On continue la présentation des séries de Precure avec une saison relativement mal aimée.
Futari Wa Pretty Cure Splash star
La série est régulièrement considérée uniquement comme un remake en moins bon de la première série. Sorti seulement 2 ans après.
Alors est ce vrai? alors je vais vous répondre après la présentation de l'histoire et des personnages.
Saki Hyuga est une jeune fille sportive pleine de vie de 14 ans vivant à la campagne, un jour en rentrant de l'école en faisant un pause devant l'arbre sacré de la ville, elle rencontre Mishou Mai, une jeune fille venant d'arriver en ville avec ses parents après être partie 5 ans. Alors qu'elles n'ont même pas le temps de se dire deux phrases. Flappy et Choppy, deux fées, débarque en leur demandant de leur preter leur pouvoir pour sauver le royaume des fontaines d'où ils viennent. En effet bien qu'elles l'aient oublié, 5 ans auparavant, Mai et Saki s'étaient rencontré sous l'arbre sacré qui les avait choisies pour être Precure et defendre le monde.
Saki Hyuga, Cure Bloom-Bright Jeune ville sportive et dynamique faisant du Baseball, Saki est toujours de bon humeur et en forme. Elle ne tardera pas à intégrer Mai dans son groupe d'amis. Elle est amoureuse du grand frère de Mai.
Son Principal pouvoir en Cure Bloom est un bouclier énergétique et la possibilité de stocker les force de la nature dans ses bras ou ses jambes afin d'en multiplier la puissance de la même façon que le Kaioken.
Une fois en Cure Bright, elle peut réunir la lumière de la lune de la Lune pour en faire une gigantesque Boule d'energie ressemblant à l'astre qu'elle peut envoyer sur l'ennemi tel le Genkidama.
Mishou Mai/ Cure Egret-Windy Mai est une jeune fille calme et discrete adorant le dessin. Elle vient de revenir en ville avec ses parents après l'avoir quitté 5 ans. Son père est astronome et lui a transmis la passion des science et d'observer les étoiles.
Elle devient instantanément amie avec Saki.
En Cure Egret, tout comme Cure Bloom, elle peut générer un bouclier protecteur et booster la force dans ses jambes, par contre elle ne peut booster la force de ses coup de poing à la place, elle boost sa rapidité.
En Cure Windy, elle obtient les pouvoir du vent, ce qui lui permet de provoquer des courant d'airs dévastateurs et à elle et à Bright de marcher dans les air.
Alors pour répondre à la question "Est ce que Precure Splashstar est juste Precure en moins bon?" La réponse est "Oui et Non"
La série partage énormément avec la précédente série, les personnages sont au premier abord les même, les motivations des ennemis sont les même, on a une sub intrigue similaire et une construction aussi similaire.
Quant aux combats, le nouveau réalisateur avait trouvé que Futari wa était trop violent et voulait donc des heroines basant davantage leurs pouvoir sur l'esquive et la defense. Résultat:
En dehors du combat final dantesque qui semble être un best of des combats contre Freezer, Cell et Broly, les combats sont décevants, les héroïnes abusent de leur barrière défensive et repoussent leurs adversaire sans aller au contact, contact qui d'ailleurs est aussi expédié trop vite quand il a lieu vu la surpuissance des Precure qui est digne d'un Super Saiyen. La plupart du temps, en un coup, l'adversaire est à terre.
C'est dommage car les Splashstar sont de vraies armes de destruction massives, elles sont d'ailleurs souvent utilisées ainsi dans les films crossover.
Donc oui, quand on se limite à ça, la série est en effet uniquement une pale copie de Futari wa.
Mais tout n'est pas negatif. Déjà comme je l'ai dit, le combat final est dantesque, mais vraiment c'est un des deux meilleurs combat final de toute les séries de la licence et un des 5 meilleurs combat de celle ci en général.
Mais en plus, le fait que les combats soient moins spectaculaire permet de maintenir une qualité graphique bien plus stable. Les 2 saisons précédentes avaient des épisodes très laids. Ce n'est jamais le cas dans Splashstar, de plus le thème de la nature est utilisé a merveille avec le cadre idyllique d'une petite ville de campagne au bord de la mer et de la montagne qui offre des décors et jeux de lumières superbes.
Et niveau scénario, si la construction et la sub intrigue est similaire à la précédente série, elle est aussi plus complète et mieux développée. Même chose pour les personnages secondaires et l'aspect tranche de vie, déjà bien traité dans Pretty Cure, ils le sont encore mieux dans Splash star.
Quant à Saki et Mai, elles ne sont qu'au premier abord des clone de Nagisa et Honoka. On se rend vite compte que c'est tout sauf le cas. Nagisa est prompte a deprimer et Honoka a son caractère, les deux ont mit du temps à se lier et même si elles sont les meilleures amies, il y aura des moment où leur caractère respectif les séparera.
Mai et Saki sont présenté dès le départ tel des âmes sœurs. Ne se rencontrant que quelques minutes 5 ans avant la série mais se rappelant de la rencontre. Devenant instantanément amies et voulant en connaitre davantage l'une sur l'autre. Elles sont vraiment en symbiose et c'est un vrai plaisir de les regarder vivre.
La série excelle dans son aspect tranche de vie qui est un des meilleur que j'ai vu avec des série comme Tamayura, Pastel Yumi,hanayamata, Doremi, Aria ou Barakamon. Sur ce point c'est avec Heartcatch la meilleure saison de Precure
Un autre point qui pourrait attirer un certain public, c'est qu'on peut carrément voir du subtext Yuri dans la relation des heroines(chose qui ne serait pas surprenant dans du magical girl).
Si Saki a un garçon dont elle est amoureuse, Mai n'en a pas et sa vie semble se limiter à passer du temps avec Saki, aller voir Saki faire du sport pour l'encourager, remplir un carnet de dessin complet de dessins de Saki.
On en est pas du tout au niveau de Tomoyo dans Sakura (qui a du mal a retenir ses hormones pour pas sauter sur sa cousine) mais il est clair que la vie de Mai tourne autour de Saki et cela peut laisser l'imagination vagabonder.
De plus certaines paroles du générique de début sont d'ailleurs assez éloquente. alors que Saki rattrappe Mai en train de tomber, les paroles chantent "il faut que je te dise "je t'aime", tu m'es importante, j'ai besoin de toi".
Quand au premier générique de fin, il parle des sentiments naissant à l'adolescence dont il ne faut pas avoir peur tout en nous montrant Mai dessiner Saki plutôt que le modèle en dessin, puis lui eteindre doucement la main sous le soleil couchant puis se termine encore avec leurs mains s’enlaçant tout en formant un coeur.
Des paroles et scène qu'il est facile d’interpréter comme étant l'analogie des sentiments des personnages et mis en scène pour semer le doute.
Même si offiellement c'est pour symboliser la fin d'une dispute, la transformation du film de la série en fait aussi beaucoup
Bref, que dire de Splashstar? Si vous êtes interessé par Precure uniquement pour ses bastons, zappez la série, matez juste les 2 derniers épisodes (la baston finale). Mais si vous voulez une excellente série tranche de vie sincère et pas moe avec une grande quantité de bons persos, un duo de méchant interessant avec un poil de subtext yuri, la série est pour vous, surtout si vous n'avez pas vu Futari wa(et que vous ne risquez donc pas de comparer.
Personnellement, Splash star est dans mon top 3 de mes Precure favori juste derrière Heartcatch et Go Princess. Je trouve l'alchimie entre les heroines adorable, et la qualité du tranche de vie et du soin apporté aux décors me parlent. Osef des combats, quand la série a commencé a revenir sur sa trame principale sur la fin pour attaquer les choses serieuse et les grosses bastons, ça m'a même lassé car ce n'est pas la force de la série
A noter en anecdote que le second ending a quasiment eu l'effet d'un hare hare yukai(ed de haruhi) en son temps et est devenu culte au point que la licence l'a repris pendant 3 ans, qu'il a 4 version officielles et qu'il a initié les ending dansés pour la licence.
Je vous parle régulièrement de Precure, vous montre des extrait des bastons de la licence, mais je me rend compte que jamais je ne vous ait réellement présenté les séries, vous permettant de vous faire un avis ou d'en essayer une saison.
Je vais donc faire cela, en commençant de façon logique par la première saison, Futari wa Pretty Cure
Alors, "Nous sommes les jolies guérisons" est une série de magical girl lancé en 2004 par la Toei afin de prendre la succession de Doremi.
Pretty Cure se démarquait à l'époque par plusieurs concept uniques.
-Le premier était d'intégrer de vrais combats à la série en la confiant au réalisateur de DBZ.
-le second était de la penser avant tout comme un show de super héros à la kamen rider pour fille plus qu'un magical girl, d'ailleurs on remarque que la transformation des héroines dans la saison 1 a plus de l'enfilage d'armure que de la transfo de magical girl.
-Le dernier concept était de limiter le groupe de magical girl à 2 personnage que tout oppose forcé de faire équipe et de profiter de l'humour et des développement de personnage que ça implique.
