
La dernière édition du magazine Famitsu propose une interview du créateur de la célèbre saga de jeu de combat BlazBlue, a savoir Toshimichi Mori qui révèle que son futur titre n'aura strictement aucun rapport avec la saga précédemment citée, a savoir BlazBlue, que ce sera quelque chose d'entièrement nouveau et que ce ne sera même pas un jeu de combat.
Concernant BlazBlue : Central Fiction, qui sortira ce jeudi 6 octobre au Japon, le 1er novembre en Amérique du Nord et le 4 novembre en Europe, Toshimichi Mori à dit qu'il y aura pas de version "Extend", pour la très bonne raison que cet ultime volet propose un contenu assez conséquent et qu'il a été conçu pour durer longtemps. Il a également dit qu'il souhaite proposer quelques ajustements concernant la balance du jeu et même ajouter de nouveaux personnages s'il y a de la demande pour cela. Concernant une éventuelle suite, il précise qu'il croit que les joueurs comprendront lorsqu'ils finiront le mode Histoire. Les personnages Es, Naoto, Hazama et Relius diront des choses significatives à ce sujet.
Enfin, si Toshimichi Mori devrait à l'avenir faire un autre jeu de combat, il précise vouloir faire quelque chose qui changerait complètement la balance actuelle des jeux de combat telle qu'elle est connue par les joueurs, wait and see donc.
Mais en même temps si même lui arrête les jeux de combat 2D pur, ben y'a plus grand monde de valable pour représenter le genre
Street Fighter c'est de la 2.5D, Tekken de la 3D, King of Fighter XIV a opté pour la 3D car c'est moins cher (mais je crois que les développeurs essayent de gagner un peu de dividendes sur les ventes du XIV pour avoir un budget suffisant pour faire une belle 2D à nouveau sur KOF XV).
Soul Calibur et Virtua Fighter sont morts et n'ont jamais étaient de la 2D de toute façon.
Donc à part les quelques séries de niche vraiment peu connues comme les Arcana Heart & co, Guilty Gear et Blazblue restent les derniers piliers de la baston 2D pure me semble.
Envie de nouveauté et en même temps besoin de maintenir en vie les anciennes licences pour préserver le patrimoine, dileme difficile