement a coté tout en l’appréciant (la fin est très belle pour le coup), drôle de sentiment.
Question : Est-ce que j’aurais eu un autre avis si je l’avais découvert sur PSP ? Je ne pense pas, le jeu est a prendre pour ce qu'il est.
Bref Final Fantasy Type-0 HD reste un bon jeu, mais oui il faut le prendre pour ce qu’il est : un jeu portable (avec tout ce que ça implique au niveau du game design) porté sur console HD. En esperant que si Type-1 sort, on aura le droit a quelque chose de largement plus poussé car on tiens tout de meme une bonne base.
Petite note sur le collector a 99 boules : La box est de toute beauté, a l’intérieur nous avons un artbook sobre et rigide de 80 pages assez complet (Chara design, illu and co) mais en anglais, 5 cartes du jeu de Ace et le fameux manga promo qui relate ce qui se passe durant les deux premieres missions. Ah et le steelbook (qui inclus aussi un second CD contenant quelques pistes de l’OST) est l’un des plus beau jamais vu, quelle classe. Ça ne vaut certainement pas 99 euro (plutôt 79) mais ça reste un beau collector.
Entre Apotheon sur PS4, Shantae: Pirates Curse sur Wii U et ce Ori and the Blind Forest sur One, on peut dire que niveau Metroidvania on est gâté sur tout les supports depuis le début de l’année. Et vu le hype M autour du jeu de Moon Studio depuis sa sortie, j’ai décidé de tenter l’aventure dans sa version PC et autant dire que le hype était bel et bien justifié.
Avantages
- L’une des plus belles 2D jamais vu
- Univers onirique a souhait
- Ost somptueuse
- Gameplay accrocheur
- Bonne difficulté
- Système de save intéressant (tout en étant casse-gueule)
- L’intro qui en met direct plein la face
Inconvenient
- Pas toujours évident de distinguer les projectiles ou piques au sol
- Manque de variété dans les ennemis / Pas de vrais Boss, ni de Boss de Fin
- Impossibilité de reprendre notre partie après le générique de fin (quelle bonne idée)
- Un peu court (6h30, ajoutez une heure/une heure et demi de plus pour le 100%)
- Aurait largement mérité une sortie boite
Quand les occidentaux font dans la patte japonaise, ça peut donner des choses juste merveilleuses, et ce Ori and the Blind Forest en fait parti. Avec son univers très inspiré de Ghibli, son hero tout droit sorti de Pokemon, son système de jeu à la Metroid bien maitrisé ainsi que que ses références et ses musiques très japonaises, Ori and the Blind Forest est mon gros coup de cœur de ce début d’année.
Malgré un début un poil ennuyeux (hors Intro, l’une des plus belle jamais vu), le jeu réserve rapidement son lot de moments épiques (les fuites de donjons, toujours un grand moment) et d’émerveillements (certains décors étant juste époustouflant).
Néanmoins on regrettera parfois un manque de lisibilité, de vrais boss ainsi que l’impossibilité de continuer sa partie pour faire le jeu 100% une fois le jeu fini (pensez donc a faire une copie de votre save sur un autre slot).
Bref malgré ces quelques petits défauts pas bien grave, Ori and the Blind Forest est une petite pépite a faire obligatoirement que vous soyez sur PC ou sur One, a ranger aux cotés des meilleurs Metroidvania et de Journey pour son coté onirique.
Un nouvelle 3DS fraichement acquise veut dire achats de nouveaux jeux 3DS, mais aussi achats en masses de vieux jeux DS a des prix plutôt cool en import US.
Je commence avec CastleVania Order of Ecclesia (histoire de continuer dans le « Order » fufufu), mon 3eme CastleVania 2D (après Harmony of Disonance et Aria of Sorrow).
Avantages
- 2D Impec et ambiance au top
- Construction du jeu plutôt bien trouvé
- Ost réussie
- Bonne durée de vie (une quinzaine d’heure)
- Le systeme de Glyphes
- Pas mal de bonus (donjons annexes, quetes, modes de jeux supp)
- Bon rendu sur 3DS
Inconvenients:
- Un peu trop accès farming par moment
- Quelques niveaux en ligne droite sans boss un peu useless
- Histoire un peu trop prévisible
CastleVania Order of Ecclesia change un peu des autres opus avec cette fois un cheminement en plusieurs niveaux (dans lesquels on pourra revenir lorsqu’on aura les bons pouvoir pour découvrir des objets/zones caché) pour finalement atterrir dans le fameux château de Dracula (plus petit qu’a l’accoutumé cela va de soit).
A coté de ça on trouve un village qui pourrait s’apparenter a un hub central ou vous pourrez, une fois les villageois sauvés dans les divers niveaux, faire des quêtes annexes ou acheter de quoi vous équiper/ravitailler.
Un episode que j’ai franchement adoré et qui devient mon préféré malgré une difficulté parfois inégale et ce coté un peu trop farming pour réussir à passer certains boss (bon va falloir un jour faire SotN).