Et d'après le staff, le film leur ayant servi de modèle pour le concept était le film 48 heures sorti en 1982 avec Eddy Murphy et Nick Nolte
Ainsi, les heroines deviennent magical girl ensemble sans se connaitre à la base ni avoir vraiment le temps de réfléchir à ce que ça implique et lors des premiers épisodes, elles ont du mal à se faire confiance. De plus, elle ne peuvent se transformer si elles ne se prennent pas la main et se détransforment si elles sont trop éloignées.
Cela même à des héroïnes ayant vraiment une relation à part dans le genre et crée des conditions de combat uniques.
Cet aspect est d'ailleurs moins présent dans les séries qui suivront et disparaitra dans plein de saisons.
Bon maintenant, laissez moi vous présenter la base de l'histoire
Misumi Nagisa est une jeune fille de 14 ans sportive pratiquant la crosse, très populaire auprès des filles des club sportifs, elle préférerait être plus délicate et féminine afin de plaire au garçon qu'elle aime.
Un jour, alors qu'elle regarde par la fenetre de sa chambre, une Fée Mepple lui tombe littéralement sur la tête. Affaiblie, cette dernière lui demande de veiller sur elle et de l'aider à retrouve sa fiancée Mipple.
Il se trouve que Mipple a été trouvé par Yukishiro Honoka, une élève de son collège que Nagisa jalouse un peu car elle est délicate et populaire auprès des garçons.
Alors que Nagisa et Honoka permettent aux fée de se retrouver, elles sont attaquées par des membres de la Dusk Zone qui veulent s'en prendre à Mipple et Mepple. Les 2 jeunes filles pour sauver leur vie n'ont d'autre choix que d'accepter les pouvoirs que leur offre les fée et devenir les Pretty Cure afin de lutter contre la Dusk Zone.
Personnages: Misumi Nagisa/Cure Black Heroine principale, d'apparence garçon manqué, goinfre et peu delicate, Nagisa est en fait une jeune fille ayant du mal à affirmer sa feminité et avoir plus confiance en elle. Nagisa a un fort sens de la justice, mais son manque de confiance en elle fait qu'au début de la série, elle hésitera a continuer d'être Pretty Cure.
Son Style de combat est basé sur des enchainements assez bourrin de coup de poing et dans une moindre mesure de coup de pieds
Yukishiro Honoka/Cure White Honoka est une jeune fille douce intelligente et délicate dirigeant le club de science du collège. Très sociable et amicale, elle n'a d’apriori envers quasiment personne et cherchera très vite a devenir amie avec Nagisa bien que celle ci ne soit pas prete à cela, ce qui rendra les débuts de leur collaboration difficile. Surtout que Honoka n’hésite pas a être strict et sévère quand elle considère qu'il le faut.
En Cure White son style de combat est composé de coup de pieds et de choppes variés
vous l'aurez compris au vu de cette description, une des force de la série repose dans ses personnages et leur écriture, au delà de l'opposition des 2 personnage, ce qui est efficace c'est les personnages sont déjà l'opposé de ce qu'ils semblent être. Nagisa, personnage principal, forte en apparence et leader manque de confiance en elle alors que Honoka bien plus discrète et effacée est la plus forte psychologiquement des deux.
D'ailleurs cette qualité d'écriture ne se limite pas à ces deux personnages, contrairement la majorité des saison plus récentes ayant plus de personnage principaux, cette saison a une vraie gallerie de personnages secondaires nombreux et bien écrits. Comme dans Magical Doremi, les magical girl ont de vrai personnages comme amis et famille.
L'autre force de la série découle de son premier concept et si à l'heure actuelle, la technique de la série a très mal vieilli, elle arrive encore a tirer son épingle du lot sur un poing, la violence de ses affrontements.
Dans la seconde moitié 2000, les lois sur la violence dans les programmes jeunesse se sont durcies au japon, interdisant les coup porté aux visages aux personnages de moins de 14 ans et aux jeunes filles a moins d'obtenir l'accord d'un comité au cas par cas(c'est notamment pour cela que Saint seiya Omega ne pouvait avoir le même niveau de violence que l'original car en l'état, la série est déjà passé à plusieurs reprises devant le comité car certains épisodes aurait put faire annuler la série vu leur violence).
Pretty Cure et sa suite Max Heart sont les seules saisons de la licence Precure a être sorties avant que cette loi passe. Et ça se ressent, les combats sont moins basés sur des chorégraphies complexes mais les impacts sont bien plus fortement marqués par les bruitages et la série fait davantage la part à du corps à corps bourrin (au point que Black se blesse parfois au point de frapper fort son adversaire et que White nous sorte des variantes du Pile Diver)
Ce côté bourrin sera d'ailleurs recurrents chez ces deux Precure dans les films cross over où elles seront montré comme les plus puissantes Precure, one shotant sans utiliser aucun pouvoir des adversaires contre lesquelles les autres Precure ont du mal à lutter a plusieurs avec leurs pouvoirs
Tiens, d'ailleurs vu que j'ai cité sa suite Max Heart, elle vaut quoi?
Et bien pas grand chose. Bien qu'ayant un assez gros boost technique, un très bon combat final, 2 films de qualité et une transfo super cool, la série est beaucoup moins bonne.
L'intrigue et se contente d'appronfondir le background du royaume des fée de la saison de la saison précédente(sur 50 episode c'est light) et l'introduction d'une 3ème Precure brise un peu l'alchimie des heroines, surtout que cette 3ème Precure est ratée, elle n'a aucune capacité de combat et peut juste fournir un boost de puissance obligatoire à la super attaque des 2 autres et que donc même la majorité des combats se retrouvent perturbé par sa présence.
Ah, Shaft, le studio que tout le monde associe aux production de Akiyuki Shimbo et son style si particulier.
Un studio qui depuis 2012 semble avant tout consacré à la licence monogatari(sur 18 titres produit depuis début 2012, 8 était du monogatari, 3 du Madoka et 7 uniquement le reste) au point d'avoir fait partir du studio pas mal de leur staff qui ont preféré rejoindre des studio comme Silver Link, Deen ou la Toei.
Mais assez parlé parlé de leur politique pour l'instant, je vais vous parler d'un anime de Shaft different, ne portant justement pas la patte Shimbo.
Et cet anime ce sera
REC, une série très courte (9 épisodes de 13 minutes) réalisé non pas par Shimbo mais par Ryutaro Nakamura, le réalisateur de Serial experiment Lain qui fit partie du Studio en 2006/2007.
REC est une comédie sentimentale entre un comptable de 26 ans et une jeune seiyuu de 20 ans (dont le reve est de doubler Audrey Hepburn dans une version jap d'un de ses films) qui se rencontrent par hasard et vont devoir cohabiter.
L'age des protagonistes permet non seulement un traitement plus mature de la relation amoureuse par rapport aux séries du genre mais aussi de la voir évoluer rapport à leur travail très différent où ils ont tout les deux des problèmes.
Un autre intérêt de la série pour les cinéphiles c'est les nombreuses références aux films d'Audrey Hepburn (dans mon cas, Diamant sur Canapé est un de mes films fétiche)
Seulement 9 épisodes de 13 minutes c'est trop court et quand on fini REC, on en veut encore (surtout que le manga fait 13 volumes)
Bref, REC est une comédie sentimentale mature et bien foutue sur un thème original avec des bonnes références cinema mais trop courte.
D'ailleurs, le manque de visibilité et de soutien alloué des production de Nakamura dans le studio Shaft comparé à celles de Shimbo le feront quitter le studio après avoir réalisé le film Kino no Tabi
Precure X One Punch Man (en plus c'est vrai que l'heroine de cette saison, dès qu'elle arrete les kick et passe au falcon punch, le combat est fini)
au passage si vous vous posez la question, oui, cette saison de Precure a été diffusé en même temps que le début de Dragonball Super du même studio, certains extraits utilisés dans cet AMV ont même été diffusé la même semaine que le fameux episode 5.
Ah, le studio Satelight, un studio quasiment entièrement dédié à une chose, les anime de Shoji Kawamori (Macross, Aquarion, AKB0048...)
Les Mecha, les fresque spatiales et les idoles sont des choses quasi indissociables de leur prod, le tout avec une grosse quantité de 3D.
la prod de Satelight est un peu l'incarnation de ce qui plait aux otaku actuellement (bon pas que actuellement, Kawamori ayant toujours évolué en faisant ce qu'aimait le public selon les époque).
Et pourtant, il y a un titre dans leur production pour adulte qui est l'anti thèse complète de l'anime pour otaku actuel. Un titre qui transpire le retro et l'anti otaku par tout les pores.
Et ce titre c'est:
Guin Saga
Ici, pas de mecha ni d'idole, mais de la Dark Fantasy virile typé Conan ou Elric. Oubliez aussi les design très manga actuel, la série a clairement un design inspiré par une imagerie occidentale pas du tout sexy pour les fan d'anime.
Je ne ferait même pas de résumé de la série Guin Saga est à voir, ne serait ce que pour une question de culture générale.
Guin Saga est un monument, si l'anime bien qu'incomplet est excellent, il faut prendre en compte ce qu'il adapte.
Guin Saga c'est une série de Dark Fantasy de bientôt 40 ans, recordman mondiale de longueur dans son genre (130 volumes et plus de 30 nouvelles courte de side stories), qui a été la principale inspiration de Kentaro Miura pour son manga Berserk et a eu Yoshitaka Amano (Final fantasy, Front Mission, Vampire hunter D) comme illustrateur pendant 15 ans.
C'est d'ailleurs une oeuvre qui continue malgré la mort de son auteur.
A noter que pour renforcer son aspect mythique, la série animé a eu comme compositeur, Nobuo Uematsu, le mythique compositeur des Final fantasy.
Le générique de fin de la série est lui chanté par la chanteuse lyrics Kanon
dont la voix impressionnera suffisament Uematsu pour qu'il fasse avec elle un album de reprise des musiques de Final fantasy nommé A new Story et qu'il l'invite à la représentation de Sydney du concert Distant World où elle fera les plus belles reprises existante de Suteki dane et Memoro de la Stonoistant World
Quand on pense Gainax, en premier on pense à Evangelion bien sur.
Et plus généralement on pense à pas mal de choses qui ont rendu le studio célèbres, le Gainax bounce(ces animations des seins qui rebondissent dans Gunbuster que l'on retrouvera dans Re cutey honey, mahoromatic et Gurren Laggan), les mechas, des intrigues complexes remplis de machination, une tendance a sombrer dans le fanservice echii, les chara design de Sadamoto et une tendance a faire un anime pour otaku voir geek avec plein de références et hommage.
Mais si il y a pas un genre qu'on ne s'attendrait pas avoir sortir des studio Gainax, c'est un Magical girl sincère visant les petites filles.
Encore moins un Majokko( sous genre du magical girl, il s'agit d'anime de petite sorcière aidant les gens avec leurs pouvoir)
Et pourtant c'est ce qu'a fait la Gainax en 2002 avec
Petite Princess Yucie
Et n'allez pas croire que c'est une petite adaptation d'un obscur manga pour faire de l'alimentaire.
Non, il s'agit bel et bien d'un projet 100% Gainax.
A cette époque, la Gainax decide d'adapter leur série de jeu d’élevage de jeune fille Princess Maker
Pour ceux ne connaissant pas Princess Maker, c'est un jeu de gestion où tu es un chevalier élevant seul une gamine entre ses 10 et 18 ans dans le but de lui donner la meilleure situation possible en lui faisant faire toute sorte de petit boulot.
selon votre travail, la gamine se mariera ou pas et trouvera toute sorte de travail allant de la princesse à la bonne soeur en passant par la gardienne de cimetière et la prostituée.
Il s'agit clairement d'une série visant un public adulte et masculin vu la gestion que ça implique, l'aspect moe et les nombreuses illustrations de fin de la gamine (dont certaines sexy) à collectionner, mais pour son adaptation, la Gainax a surpris tout le monde en la destinant aux enfants et au petites filles plus exactement.
Le tout avec tout les plus grand du studio bossant dessus, Anno a supervisé la série, Yo Yoshinari a fait de la Key animation, le scénario est confié a du staff présent dans le studio depuis le début...
Le concept fut alors totalement repensé, l’héroïne n'a pas 10 ans mais 17 et a subit une malédiction qui la fait ne pas vieillir physiquement et pour se débarraser de la malédiction doit réaliser une prophetie et rentrer dans une école destiné à faire d'elle une princesse avec d'autre candidates.
Et c'est là le point de départ pour une très très bonne série jeunesse, une histoire mélant amitié, aventure, magie, tranche de vie, des personnage gagnant en maturité au cours de la série, des leçon de vie pour les enfants et un peu d'action, bref, l'essence même d'un bon majocco sincère.
Voilà, je commence une petite série d'article sur les anime.
Le but de ces articles est simple, faire découvrir aux personnes le lisant une série atypique du style de série de ce studio.
Je pense qu'on est d'accord pour dire que plein de studio ont un style bien à eux et que donc généralement si on aime pas vraiment le style de ce que fait un studio, on évite leur production. Mais il arrive que le style d'un studio ait vraiment changé avec le temps ou bien que pour une raison ou une autre, un studio nous sorte un Ovni dans sa prod. Un truc vraiment différent du gros de leur prod.
Ces séries passent souvent inaperçu (car quand on fait différent, même quand c'est bon, ça se vend mal) et donc avec mes articles, j'espère vous faire découvrir quelques petites gemmes cachées de l'animation jap.
Pour vous laisser la surprise sur la titre dont je parlerais dans l'article, je citerai le nom du Studio et non de la série.
Bon allez on y va, fini pour l'intro, je débute l'article
Comme vous avez put le voir dans le titre, mon premier sera à propos d'un anime du studio Pierrot.
Actuellement, la majorité connait Pierrot avant tout pour ses gros shonen d'action, genre dont il est devenu maitre dans les années 2000, mais aucun studio n'a vu sa prod évoluer au cours du temps autant que Pierrot (mais on parlera de ça dans un autre épisode)
Mais malgré tout ces changements, il y a un genre que Pierrot n'a quasiment jamais touché c'est la série sentimentale.
Et c'est d'un série de ce genre que je vais vous parler. Et attention car vraisemblablement quand on se décide a faire une série d'un genre dont on est pas habitué, il faut vraiment marquer le coup, le studio Pierrot a adapté une série qui est déjà un ovni dans son genre.
Une série sentimentale très réaliste mais qui de plus est placé dans un contexte historique lui aussi traité avec réaliste.
Ca vous intrigue n'est ce pas? Vous n'avez pas une petite idée de ce que c'est?
Si je vous parle de femme de chambre? de problème de classe? d'époque Victorienne?
Oui, certains d'entre vous on deviné j'en suis sur. Je parle bien sur de...
Victorian Romance Emma
Petit Chef d'Oeuvre basé sur le manga de Kaoru Mori, Victorian Romance Emma raconte l'histoire de William Jones, un jeune homme de la bourgeoisie anglaise du 19ème siècle qui rend visite a son ancienne institutrice et tombe amoureux de la domestique de cette dernière, Emma.
Malheureusement, cette amourette n'est pas du gout de la famille de William qui espère le marier à une noble afin de faire progresser le rang social de la famille.
Emma est vraiment une oeuvre unique, oubliez le moe, le fanservice des comédie sentimentale pour garçon où les persos aux réaction excessives de celles pour filles. nous somme ici dans une histoire sentimentale réaliste dans un contexte historique retranscrit à merveille (l'auteur est fan de l'époque victorienne et ça se voit)
En fait la série ferait un très bon film live par un bon réalisateur français (on est très doué pour les film d'époque en france) car on est limite dérangé par les voix japonaise qui semblent HS vu la véracité du récit.
A noter que le manga Emma a été primé primé au japon en 2005 et aux Etats Unis en 2007 pour son excellence.
L'auteur Kaoru Mori est même l'un des 3 seul auteur de manga a avoir vu un de ses titres primé au festival d'Angouleme (pour Brides Stories un autre chef d'oeuvre ce coup çi sur les coutumes du mariage au moyen orient au 19ème siècle)
On a souvent tendance a cracher sur Toei animation car leur qualité d'animation ne vaut pas celle des autres studio d'animation jap.
Mais est ce que cela en fait un mauvais studio pour autant?
Je vais exposer ici plusieurs raisons qui font de Toei animation un bon studio, voire un très bon.
1.Ils voient l'animation à long terme:
détaillons cela pour l'expliquer
-Il font des séries longues avec des budget pas hyper élevés.
La majorité du public y verra un défaut mais si on regarde comment sont produit les série d'animation au japon, ce serait plus une qualité l'animation sur le long terme.
En effet les série d'animation courte et a haut budget qui sont la norme actuelle est une façon de produire très risquée.
Une série courte n'a pas le temps de fidéliser un public et tout les 3 mois, il faut donc promouvoir une nouvelle série et les budget élevés sont de véritable coup de Poker vu qu'un seule série sur dix s'avère rentable (et la plupart du temps rapporte assez d'argent pour financer les autres)
Et si un studio manque de chance ou rate sa promo trop de fois de suite ben, il se retrouve dans une situation critique. Bee Train qui dans la première moitié 2000 et jusqu'en 2007 était une référence l'a payé cher au point qu'ils n'ont plus rien produit depuis 2012. Gonzo qui était aussi le studio de référence de la première moitié 2000 au côté de Bones a payé très cher des gros Budget comme Last Exile ou Gankutsuo qui ont forcé le studio a produire des série largement moins bonnes mais vendant plus dans la seconde moitié 2000(Rosario Vampire par exemple). Et avoir osé offrir une suite ayant une qualité technique digne de son ainé à Last Exile en 2011/2012 pour l'anniversaire du studio l'a quasiment achevé au point qu'il ne sort plus qu'une série de 13 épisodes par ans dans l’anonymat le plus total.
Le studio a même sortie un film recap de la série pour réussir a la rentabilisé tant elle leur a couté cher. Manglobe a carrément fermé à cause de quelques échec.
De l'autre côté une série longue fidélise la clientèle et des budgets moins gros diminue les risques de perdre de l'argent. Autant dire que sur le long terme c'est une stratégie bien plus viable car beaucoup moins risquée
-Le studio favorise les série jeunesses.
Encore une fois, le public adulte y verra parfois un defaut mais sur le long terme c'est bénéfique.
Déjà pour une question de visibilité et rentabilité. Les série jeunesses sont diffusé la journée alors que les série pour adultes sont diffusé entre 23 heures et 2 heure du matin. Donc elle ont bien plus de public mais en plus vu qu'elles visent les enfant, elles produisent plus de produit dérivé ce qui aide a financer la série (80% des bénéfices d'une série venant des produits dérivés)
Encore une fois la majorité des studios ne faisant que des anime nocturnes continue d'augmenter l'instabilité du marché et on ne sait pas ce qu'il en restera dans 15 ans. ce qui amène à l'autre raison qui fait que faire des anime jeunesse c'est positif.
Si on ne fait plus d'anime pour les jeunes, la fanbase d'animation ne se renouvellera pas, la moyenne d'age du public vieillira et dans 20 ans plus personne ne regardera d'anime.
2. C'est un des seul seul studio d'animation jap à prendre en compte l'occident (avec MadHouse dans une moindre mesure)
La Toei est en effet connu pour avoir produit des série et film spécifiquement pour l'occident (Saint Seiya Omega et Soul of Gold, les film 3D Albator et Saint seiya, Sailor Moon Crystal où encore la coproduction Miraculous avec TF1 et Zagtoon), ils ont d'ailleurs un site officiel en francais et veulent tellement offrir à l'occident des diffusion de qualité qu'ils refusent les simulcast pour la majorité de leurs série en imposant aux éditeur une diffusion sur une chaine télévisé et une VF car les simulcast ne visent qu'un marché de niche.
D'après les dirigeant de Toei animation, prendre en compte l'occident c'est l'avenir, un discours malheureusement trop rare face à la majorité de la prod qui chaque année sort des série de plus en plus ciblé pour le japon.
3.Toei animation forme ses propres animateur
Là où la majorité des studio engage des animateur qui apprennent par eux même en étant intervalliste des années, Toei animation a créé une école d'animation dans les années 90 et forme donc ses animateurs. Et les animateurs issu de l'école Toei sont bien souvent excellent
et je ne parle même pas de leur réalisateurs, Kunihiko Ikuhara (Utena, Penguidrum, YuriKuma) Rie Matsumoto(Blood Blocked Battlefront, Kyosogiga), Takuya Igarashi (Oran high school host club, Soul Eater, Star diver) Mamoru Hosada(Summer wars, Wolf Children) et Kenji Nakamura (Gatchaman crowds, Trapeze, C control, Mononoke) tout ceux sortent de l'école Toei,
et il faut rajouter à ces réalisateur des Morio Hatano(Heartcatch Precure, Saint seiya Tenkai, Saint seiya Omega saison 1) et Tatsuya Nagamine(Heartcatch Precure, Casshern sins, One Piece Z, Saint seiya Hades sanctuary, Happiness charge Precure) qui sont toujours chez la Toei et brillent en temps qu'élèves de Shigeyasu Yamauchi(Casshern sins, Saint seiya Abel, Tenkai, Hades sanctuary, Dragonball Z Gogeta, Bojack et Broly)
4.Le 4 est le cumul des 2 et 3, la Toei forment à l'étranger.
Là où pas mal de studio se contentent de soustraiter dans d'autres pays d'Asie(Pierrot par exemple), La Toei a ouvert une école d'animation aux Phillipines et ça paie, Si leur début ont été laborieux, chaque année le niveau du studio s'améliore. la dernière saison de Precure est à moitié réalisé par Toei Phillipine d'ailleurs même chose pour la saison 3 de Sailor Moon Crystal. dans 5/10 ans, il est clair qu'ils pourront produire leur propres séries.
Encore une fois, la Toei a pensé à l'avenir et a trouvé ainsi une solution viable au manque d'animateurs au japon.
Et le mieux pour les Philippins c'est que les salaires proposés par la Toei sont dans le pire des cas 40% supérieur au salaire moyen dans le pays(pour les animateur clés et directeur de l'animation, ça peut monter à 3 fois le salaire moyen dans le Pays)
Ça mêne d'ailleurs au dernier point qui est le plus important à mes yeux
5. Toei animation est le studio d'animation jap traitant le mieux ses employés.
C'est un des seul studio d'animation jap(avec Kyoani) a prendre ses animateurs sous contrat et à leur offrir donc un salaire fixe même quand ils ne bossent pas beaucoup(y compris pour les intervallistes). leur salaires et paye des animateurs freelances sont aussi 20% supérieur à la moyenne japonaise.
C'est aussi le seul studio d'animation jap a payer les heures supplémentaires et a offrir une protection sociale et des ticket repas à ses employés.
Et pour finir, depuis Mars 2016, c'est aussi le seul studio d'animation jap qui a accepté d'appliquer l'intégralité des lois du travail à ses animateurs, ce qui inclut des CDI et la possibilité de cotiser pour une retraite.
Bref, Toei animation est le seul studio d'animation jap a ne pas traiter les animateurs comme des esclaves quitte à faire moins de profit et rien que ça, ça en fait à mes yeux le meilleur studio d'animation jap.
Ces derniers jour, j'ai eu envie de faire un tour d'horizon des BTA sailormoon, j'avais celui sur SNES sorti en france mais je n'avait pas touché la version megadrive et le Sailormoon R.
Les version megadrive et SNES sont à la fois proches et pourtant très differentes.
En fait c'est un peu comme les dragonball SNES et megadrive.
Chaque version semble avoir la même base et a eu ses priorités et a ses points forts et ses points faibles.
Alors on commence par le premier sur SNES
alors pour le positif:
il y a 5 persos jouables
le jeu a un mode 2 joueurs
Les sprites sont gros, comparables en taille à ceux de Final Fight voir un peu plus grand et pourtant le jeu affiche parfois 4 ennemi en même temps+ les deux joueurs
Le level design a régulièrement des petite originalités qui brise la lassitude.
On reconnait pas mal de lieu de la série.
la palette de coup est correct sans être grandiose (2 coup sauté, un enchainement, 2 choppe, un special chargé et un autre utilisant de la vie)
Les voix digit et animation sont très sympa et fidèle à la série.
La cinematique de fin est sympa (et plus longue si on fini en hard)
en négatif:
-Le jeu manque de couleur, on croirait davantage un jeu megadrive que SNES
-Le jeu est un peu lent
-le gameplay reste un poil limité
graphisme:14/20
gameplay:12/20 en solo 15/20 à 2
Son:14/20
durée de vie: 15/20 grace aux 5 persos jouables à la fin bonus en hard et au mode 2 joueurs, la durée de vie est plus que correct pour un titre du genre de l'époque.
Note global et verdict:
Le jeu sailormoon est un petit jeu à licence correct ayant un durée de vie correct qui souffre de son manque de couleur et d'un gameplay un peu limite et surtout mou du genou.
le jeu vaut surtout le coup à 2, seul on se fait vite chier.
12/20 en solo 15 en multi.
maintenant la version megadrive:
Positif:
-gameplay amélioré à quasiment tout les niveaux, le jeu est beaucoup plus rapide, les charge se font plus vite, les rendant plus utiles, un coup special et un dash sauté(avec possibilité offensive) est rajouté à chaque persos. Jupiter et Mercury ont aussi vu leur attaque combo modifié pour être plus unique et utile.
-les sprites sont encore plus gros que sur SNES et plus détaillés.
-la resolution d'images est meilleure
-le jeu a davantage de couleurs que sur SNES
-les voix digits sont de meilleure qualité que sur SNES
-le jeu a une cinematique d'intro et une cinematique de fin pour chaque persos
-le jeu est scénarisé avec des dialogue au cours du jeu.
-on affronte les généraux dans les premiers niveaux et non des monstres Lambda de la série en boss
-il y a un boss caché si on joue en Hard
-les pattern du boss final sont revu et bien plus inintéressantes.
-le jeu a certain niveau inédits et ennemis inédits
en négatif:
-Plus de mode 2 joueurs
-le jeu n'a plus que 3 ennemis à l'écran à la fois
-certaines animations sont virés
-video de fin assez naze comparé à la version snes
-les décors n'ont plus les référence à sailormoon comme sur SNES
-les généraux absents sur SNES ont des pattern moins intéressants que les boss lambda de la SNES.
-les nouveaux coup speciaux utilisant la vie de mercury et jupiter sont moins bons.
-Quand on perd un continue, faut se refaire la dernière portion du niveau là où sur SNES on recommençait là où on mourrait.
-certains niveaux et ennemi sont absents
-certain niveau ont perdu les particularité de level design qui les rendaient unique(même si d'autre en ont vu rajouté)
Graphismes:15/20
Gameplay:15/20
Durée de vie:14/20
Son:14/20
Verdict:
La version Megadrive de Sailormoon est clairement un meilleur jeu que la version SNES. En fait, elle explose niveau plaisir de jeu un Final fight 1 sur SNES et surpasse la plupart des BTA des 2 consoles joué en solo (seul Turtle in time, Final fight 3 et les Street of rage font aussi bien ou mieux)
Il est vraiment dommage que le jeu n'ai pas de mode 2 joueurs et que pas mal de contenu de la version SNES ait été viré(même si remplacé par de l'inédit) sinon, on aurait clairement en face de nous un des meilleur BTA SNES/Megadrive note: 15/20
Ce que je retient de ces 2 BTA sailormoon, c'est qu'on a l'impression d'avoir en face de nous 2 jeux qui n'ont pas été finis ou plus exactement que chaque version n'est que la moitié du jeu.
Franchement, les jeux mériteraient d'être remaké dans un seul jeu incluant tout le contenu des 2 versions. Ca donnerait clairement un jeu rivalisant avec les maitres du genre sur 16 bits.
Bon maintenant, on s'attaque à Sailormoon R sur SNES
bien que développé directement par Bandai, il est clair que Sailormoon R s'inspire beaucoup du précédent jeu.
Encore une fois, je vais lister le positif puis le négatif:
Positif:
-Sprites maintenant aussi grand que sur Megadrive et pourtant dans de rares cas, on a 4 ennemis à l'écran
-jeu quasiment aussi rapide que sur Megadrive
-Rajout d'une attaque speciale en cutscène aux coup
-combo des persos revu (pour du mieux dans le cas de Venus pour du moins bon pour Jupiter, mais ça reste correct)
-toujours les petites mimics sympas
-Chibi Usa jouable(donc 6 persos)
-Toujours des truc en plus en hard
Negatif:
-Le jeu a encore moins de couleurs que le premier, si les sprites n'étaient pas si gros on se croirait presque sur game gear.
-l'animation est très mauvaise pire que dans le 1 avec des persos ultra rigides
-Le gameplay n'est toujours pas aussi riche que l'épisode megadrive
-le level design n'a plus aucun petit truc donnant de la variété au jeu.
-si les Digit sont toujours sympa, les ziq sont très moyennes
Notes:
Graphismes: 13,5/20
Gameplay: en solo 13/20, 15/20 à 2
Durée de vie:16/20 sur ce ce point, pas de changement, vu qu'il y a un perso de plus de jouable c'est même mieux.
Son:13/20
Verdict
Il est dommage que les graph aient régressé, que le gameplay n'égale toujours pas la version megadrive et que le level design soit énormément inférieur au précédent jeu.
Sailor Moon R est meilleur que sailor Moon sur SNES mais ce n'est toujours pas le jeu ultime et si vous jouez seuls, il vaut mieux choisir le 1 sur megadrive. Note solo: 13,5/20
Note multi:15/20
Au passage avis rapide sur la version Arcade:
Sailor Moon Arcade est un clone du premier final fight avec des graph plus beau et où on aurait enlevé l'utilisation d'armes pour rajouter un dash(et un dash sauté) et des attaque en cinématique.
Très beau et fidèle a la série visuellement, le jeu joue clairement avant tout là dessus. Il souffre d'un gameplay pas mauvais mais trop limité pour 1995 et de personnages dont la palette de coup n'est pas assez différente quand on en change (seul sailor Mars se démarque) et surtout pas assez typé Sailormoon.
Graphismes:18/20
Gameplay:12 en solo, 14/20 à 2
durée de vie:12/20
Musique:14/20
note globale: 13/20 en solo 15/20 à 2
N'empeche vu que chaque version a ses points forts, je me dit qu'un projet du style de Street of rage Remake avec un gameplay regroupant ce qu'il y a de mieux de chaque jeu, des graph updaté au niveau de l'arcade, tout les niveau des 4 jeux avec embranchement et narration illustré et pourquoi pas à débloquer d'autres sailor des autres saisons. Ben ça ferait justement un sérieux rival à Street of rage Remake
Ah, l'anime Tsukihime...
C'est l'anime le plus hait des fans, au point qu'on entend souvent "Il n'y a pas d'anime Tsukihime"
Mais est il si mauvais?
C'est ce que nous allons voir.
Histoire:
L'histoire de l'anime Tsukihime reprend en gros la première route du jeu en y intégrant certains éléments des autre routes. Cependant, il y a un problème, l'anime ne fait que 13 épisodes, ce qui aurait déjà été très limite pour n'adapter que la première route (qui de toute façon seule offrirait déjà un gout d'inachevé).
Et attention, le fait que l'on passe à côté de plein de chose se ressent même si on considère l'anime comme une œuvre indépendante.
Tout le background du personnage principal (et même 80% de sa personnalité) est viré, ce qui est assez catastrophique
Et le pire c'est que malgré tout, l'anime a prit le temps de faire un épisode filler.
L'anime a aussi enlevé quasiment tout l'humour du jeu, ce qui lui enlève beaucoup de son sel.
Reste un histoire intrigante, difficilement compréhensible et souvent rushé malgré un rythme très très lent
C'est du niveau de Kara no Kyoukai d'ailleurs par son statut de prototype non terminé et son adaptation prenant des raccourcis offre un scénar quasiment aussi incomplet que l'anime Tsukihime. Note scénar:
11,5/20
Personnages:
Si Arcueid est un perso intriguant et que sa relation avec Shiki est assez correct(ce qui reste le coeur de la série), les autres persos sont comme ceux de Kara no Kyoukai, ils remplissent leur rôle et c'est tout. Et le pire c'est que comme dans Kara no Kyoukai, on a conscience qu'on rate quelque chose.
L'anime rate même le développement de Shiki Tohno qui est un perso ennuyant et faible dans la série. Personnages:
11/20
Réalisation:
En dehors du chara design de Shiki qui est horrible, la série est assez jolie, surtout pour 2004. Comme Kara no Kyoukai, la série a fait le choix d'un chara design plus réaliste que l’œuvre d'origine et des teintes plus sombre (au point que malheureusement les couleurs paraissent fades).
La mise en scène lente met en place une ambiance très similaire à celle de Kara no Kyoukai et c'est cool.
Là où la réa dérape, c'est sur l'animation. Ce n'est pas tant qu'elle est mauvaise, c'est qu'elle est paresseuse à l’extrême. Le jeu Tsukihime comporte un certain nombre de grosses scènes d'action, après tout c'est une histoire de chasseurs de vampire. L'anime a tout bêtement prit la décision de toutes les zapper, les vampires ont des pouvoirs ridicules et tout les affrontements se règlent en 2 coups et il n'y a aucune chorégraphie (là où Fate 2006 quitte a faire baisser la qualité graphique lors des combats offrait tout de même des affrontements). Le pire c'est que sans ces scène d'actions, on n'est même pas réveillé de temps en temps comme dans Kara no Kyoukai note:
14/20
Musique:
Si il y a un point in critiquable dans l'anime Tsukihime, c'est la musique qui est fabuleuse et colle parfaitement à Tsukihime au point que j'ai préféré faire le jeu avec les ziq de l'anime. Et celà inclut l'op et l'ending.
A noter que la série semble avoir servi de base à des projet typemoon qui ont suivi pour le choix des doubleurs.
Ainsi le doubleur de Shiki Tono dans l'anime Tsukihime sera le doubleur de Mikiya, le proto Shiki Tono de KnK et Chie sensei dans Higurashi(qui est une référence à Ciel) a la voix de Ciel dans l'anime.
C'est un point a noter car les voix des persos dans l'anime ne sont pas les doubleurs officiels des personnages note:
19/20
Verdict:
L'anime Tsukihime ressemble un peu à ce que serait Kara no Kyoukai sans ses scènes d'actions badass. C'est une adaptation catastrophique mais
Pris seul ça reste un anime intriguant et à l'ambiance unique(seul Kara no Kyoukai a une ambiance similaire) malgré qu'il soit totalement incomplet, très lent au personnage principal raté.
Il me semble mal venu de le descendre totalement alors qu'en dehors de ses scène d'actions épiques, les films Kara no Kyoukai sont très similaire à cette série.
note:
13/20
en bonus, l'op et une OST de la série
Bon par contre tant qu'on est dans Tsukihime, le manga est à lire absolument, c'est un petit bijou et la meilleure adaptation d'une œuvre typemoon tout support confondu.
Le manga adapte parfaitement la route d'Arcueid tout en intégrant tout ce qui est intéressant et nécessaire des routes de Ciel et de Akiha. Seules les routes des jumelles sont zappés. J'irais même jusqu'à dire que la synthèse des routes d'Arcueid, Ciel et Akiha offre un résultat meilleur que leur route dans le VN.
Et je continue mes Review des anime Type Moon avec les films Kara no Kyoukai.
Série de film qui a réellement fait connaitre le studio Ufotable et basé sur le premier roman de Nasu Kinoko et prologue de Tsukihime, la série de film est bonne mais clairement pas sans failles.
On va donc commencer avec
l'histoire:
Kara no Kyoukai nous raconte l'histoire de Ryogi Shiki, une chasseuse de démon et fantôme, et de sa relation avec son petit ami, Mikiya
c'est très dur d'en dire plus sans spoiler et je ne veut pas le faire car l'histoire en elle même est loin d'être complexe. D'ailleurs les auteurs en étaient conscients. Comme le roman, les films sont chronologiquement dans le désordre.
Et il y a une raison à cela, perdre le spectateur et lui donner l'impression qu'il y a plus de mystère qu'il n'y parait.
Les film par rapport aux roman prennent de plus très souvent des raccourci dans l'intrigue pour diverses raisons (durée, éviter les passages peu intéressants pour garder l'ambiance glauque) et réécrivent parfois totalement l'histoire pour en faire un gloubi glouba incompréhensible servant juste a fair briller le perso du film ( cette cata de Film 6 où le réalisateur a avoué avoir fait réécrire le film pour en faire un interlude léger à la gloire de sa Tsundere adoré, le premier film en souffre aussi terriblement).
Et malgré ces coupures, la série a ses problèmes de rythme (Film 7, horrible car trop long) note:
12/20
Personnages:
Si Shiki et Mikiya sont très bien écrits et que Enjou Tomoe dans le film 5 est aussi excellent, on ne peut pas en dire autant des autres personnages qui semblent des ébauches de personnage non terminés (et c'est là qu'on sent que c'est un prototype de Tsukihime, il est clair qu'on est face à des persos d'une visual novel non terminés et que Azaka et les antagonistes des film 1 et 3 auraient surement eu leur Route avec Mikiya en main character).
Les méchants sont quant à eux classes mais assez oubliables.
Le pire étant Satsuki Kurogiri, le méchant du film 6 dont toutes les motivation et le background ont été viré alors que c'était le méchant le plus complexe de la série. notes:
13/20
Aspect technique:
C'est superbe, il n'y a rien d'autre à dire. la série de film est avant tout une demo technique nous montrant ce que sait faire le studio. encore une fois, le film 6 est un peu en retrait surtout après le film 5 qui a en plus une mise en scène géniale.
On remarque aussi le choix comme l'anime Tsukihime de rendre le design plus réaliste mais c'est plus réussi que dans Tsukihime.
Personnellement, je considère Kara no Kyoukai comme étant l'apogée graphique du studio avant qu'ils tombent dans l'excès de CG et a vouloir trop en faire offrent au final des mise en scène moins lisibles note:
19/20
Musique
Yuki Kajiura offre sur Kara no Kyoukai un de ses meilleur travail, elle a ici composé des thème à la fois superbe, collant parfaitement à l'ambiance mais aussi unique et donnant une vrai identité à la série. note:
20/20
Bilan final:
Kara no Kyoukai est une expérience prenante mais pas sans faille.
Les films ont des gros problème de rythme, sont inutilement complexe et laissent un sentiment d'inachevés, pris indépendamment, ils sont parfois moyen (film 4 et surtout le très mauvais film 6), mais la réalisation et la bande son divine les rendent très appréciables malgré tout.
bref c'est un prototype et ça se sent.
Du bonbon pour les yeux et les oreilles quoi note:
15/20
j'ai décidé dernièrement de me refaire la majorité des anime basé sur les série Typemoon dernièrement (bon sauf Prisma Ilya, faut pas exagérer, le manga a déjà ses failles, mais la version anime va bien trop loin dans le fan service loli, c'est un anime déchet)
Alors j'y vais dans le désordre en commençant par Fate Zero
On va donc commencer par le point le plus important, l'histoire.
Préquelle à Fate stay night, Fate Zero raconte l'histoire de différent magiciens s'affrontant dans la ville de Fuyuki au japon dans le but d'obtenir le saint graal.
L'histoire est généralement très bonne, par contre la série a un rythme assez batard, trop lente par moment et au contraire semble zapper des truc à d'autre, un peu comme si le staff avait passé trop de temps sur certains passages et avait dû rusher à d'autres(le combat final contre Berserker par exemple). On a aussi des anachronismes assez gênant. la série se passe dans les années 90 et pourtant, les persos ont toute les technologies actuelles. La série fait aussi l'erreur de nous présenter tout les protagonistes au début, ce qui gâche un peu la surprise sur qui sont les adversaires rencontrés. note histoire:
17/20
Maintenant, les personnages,
si les personnages sont pour la plupart intéressants, ils ne sont pas appréciables au contraire, on a l'impression que l'auteur a chercher à créer des persos détestables.
-Kiritsugu est un emo et un connard. Il passe son temps à pleurer sur ses actes, ce qui ne l’empêche pas d'agir comme un connard particulièrement avec Saber qu'il semble prendre plaisir à provoquer et sa femme Irisvieil qu'il utilise trop souvent comme un outil (et qu'il semble même tromper)
-Saber, ben c'est Saber, déjà dans la série de 2006 elle était conne. C'est un putain de personnage loyal bon qui s'y croit trop refusant toute concession à sa nature de guerrier et à la chevalerie. Elle n'accepte aucun ordre, ne cherche pas a comprendre son maitre et fait les pire conneries juste pour "la chevalerie", tout sa relation avec Lancer est juste ridicule et la fait passer pour une débile.
-Kotomine. Kotomine est un emo-bis la moitié de la série. C'est un psychopathe qui ne s'assume pas et se lamente de son côté psychopathe. Ça s'arrange heureusement à la fin et devient un bon psychopathe.
-Lancer. Raaah, le pire personnage de la licence, un putain de chevalier romantique et chevaleresque à l’extrême, c'est Saber en pire. J'ai eu envie de le tuer tout le long de la série.
-Kayneth: ben c'est juste un connard, il n'est même pas intéressant.
-Tokiomi: mister transparent. c'est un des personnages les plus ennuyeux existant.
-Caster et son maitre: Des psychopathes de bases, débiles, fun, mais pas intéressants
-Kariya: un bon perso pendant la plupart de la série, il déçoit seulement sur la fin.
Si on se limitait à eux, le constat serait très négatif, mais il y a aussi des persos très réussis
-Rider et Waver:Les personnages qui portent la série. Intéressant, très sympathiques, évoluant au cours de la série, étant classes. Ce sont vraiment des excellent persos.
-Irisvieil:l'autre raison de regarder la série, Iris est le personnage qui arrive à rendre Kiri et Saber supportable, c'est leur humanité
-Gilgamesh:Je n'aime pas le perso dans FSN (que ce soit 2006 ou UBW), mais dans Fate Zero, c'est un perso très intéressant. Non seulement il donne du relief à Tokiomi en pointant du doigt sa nullité, mais il est le perso qui construit Kotomine. Et de plus, bien qu'arrogant, il possède une noblesse qu'il n'a plus dans les autres épisodes. note personnages:
14/20
bilan technique:
Techniquement, la série est très très solide. je la trouve même plus belle que UBW qui a un moins bon charadesign et des décors beaucoup trop CG.
Reste que la 3D sur berserker est honteuse et que les combats sont trop souvent mou du genoux note
17,5/20
musique:
Yuki Kajiura fait ici du Yuki Kajiura correct, c'est a dire des très bon thème collant parfaitement à l'ambiance mais aucun thème marquant. Et fait, son plus gros défaut est très présent sur l'OST, la ziq pourrait être celle d'un autre anime dont elle a fait la ziq, ce serait pareil, elle n'a aucune identité Fate, c'est juste du Kajiura. note
14,5/20
note globale de la série:
16/20 Fate Zero est objectivement LA meilleure série FSN sérieuse à l'heure actuelle. L'histoire est intéressante, visuellement c'est très beau, si la plupart des personnages sont détestables, ils restent pour la plupart intéressant et les quelques persos restants sont grandioses.
La série a des petit problèmes de rythmes et un OST efficace mais trop générique mais ça ne l'entache pas assez pour la rendre mauvaise.
Reste que la série est à conseiller a ceux qui aiment les réunions de psychopathes (ce qui fait que personnellement, je n'en suis pas du tout fan)
Bon alors pour commencer avec les commentaires "mais c'est pas de l'anime, c'est ni en 2D ni jap", sachez que je considère tout ce qui est série d'animation comme étant "des animes"
C'est de l'animation et anime à la base design uniquement ça, l'animation. D'ailleurs, les japonais ne font pas la distinction (et c'est pareil pour ce qui est papier, pour un jap, Asterix est un manga)
Donc maintenant, cette précision faite, je vais parler de la série d'animation de Miraculous
une série du studio Zag Toon, animé en corée par Method animation et produite par ZagToon, TF1 et la Toei animation.
Miraculous est apparu sur la Toile en 2012 dans un clip commercial réalisé par le staff de Toei animation qui était venu en france pour réaliser le film Heartcatch Precure (c'est à dire la grande Rie Matsumoto a qui l'on doit Kyosogiga et Blood Blockade Battlefront et la crème des animateur Toei).
C'était mignon, classe et intriguant, le tout avec un design à mi chemin entre la bande dessinée jap et européenne vachement efficace.
Le probleme c'est que le staff derrière la série, plus que de faire une excellente série, ben au final, il a été plus intéressé par l'envie de récolter un max de fric pour vendre un max.
Il a donc été voir TF1 plutôt qu'une autre chaine (genre france 3 qui accepte des projet plus ambitieux) et TF1 a mis ses conditions:
1.Pas de 2D au design manga, ça ne vend pas
2.Rajeunir le public de la série, ce sont les 6/10 ans qui regardent les DA jeunesse, une série visant les 10/15 ans, ça ne vend pas.
3.Une série composé uniquement de stand alone afin que les gamins ne soient pas perdu si ils ratent un épisode et qu'on puisse les diffuser dans n'importe quel ordre.
Autant dire que le produit final, ben, il a perdu beaucoup en attrait. voyez plutôt
si le premier point n'était pas fondamental (on fait de très bonnes série en 3D), les 2 autres on couté très cher à la série.
et comme si ça ne suffisait pas un dernier élément a fini d'achever ce qu'aurait put être Ladybug, les attaques terroriste de 2015.
La série devait nous montrer une héroïne luttant en secret contre un baron du crime et ses sbires ayant des super pouvoirs dans Paris, le tout en imposant la terreur dans la ville grace à des actes terroristes.
Il est clair après les attaques terroristes que des bombes explosant dans Paris seraient mal vu, surtout dans une série jeunesse.
Et ce qu'on a au final, c'est un méchant cliché qui apparait toujours de la même façon dans chaque épisode avec aucun développement et qui prend le contrôle de quelqu'un juste pour un épisode pour en faire un sbire lambda qui ne connait rien ce qui se passe.
Bref rien à attendre du méchant, c'est creux et les histoires des sbires, toutes traité en un seul épisodes, ben elles sont très basiques. c'est mignon au mieux.
Et le reste de l'histoire offre aussi des déceptions.
Déjà, les pouvoirs des persos et le personnage de chat noir (le co heros de la série) ont été totalement changé.
Ladybug devait avoir un pouvoir à la Longshot, elle pouvait provoquer une chance insolente pour provoquer des miracles. Ce pouvoir a été remplacé par un item magique qui permet de faire apparaitre l'objet qui lui sera utile quand il le faut. C'est beaucoup moins original et trop facile. Ce pouvoir est clairement apparu dans un seul but, vendre des jouets avec cet item magique et faciliter l'écriture des scénarios.
Les nouvelles version des pouvoirs des persos
Quant à Chat noir, il devait être dans la vrai vie, un garçon renfermé et froid et très froid à cause de ça. au point d'être très froid avec Marinette(l'identité civile de Ladybug) qui était amoureux de lui et le stalkait. Sa vie en Chat Noir était une malediction.
En effet, il n'avait pas eu le choix de devenir chat noir et son pouvoir était de provoquer la malchance comme la chatte noire chez Marvel, ce qui était très utile contre un ennemi, mais il la subissait aussi.
Ce n'était donc pas par amour qu'il approchait à la base LadyBug, mais par interet car sa chance annulait sa malchance.
Et au cours de la série, le personnage aurait évolué au contact de Ladybug et Marinette.
Mais voilà, une série de Stand alone ne permettant pas d'évolution dans les persos et que sa dynamique avec Ladybug n'aurait pas été toujours drole mais plus complexe et tordue, Chat Noir a été totalement changé pour devenir le Chat noir de la série.
Ce Chat Noir est basiquement ce qu'aurait dû être l'ancien perso à la fin de la série. Un perso qui par le passé n'était pas ouvert à cause de problème personnel, mais qui au moment de la série a déjà changé et est un type cool et sympa qui apprecie tout le monde y compris Marinette.
Le perso perd non seulement son aspect sombre, toute possibilité d'évolution mais en plus change de pouvoir.
En effet son ancien pouvoir montrait un Chat noir pas sympatique qui faisait du charme à Ladybug par interet, le staff a considéré que c'était un mauvais exemple pour les jeune et a viré ça. Son pouvoir actuel est juste de faire rouiller ce qu'il touche quand il l'active et il est juste totalement amoureux de Ladybug.
Les anciennes version des persos et les nouvelles ensembles
reste cependant un bon point pour le scénar, le seul d'ailleurs, l'alchime entre les persos, Chat Noir et LadyBug font un duo très drole et efficace, voyez ici.
Vous l'aurez compris, le Scénar de la série est ultra decevant, la série est drole mais c'est malheureusement tout.
Je ne comprend pas toute les critiques qui vantent son écriture, et pourtant, je suis friand de série jeunesse.
WITCH, Avatar, Scoobydoo Mystere et associé, Code Lyoko,Starwars Clones Wars et rebel, Gravity fall, Transformer Prime et Même my Little Pony Friendship is magic sont mieux écrit que ça.
Et je ne parle même pas des série jeunesses jap, les épisodes sont écrit comme des épisodes moyen de Precure (pas les bons) et quasiment toutes les saisons de Precure ont à côté de ça une trame principale, des évolutions et des méchant ayant un minimum d'épaisseur. Doremi ou Digimon était aussi bien plus travaillé.
Pour la réalisation, c'est un bilan partagé. la 3D des persos est excellente. c'est bien animé, ultra expressif et les chore de baston sont bonnes.
Mais les décors offrent une vision bien trop fantasmé de Paris, il fait toujours beau, Paris se limite aux quartiers chics et surtout, il n'y a pas un chat dans les rues, le staff n'a pas vraiment prit la peine d'animer des passants et des voitures. On a donc un Paris vide auquel on peine à croire.
Le film Heartcatch Precure arrive a rendre un paris plus credible. un comble pour une série française.
Et dernière deception pour Ladybug, le staff avait promis une série 2D plus fidèle au clip d'origine ayant pour but le public jap si la série marchait. Mais au final, ça se fera pas. en effet, le roi Pognon est passé et le créateur ne veut plus d'un truc pareil, il va même jusqu'à être limite insultant ce qui réclame un remake 2D plus sombre avec le chat d'origine. En disant que la série était à l'époque un concept foireux avec de mauvais personnages.
Mais ça ne l'a pas empeché de baser tout la promo de la série sur le clip 2D, la promesse de la série TV (qui au final sera juste un OAV dans le même ton d'histoire que la série 3D) et les fanart des fan attirés par le PV.
bref, le créateur de la série ne s'interesse qu'au fric et n'a aucun respect. Et ce n'est pas très surprenant quand on regarde un peu son passif.
Il avait supervisé l'animation de la série A.T.O.M qui décalquait ses scène d'action sur des scènes d'action de série jap (Naruto par exemple) et il était fier de cela (c'était pour lui une marque de respect et d'admiration pour les série que de copier leur travail).
atom, la série en question
Bref au final Miraculous est une deception à tout les niveau, ce qui s’annonçait comme étant le renouveau de l'animation TV française et un retour de l'age d'or des année 80 avec collaboration mêlant ce qu'il y a de mieux ce que font les japonais, les américains et les français n'est qu'une série jeunesse sympathique pour vos gamins bénéficiant avant tout d'un bon duo de heros et d'une animation des persos et d'une mise en scène très solide.
C'est bien trop light pour moi, mais il semblerait que pour les non consommateur d'animation et les étrangers seduits par l'ambiance Frenchy, ça marche vu que la série est un succès. Deprimant...
C'est surement dû à un vrai manque de bonne série actuellement et a un marketing bien huilé.
Si votre gosse veut une série en 3D drole et avec des bon combat, montrez lui, surtout si c'est une fille. Sinon, passez votre chemin. Il y a bien mieux à lui montrer dans le même genre.
Si vous avez une fille
WITCH avait la même recette mais était mieux foutu à tout les niveau en dehors de l'aspect graphique. Glitter Force,la version Saban de Smile Precure est plus drole et a de meilleures baston. Doremi est juste l'anime le plus intelligent a montrer à une gamine de moins de 10 ans. Au pire remontrez lui Sailormoon, Creamy, Lady Oscar ou même Sailormoon Crystal ou My little pony les amies c'est magique.
Si c'est un garcon, il y a encore plus de choix, Young justice, Teen Titan, Starwars Rebel, Clone wars, Transformer Prime...
Et si vous voulez des truc pour les 2 sexe, bah, donnez leur Wakfu, Saint seiya Omega saison 1 Scooby Doo mystère et associé, Oban star racer, Code Lyoko, Avatar, Gravity Fall ou les premières saison de Digimon ou si on veut aller plus loin donnez leur Les Cités d'or ou Ulysse 31
Cette série sans être une catastrophe ne merite pas son succès, elle n'est guère mieux que Tottaly Spies. Ce n'est qu'une copie moins profonde de ce que font les jap qui brille par sa réa et une ambiance frenchy
Et surtout une années où est sorti un chef d'oeuvre comme les "grandes grandes vacances" qui a osé un sujet difficile dans une série jeunesse, elle devrait se cacher dans un trou.
Et oui, ça faisait longtemps que j'avais promis de faire cette partie sans en avoir le temps. Mais la voilà, je vais parler des moment où les auteur de BD Disney ont rimé avec sexy.
Premièrement, là où comme je l'ai dit dans la précédente partie, les dessins animé Disney ont toujours eu tendance à vendre de la lolita, dans les bande dessinés disney, on est clairement dans la pinup et de la femme fatale.
Du côté US, c'est clairement Carl Barks (et quasi uniquement chez lui) le représentant du sexy chez Disney.
Barks dessinait des illustrations sexy avant de bosser chez disney (il bossait pour un magazine coquin et avait même quelques illustration érotiques à son actif) et en a fait une fois à la retraite sur des canes dans un style identiques à ses peintures estampillé picsou (c'est très perturbant)
Et même quand il bossait chez Disney, il y a clairement une période où il a introduit quelques persos sexy, notamment à l'époque où ses BD montrait des persos humains.
Les espionnes Mme X et Mme Triple-X en sont de bons exemples.
pour retrouver du sexy chez les BD disney, il faudra attendre longtemps et aller voir du côté de l'école italienne.
L'école italienne contrairement à l'école américaine(et danoise) a toujours cherché à faire évoluer l'univers disney avec son temps et en élargissant son public.
Si au début, ce fut en offrant des personnages visant les adolescents plutôt que les enfant dans les années années 60 avec Popop et Chris yéyé (un Beatnik et une Yéyé), au milieu des années 90/début 2000, toute une jeune génération d'auteur ayant grandi avec les block buster hollywoodiens, les comics de super heros et les animé japonais distribué par AB a inséré nombre de leur codes dans leur BD.
Une des création de cette génération d'auteur fut le reboot de Fantomiald, PK. Reboot qui s'inspirait grandement de Green Lantern. Et vu qu'il était impossible de faire du comics américain sans personnages féminins sexy, les canes dans Pk se sont retrouvé sexualisée.
Le personnage de Lyla Lay en est le meilleur exemple
La BD se plaisant même à nous la montrer en bikini ou en train de se changer.
Et autant le dire tout de suite, tout les personnages féminins dans PK ont le même traitement, elle sont tout sexualisée et souvent sexy.
Un tendance qui se retrouvera dans toute les série de ces auteurs, comme Double Duck où Kay K en bonne James Bond Girl est sexy.
Et quand on sait que PK avait parmi ses auteur Alessandro Barbucci et Claudio Sciarrone, ça n'a rien de surprenant
Barbucci a créé avec Barbara Canepa(aussi une ancienne de l'academie Disney et co créatrice de WITCH avec lui chez disney) SkyDoll, l'histoire d'un robot prostitué cherchant à se liberer de sa condition.
Tout comme WITCH, Sky-Doll a été un succès international. le ton sombre et sexy de la série associé à un style graphique melant la patte Disney mélé à des influence manga et une mise en scène de comics a permis à la série de percer partout y compris au japon.
Barbucci est aussi au dessin de la dernière série de l'auteur de Lanfeust, Ekho. Et encore une fois c'est très sexy
Je recommande d'ailleurs, les 2 titres qui sont vraiment excellents.
Et Scarrione alors, pourquoi dire que ce n'est pas étonnant de le voir créer des persos sexy chez Disney. Et bien comme Barks, il s'est specialisé dans les canes très sexy.
Sa collection d'illustration "Ugly Duckling" est assez éloquente.
A noter que comme Barbara Canepa et Allessandro Barbucci, il a fait partie des dessinateurs de la BD WITCH, série scenarisé par Francesco Artibani qui a aussi scénarisé PK et Monster Allergy(série aussi de Barbucci et Canepa)
Et d'ailleurs, même WITCH a un certain niveau a joué la carte du sexy. Si ça reste très limité sur les personnages principaux (qui ont 12 ans au début de la série c'est donc logique), Irma reste consciente de son physique une fois transformée et en joue (elle ira draguer en boite une fois transformé mais paniquera quand le garçon qu'elle a dragué voudra aller plus loin)
D'ailleurs, Disney n'a pas hésité à produire une illustrations des WITCH transformés posant en maillot de bain pour le mois de juillet d'un calendrier sur la série.
Mais là où Disney a fait un peu plus de fan service sexy sur WITCH c'est avec le personnage de Orube, plus agé que les WITCH (elle a plus de 20 ans), le staff a put se permettre de lui offrir quelques passages sexy, surtout que Orube est d'une race de femme chat.
ainsi, quand Orube est mélancolique c'est la nuit en nuisette transparente (et au passage en écoutant la musique joué par son voisin qui la séduit en la regardant se changer en secret par la fenetre en bon pervers)
ou bien en nous montrant ses belles jambes en se prelassant dans son bain.
Et voici un second article sur l'aspect sexuel et désirable chez les personnages féminins des films disney, ce qui aurait dû être une petite conclusion sera en fait un article complet et une analyse personnelle.
Comme je l'ai montré dans mon précédent article, les personnages féminins chez Disney ont déjà été montré comme sexy dans les films disney et j'ai même limite envie de dire que pendant très longtemps, ce fut le cas automatiquement.
Les films disney devaient plaire aux garçons comme aux filles, les personnages étaient conçu pour que la fille s'identifie et que le garçon en tombe amoureux. Ce qui a d'ailleurs pendant longtemps donné lieu a une sexualisation de lolita.
Clochette, les centaurettes, les sirènes de Peter Pan bien que sexy et sexualisé ont clairement un design de lolita, Jasmine bien que sexy a seulement 15 ans.
Pour les autres, bien qu’ingénue, Ariel est basé sur les sirènes de Peter Pan n'a que 16 ans et est vraiment très belle.
Et Je pense qu'on a été nombreux a en être amoureux gamins (voir ado).
Et pour les personnages designé par Marc Davis, ce dernier a eu une exposition nommé par Disney "Femmes qui dirigent et Femmes fatales" en 2014.
Sachant que les personnages qu'il a créé sont Blanche neige, Aurore, Cendrillon, Clochette, Wendy, Alice, Cruella et Malefique, et que Cruella et Malefique sont surement les seules du lot étant des femmes qui dirigent, cela fait des autres les femmes fatales alors même que leur moyenne d'age est de 14 ans.
Et je ne pense pas que ce soit faux, une femme fatale est une femme qui fait irrésistiblement tomber les gens sous son charme et si Marc Davis ne concevait que des persos féminins(et quasiment tout les personnages féminins principaux des films de son époque), c'est qu'il savait faire ça et ses supérieurs le savait.
Ce n'était pas forcement par le fait qu'elles étaient sexy, mais grâce à leur expressions, leur attitudes, leur candeur qui provoque quelque chose chez le spectateur. Un peu le même concept que les japonais appelleront le Moe en voyant le personnage de Clarisse dans le chateau de Cagliostro.
Même Alice et Wendy malgré leur jeune age n'y échappent pas, elles aussi servent à éveiller chez le jeune garçon et l'adolescent quelque chose.
Après tout Alice au Pays des Merveilles et Peter Pan parlent tout les deux d'un voyage de l'enfance à l'age Adulte.
Le fabuleux Pays des Merveilles avec ses personnages étranges, dangereux et plein de vices, ben c'est le Monde des adulte. Le film et encore plus le roman à la base est juste un allégorie de l'adolescence.
Quant au voyage au Pays imaginaire de Wendy, c'est un dernier voyage dans ses reves d'enfants et en acceptant de retourner chez elle, elle accepte que son enfance est terminé et qu'il est temps d'être une Adulte.
Les deux personnages sont d'ailleurs très similaire et plus mature que leur age
Donc oui, pendant très longtemps Disney a fourni au monde de désirables Lolita.
Je dit très longtemps car les choses ont quelque peu changé ces dernières années.
Les productions depuis 2000 font les choses différemment, soit elles augmentent légèrement l'age de l’héroïne afin que le public puisse fantasmer sur elles sans problème Tiana dans la Princesse et la Grenouille a 19 ans et Gogo et Honey sont toute les 2 à la fac dans BigHero6
soit elles offrent une alternative l'accompagne d'un personnage plus âgé mais suffisamment belle pour être désirable malgré tout comme une soeur ou une mère.
Dans Lilo et Stich, Lilo ne cherche qu'à être mignonne(et heureusement vu son age) et c'est Nani qui éveillent les fantasme des spectateurs.
Dans La Reine des Neige où les deux héroïnes n'ont que peu de différence d'age, c'est encore une fois l'ainée qui a 21 ans qui deviendra sexy lors d'un scène pleine de double sens alors que la plus jeune n'évoluera que peu.
Le changement de tenue d'Elsa n'est pas anodin, si il sert à faire écho au conte, c'est aussi la volonté sa volonté de se libérer, de montrer son corps qu'elle a été obligé de cacher, c'est aussi une libération sexuelle et si elle reste célibataire à la fin du film, c'est aussi pour ça, Elsa doit rester libre de vivre sa vie de femme.
Dans Raiponce c'est Mère Gothel qui a des attitudes de bimbo et cherche à séduire
-Dans Rebelle c'est la reine Helinor qui provoque la blague comme quoi elle est nue quand ils la retrouvent et dans la scène finale reste avec les cheveux détachés chevauchant avec sa fille, signe d'une certaine libération, montrant qu'être une mère ne l’empêche pas d'être une femme comme sa fille
Même pour les version live, choisir la très sexy Angelina Jolie pour Malefique suit cette nouvelle vision de Disney qui préfère montrer les femmes d'un certain age désirable
Le Disney nouveau nous offrirait-il de la Milf après nous avoir offert de la Lolita pendant des décennie?